"L'apologie qui nuit à l'Eglise : révisions hagiographiques de l'attitude de Pie XII envers les Juifs" de Menahem Robert Macina ,Michael Robert Marrus ,Martin Rhonheimer chez Cerf (Paris, France)

"L'apologie qui nuit à l'Eglise : révisions hagiographiques de l'attitude de Pie XII envers les Juifs" de Menahem Robert Macina ,Michael Robert Marrus ,Martin Rhonheimer chez Cerf (Paris, France)

en partenariat avec 20minutes.fr

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  • Auteur : Menahem Robert Macina | Michael Robert Marrus | Martin Rhonheimer
  • Genre : Religion, Spiritualité
  • Editeur : Cerf, Paris, France
  • Prix : 25.00 €
  • Date de sortie : 15/05/2012
  • GENCOD : 9782204097444

Résumé

Trois citations illustrent l'esprit de ce livre :
«Dans les communications d'Église durant la domination nazie, jamais les Juifs ne furent explicitement nommés comme tels et leur persécution ne fit jamais l'objet d'une condamnation ecclésiale spécifique» (Martin Rhonheimer).
«S'efforcer d'expliquer, comme l'a fait Pie XII, aux survivants de l'Holocauste, la «grande bienveillance de l'Église», et leur rappeler qu'«au milieu de [leurs] angoisses», ils ont «senti les bienfaits et les délicatesses de l'amour», serait une impardonnable arrogance si ces propos étaient émis aujourd'hui» (Michael R. Marrus).
«L'apologie [...] est grande consommatrice d'à-peu-près dans tous les domaines : ses ravages dans l'ordre de l'histoire et de la charité ne se comptent plus» (Fadiey Lovsky).

Tout en prenant acte des progrès accomplis depuis la déclaration Nostra Aetate, 4 du second concile du Vatican (1965), l'auteur déplore la résurgence d'un discours apologétique visant à justifier à tout prix l'attitude de l'Église envers les Juifs, avant et durant la Seconde Guerre mondiale, et il en réfute les arguments à la lumière de documents incontestables.
Faisant fond sur des déclarations impressionnantes de repentir de hauts dignitaires catholiques et protestants, qu'il cite largement, il invite les chrétiens à s'inscrire dans cette démarche de vérité, plutôt que de nier ce qui fut regrettable dans l'attitude de la chrétienté d'alors, au risque de tomber dans un révisionnisme historique aussi dommageable pour la cause qu'ils veulent défendre que pour l'Église elle-même.

Licencié en pensée juive de l'université hébraïque de Jérusalem, M. Macina a été chercheur et maître de conférences invité dans diverses universités catholiques. Il a consacré des décennies à l'étude des doctrines messianiques et eschatologiques juives et chrétiennes, dont il expose la quintessence au grand public cultivé.


Résumé

Trois citations illustrent l'esprit de ce livre :
«Dans les communications d'Église durant la domination nazie, jamais les Juifs ne furent explicitement nommés comme tels et leur persécution ne fit jamais l'objet d'une condamnation ecclésiale spécifique» (Martin Rhonheimer).
«S'efforcer d'expliquer, comme l'a fait Pie XII, aux survivants de l'Holocauste, la «grande bienveillance de l'Église», et leur rappeler qu'«au milieu de [leurs] angoisses», ils ont «senti les bienfaits et les délicatesses de l'amour», serait une impardonnable arrogance si ces propos étaient émis aujourd'hui» (Michael R. Marrus).
«L'apologie [...] est grande consommatrice d'à-peu-près dans tous les domaines : ses ravages dans l'ordre de l'histoire et de la charité ne se comptent plus» (Fadiey Lovsky).

