JOURNALISMEFleur Pellerin «garante» du pluralisme des idées et de l'indépendance des rédactions

Fleur Pellerin «garante» du pluralisme des idées et de l'indépendance des rédactions

JOURNALISMELa ministre de la Culture a réagi à la déprogrammation de deux reportages sur Canal+, chaîne dirigée par l'industriel Vincent Bolloré...
20 Minutes avec AFP

20 Minutes avec AFP

La ministre de la Culture, Fleur Pellerin a affirmé lundi être «garante» du pluralisme des idées et de l'indépendance des rédactions en réagissant à la déprogrammation de deux reportages sur Canal+, chaîne dirigée par l'industriel Vincent Bolloré.

«Le message a été entendu par Vincent Bolloré»


La ministre de la Culture, Fleur Pellerin a affirmé lundi être «garante» du pluralisme des idées et de l'indépendance des rédactions en réagissant à la déprogrammation de deux reportages sur Canal+, chaîne dirigée par l'industriel Vincent Bolloré.

«Le message a été entendu par Vincent Bolloré»

«Il y a un principe dans l'audiovisuel, et j'en suis la garante, qui est le respect du pluralisme des idées et de l'indépendance des rédactions», a affirmé Fleur Pellerin sur France Inter. «Je crois que le message a été entendu par Vincent Bolloré que j'ai eu au téléphone avant qu'il soit auditionné par le CSA. Il s'est engagé à prendre un certains nombre de mesures aussi bien sur iTélé ou sur Canal+ pour assurer l'indépendance des rédactions», a déclaré la ministre.

Ses détracteurs réclament des règles plus contraignantes

Le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) a auditionné jeudi Vincent Bolloré, le nouveau patron de Vivendi et de Canal+, l'interrogeant notamment sur son respect de l'indépendance de l'information, après les accusations d'un collectif de journalistes et de la Société civile des auteurs multimédia (Scam) d'avoir fait censurer des reportages gênants. Le dirigeant a accepté de créer un comité d'éthique pour garantir l'indépendance éditoriale de ses chaînes, ses détracteurs réclamant des règles plus contraignantes.

«Aucune enquête pour l'instant n'a révélé s'il y avait eu une intervention directe. S'il s'avérait qu'il y a des interventions directes d'annonceurs, de l'actionnaire sur une chaîne pour déprogrammer des programmes qui dérangent, j'en serais extrêmement contrariée et il faudrait sans doute que j'évoque ce sujet avec le CSA», a ajouté Fleur Pellerin.

De nombreux médias critiquent les bouleversements récents à Canal+, dont le remplacement des auteurs des Guignols ou la déprogrammation de reportages, dont l'un sur le Crédit mutuel, banque partenaire de Vivendi (reprogrammé le 7 octobre sur France 3), l'autre sur le duel Hollande-Sarkozy.


«Il y a un principe dans l'audiovisuel, et j'en suis la garante, qui est le respect du pluralisme des idées et de l'indépendance des rédactions», a affirmé Fleur Pellerin sur France Inter. «Je crois que le message a été entendu par Vincent Bolloré que j'ai eu au téléphone avant qu'il soit auditionné par le CSA. Il s'est engagé à prendre un certains nombre de mesures aussi bien sur iTélé ou sur Canal+ pour assurer l'indépendance des rédactions», a déclaré la ministre.

Ses détracteurs réclament des règles plus contraignantes

Le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) a auditionné jeudi Vincent Bolloré, le nouveau patron de Vivendi et de Canal+, l'interrogeant notamment sur son respect de l'indépendance de l'information, après les accusations d'un collectif de journalistes et de la Société civile des auteurs multimédia (Scam) d'avoir fait censurer des reportages gênants. Le dirigeant a accepté de créer un comité d'éthique pour garantir l'indépendance éditoriale de ses chaînes, ses détracteurs réclamant des règles plus contraignantes.

«Aucune enquête pour l'instant n'a révélé s'il y avait eu une intervention directe. S'il s'avérait qu'il y a des interventions directes d'annonceurs, de l'actionnaire sur une chaîne pour déprogrammer des programmes qui dérangent, j'en serais extrêmement contrariée et il faudrait sans doute que j'évoque ce sujet avec le CSA», a ajouté Fleur Pellerin.

De nombreux médias critiquent les bouleversements récents à Canal+, dont le remplacement des auteurs des Guignols ou la déprogrammation de reportages, dont l'un sur le Crédit mutuel, banque partenaire de Vivendi (reprogrammé le 7 octobre sur France 3), l'autre sur le duel Hollande-Sarkozy.


