Terminé
EN DIRECT. Etat islamique: Grosse confusion autour des trois djihadistes français présumés... Washington dit avoir empêché une attaque imminente...
TERRORISME•Alors que la France a réitéré son intention de ne pas céder face au terrorisme...R.S.
23h01
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20h20
Le recteur de la Grande mosquée de Paris exhorte les djihadistes à libérer Hervé Goudel Le recteur de la Grande mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, a exhorté mardi sur RTL le groupe djihadiste algérien «Jund al-Khilafa», qui a revendiqué l'enlèvement dimanche d'un Français en Algérie, à libérer leur otage. «Je voudrais, au nom de toutes les valeurs de l'humanité, de la religion, faire appel à un semblant d'humanité ou à un cœur, ou un respect de la vie humaine», a déclaré Dalil Boubakeur, en demandant «à ces preneurs d'otages de bien vouloir libérer cet homme, ce père de famille, cet innocent».
20h08
Les trois djihadistes présumés sont en France Les trois djihadistes présumés sont rentrés en France mais n'ont pas été arrêtés, ont déclaré leurs avocats. Selon eux, les trois hommes n'ont pu embarquer dans le vol initialement prévu au départ de la Turquie et à destination de Paris mais ont pu prendre un vol suivant à destination d'un aéroport de province, dont ils seraient ressortis sans être inquiétés.
20h00
Le nombre de djihadistes européens est en hausse Le nombre de jihadistes européens partis combattre en Syrie et Irak est en hausse, à «environ 3 000», a déclaré le coordinateur européen pour la lutte contre le terrorisme, Gilles de Kerchove, qui donnait en juillet le chiffre de quelque 2.000. «Le flux ne s'est pas tari, et il est possible que la proclamation du califat ait eu un certain impact», a-t-il affirmé. Ces combattants viennent pour la plupart de France, de Grande-Bretagne, d'Allemagne, de Belgique, des Pays-Bas, de Suède et du Danemark, mais «un peu» viennent aussi d'Espagne, d'Italie, d'Irlande et d'Autriche.
19h51
Trouver des « solutions politiques » Le président français François Hollande a souligné mardi devant son homologue iranien Hassan Rohani, qu'il rencontrait au siège des Nations unies à New York, que « tous les concours » étaient nécessaires pour trouver des « solutions politiques » au Moyen-Orient.
19h22
Annoncés comme transférés de Turquie, les trois djihadistes français présumés ne sont pas en France Les trois djihadistes présumés, dont le mari de Souad Merah, qui selon le ministère de l'Intérieur avaient été transférés de Turquie et interpellés mardi à leur arrivée à l'aéroport d'Orly, ne sont pas en France, selon une source policière. Les trois hommes, arrêtés fin août en Turquie en provenance de Syrie, devaient être transférés mardi vers la France, mais le commandant de bord de l'avion a refusé leur présence à bord en l'absence de documents administratifs que devaient fournir les autorités turques, a ajouté une source aéroportuaire.
17h37
La France «ne cédera pas au chantage» «Nous ne céderons à aucun chantage, à aucune pression, à aucun ultimatum, fût-il le plus odieux, le plus abject», a déclaré François Hollande à New York. «Nous continuerons à apporter notre soutien aux autorités irakiennes», a ajouté le Président.
17h28
La Turquie sera «en première ligne» dans la lutte contre l'Etat islamique La Turquie s'est engagée à faire partie de la coalition internationale contre les djihadistes du groupe Etat islamique (EI) et sera «en première ligne» dans cet effort, a assuré mardi le secrétaire d'Etat américain John Kerry, après avoir rencontré son homologue turc Mevlüt Cavusoglu. «La Turquie est membre à part entière de cette coalition et sera engagée en première ligne», a déclaré Kerry. La Turquie était jusqu'à présent réticente, notamment parce que l'EI en Irak détenait 49 de ses ressortissants en otages. Ces derniers ont été libérés récemment. En outre, Ankara a expulsé plus de 1.000 combattants étrangers.
17h23
Obama va rencontrer ses alliés Le Président Barack Obama rencontrera à New York des responsables des cinq pays du Moyen-Orient qui ont aidé les Etats-Unis à attaquer pour la première fois mardi les membres de l'organisation Etat islamique (EI) en Syrie, a indiqué son porte-parole. Obama rencontrera des responsables de l'Arabie saoudite, des Emirats arabes unis, de la Jordanie, de Bahreïn et du Qatar, après son arrivée à New York pour l'Assemblée générale des Nations unies, a précisé aux journalistes Josh Earnest à bord de l'avion présidentiel Air Force One.
17h21
L'Iran dénonce une ingérence américaine L'Iran a dénoncé mardi une violation de la souveraineté syrienne après les frappes aériennes menées par les Etats-Unis et leurs alliés contre des positions du groupe Etat islamique (EI) dans le nord du pays. «Toute action militaire en territoire syrien sans avoir la permission du gouvernement de ce pays et sans respecter les lois internationales est inacceptable», a déclaré le vice-ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amir-Abdollahian, cité par l'agence officielle Irna. «La bataille contre le terrorisme ne peut pas être un prétexte à la violation de la souveraineté nationale», a souligné le responsable.
