Connaissez-vous le Marie Zest, le dernier cocktail en vogue destiné à sublimer l’anisette Marie Brizard. Oui, vous avez bien lu : l’anisette (qu’il ne faut pas confondre avec du pastis), cette boisson qui faisait fureur à la cour de Louis XV, revient depuis quelques mois sur le devant de la scène. « C’est une liqueur d’anis avec plus de 100g de sucre par litre », prévient Ludiwine Angelini, brand manager chez Marie Brizard. Et c’est de l’anis vert qui entre dans sa composition alors que le pastis est fait avec de la badiane ou de l’anis étoilé.

La différence ? C’est que l’anisette se prête très bien aux cocktails, comme ce Marie Zest désaltérant, sophistiqué et pimenté par une surprenante touche de poivre.

Le cocktail à l’anis pour ceux qui n’aiment pas l’anis

« On est sur quelque chose de végétal qu’on peut proposer à des gens qui n’aiment pas l’anis », assure Ludiwine Angelini. « Et ils en raffolent », témoigne Cédric Moreau, barman dans l’événementiel.

« Personnellement, ça me fait un peu penser au Spritz, reprend-il. Mais je n’y vois que des avantages : ce cocktail est à la fois très rafraîchissant et très original avec cette touche de poivre qui apporte de la profondeur en finale. Surtout, on trouve très facilement tous ses ingrédients dans le commerce. »

Les ingrédients

- 1 dose d’anisette Marie Brizard

- 1 dose de jus de citron vert

- 3 doses de tonic

- 1 bâtonnet de concombre

- 1 tour de moulin à poivre

La préparation

Placez vos verres au congélateur pendant un quart d’heure. Pendant ce temps, découpez quelques bâtonnets de concombre. Sortez les verres et placez-y quelques glaçons, puis l’anisette et le jus de citron vert. Versez ensuite le tonic et mélangez doucement à l’aide d’un agitateur à cocktail. Décorez avec un bâtonnet de concombre et ajoutez un tour de moulin à poivre dans chaque verre.

Comme on le voit, la recette du Marie Zest se décline en doses (plutôt qu’en centilitres), ce qui le rend très facile à faire en grande quantité, dans un saladier, une jarre, une vasque… Même si on prendra soin de le boire ensuite avec modération (sans porter ses lèvres à la vasque, donc).

« Il ne faut pas oublier de déguster le concombre qui a infusé dans l’anisette », conseille encore Cédric Moreau. En effet, c’est succulent.