Tout en prenant acte des progrès accomplis depuis la déclaration Nostra Aetate, 4 du second concile du Vatican (1965), l'auteur déplore la résurgence d'un discours apologétique visant à justifier à tout prix l'attitude de l'Église envers les Juifs, avant et durant la Seconde Guerre mondiale, et il en réfute les arguments à la lumière de documents incontestables.
Faisant fond sur des déclarations impressionnantes de repentir de hauts dignitaires catholiques et protestants, qu'il cite largement, il invite les chrétiens à s'inscrire dans cette démarche de vérité, plutôt que de nier ce qui fut regrettable dans l'attitude de la chrétienté d'alors, au risque de tomber dans un révisionnisme historique aussi dommageable pour la cause qu'ils veulent défendre que pour l'Église elle-même.

Licencié en pensée juive de l'université hébraïque de Jérusalem, M. Macina a été chercheur et maître de conférences invité dans diverses universités catholiques. Il a consacré des décennies à l'étude des doctrines messianiques et eschatologiques juives et chrétiennes, dont il expose la quintessence au grand public cultivé.


Résumé

Trois citations illustrent l'esprit de ce livre :
«Dans les communications d'Église durant la domination nazie, jamais les Juifs ne furent explicitement nommés comme tels et leur persécution ne fit jamais l'objet d'une condamnation ecclésiale spécifique» (Martin Rhonheimer).
«S'efforcer d'expliquer, comme l'a fait Pie XII, aux survivants de l'Holocauste, la «grande bienveillance de l'Église», et leur rappeler qu'«au milieu de [leurs] angoisses», ils ont «senti les bienfaits et les délicatesses de l'amour», serait une impardonnable arrogance si ces propos étaient émis aujourd'hui» (Michael R. Marrus).
«L'apologie [...] est grande consommatrice d'à-peu-près dans tous les domaines : ses ravages dans l'ordre de l'histoire et de la charité ne se comptent plus» (Fadiey Lovsky).

Tout en prenant acte des progrès accomplis depuis la déclaration Nostra Aetate, 4 du second concile du Vatican (1965), l'auteur déplore la résurgence d'un discours apologétique visant à justifier à tout prix l'attitude de l'Église envers les Juifs, avant et durant la Seconde Guerre mondiale, et il en réfute les arguments à la lumière de documents incontestables.
Faisant fond sur des déclarations impressionnantes de repentir de hauts dignitaires catholiques et protestants, qu'il cite largement, il invite les chrétiens à s'inscrire dans cette démarche de vérité, plutôt que de nier ce qui fut regrettable dans l'attitude de la chrétienté d'alors, au risque de tomber dans un révisionnisme historique aussi dommageable pour la cause qu'ils veulent défendre que pour l'Église elle-même.

Licencié en pensée juive de l'université hébraïque de Jérusalem, M. Macina a été chercheur et maître de conférences invité dans diverses universités catholiques. Il a consacré des décennies à l'étude des doctrines messianiques et eschatologiques juives et chrétiennes, dont il expose la quintessence au grand public cultivé.


Résumé

Trois citations illustrent l'esprit de ce livre :
«Dans les communications d'Église durant la domination nazie, jamais les Juifs ne furent explicitement nommés comme tels et leur persécution ne fit jamais l'objet d'une condamnation ecclésiale spécifique» (Martin Rhonheimer).
«S'efforcer d'expliquer, comme l'a fait Pie XII, aux survivants de l'Holocauste, la «grande bienveillance de l'Église», et leur rappeler qu'«au milieu de [leurs] angoisses», ils ont «senti les bienfaits et les délicatesses de l'amour», serait une impardonnable arrogance si ces propos étaient émis aujourd'hui» (Michael R. Marrus).
«L'apologie [...] est grande consommatrice d'à-peu-près dans tous les domaines : ses ravages dans l'ordre de l'histoire et de la charité ne se comptent plus» (Fadiey Lovsky).

