PRESSE«L'Express» : Le comité d'entreprise sur le plan social a été reporté à vendredi

«L'Express» : Le comité d'entreprise sur le plan social a été reporté à vendredi

PRESSELa direction a préféré repousser à vendredi les discussions sur le plan social pour éviter que les journalistes bloquent la sortie de l'hebdomadaire...
20 Minutes avec AFP

20 Minutes avec AFP

Le comité d'entreprise du groupe L'Express, au cours duquel la direction devait présenter un plan social concernant 125 salariés, a tourné court lundi matin et finalement été reporté à vendredi, a-t-on appris de sources syndicales et auprès de la rédaction.

Une assemblée générale ce lundi


Le comité d'entreprise du groupe L'Express, au cours duquel la direction devait présenter un plan social concernant 125 salariés, a tourné court lundi matin et finalement été reporté à vendredi, a-t-on appris de sources syndicales et auprès de la rédaction.

Une assemblée générale ce lundi

Pour protester contre ce projet que la SDJ a qualifié de «carnage», les journalistes envisageaient de bloquer la sortie de l'hebdomadaire, dont le bouclage a lieu le lundi soir. Ce qui aurait été une première dans l'histoire du magazine.

Pour éviter ce risque, la direction a préféré repousser à vendredi les discussions sur le plan social, qui vise notamment des cadres intermédiaires, des correcteurs et des documentalistes, ainsi que des commerciaux et des administratifs, selon les mêmes sources. Les syndicats ont cependant prévu de réunir une assemblée générale du personnel lundi à 15h. Interrogée par l'AFP, la direction n'a fait aucun commentaire.

La chasse aux coûts de Patrick Drahi

Patrick Drahi, le nouveau propriétaire du groupe L'Express (qui regroupe, outre l'Express, une série de magazines comme l'Expansion, Mieux vivre votre argent, Point de vue, Lire, Studio Cinélive, l'Etudiant) mène depuis plusieurs mois une chasse aux coûts. Il veut réduire les effectifs afin de faire revenir dans le vert le groupe qui a perdu 9 millions d'euros l'an dernier.

Ce plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) concernant 125 salariés s'ajoute aux quelque 115 départs volontaires dans le cadre d'une clause de cession, dotée de conditions favorables dans le but d'encourager un maximum de départs, selon les syndicats.

Au final, avec le PSE et ces départs, le groupe passera de 700 à 500 salariés, dont une réduction d'environ un tiers de la rédaction. Seuls 35 journalistes rédacteurs environ resteraient pour le magazine L'Express en version papier, s'insurgent les syndicats. «Quand on rachète un magazine comme le nôtre, c'est pour de l'influence, pas pour faire de l'argent, pas pour le casser», a dénoncé un journaliste.

La SDJ de L'Express avait demandé vendredi à Patrick Drahi de «surseoir à tout carnage éditorial et humain». «A défaut, vous apparaîtrez comme celui qui aura anéanti l'un des fleurons de la presse française», concluait-elle. Elle a aussi lancé une pétition sur le site Change.org pour le retrait du plan social.

ce projet que la SDJ a qualifié de «carnage»,

Pour protester contre ce projet que la SDJ a qualifié de «carnage», les journalistes envisageaient de bloquer la sortie de l'hebdomadaire, dont le bouclage a lieu le lundi soir. Ce qui aurait été une première dans l'histoire du magazine.

Pour éviter ce risque, la direction a préféré repousser à vendredi les discussions sur le plan social, qui vise notamment des cadres intermédiaires, des correcteurs et des documentalistes, ainsi que des commerciaux et des administratifs, selon les mêmes sources. Les syndicats ont cependant prévu de réunir une assemblée générale du personnel lundi à 15h. Interrogée par l'AFP, la direction n'a fait aucun commentaire.

La chasse aux coûts de Patrick Drahi

Patrick Drahi, le nouveau propriétaire du groupe L'Express (qui regroupe, outre l'Express, une série de magazines comme l'Expansion, Mieux vivre votre argent, Point de vue, Lire, Studio Cinélive, l'Etudiant) mène depuis plusieurs mois une chasse aux coûts. Il veut réduire les effectifs afin de faire revenir dans le vert le groupe qui a perdu 9 millions d'euros l'an dernier.

Ce plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) concernant 125 salariés s'ajoute aux quelque 115 départs volontaires dans le cadre d'une clause de cession, dotée de conditions favorables dans le but d'encourager un maximum de départs, selon les syndicats.

