AU FIL DU GOÛTLes pâtes de Nagasaki sont là... Un poulet rôti dans sa brique...

Les pâtes de Nagasaki sont là... Un poulet rôti dans sa brique... Le chocolat, c'est pas du gâteau...

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Stéphane Leblanc

Stéphane Leblanc

Cette semaine, 20 Minutes vous propose ces quelques news à déguster…

Les pâtes de Nagasaki débarquent en France

Les udon, vous connaissez sans doute.



Mais les udon de Nagasaki, peut-être pas. Plus fines que les udon classiques, plus délicates aussi, ces nouilles japonaises sont, avec les sômen (une variété plus fine encore, cuite en moins de 90 secondes dans l’eau bouillante), la grande spécialité de cette région de la côte de l’ouest de l’archipel nippon.

Qui dit finesse dit délicatesse. Bien que blanches, les pâtes de Nagasaki sont confectionnées avec de la farine de blé, de l’huile de coton (pour les sômen) ou de l’huile de camélia (pour les udon), en plus d’eau pure et de sel du terroir. Oui, du sel… Si bien qu’il convient de ne pas saler leur eau de cuisson !

Les 300 producteurs de la région se sont regroupés . Baptisées en France « Rivières de perles » pour les sômen (8 euros les 250g) et « Vagues de perles » pour les udon (8 euros les 200g), ces nouilles sont lancées ce lundi 17 octobre à la Grande épicerie et chez Lafayette Gourmets, à Paris, mais disponibles aussi sur le site d' ou sur . Des recettes, sont déjà disponibles sur internet.

D’autres plats, comme les sômen au thé, aubergine marinée et shiso, ou les udon au gaspacho de tomate et aux légumes croquants, feront l’objet d’un atelier vendredi 21 octobre à la Grande épicerie, animé par le chef Taku Sekine, du restaurant Dersou.

Une poule sur un mur, un poulet dans une brique

Cuire de la viande dans une coque en argile ? La recette ne date pas d’hier. Mais avec une brique à rôtir () de qualité, comme celle de la marque bourguignone , on est sûr d’y arriver.

La preuve en photo. Et dans l’assiette. , notre poulet d’1,8 kg n’est ressorti ni rassi ni desséché.

Au contraire, une fois découpées, ses chairs se révèlent d’une tendresse incomparable, comme gorgées de la préparation (fromage blanc, ail, gingembre, romarin) dans laquelle le poulet a mariné avant de finir dans la brique, au four.

Il faut juste penser à retirer le couvercle un bon quart d’heure avant la fin de la cuisson du poulet, afin que la peau du poulet dore un peu.

Le championnat du monde de chocolat, ce n’est pas du gâteau

Les , c’est parti ! Ce concours organisé par , qui récompense le meilleur chocolatier à l’issue d’épreuves régionales, nationales puis mondiales, dure deux ans et autant vous prévenir, il ne suffit pas d’être un fervent amateur de chocolat pour l’emporter.

D’abord, il vaut mieux être chocolatier de profession, même jeune. Car il faut de la pratique et du talent. « Les candidats sont jugés sur le goût, mais aussi sur l’aspect artistique, raconte le dernier président du jury Jean-Michel Perruchon. Il faut non seulement avoir la bonne idée, mais savoir l’exécuter proprement. » Jongler comme un sculpteur entre les différentes textures de chocolat, liquide, solide ou pâteux.

Le thème de cette nouvelle édition, c’est la ville du futur. Ce qui promet. L’an dernier, sur le thème de la nature, c’est le Français Vincent Vallée qui avait remporté l’ultime épreuve, avec une grande pièce somptueuse représentant un Avatar d’1m80 « avec au bout du doigt une petite libellule », souligne-t-il, et une petite pièce artistique fort amusante, puisqu’il s’agissait d’une cage libérant un oiseau.

« Cela m’a demandé énormément de travail, insiste Vincent Vallée. Je ne peux pas dire combien d’heures, ni de jours ou de soirées entières… » Mais cela valait la peine. Depuis le concours, « les sollicitations sont nombreuses », reconnaît le jeune chocolatier qui préfère rester fidèle à (lui-même champion du monde de dessert glacé), qui l’a coaché pour le concours et chez qui il travaille à Anglet, entre Bayonne et Biarritz.