Tout en prenant acte des progrès accomplis depuis la déclaration Nostra Aetate, 4 du second concile du Vatican (1965), l'auteur déplore la résurgence d'un discours apologétique visant à justifier à tout prix l'attitude de l'Église envers les Juifs, avant et durant la Seconde Guerre mondiale, et il en réfute les arguments à la lumière de documents incontestables.
Faisant fond sur des déclarations impressionnantes de repentir de hauts dignitaires catholiques et protestants, qu'il cite largement, il invite les chrétiens à s'inscrire dans cette démarche de vérité, plutôt que de nier ce qui fut regrettable dans l'attitude de la chrétienté d'alors, au risque de tomber dans un révisionnisme historique aussi dommageable pour la cause qu'ils veulent défendre que pour l'Église elle-même.

Licencié en pensée juive de l'université hébraïque de Jérusalem, M. Macina a été chercheur et maître de conférences invité dans diverses universités catholiques. Il a consacré des décennies à l'étude des doctrines messianiques et eschatologiques juives et chrétiennes, dont il expose la quintessence au grand public cultivé.


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Trois citations illustrent l'esprit de ce livre :
«Dans les communications d'Église durant la domination nazie, jamais les Juifs ne furent explicitement nommés comme tels et leur persécution ne fit jamais l'objet d'une condamnation ecclésiale spécifique» (Martin Rhonheimer).
«S'efforcer d'expliquer, comme l'a fait Pie XII, aux survivants de l'Holocauste, la «grande bienveillance de l'Église», et leur rappeler qu'«au milieu de [leurs] angoisses», ils ont «senti les bienfaits et les délicatesses de l'amour», serait une impardonnable arrogance si ces propos étaient émis aujourd'hui» (Michael R. Marrus).
«L'apologie [...] est grande consommatrice d'à-peu-près dans tous les domaines : ses ravages dans l'ordre de l'histoire et de la charité ne se comptent plus» (Fadiey Lovsky).

Tout en prenant acte des progrès accomplis depuis la déclaration Nostra Aetate, 4 du second concile du Vatican (1965), l'auteur déplore la résurgence d'un discours apologétique visant à justifier à tout prix l'attitude de l'Église envers les Juifs, avant et durant la Seconde Guerre mondiale, et il en réfute les arguments à la lumière de documents incontestables.
Faisant fond sur des déclarations impressionnantes de repentir de hauts dignitaires catholiques et protestants, qu'il cite largement, il invite les chrétiens à s'inscrire dans cette démarche de vérité, plutôt que de nier ce qui fut regrettable dans l'attitude de la chrétienté d'alors, au risque de tomber dans un révisionnisme historique aussi dommageable pour la cause qu'ils veulent défendre que pour l'Église elle-même.

Licencié en pensée juive de l'université hébraïque de Jérusalem, M. Macina a été chercheur et maître de conférences invité dans diverses universités catholiques. Il a consacré des décennies à l'étude des doctrines messianiques et eschatologiques juives et chrétiennes, dont il expose la quintessence au grand public cultivé.


Résumé

Trois citations illustrent l'esprit de ce livre :
«Dans les communications d'Église durant la domination nazie, jamais les Juifs ne furent explicitement nommés comme tels et leur persécution ne fit jamais l'objet d'une condamnation ecclésiale spécifique» (Martin Rhonheimer).
«S'efforcer d'expliquer, comme l'a fait Pie XII, aux survivants de l'Holocauste, la «grande bienveillance de l'Église», et leur rappeler qu'«au milieu de [leurs] angoisses», ils ont «senti les bienfaits et les délicatesses de l'amour», serait une impardonnable arrogance si ces propos étaient émis aujourd'hui» (Michael R. Marrus).
«L'apologie [...] est grande consommatrice d'à-peu-près dans tous les domaines : ses ravages dans l'ordre de l'histoire et de la charité ne se comptent plus» (Fadiey Lovsky).

