Retrouver sur notre site Internet un autre live, consacré à l’épidémie de coronavirus en France.

Vous pouvez également retrouver les résultats en ligne ici​.

L’ancien patron de France Télévisions Patrick de Carolis est arrivé en tête du premier tour de l’élection municipale à Arles (Bouches-du-Rhône), avec plus de 26 % des voix, devant l’héritier du maire sortant communiste.

C'est désormais officiel, le maire de Toulon Hubert Falco a bel et bien été largement réelu au premier tour, avec 61,39 % des voix.

A Avignon, dans le Vaucluse, la maire sortante Céclie Helle (PS) arrive en tête avec 34,46 % des voix. Elle devra affronter les candidats EELV, LR et RN.

Dans une déclaration écrite, le maire de Marseille Jean-Claude Gaudin affirme que « les Marseillais ont clairement classé Martine Vassal en tête de leurs suffrages », sans pour autant que l’on soit en capacité de l’affirmer avec certitude à l’heure où ces lignes sont écrites.

L’édile appelle « au plus large rassemblement au second tour pour barrer d’abord la route aux dangers de l’extrême droite et de l’ultra gauche », derrière Martine Vassal.

On a réussi à avoir la déclaration de la candidate du Printemps marseillais Michèle Rubirola, qui s'est réjoui de vivre « un jour historique pour Marseille ». « C’est la clameur d’espoir que nous entendons depuis plusieurs semaines dans les rues de Marseille », a-t-elle dit.

« Nous appelons le Président de la République a créé toutes les conditions nécessaires pour que les Marseillais puissent voter au second tour en toute sérénité et que ce changement plus que nécessaire dans la seconde ville de France devienne réalité. »

Sur Twitter, le Printemps marseillais affirme que Martine Vassal arriverait en tête dans le 6-8, fief historique du maire de Marseille Jean-Claude Gaudin, à quelques points seulement d’Olivia Fortin du Printemps marseillais.

Roger Didier, maire DVD de Gap, a été réelu à la tête de la préfecture des Hautes-Alpes dès le premier tour, avec 54,18 % des voix.

On était pourtant bien posté devant notre ordinateur, prêt à écouter cette déclaration en visioconférence… mais on n'a rien entendu, le micro de la candidate du Printemps marseillais ne fonctionnait pas. Les joies de la technique. On reviendra vers vous dès qu’on en saura un peu plus.

Dans un communiqué de presse, la liste Debout Marseille menée par Sébastien Barles et soutenue par EELV appelle à « une alliance large des forces progressistes pour mettre fin au système qui a ruiné Marseille ».

« Pour réussir ce rassemblement, Debout Marseille ! propose la signature d’un contrat citoyen pour transformer notre ville et la métropole, baptisé "L’alliance pour Sauver Marseille", qui engager toutes les parties sur toute la durée du prochain mandat pour redresser la ville. »

Selon les résultats définitifs, la maire sortante LR d’Aix-en-Provence Maryse Joissains arrive en tête des suffrages avec 30,28 % des voix, suivie notamment de la députée LREM Anne-Laurence Petel qui obtient 20,46 % et Marc Pena (15,88 %).

La candidate à la mairie de Marseille du Printemps marseillais, Michèle Rubirola, prendra la parole à 22 h 30 via visioconférence, en raison de l’épidémie de coronavirus. Des estimations placent la candidate de la coalition de gauche au coude à coude avec la favorite LR Martine Vassal, voire en tête. La ville de Marseille est dirigée par la droite depuis 1995.

20 Minutes avait réalisé le portrait de Michèle Rubirola au moment de son investiture.

Dans la petite commune d’Allauch, aux portes de Marseille, le baron local Roland Povinelli voit son trône vaciller. L’ancien socialiste ne récolte que 24,77 % des voix, derrière le candidat divers droite Lionel de Cala qui obtient 31,88 %.

Le cadre du Rassemblement national Laurent Jacobelli obtient un score décevant au regard des attentes du parti dans cette commune, avec seulement 16,21 % des voix.

20 Minutes était allé il y a quelques jours à Allauch pour prendre le pouls de cette commune à la vie politique peu commune.

Si les estimations se confirment, c’est un petit cataclysme pour le Rassemblement national à Marseille, qui croyait réellement en ses chances de victoire, y compris Marine Le Pen, qui était venue soutenir Stéphane Ravier il y a quelques jours.

Surprise à Marseille ! Alors qu’on attendait le Rassemblement national en seconde, voire en première position, au coude à coude avec Les Républicains, Stéphane Ravier ne serait qu’à la troisième place, selon plusieurs sondages.

Les estimations diffèrent toutefois selon les sondages. Un sondage Ipsos crédite le sénateur de 18,9 % des voix, tandis qu’une autre estimation réalisée par Ifop estime son score à 19,5 %.

Et qui arrive en tête ? Pour l’heure, rien n’est sûr. Si l’Ifop annonce la candidate Les Républicains en première place avec 23 % des sondages, comme attendu, un sondage Ipsos place Michèle Rubirola, candidate du Printemps marseillais, en tête. Il s’agit dans tous les cas d’une belle remontée pour la coalition de gauche, que les précédents sondages ne plaçaient qu’à la troisième place.

Surprise à Gardanne, dans les Bouches-du-Rhône. Avec 22,84 % des voix, l’adjoint à la culture Jean-Marc La Piana arrive derrière son rival et meilleur ennemi issu de la même famille politique, le conseiller municipal PCF Claude Jorda, qui obtient 23,78 % des suffrages.

Elu maire sous la bannière communiste depuis 1977, Roger Meï ne rempire pas pour un huitième mandat et avait choisi pour lui succéder Jean-Marc La Piana, au grand dam de Claude Jorda qui s’est présenté contre lui.

