VIDEO. Les 30 ans du JT de Jean-Pierre Pernaut: Notre reportage clin d'œil au Palais du pain d'épices
HOMMAGE•Voilà trente ans que le journaliste donne rendez-vous aux téléspectateurs sur TF1 à la mi-journée…L'essentiel
- Jean-Pierre Pernaut fête les 30 ans du JT du 13h sur TF1.
- A l’occasion de cet anniversaire, 20 Minutes a réalisé un reportage clin d’œil au Palais du pain d’épices à Gertwiller, dans le département du Bas-Rhin en Alsace.
Voilà un sujet qui aurait pu trouver sa place dans un JT de 13h présenté Jean-Pierre Pernaut, rendez-vous qui fête ses 30 ans sur TF1.
En clin d’œil à ce rendez-vous d’information qui fait la part belle aux produits du terroir et talents de nos régions, 20 Minutes s’est rendu à Gertwiller, village bas-rhinois en Alsace devenue la capitale du pain d’épices (on prévient, on n'a pas les mêmes moyens techniques que TF1).
Deux fabricants sont toujours présents dans ce village bas-rhinois au millier d'âmes (il y a plus de pain d’épices que d’habitants en gros), dont l’entreprise Fortwenger qui en produit depuis 1768. Dirigée aujourd’hui par Steve Risch, elle a ouvert en octobre 2009 un Palais du pain d’épices, visité par 70.000 personnes par an en moyenne.
>> Notre reportage façon JT du 13h au Palais du pain d’épices à Gertwiller
Il s’agit là d’une sorte de musée où le visiteur est guidé dans un monde féerique et gourmand par une mascotte aux allures de manala. « En fait, le palais lui appartient, sourit Steve Risch. On a voulu un lieu ludique et interactif autour de notre tradition pour faire apprécier notre produit autrement par les petits et les grands. Parce qu’on est tous de grands enfants ! »
Près de 200 variétés
La visite s’étend sur quelque 1.000 m², où l’histoire du pain d’épices et sa fabrication sont accompagnées d’une décoration et d‘odeurs alléchantes. De quoi ouvrir l’appétit avant d’entrer dans la boutique Fortwenger où 150 à 200 variétés différentes vous tendent les bras.
Le secret d’un bon pain d’épices selon le PDG de l’entreprise alsacienne ? « De bons ingrédients, du savoir-faire et du temps. Parce qu’on laisse reposer la pâte pendant six semaines avant de la travailler ». Reste à savoir si Jean-Pierre Pernaut a déjà eu la chance d’y goûter.