Tout en prenant acte des progrès accomplis depuis la déclaration Nostra Aetate, 4 du second concile du Vatican (1965), l'auteur déplore la résurgence d'un discours apologétique visant à justifier à tout prix l'attitude de l'Église envers les Juifs, avant et durant la Seconde Guerre mondiale, et il en réfute les arguments à la lumière de documents incontestables.
Faisant fond sur des déclarations impressionnantes de repentir de hauts dignitaires catholiques et protestants, qu'il cite largement, il invite les chrétiens à s'inscrire dans cette démarche de vérité, plutôt que de nier ce qui fut regrettable dans l'attitude de la chrétienté d'alors, au risque de tomber dans un révisionnisme historique aussi dommageable pour la cause qu'ils veulent défendre que pour l'Église elle-même.

Licencié en pensée juive de l'université hébraïque de Jérusalem, M. Macina a été chercheur et maître de conférences invité dans diverses universités catholiques. Il a consacré des décennies à l'étude des doctrines messianiques et eschatologiques juives et chrétiennes, dont il expose la quintessence au grand public cultivé.


Résumé

Trois citations illustrent l'esprit de ce livre :
«Dans les communications d'Église durant la domination nazie, jamais les Juifs ne furent explicitement nommés comme tels et leur persécution ne fit jamais l'objet d'une condamnation ecclésiale spécifique» (Martin Rhonheimer).
«S'efforcer d'expliquer, comme l'a fait Pie XII, aux survivants de l'Holocauste, la «grande bienveillance de l'Église», et leur rappeler qu'«au milieu de [leurs] angoisses», ils ont «senti les bienfaits et les délicatesses de l'amour», serait une impardonnable arrogance si ces propos étaient émis aujourd'hui» (Michael R. Marrus).
«L'apologie [...] est grande consommatrice d'à-peu-près dans tous les domaines : ses ravages dans l'ordre de l'histoire et de la charité ne se comptent plus» (Fadiey Lovsky).

Tout en prenant acte des progrès accomplis depuis la déclaration Nostra Aetate, 4 du second concile du Vatican (1965), l'auteur déplore la résurgence d'un discours apologétique visant à justifier à tout prix l'attitude de l'Église envers les Juifs, avant et durant la Seconde Guerre mondiale, et il en réfute les arguments à la lumière de documents incontestables.
Faisant fond sur des déclarations impressionnantes de repentir de hauts dignitaires catholiques et protestants, qu'il cite largement, il invite les chrétiens à s'inscrire dans cette démarche de vérité, plutôt que de nier ce qui fut regrettable dans l'attitude de la chrétienté d'alors, au risque de tomber dans un révisionnisme historique aussi dommageable pour la cause qu'ils veulent défendre que pour l'Église elle-même.

Licencié en pensée juive de l'université hébraïque de Jérusalem, M. Macina a été chercheur et maître de conférences invité dans diverses universités catholiques. Il a consacré des décennies à l'étude des doctrines messianiques et eschatologiques juives et chrétiennes, dont il expose la quintessence au grand public cultivé.


Résumé

Trois citations illustrent l'esprit de ce livre :
«Dans les communications d'Église durant la domination nazie, jamais les Juifs ne furent explicitement nommés comme tels et leur persécution ne fit jamais l'objet d'une condamnation ecclésiale spécifique» (Martin Rhonheimer).
«S'efforcer d'expliquer, comme l'a fait Pie XII, aux survivants de l'Holocauste, la «grande bienveillance de l'Église», et leur rappeler qu'«au milieu de [leurs] angoisses», ils ont «senti les bienfaits et les délicatesses de l'amour», serait une impardonnable arrogance si ces propos étaient émis aujourd'hui» (Michael R. Marrus).
«L'apologie [...] est grande consommatrice d'à-peu-près dans tous les domaines : ses ravages dans l'ordre de l'histoire et de la charité ne se comptent plus» (Fadiey Lovsky).