Au final, avec le PSE et ces départs, le groupe passera de 700 à 500 salariés, dont une réduction d'environ un tiers de la rédaction. Seuls 35 journalistes rédacteurs environ resteraient pour le magazine L'Express en version papier, s'insurgent les syndicats. «Quand on rachète un magazine comme le nôtre, c'est pour de l'influence, pas pour faire de l'argent, pas pour le casser», a dénoncé un journaliste.

La SDJ de L'Express avait demandé vendredi à Patrick Drahi de «surseoir à tout carnage éditorial et humain». «A défaut, vous apparaîtrez comme celui qui aura anéanti l'un des fleurons de la presse française», concluait-elle. Elle a aussi lancé une pétition sur le site Change.org pour le retrait du plan social.


Pour protester contre ce projet que la SDJ a qualifié de «carnage», les journalistes envisageaient de bloquer la sortie de l'hebdomadaire, dont le bouclage a lieu le lundi soir. Ce qui aurait été une première dans l'histoire du magazine.

Pour éviter ce risque, la direction a préféré repousser à vendredi les discussions sur le plan social, qui vise notamment des cadres intermédiaires, des correcteurs et des documentalistes, ainsi que des commerciaux et des administratifs, selon les mêmes sources. Les syndicats ont cependant prévu de réunir une assemblée générale du personnel lundi à 15h. Interrogée par l'AFP, la direction n'a fait aucun commentaire.

La chasse aux coûts de Patrick Drahi

Patrick Drahi, le nouveau propriétaire du groupe L'Express (qui regroupe, outre l'Express, une série de magazines comme l'Expansion, Mieux vivre votre argent, Point de vue, Lire, Studio Cinélive, l'Etudiant) mène depuis plusieurs mois une chasse aux coûts. Il veut réduire les effectifs afin de faire revenir dans le vert le groupe qui a perdu 9 millions d'euros l'an dernier.

Ce plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) concernant 125 salariés s'ajoute aux quelque 115 départs volontaires dans le cadre d'une clause de cession, dotée de conditions favorables dans le but d'encourager un maximum de départs, selon les syndicats.

Au final, avec le PSE et ces départs, le groupe passera de 700 à 500 salariés, dont une réduction d'environ un tiers de la rédaction. Seuls 35 journalistes rédacteurs environ resteraient pour le magazine L'Express en version papier, s'insurgent les syndicats. «Quand on rachète un magazine comme le nôtre, c'est pour de l'influence, pas pour faire de l'argent, pas pour le casser», a dénoncé un journaliste.

La SDJ de L'Express avait demandé vendredi à Patrick Drahi de «surseoir à tout carnage éditorial et humain». «A défaut, vous apparaîtrez comme celui qui aura anéanti l'un des fleurons de la presse française», concluait-elle. Elle a aussi lancé une pétition sur le site Change.org pour le retrait du plan social.


Pour protester contre ce projet que la SDJ a qualifié de «carnage», les journalistes envisageaient de bloquer la sortie de l'hebdomadaire, dont le bouclage a lieu le lundi soir. Ce qui aurait été une première dans l'histoire du magazine.

Pour éviter ce risque, la direction a préféré repousser à vendredi les discussions sur le plan social, qui vise notamment des cadres intermédiaires, des correcteurs et des documentalistes, ainsi que des commerciaux et des administratifs, selon les mêmes sources. Les syndicats ont cependant prévu de réunir une assemblée générale du personnel lundi à 15h. Interrogée par l'AFP, la direction n'a fait aucun commentaire.

La chasse aux coûts de Patrick Drahi

Patrick Drahi, le nouveau propriétaire du groupe L'Express (qui regroupe, outre l'Express, une série de magazines comme l'Expansion, Mieux vivre votre argent, Point de vue, Lire, Studio Cinélive, l'Etudiant) mène depuis plusieurs mois une chasse aux coûts. Il veut réduire les effectifs afin de faire revenir dans le vert le groupe qui a perdu 9 millions d'euros l'an dernier.

Ce plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) concernant 125 salariés s'ajoute aux quelque 115 départs volontaires dans le cadre d'une clause de cession, dotée de conditions favorables dans le but d'encourager un maximum de départs, selon les syndicats.

Au final, avec le PSE et ces départs, le groupe passera de 700 à 500 salariés, dont une réduction d'environ un tiers de la rédaction. Seuls 35 journalistes rédacteurs environ resteraient pour le magazine L'Express en version papier, s'insurgent les syndicats. «Quand on rachète un magazine comme le nôtre, c'est pour de l'influence, pas pour faire de l'argent, pas pour le casser», a dénoncé un journaliste.