Le candidat Les Républicains Hervé Granier obtient 22,41 %, suivi du candidat DGV Jean-Brice Garella (17,97 %) et du candidat Rassemblement national Bruno Priouret (12,99 %).

Avec 47,50 % des voix, l’ancien frontiste Marc Etienne Lansade arrive en tête des suffrages à Cogolin, dans le Var, devant notamment Mireille Escarrat qui obtient 20,37 % des voix.

Scénario improbable à Bollène, fief vauclusien de Marie-Claude Bompard de la Ligue du Sud (ex-FN). La candidate d’extrême droite et maire sortante obtient 44,74 %, avec seulement deux petites voix d’écart devant son adversaire DVG Anthony Zilio. Un troisième candidat, le communiste Daniel Barrière, se retrouve également en ballottage.

C’était l’un des espoirs du Rassemblement national. A Carpentras, dans le Vaucluse, ancien fief de Marion Maréchal Le Pen, le maire DVG sortant Serge Andrieu arrive pourtant en tête avec 35,85 % des suffrages, devant son adversaire du RN, le général Bertrand De La Chesnais qui obtient 30,88 % des voix.

A Cassis​, la maire sortante LR Danielle Milon est élue avec 61,78 % des voix, loin devant le responsable départemental de LREM Bertrand Mas-Fraissinet.

Dans une déclaration écrite, le maire de Marseille Jean-Claude Gaudin affirme que « les Marseillais ont clairement classé Martine Vassal en tête de leurs suffrages », sans pour autant que l’on soit en capacité de l’affirmer avec certitude à l’heure où ces lignes sont écrites.

L’édile appelle « au plus large rassemblement au second tour pour barrer d’abord la route aux dangers de l’extrême droite et de l’ultra gauche », derrière Martine Vassal.

Sur Twitter, le Printemps marseillais affirme que Martine Vassal arriverait en tête dans le 6-8, fief historique du maire de Marseille Jean-Claude Gaudin, à quelques points seulement d’Olivia Fortin du Printemps marseillais.

Selon les résultats définitifs, la maire sortante LR d’Aix-en-Provence Maryse Joissains arrive en tête des suffrages avec 30,28 % des voix, suivie notamment de la députée LREM Anne-Laurence Petel qui obtient 20,46 % et Marc Pena (15,88 %).

La candidate à la mairie de Marseille du Printemps marseillais, Michèle Rubirola, prendra la parole à 22 h 30 via visioconférence, en raison de l’épidémie de coronavirus. Des estimations placent la candidate de la coalition de gauche au coude à coude avec la favorite LR Martine Vassal, voire en tête. La ville de Marseille est dirigée par la droite depuis 1995.

20 Minutes avait réalisé le portrait de Michèle Rubirola au moment de son investiture.

Surprise à Marseille ! Alors qu’on attendait le Rassemblement national en seconde, voire en première position, au coude à coude avec Les Républicains, Stéphane Ravier ne serait qu’à la troisième place, selon plusieurs sondages.

Les estimations diffèrent toutefois selon les sondages. Un sondage Ipsos crédite le sénateur de 18,9 % des voix, tandis qu’une autre estimation réalisée par Ifop estime son score à 19,5 %.

Et qui arrive en tête ? Pour l’heure, rien n’est sûr. Si l’Ifop annonce la candidate Les Républicains en première place avec 23 % des sondages, comme attendu, un sondage Ipsos place Michèle Rubirola, candidate du Printemps marseillais, en tête. Il s’agit dans tous les cas d’une belle remontée pour la coalition de gauche, que les précédents sondages ne plaçaient qu’à la troisième place.

Le chiffre est à peine croyable. A Marseille, l’abstention est extrêmement forte. Selon les résultats définitifs communiqués par la mairie, seuls 32,55 % des Marseillais se sont déplacés aux urnes. Autrement dit, près de deux tiers des Marseillais ont boycotté ces élections municipales.

Selon les premières estimations communiquées à l’instant par France 2, le maire de Fréjus dans le Var et cadre du Rassemblement national David Rachline serait réélu dès le premier tour avec 51,5 % des voix. David Rachline avait été élu lors des précédentes élections municipales, en 2014.

Les chiffres définitifs de la participation aux élections municipales sont désormais connus à Aix-en-Provence, où pas moins de 64.41 % des électeurs se sont abstenus. En 2014, l’abstention était de 40.97 %, soit une différence de 23 points.

Dans la sous-préfecture des Bouches-du-Rhône, Maryse Joissains se présente pour un quatrième mandat, dans un contexte compliqué, comme on vous l’explique ici.

De graves incidents ont éclaté dans un bureau de vote de la cité Félix-Pyat, dans le troisième arrondissement de Marseille, a appris 20 Minutes de sources concordantes. Plusieurs hommes se sont introduits dans un bureau de vote ce dimanche en fin d’après-midi pour voler l’urne, nécessitant l’intervention des forces de l’ordre. Plus d’informations ici.

La participation à ces élections municipales chute de manière spectaculaire en région Provence-Alpes-Côte d’Azur, avec 33.60 % de participation contre 58.27 % en 2014. Des chiffres nettement inférieurs à la moyenne nationale, puisque, à 17 h, 38.77 % des électeurs se sont présentés aux urnes en France.

Dans les Bouches-du-Rhône par exemple, à 17 heures, le taux de participation n’est que de 31,84 %, soit 24 points de moins qu’en 2014. Dans le Vaucluse, l’abstention a même plus que doublé : 32.75 % ce dimanche contre 70.02 % au premier tour des élections municipales en 2014. Dans le Var, seuls 38,48 % des électeurs se sont déplacés à 17 heures, contre 56,58 % à la même heure il y a six ans.