Tout en prenant acte des progrès accomplis depuis la déclaration Nostra Aetate, 4 du second concile du Vatican (1965), l'auteur déplore la résurgence d'un discours apologétique visant à justifier à tout prix l'attitude de l'Église envers les Juifs, avant et durant la Seconde Guerre mondiale, et il en réfute les arguments à la lumière de documents incontestables.
Faisant fond sur des déclarations impressionnantes de repentir de hauts dignitaires catholiques et protestants, qu'il cite largement, il invite les chrétiens à s'inscrire dans cette démarche de vérité, plutôt que de nier ce qui fut regrettable dans l'attitude de la chrétienté d'alors, au risque de tomber dans un révisionnisme historique aussi dommageable pour la cause qu'ils veulent défendre que pour l'Église elle-même.

Licencié en pensée juive de l'université hébraïque de Jérusalem, M. Macina a été chercheur et maître de conférences invité dans diverses universités catholiques. Il a consacré des décennies à l'étude des doctrines messianiques et eschatologiques juives et chrétiennes, dont il expose la quintessence au grand public cultivé.


Résumé

Trois citations illustrent l'esprit de ce livre :
«Dans les communications d'Église durant la domination nazie, jamais les Juifs ne furent explicitement nommés comme tels et leur persécution ne fit jamais l'objet d'une condamnation ecclésiale spécifique» (Martin Rhonheimer).
«S'efforcer d'expliquer, comme l'a fait Pie XII, aux survivants de l'Holocauste, la «grande bienveillance de l'Église», et leur rappeler qu'«au milieu de [leurs] angoisses», ils ont «senti les bienfaits et les délicatesses de l'amour», serait une impardonnable arrogance si ces propos étaient émis aujourd'hui» (Michael R. Marrus).
«L'apologie [...] est grande consommatrice d'à-peu-près dans tous les domaines : ses ravages dans l'ordre de l'histoire et de la charité ne se comptent plus» (Fadiey Lovsky).

Tout en prenant acte des progrès accomplis depuis la déclaration Nostra Aetate, 4 du second concile du Vatican (1965), l'auteur déplore la résurgence d'un discours apologétique visant à justifier à tout prix l'attitude de l'Église envers les Juifs, avant et durant la Seconde Guerre mondiale, et il en réfute les arguments à la lumière de documents incontestables.
Faisant fond sur des déclarations impressionnantes de repentir de hauts dignitaires catholiques et protestants, qu'il cite largement, il invite les chrétiens à s'inscrire dans cette démarche de vérité, plutôt que de nier ce qui fut regrettable dans l'attitude de la chrétienté d'alors, au risque de tomber dans un révisionnisme historique aussi dommageable pour la cause qu'ils veulent défendre que pour l'Église elle-même.

Licencié en pensée juive de l'université hébraïque de Jérusalem, M. Macina a été chercheur et maître de conférences invité dans diverses universités catholiques. Il a consacré des décennies à l'étude des doctrines messianiques et eschatologiques juives et chrétiennes, dont il expose la quintessence au grand public cultivé.


Résumé

Trois citations illustrent l'esprit de ce livre :
«Dans les communications d'Église durant la domination nazie, jamais les Juifs ne furent explicitement nommés comme tels et leur persécution ne fit jamais l'objet d'une condamnation ecclésiale spécifique» (Martin Rhonheimer).
«S'efforcer d'expliquer, comme l'a fait Pie XII, aux survivants de l'Holocauste, la «grande bienveillance de l'Église», et leur rappeler qu'«au milieu de [leurs] angoisses», ils ont «senti les bienfaits et les délicatesses de l'amour», serait une impardonnable arrogance si ces propos étaient émis aujourd'hui» (Michael R. Marrus).
«L'apologie [...] est grande consommatrice d'à-peu-près dans tous les domaines : ses ravages dans l'ordre de l'histoire et de la charité ne se comptent plus» (Fadiey Lovsky).