Le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) a auditionné jeudi Vincent Bolloré,

«Il y a un principe dans l'audiovisuel, et j'en suis la garante, qui est le respect du pluralisme des idées et de l'indépendance des rédactions», a affirmé Fleur Pellerin sur France Inter. «Je crois que le message a été entendu par Vincent Bolloré que j'ai eu au téléphone avant qu'il soit auditionné par le CSA. Il s'est engagé à prendre un certains nombre de mesures aussi bien sur iTélé ou sur Canal+ pour assurer l'indépendance des rédactions», a déclaré la ministre.

Ses détracteurs réclament des règles plus contraignantes

Le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) a auditionné jeudi Vincent Bolloré, le nouveau patron de Vivendi et de Canal+, l'interrogeant notamment sur son respect de l'indépendance de l'information, après les accusations d'un collectif de journalistes et de la Société civile des auteurs multimédia (Scam) d'avoir fait censurer des reportages gênants. Le dirigeant a accepté de créer un comité d'éthique pour garantir l'indépendance éditoriale de ses chaînes, ses détracteurs réclamant des règles plus contraignantes.

«Aucune enquête pour l'instant n'a révélé s'il y avait eu une intervention directe. S'il s'avérait qu'il y a des interventions directes d'annonceurs, de l'actionnaire sur une chaîne pour déprogrammer des programmes qui dérangent, j'en serais extrêmement contrariée et il faudrait sans doute que j'évoque ce sujet avec le CSA», a ajouté Fleur Pellerin.

De nombreux médias critiquent les bouleversements récents à Canal+, dont le remplacement des auteurs des Guignols ou la déprogrammation de reportages, dont l'un sur le Crédit mutuel, banque partenaire de Vivendi (reprogrammé le 7 octobre sur France 3), l'autre sur le duel Hollande-Sarkozy.


«Il y a un principe dans l'audiovisuel, et j'en suis la garante, qui est le respect du pluralisme des idées et de l'indépendance des rédactions», a affirmé Fleur Pellerin sur France Inter. «Je crois que le message a été entendu par Vincent Bolloré que j'ai eu au téléphone avant qu'il soit auditionné par le CSA. Il s'est engagé à prendre un certains nombre de mesures aussi bien sur iTélé ou sur Canal+ pour assurer l'indépendance des rédactions», a déclaré la ministre.

Ses détracteurs réclament des règles plus contraignantes

Le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) a auditionné jeudi Vincent Bolloré, le nouveau patron de Vivendi et de Canal+, l'interrogeant notamment sur son respect de l'indépendance de l'information, après les accusations d'un collectif de journalistes et de la Société civile des auteurs multimédia (Scam) d'avoir fait censurer des reportages gênants. Le dirigeant a accepté de créer un comité d'éthique pour garantir l'indépendance éditoriale de ses chaînes, ses détracteurs réclamant des règles plus contraignantes.

«Aucune enquête pour l'instant n'a révélé s'il y avait eu une intervention directe. S'il s'avérait qu'il y a des interventions directes d'annonceurs, de l'actionnaire sur une chaîne pour déprogrammer des programmes qui dérangent, j'en serais extrêmement contrariée et il faudrait sans doute que j'évoque ce sujet avec le CSA», a ajouté Fleur Pellerin.

De nombreux médias critiquent les bouleversements récents à Canal+, dont le remplacement des auteurs des Guignols ou la déprogrammation de reportages, dont l'un sur le Crédit mutuel, banque partenaire de Vivendi (reprogrammé le 7 octobre sur France 3), l'autre sur le duel Hollande-Sarkozy.


«Il y a un principe dans l'audiovisuel, et j'en suis la garante, qui est le respect du pluralisme des idées et de l'indépendance des rédactions», a affirmé Fleur Pellerin sur France Inter. «Je crois que le message a été entendu par Vincent Bolloré que j'ai eu au téléphone avant qu'il soit auditionné par le CSA. Il s'est engagé à prendre un certains nombre de mesures aussi bien sur iTélé ou sur Canal+ pour assurer l'indépendance des rédactions», a déclaré la ministre.

Ses détracteurs réclament des règles plus contraignantes

Le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) a auditionné jeudi Vincent Bolloré, le nouveau patron de Vivendi et de Canal+, l'interrogeant notamment sur son respect de l'indépendance de l'information, après les accusations d'un collectif de journalistes et de la Société civile des auteurs multimédia (Scam) d'avoir fait censurer des reportages gênants. Le dirigeant a accepté de créer un comité d'éthique pour garantir l'indépendance éditoriale de ses chaînes, ses détracteurs réclamant des règles plus contraignantes.