La SDJ de L'Express avait demandé vendredi à Patrick Drahi de «surseoir à tout carnage éditorial et humain». «A défaut, vous apparaîtrez comme celui qui aura anéanti l'un des fleurons de la presse française», concluait-elle. Elle a aussi lancé une pétition sur le site Change.org pour le retrait du plan social.


Pour protester contre ur-drahi-suicidaire">ce projet que la SDJ a qualifié de «carnage», les journalistes envisageaient de bloquer la sortie de l'hebdomadaire, dont le bouclage a lieu le lundi soir. Ce qui aurait été une première dans l'histoire du magazine.

Pour éviter ce risque, la direction a préféré repousser à vendredi les discussions sur le plan social, qui vise notamment des cadres intermédiaires, des correcteurs et des documentalistes, ainsi que des commerciaux et des administratifs, selon les mêmes sources. Les syndicats ont cependant prévu de réunir une assemblée générale du personnel lundi à 15h. Interrogée par l'AFP, la direction n'a fait aucun commentaire.

La chasse aux coûts de Patrick Drahi

Patrick Drahi, le nouveau propriétaire du groupe L'Express (qui regroupe, outre l'Express, une série de magazines comme l'Expansion, Mieux vivre votre argent, Point de vue, Lire, Studio Cinélive, l'Etudiant) mène depuis plusieurs mois une chasse aux coûts. Il veut réduire les effectifs afin de faire revenir dans le vert le groupe qui a perdu 9 millions d'euros l'an dernier.

Ce plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) concernant 125 salariés s'ajoute aux quelque 115 départs volontaires dans le cadre d'une clause de cession, dotée de conditions favorables dans le but d'encourager un maximum de départs, selon les syndicats.

Au final, avec le PSE et ces départs, le groupe passera de 700 à 500 salariés, dont une réduction d'environ un tiers de la rédaction. Seuls 35 journalistes rédacteurs environ resteraient pour le magazine L'Express en version papier, s'insurgent les syndicats. «Quand on rachète un magazine comme le nôtre, c'est pour de l'influence, pas pour faire de l'argent, pas pour le casser», a dénoncé un journaliste.

La SDJ de L'Express avait demandé vendredi à Patrick Drahi de «surseoir à tout carnage éditorial et humain». «A défaut, vous apparaîtrez comme celui qui aura anéanti l'un des fleurons de la presse française», concluait-elle. Elle a aussi lancé une pétition sur le site Change.org pour le retrait du plan social.


Ce plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) concernant 125 salariés

Pour protester contre ce projet que la SDJ a qualifié de «carnage», les journalistes envisageaient de bloquer la sortie de l'hebdomadaire, dont le bouclage a lieu le lundi soir. Ce qui aurait été une première dans l'histoire du magazine.

Pour éviter ce risque, la direction a préféré repousser à vendredi les discussions sur le plan social, qui vise notamment des cadres intermédiaires, des correcteurs et des documentalistes, ainsi que des commerciaux et des administratifs, selon les mêmes sources. Les syndicats ont cependant prévu de réunir une assemblée générale du personnel lundi à 15h. Interrogée par l'AFP, la direction n'a fait aucun commentaire.

La chasse aux coûts de Patrick Drahi

Patrick Drahi, le nouveau propriétaire du groupe L'Express (qui regroupe, outre l'Express, une série de magazines comme l'Expansion, Mieux vivre votre argent, Point de vue, Lire, Studio Cinélive, l'Etudiant) mène depuis plusieurs mois une chasse aux coûts. Il veut réduire les effectifs afin de faire revenir dans le vert le groupe qui a perdu 9 millions d'euros l'an dernier.

Ce plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) concernant 125 salariés s'ajoute aux quelque 115 départs volontaires dans le cadre d'une clause de cession, dotée de conditions favorables dans le but d'encourager un maximum de départs, selon les syndicats.

Au final, avec le PSE et ces départs, le groupe passera de 700 à 500 salariés, dont une réduction d'environ un tiers de la rédaction. Seuls 35 journalistes rédacteurs environ resteraient pour le magazine L'Express en version papier, s'insurgent les syndicats. «Quand on rachète un magazine comme le nôtre, c'est pour de l'influence, pas pour faire de l'argent, pas pour le casser», a dénoncé un journaliste.

