Michel le reconnaît : le scénario ne change pas vraiment au Vélodrome. Marseille tente, Marseille recolle au score, Marseille combat mais ne gagne pas. Le Madrilène assure faire du « collectif » sa grande priorité.

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Êtes-vous déçu après ce nouveau match nul ?
Il semble que nos matchs et nos conférences de presse se répètent. Jusqu’à quand on aura ça, je ne sais pas. On pourrait parler longtemps de la situation, de comment nous jouons à la maison, mais c’est difficile de la résoudre.

Qu’est-ce qui a manqué ?
Nous travaillons sur le collectif. On a souffert du même genre de but contre Nice (le premier). Beaucoup de décisions ne sont pas prises pendant l’entraînement et sont de la responsabilité du joueur. Les joueurs sont plus responsables à l’extérieur.

Vous sentez-vous impuissant ?
Il y a des situations incompréhensibles. Je peux vous affirmer que nous allons nous rebeller contre cette position au classement. On ne va pas s’arrêter.

Rolland Courbis a vanté votre travail à l’OM. Vous lui avez parlé ?
Oui, il connaît mieux Marseille que moi. Il m’a dit qu’il fallait de la patience pour y arriver. Je pense qu’on a fait un beau travail. Je ne le répéterais jamais assez, les actions collectives sont les plus importantes.