La présence de Swarovski au Festival de Cannes n’est pas un mariage de circonstances. Les célèbres cristaux ornent les vedettes de cinéma sur le tapis rouge et aussi sur le grand écran depuis bien longtemps.

«Le positionnement de Swarovski est très cinéma», lance d’emblée Xavier Hottinger, responsable de la communication pour Atelier Swarovski. Un positionnement très ancien puisque Swarovski a fait ses débuts étincelants au cinéma en 1932 dans le film L’Ange bleu avec Marlene Dietrich.

«A Cannes, nous représentons Swarovski Corporate, pas juste la marque de bijoux mais la marque dans sa globalité qui accompagne le cinéma, la mode, l’architecture et le design», poursuit Xavier Hottinger.

Parmi celles qui ont crevé l’écran parées de cristaux facettés figurent notamment Audrey Hepburn dans Diamants sur canapé et Vacances romaines, Marilyn Monroe dans Les Hommes préfèrent les blondes, Nicole Kidman dans Moulin Rouge, Meryl Streep dans Le Diable s’habille en Prada, ou Halle Berry dans Meurs un autre jour.

La marque a également conçu des pièces iconiques de l’histoire du cinéma comme les souliers de rubis de Judy Garland, l’interprète de Dorothée dans Le Magicien d’Oz, le bijou Cœur de l’océan porté par Kate Winslet dans Titanic ou l’imitation d’un œuf Fabergé incrusté de cristaux qui cachait la tête chercheuse d’un missile dans Octopussy.

«Nous sommes là pour asseoir notre position dans le monde du cinéma: de la création de costumes comme dans Grace de Monaco qui a fait l’ouverture jusqu’au prêt de bijoux aux stars pour la montée des marches», résume Xavier Hottinger.

Swarovski met donc à diposition des célébrités des minaudières «l’article le plus recherché à Cannes», des parures, des bagues et manchettes pour la montée des marches. «Pour la 67e édition, c’est la collection la plus exclusive de Swarovski, Atelier Swarovski, qui accompagnera les stars», se réjouit Xavier Hottinger.

La collection d’Atelier Swarovski repose sur le concept suivant : «Des créateurs ont la liberté de faire leur propre interprétation du cristal. On approche ces derniers, on travaille ensemble sur les concepts, on valide, on voit la faisabilité des choses. Cela donne à quatre collaborations par an», résume Xavier Hottinger. A Cannes, l’Atelier Swarovski présentait sa dernière collaboration avec les stylistes néerlandais Viktor&Rolf. Une collection pour le moment réservée aux stars cannoises, mais qui sera disponible en septembre.

La présence de Swarovski au Festival de Cannes n’est pas un mariage de circonstances. Les célèbres cristaux ornent les vedettes de cinéma sur le tapis rouge et aussi sur le grand écran depuis bien longtemps.

«Le positionnement de Swarovski est très cinéma», lance d’emblée Xavier Hottinger, responsable de la communication pour Atelier Swarovski. Un positionnement très ancien puisque Swarovski a fait ses débuts étincelants au cinéma en 1932 dans le film L’Ange bleu avec Marlene Dietrich.

«A Cannes, nous représentons Swarovski Corporate, pas juste la marque de bijoux mais la marque dans sa globalité qui accompagne le cinéma, la mode, l’architecture et le design», poursuit Xavier Hottinger.

Parmi celles qui ont crevé l’écran parées de cristaux facettés figurent notamment Audrey Hepburn dans Diamants sur canapé et Vacances romaines, Marilyn Monroe dans Les Hommes préfèrent les blondes, Nicole Kidman dans Moulin Rouge, Meryl Streep dans Le Diable s’habille en Prada, ou Halle Berry dans Meurs un autre jour.

La marque a également conçu des pièces iconiques de l’histoire du cinéma comme les souliers de rubis de Judy Garland, l’interprète de Dorothée dans Le Magicien d’Oz, le bijou Cœur de l’océan porté par Kate Winslet dans Titanic ou l’imitation d’un œuf Fabergé incrusté de cristaux qui cachait la tête chercheuse d’un missile dans Octopussy.

«Nous sommes là pour asseoir notre position dans le monde du cinéma: de la création de costumes comme dans Grace de Monaco qui a fait l’ouverture jusqu’au prêt de bijoux aux stars pour la montée des marches», résume Xavier Hottinger.

Swarovski met donc à diposition des célébrités des minaudières «l’article le plus recherché à Cannes», des parures, des bagues et manchettes pour la montée des marches. «Pour la 67e édition, c’est la collection la plus exclusive de Swarovski, Atelier Swarovski, qui accompagnera les stars», se réjouit Xavier Hottinger.

La collection d’Atelier Swarovski repose sur le concept suivant : «Des créateurs ont la liberté de faire leur propre interprétation du cristal. On approche ces derniers, on travaille ensemble sur les concepts, on valide, on voit la faisabilité des choses. Cela donne à quatre collaborations par an», résume Xavier Hottinger. A Cannes, l’Atelier Swarovski présentait sa dernière collaboration avec les stylistes néerlandais Viktor&Rolf. Une collection pour le moment réservée aux stars cannoises, mais qui sera disponible en septembre.

