Diaporama«Savage beauty»: La rétrospective d'Alexander McQueen

«Savage beauty»: La rétrospective d'Alexander McQueen

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An ornate headdress on display at the Alexander McQueen exhibition 'Savage Beauty' at the Victoria and Albert museum in London, Thursday, March, 12, 2015. The exhibition of the iconic British fashion designer McQueen who died in 2010, is open to the public from March 14 to August 2, some 70,00 tickets have already been sold. (AP Photo/Alastair Grant)/XAG109/511116563472/1503121243
An ornate headdress on display at the Alexander McQueen exhibition 'Savage Beauty' at the Victoria and Albert museum in London, Thursday, March, 12, 2015. The exhibition of the iconic British fashion designer McQueen who died in 2010, is open to the public from March 14 to August 2, some 70,00 tickets have already been sold. (AP Photo/Alastair Grant)/XAG109/511116563472/1503121243 - Alastair Grant/AP/SIPA
Aurélie Delaunoy

Aurélie Delaunoy

Cinq ans après sa mort, des centaines de créations spectaculaires d'Alexander McQueen sont présentées depuis le 14 mars au Victoria and Albert Museum de Londres dans une exposition d'envergure visant à rendre hommage à l'un des créateurs de mode les plus influents de sa génération.

Réalisation: Aurélie Delaunoy

 - Alastair Grant/AP/SIPA

Cinq ans après sa mort, des centaines de créations spectaculaires d'Alexander McQueen sont présentées depuis le 14 mars au Victoria and Albert Museum de Londres dans une exposition d'envergure visant à rendre hommage à l'un des créateurs de mode les plus influents de sa génération.

Réalisation: Aurélie Delaunoy

 - Nils Jorgensen/REX/SIPA

Plus de 70.000 billets ont déjà été vendus pour l'exposition baptisée Savage Beauty (Beauté sauvage) que le directeur du Victoria and Albert Museum décrit comme «un retour émouvant» du couturier, qui s'est suicidé en 2010 à 40 ans.

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Les visiteurs pourront approcher jusqu'au 2 août 240 créations qui permettent de définir le style singulier et parfois bizarre de McQueen dans ce qui constitue la plus importante exposition de mode présentée par le musée.

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La conservatrice de l'exposition, Claire Wilcox, a décrit le couturier comme «l'un des créateurs les plus influents de sa génération, qui a choqué avec ses défilés spectaculaires et puissants».

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L'exposition est, selon elle, un reflet de «son expression élaborée, de son artisanat de haut niveau» et de son obsession romantique pour la nature.

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Les pièces exposées dévoilent son habilité technique acquise en tant qu'apprenti à Savile Row -la célèbre rue des tailleurs à Londres- et qui se caractérise par des courbes assemblées avec précision et des silhouettes exagérées devenues sa marque de fabrique.

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La chercheuse assistante, Louise Rytter explique que le couturier était un téléspectateur avide des programmes TV sur la nature qu'il a largement exploitée, utilisant notamment des plumes de faisans ou d'oies, des coquillages ainsi que des crânes d'oiseaux ou de crocodile et des bois de cervidés sur lesquels il a cloué des bijoux. 

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Le chapeau papillons de Treacy pour Alexander McQueen (2002).

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Autruches et gazelles l'ont également inspiré.

Photo: La robe Horn of plenty (corne d'abondance, en français)

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Le végétal envahit les tenues autant que les matières animales, comme ici avec cette robe faite de fleurs.

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Plus loin, dans la salle Romantique Gothique, des mannequins masqués de cuir portent d'imposantes robes de style gothique victorien qui révèlent le travail sur les contrastes, l'ombre et la lumière, chers au couturier. 

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Des créations de son ultime collection restée inachevée peuvent également être admirées.

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Ses sensibilités politiques et historiques peuvent être observées dans une pièce où une rangée de robes en tartan, inspirées par ses origines écossaises, côtoient des robes rouge impérial, blanche et or faites de plumes, de fourrures et de pierres précieuses.

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Alexander McQueen et ses collaborateurs du début des années 90 ont aidé à moderniser la culture britannique grand public.

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Cette robe fut portée par le modèle Shalom Harlow en septembre 1998, lors du 13e défilé défilé d'Alexander McQueen. Le mannequin fut transformé en toile humaine: des bras de robots ont projeté de la peinture durant le défilé, en faisant une oeuvre in progress.

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The Widows of Culloden (Les veuves de Culloden), issues de la collection automne-hiver 2006.

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The Widows of Culloden (Les veuves de Culloden), issues de la collection automne-hiver 2006.

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La chaussure armadillo portée par Lady Gaga dans son clip Bad Romance est également exposée.

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Un cabinet des curiosités reflète aussi son attrait du macabre, comme ici cette chaussure-squelette...

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... ou bien là, avec cette colonne vertébrale reptilienne.

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Niqab style cote de maille issu de la collection Eye, printemps-été 2000.

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It's A Jungle Out There (Dehors c'est une jungle), issu de la collection automne-hiver 1997.

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The Girl Who Lived in the Tree (La fille qui vivait dans un arbre), issu de la collection automne-hiver 2008.

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Les motardes se font fashion.

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Babouches à plateforme.