«Aucune enquête pour l'instant n'a révélé s'il y avait eu une intervention directe. S'il s'avérait qu'il y a des interventions directes d'annonceurs, de l'actionnaire sur une chaîne pour déprogrammer des programmes qui dérangent, j'en serais extrêmement contrariée et il faudrait sans doute que j'évoque ce sujet avec le CSA», a ajouté Fleur Pellerin.

De nombreux médias critiquent les bouleversements récents à Canal+, dont le remplacement des auteurs des Guignols ou la déprogrammation de reportages, dont l'un sur le Crédit mutuel, banque partenaire de Vivendi (reprogrammé le 7 octobre sur France 3), l'autre sur le duel Hollande-Sarkozy.


«Il y a un principe dans l'audiovisuel, et j'en suis la garante, qui est le respect du pluralisme des idées et de l'indépendance des rédactions», a affirmé Fleur Pellerin sur France Inter. «Je crois que le message a été entendu par Vincent Bolloré que j'ai eu au téléphone avant qu'il soit auditionné par le CSA. Il s'est engagé à prendre un certains nombre de mesures aussi bien sur iTélé ou sur Canal+ pour assurer l'indépendance des rédactions», a déclaré la ministre.

Ses détracteurs réclament des règles plus contraignantes

Le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) a auditionné jeudi Vincent Bolloré, le nouveau patron de Vivendi et de Canal+, l'interrogeant notamment sur son respect de l'indépendance de l'information, après les accusations d'un collectif de journalistes et de la Société civile des auteurs multimédia (Scam) d'avoir fait censurer des reportages gênants. Le dirigeant a accepté de créer un comité d'éthique pour garantir l'indépendance éditoriale de ses chaînes, ses détracteurs réclamant des règles plus contraignantes.

«Aucune enquête pour l'instant n'a révélé s'il y avait eu une intervention directe. S'il s'avérait qu'il y a des interventions directes d'annonceurs, de l'actionnaire sur une chaîne pour déprogrammer des programmes qui dérangent, j'en serais extrêmement contrariée et il faudrait sans doute que j'évoque ce sujet avec le CSA», a ajouté Fleur Pellerin.

De nombreux médias critiquent les bouleversements récents à Canal+, dont le remplacement des auteurs des Guignols ou la déprogrammation de reportages, dont l'un sur le Crédit mutuel, banque partenaire de Vivendi (reprogrammé le 7 octobre sur France 3), l'autre sur le duel Hollande-Sarkozy.

l'un sur le Crédit mutuel,

«Il y a un principe dans l'audiovisuel, et j'en suis la garante, qui est le respect du pluralisme des idées et de l'indépendance des rédactions», a affirmé Fleur Pellerin sur France Inter. «Je crois que le message a été entendu par Vincent Bolloré que j'ai eu au téléphone avant qu'il soit auditionné par le CSA. Il s'est engagé à prendre un certains nombre de mesures aussi bien sur iTélé ou sur Canal+ pour assurer l'indépendance des rédactions», a déclaré la ministre.

Ses détracteurs réclament des règles plus contraignantes

Le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) a auditionné jeudi Vincent Bolloré, le nouveau patron de Vivendi et de Canal+, l'interrogeant notamment sur son respect de l'indépendance de l'information, après les accusations d'un collectif de journalistes et de la Société civile des auteurs multimédia (Scam) d'avoir fait censurer des reportages gênants. Le dirigeant a accepté de créer un comité d'éthique pour garantir l'indépendance éditoriale de ses chaînes, ses détracteurs réclamant des règles plus contraignantes.

«Aucune enquête pour l'instant n'a révélé s'il y avait eu une intervention directe. S'il s'avérait qu'il y a des interventions directes d'annonceurs, de l'actionnaire sur une chaîne pour déprogrammer des programmes qui dérangent, j'en serais extrêmement contrariée et il faudrait sans doute que j'évoque ce sujet avec le CSA», a ajouté Fleur Pellerin.

De nombreux médias critiquent les bouleversements récents à Canal+, dont le remplacement des auteurs des Guignols ou la déprogrammation de reportages, dont l'un sur le Crédit mutuel, banque partenaire de Vivendi (reprogrammé le 7 octobre sur France 3), l'autre sur le duel Hollande-Sarkozy.

l'autre sur le duel Hollande-Sarkozy.