La SDJ de L'Express avait demandé vendredi à Patrick Drahi de «surseoir à tout carnage éditorial et humain». «A défaut, vous apparaîtrez comme celui qui aura anéanti l'un des fleurons de la presse française», concluait-elle. Elle a aussi lancé une pétition sur le site Change.org pour le retrait du plan social.


Pour protester contre ce projet que la SDJ a qualifié de «carnage», les journalistes envisageaient de bloquer la sortie de l'hebdomadaire, dont le bouclage a lieu le lundi soir. Ce qui aurait été une première dans l'histoire du magazine.

Pour éviter ce risque, la direction a préféré repousser à vendredi les discussions sur le plan social, qui vise notamment des cadres intermédiaires, des correcteurs et des documentalistes, ainsi que des commerciaux et des administratifs, selon les mêmes sources. Les syndicats ont cependant prévu de réunir une assemblée générale du personnel lundi à 15h. Interrogée par l'AFP, la direction n'a fait aucun commentaire.

La chasse aux coûts de Patrick Drahi

Patrick Drahi, le nouveau propriétaire du groupe L'Express (qui regroupe, outre l'Express, une série de magazines comme l'Expansion, Mieux vivre votre argent, Point de vue, Lire, Studio Cinélive, l'Etudiant) mène depuis plusieurs mois une chasse aux coûts. Il veut réduire les effectifs afin de faire revenir dans le vert le groupe qui a perdu 9 millions d'euros l'an dernier.

Ce plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) concernant 125 salariés s'ajoute aux quelque 115 départs volontaires dans le cadre d'une clause de cession, dotée de conditions favorables dans le but d'encourager un maximum de départs, selon les syndicats.

Au final, avec le PSE et ces départs, le groupe passera de 700 à 500 salariés, dont une réduction d'environ un tiers de la rédaction. Seuls 35 journalistes rédacteurs environ resteraient pour le magazine L'Express en version papier, s'insurgent les syndicats. «Quand on rachète un magazine comme le nôtre, c'est pour de l'influence, pas pour faire de l'argent, pas pour le casser», a dénoncé un journaliste.

La SDJ de L'Express avait demandé vendredi à Patrick Drahi de «surseoir à tout carnage éditorial et humain». «A défaut, vous apparaîtrez comme celui qui aura anéanti l'un des fleurons de la presse française», concluait-elle. Elle a aussi lancé une pétition sur le site Change.org pour le retrait du plan social.


Pour protest

er contre ce projet que la SDJ a qualifié de «carnage», les journalistes envisageaient de bloquer la sortie de l'hebdomadaire, dont le bouclage a lieu le lundi soir. Ce qui aurait été une première dans l'histoire du magazine.

Pour éviter ce risque, la direction a préféré repousser à vendredi les discussions sur le plan social, qui vise notamment des cadres intermédiaires, des correcteurs et des documentalistes, ainsi que des commerciaux et des administratifs, selon les mêmes sources. Les syndicats ont cependant prévu de réunir une assemblée générale du personnel lundi à 15h. Interrogée par l'AFP, la direction n'a fait aucun commentaire.

La chasse aux coûts de Patrick Drahi

Patrick Drahi, le nouveau propriétaire du groupe L'Express (qui regroupe, outre l'Express, une série de magazines comme l'Expansion, Mieux vivre votre argent, Point de vue, Lire, Studio Cinélive, l'Etudiant) mène depuis plusieurs mois une chasse aux coûts. Il veut réduire les effectifs afin de faire revenir dans le vert le groupe qui a perdu 9 millions d'euros l'an dernier.

Ce plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) concernant 125 salariés s'ajoute aux quelque 115 départs volontaires dans le cadre d'une clause de cession, dotée de conditions favorables dans le but d'encourager un maximum de départs, selon les syndicats.

Au final, avec le PSE et ces départs, le groupe passera de 700 à 500 salariés, dont une réduction d'environ un tiers de la rédaction. Seuls 35 journalistes rédacteurs environ resteraient pour le magazine L'Express en version papier, s'insurgent les syndicats. «Quand on rachète un magazine comme le nôtre, c'est pour de l'influence, pas pour faire de l'argent, pas pour le casser», a dénoncé un journaliste.

La SDJ de L'Express avait demandé vendredi à Patrick Drahi de «surseoir à tout carnage éditorial et humain». «A défaut, vous apparaîtrez comme celui qui aura anéanti l'un des fleurons de la presse française», concluait-elle. Elle a aussi lancé une pétition sur le site Change.org pour le retrait du plan social.