17h19
Les Républicains soutiennent les frappes Le président de la Chambre des représentants des Etats-Unis, le républicain John Boehner, a salué mardi le déclenchement par Barack Obama de frappes aériennes contre le groupe Etat islamique (EI) en Syrie. L'EI «représente une menace directe contre la sécurité et la sûreté des Etats-Unis et de nos alliés», a déclaré John Boehner dans un communiqué. «Je soutiens les frappes aériennes lancées par le président, tout en soulignant qu'il s'agit seulement d'une étape dans ce qui doit être un plus grand effort pour détruire et vaincre cette organisation terroriste.»
17h15
Les Emirats arabes unis confirment leur participation aux raids Les Emirats arabes unis ont confirmé avoir mené mardi des raids aériens contre les djihadistes du groupe Etat islamique (EI), les premières frappes annoncées par Washington en Syrie. «L'armée de l'air des Emirats arabes unis a mené ses premiers raids contre des cibles de l'EI», a annoncé le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué publié par l'agence officielle WAM. Il s'agit de la deuxième monarchie du Golfe, après Bahreïn, à déclarer avoir participé à des frappes mardi.
16h03
Washington se réjouit Les Etats-Unis ont éliminé des membres d'un groupe d'Al-Qaida qui menaçaient leurs intérêts, affirme le Pentagone. Le groupe Khorassan, bombardé par les Etats-Unis dans le nord-ouest de la Syrie, s'apprêtait à lancer des «attaques majeures» contre des cibles occidentales et éventuellement aux Etats-Unis, a annoncé mardi le Pentagone. Le porte-parole du Pentagone a aussi indiqué lors d'une conférence de presse que les autres frappes menées contre le groupe Etat islamique (EI) en Syrie avaient été «très réussies».
15h45
Washington assure ne pas avoir prévenu Damas Les Etats-Unis n'ont pas prévenu Damas avant les frappes en Syrie, indique le département d'Etat américain. Un nouveau motif de désaccord avec Moscou, puisque Vladimir Poutine avait dit espérer que Barack Obama avait averti Bachar al-Assad avant le raid. «Nous n'avons pas demandé la permission du régime. Nous n'avons pas coordonné nos actions avec le gouvernement syrien. Nous n'avons pas donné de notification à l'avance aux Syriens, ni donné d'indication sur le moment des frappes ni sur les cibles spécifiques», a déclaré Jennifer Psaki, porte-parole du département d'Etat.
15h17
«La France ne peut pas agir partout» Yves Boyer, directeur adjoint de la Fondation pour la recherche stratégique, explique pourquoi la France intervient en Irak et pas en Syrie. Frappes contre Daesh: "La France ne peut pas agir partout" | Yves Boyer dans @20Minutes http://t.co/oLsqeuHgR3 — FRS (@FRS_org) 23 Septembre 2014
15h14
Pourquoi dit-on Daesh et plus Etat islamique? La sémantique a changé ces derniers jours dans la diplomatie française et américaine notamment. Fini l'Etat islamique, les djihadistes qui ont proclamé un califat islamique en juin sont désormais appelés Daesh. Pourquoi? Le Huffington Post l'expliquait très récemment, précisant que ce changement de langage déplaît fortement aux islamistes en Irak et en Syrie.
15h09
Pour mieux situer la zone de frappes... 🔴 USA SYRIE Carte des 1ères frappes US et arabes contre l'Etat islamique (Daesh en arabe) en Syrie (avec @agenceIDE) pic.twitter.com/jFuleun14p — infos140 (@infos140) 23 Septembre 2014
14h52
Bahreïn confirme sa participation au raid L'Etat du Bahreïn, dont la participation aux frappes américaines avait été évoquée dans la presse, confirme avoir mené en Syrie des raids aériens avec d'autres pays du Golfe. «Des formations de l'armée de l'air de la force de défense de Bahreïn ont, en association avec des forces aériennes de pays du Conseil de coopération du Golfe (CCG) et de forces alliées et amies, procédé mardi avant l'aube au bombardement et à la destruction de certains sites et de cibles choisies d'organisations terroristes», a déclaré un porte-parole militaire bahreïni, cité par l'agence officielle Bna.
14h44
Des civils fuient les zones de frappes Les frappes conduites par Washington et ses alliés contre l'organisation Etat islamique en Syrie ont semé la panique parmi les civils habitant à proximité des sites touchés, les poussant à fuir, selon l'OSDH et des militants. «Les civils qui habitent près de positions de l'EI à travers la Syrie ont pris la fuite», a indiqué à l'AFP Rami Abdel Rahmane, directeur de l'ONG, qui s'appuie sur un large réseau de militants et de sources médicales dans tout le pays.
14h40