DANSELe défilé de la Biennale met de la folie à Lyon malgré la pluie

PHOTOS. Lyon: Le défilé de la Biennale met de la folie à Gerland malgré la pluie

DANSEPlus de 4.500 danseurs amateurs et musiciens ont participé au défilé de la Biennale, qui se tenait cette année au stade de Gerland pour des raisons de sécurité…
Caroline Girardon

Caroline Girardon

«Cette année, nous avons . Un artiste imprévu s’est même invité : la météo ». Au moment de lancer le défilé de la Biennale de la danse dimanche après-midi, Dominique Hervieu, la directrice artistique de , le confesse bien volontiers : « C’est une grande improvisation. Il a fallu tout réarranger deux heures avant ».

Le résultat était pourtant à la hauteur. Quelque 4.500 danseurs amateurs et musiciens ont défilé pendant deux heures dans le stade de Gerland sous une pluie qui ne s’est quasiment jamais arrêtée, enflammant le public.

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« C’est merveilleux », lâche Kirsten, une Allemande, en vacances à pour une semaine. Mehdi, 30 ans, est venu voir sa sœur qui dansait avec le groupe de Villeurbanne. « Les voir s’amuser comme ça, ça donne envie de participer. C’est un vrai plaisir pour les yeux », lâche le jeune homme qui avait défilé une fois, il y a presque quinze ans. « Ça me rappelle des souvenirs comme la satisfaction d’avoir réussi, une fois que c’est fini ».

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« Festif même quand il pleut »

Witold et Marie-Claire, habitants de Haute-Savoie, sont venus pour la première fois avec leur petit Maxime, âgé de quelques mois. Le couple, émerveillé, admire « l’effort de recherche et de créativité des groupes ». « Il y a quelque chose de très festif même quand il pleut », sourit Sophie, 45 ans, qui avait manqué les deux précédentes éditions. La météo ne l’a pourtant pas découragée. « Je pense aux danseurs. Ça fait un an qu’ils travaillent. Alors c’est important d’être là pour eux-mêmes quand il pleut ».

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Pendant ce temps, Guylaine, Véronique, Christine et Amandine, achèvent leur tour de piste. « C’est trop court. On aurait aimé encore faire un tour de stade », lancent-elles à l’unisson. Si la première en était à son troisième défilé, les autres étaient novices. « On aurait bien continué à danser deux heures de plus tellement on a répété ».

« Ça donne la chair de poule »

« Entendre les cris du public, les voir taper des mains et applaudir comme ça, ça donne la chair de poule. Ça nous porte », lance France qui en est à son sixième défilé. Sûrement pas le dernier.