La présence de Swarovski au Festival de Cannes n’est pas un mariage de circonstances. Les célèbres cristaux ornent les vedettes de cinéma sur le tapis rouge et aussi sur le grand écran depuis bien longtemps.

«Le positionnement de Swarovski est très cinéma», lance d’emblée Xavier Hottinger, responsable de la communication pour Atelier Swarovski. Un positionnement très ancien puisque Swarovski a fait ses débuts étincelants au cinéma en 1932 dans le film L’Ange bleu avec Marlene Dietrich.

«A Cannes, nous représentons Swarovski Corporate, pas juste la marque de bijoux mais la marque dans sa globalité qui accompagne le cinéma, la mode, l’architecture et le design», poursuit Xavier Hottinger.

Parmi celles qui ont crevé l’écran parées de cristaux facettés figurent notamment Audrey Hepburn dans Diamants sur canapé et Vacances romaines, Marilyn Monroe dans Les Hommes préfèrent les blondes, Nicole Kidman dans Moulin Rouge, Meryl Streep dans Le Diable s’habille en Prada, ou Halle Berry dans Meurs un autre jour.

La marque a également conçu des pièces iconiques de l’histoire du cinéma comme les souliers de rubis de Judy Garland, l’interprète de Dorothée dans Le Magicien d’Oz, le bijou Cœur de l’océan porté par Kate Winslet dans Titanic ou l’imitation d’un œuf Fabergé incrusté de cristaux qui cachait la tête chercheuse d’un missile dans Octopussy.

«Nous sommes là pour asseoir notre position dans le monde du cinéma: de la création de costumes comme dans Grace de Monaco qui a fait l’ouverture jusqu’au prêt de bijoux aux stars pour la montée des marches», résume Xavier Hottinger.

Swarovski met donc à diposition des célébrités des minaudières «l’article le plus recherché à Cannes», des parures, des bagues et manchettes pour la montée des marches. «Pour la 67e édition, c’est la collection la plus exclusive de Swarovski, Atelier Swarovski, qui accompagnera les stars», se réjouit Xavier Hottinger.

La collection d’Atelier Swarovski repose sur le concept suivant : «Des créateurs ont la liberté de faire leur propre interprétation du cristal. On approche ces derniers, on travaille ensemble sur les concepts, on valide, on voit la faisabilité des choses. Cela donne à quatre collaborations par an», résume Xavier Hottinger. A Cannes, l’Atelier Swarovski présentait sa dernière collaboration avec les stylistes néerlandais Viktor&Rolf. Une collection pour le moment réservée aux stars cannoises, mais qui sera disponible en septembre.

La présence de Swarovski au Festival de Cannes n’est pas un mariage de circonstances. Les célèbres cristaux ornent les vedettes de cinéma sur le tapis rouge et aussi sur le grand écran depuis bien longtemps.

«Le positionnement de Swarovski est très cinéma», lance d’emblée Xavier Hottinger, responsable de la communication pour Atelier Swarovski. Un positionnement très ancien puisque Swarovski a fait ses débuts étincelants au cinéma en 1932 dans le film L’Ange bleu avec Marlene Dietrich.

«A Cannes, nous représentons Swarovski Corporate, pas juste la marque de bijoux mais la marque dans sa globalité qui accompagne le cinéma, la mode, l’architecture et le design», poursuit Xavier Hottinger.

Parmi celles qui ont crevé l’écran parées de cristaux facettés figurent notamment Audrey Hepburn dans Diamants sur canapé et Vacances romaines, Marilyn Monroe dans Les Hommes préfèrent les blondes, Nicole Kidman dans Moulin Rouge, Meryl Streep dans Le Diable s’habille en Prada, ou Halle Berry dans Meurs un autre jour.

La marque a également conçu des pièces iconiques de l’histoire du cinéma comme les souliers de rubis de Judy Garland, l’interprète de Dorothée dans Le Magicien d’Oz, le bijou Cœur de l’océan porté par Kate Winslet dans Titanic ou l’imitation d’un œuf Fabergé incrusté de cristaux qui cachait la tête chercheuse d’un missile dans Octopussy.

«Nous sommes là pour asseoir notre position dans le monde du cinéma: de la création de costumes comme dans Grace de Monaco qui a fait l’ouverture jusqu’au prêt de bijoux aux stars pour la montée des marches», résume Xavier Hottinger.

Swarovski met donc à diposition des célébrités des minaudières «l’article le plus recherché à Cannes», des parures, des bagues et manchettes pour la montée des marches. «Pour la 67e édition, c’est la collection la plus exclusive de Swarovski, Atelier Swarovski, qui accompagnera les stars», se réjouit Xavier Hottinger.

La collection d’Atelier Swarovski repose sur le concept suivant : «Des créateurs ont la liberté de faire leur propre interprétation du cristal. On approche ces derniers, on travaille ensemble sur les concepts, on valide, on voit la faisabilité des choses. Cela donne à quatre collaborations par an», résume Xavier Hottinger. A Cannes, l’Atelier Swarovski présentait sa dernière collaboration avec les stylistes néerlandais Viktor&Rolf. Une collection pour le moment réservée aux stars cannoises, mais qui sera disponible en septembre.