Tout en prenant acte des progrès accomplis depuis la déclaration Nostra Aetate, 4 du second concile du Vatican (1965), l'auteur déplore la résurgence d'un discours apologétique visant à justifier à tout prix l'attitude de l'Église envers les Juifs, avant et durant la Seconde Guerre mondiale, et il en réfute les arguments à la lumière de documents incontestables.
Faisant fond sur des déclarations impressionnantes de repentir de hauts dignitaires catholiques et protestants, qu'il cite largement, il invite les chrétiens à s'inscrire dans cette démarche de vérité, plutôt que de nier ce qui fut regrettable dans l'attitude de la chrétienté d'alors, au risque de tomber dans un révisionnisme historique aussi dommageable pour la cause qu'ils veulent défendre que pour l'Église elle-même.

Licencié en pensée juive de l'université hébraïque de Jérusalem, M. Macina a été chercheur et maître de conférences invité dans diverses universités catholiques. Il a consacré des décennies à l'étude des doctrines messianiques et eschatologiques juives et chrétiennes, dont il expose la quintessence au grand public cultivé.


Résumé

Trois citations illustrent l'esprit de ce livre :
«Dans les communications d'Église durant la domination nazie, jamais les Juifs ne furent explicitement nommés comme tels et leur persécution ne fit jamais l'objet d'une condamnation ecclésiale spécifique» (Martin Rhonheimer).
«S'efforcer d'expliquer, comme l'a fait Pie XII, aux survivants de l'Holocauste, la «grande bienveillance de l'Église», et leur rappeler qu'«au milieu de [leurs] angoisses», ils ont «senti les bienfaits et les délicatesses de l'amour», serait une impardonnable arrogance si ces propos étaient émis aujourd'hui» (Michael R. Marrus).
«L'apologie [...] est grande consommatrice d'à-peu-près dans tous les domaines : ses ravages dans l'ordre de l'histoire et de la charité ne se comptent plus» (Fadiey Lovsky).

Tout en prenant acte des progrès accomplis depuis la déclaration Nostra Aetate, 4 du second concile du Vatican (1965), l'auteur déplore la résurgence d'un discours apologétique visant à justifier à tout prix l'attitude de l'Église envers les Juifs, avant et durant la Seconde Guerre mondiale, et il en réfute les arguments à la lumière de documents incontestables.
Faisant fond sur des déclarations impressionnantes de repentir de hauts dignitaires catholiques et protestants, qu'il cite largement, il invite les chrétiens à s'inscrire dans cette démarche de vérité, plutôt que de nier ce qui fut regrettable dans l'attitude de la chrétienté d'alors, au risque de tomber dans un révisionnisme historique aussi dommageable pour la cause qu'ils veulent défendre que pour l'Église elle-même.

Licencié en pensée juive de l'université hébraïque de Jérusalem, M. Macina a été chercheur et maître de conférences invité dans diverses universités catholiques. Il a consacré des décennies à l'étude des doctrines messianiques et eschatologiques juives et chrétiennes, dont il expose la quintessence au grand public cultivé.

La revue de presse : Marc Riglet - Lire, juillet 2012

Spécialiste des relations judéo-chrétiennes, l'auteur revoit la position de l'Eglise vis-à-vis des Juifs. Quelle fut l'attitude de l'Eglise romaine, des années 1930 jusqu'à la fin de la Seconde Guerre mondiale, envers les Juifs persécutés ? Quelles positions de principe adopta-t-elle par rapport au fascisme en général et au national-socialisme en particulier et quelle politique fut conduite, par le Vatican, avec l'Allemagne nazie ? L'antijudaïsme chrétien s'accommoda-t-il de l'antisémitisme racialiste moderne ou bien y a-t-il eu entre l'un et l'autre solution de continuité ? Quel jugement, enfin, convient-il de porter sur la personnalité et les actions de Pie XII qui, de la nonciature à Berlin dans les années 1930 au trône de saint Pierre pendant la guerre, joua le tout premier rôle et commanda l'essentiel des réponses à ces questions ?


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