"Désintoxiquez-vous" de Clémence Thévenot ,Véronique Vasseur chez Flammarion (Paris, France)
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en partenariat avec 20minutes.fr
- Auteur : Clémence Thévenot | Véronique Vasseur
- Genre : Documents Essais d'actualité
- Editeur : Flammarion, Paris, France
- Prix : 19.00 €
- Date de sortie : 20/01/2016
- GENCOD : 9782081353619
Courrier des auteurs le 01/02/2016
1) Qui êtes-vous ? !
Clémence Thévenot, 36 ans, journaliste indépendante.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
L'impact permanent des toxiques (pesticides, additifs alimentaires, particules fines...) sur nos organismes et les moyens de le limiter au maximum au quotidien.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase teintée d'espérance : «Une autre vision du monde est possible, à condition d'entamer sa propre écologie de consommation !»
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Celle du vent dans les arbres (dans un verger de pommes bio)
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Cette enquête journalistique m'a fait prendre conscience de l'ampleur du problème : les molécules chimiques toxiques sont de plus en plus nombreuses et affectent nos corps au quotidien, tel un poison administré, goutte après goutte. Invisible mais corrosif. J'aimerai que les lecteurs regardent la réalité en face et adoptent enfin de nouveaux réflexes qui pourraient inverser la tendance.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Non. Écrire est mon travail. Je suis une heureuse fonctionnaire de l'info.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Du réel.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescente «un jour j'écrirai des livres» ?
J'ai toujours aimé écrire, pour comprendre, pour préciser la pensée, pour mettre des mots. Je continue.
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lectrice) ?
La première fois que j'ai pleuré en lisant un livre je devais avoir 10 ans et c'était avec mon Bel oranger de Vasconcelos. D'autres livres m'ont profondément marquée comme l'étranger de Camus, le Père Goriot de Balzac ou encore le procès de Kafka.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
A vivre ! A nous faire réfléchir, à mieux nous comprendre, à romancer nos vies, à combattre la morosité, à être moins lâches !
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Je dirai plutôt quelle place tiennent les libraires. Ce sont eux qui donnent l'envie, qui orientent, qui attisent notre gourmandise pour tel ou tel livre. Alors quand on en a trouvé un, il faut le garder précieusement parce qu'ils se font rares.
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Courrier des auteurs le 01/02/2016
1) Qui êtes-vous ? !
Clémence Thévenot, 36 ans, journaliste indépendante.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
L'impact permanent des toxiques (pesticides, additifs alimentaires, particules fines...) sur nos organismes et les moyens de le limiter au maximum au quotidien.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase teintée d'espérance : «Une autre vision du monde est possible, à condition d'entamer sa propre écologie de consommation !»
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Celle du vent dans les arbres (dans un verger de pommes bio)
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Cette enquête journalistique m'a fait prendre conscience de l'ampleur du problème : les molécules chimiques toxiques sont de plus en plus nombreuses et affectent nos corps au quotidien, tel un poison administré, goutte après goutte. Invisible mais corrosif. J'aimerai que les lecteurs regardent la réalité en face et adoptent enfin de nouveaux réflexes qui pourraient inverser la tendance.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Non. Écrire est mon travail. Je suis une heureuse fonctionnaire de l'info.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Du réel.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescente «un jour j'écrirai des livres» ?
J'ai toujours aimé écrire, pour comprendre, pour préciser la pensée, pour mettre des mots. Je continue.
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lectrice) ?
La première fois que j'ai pleuré en lisant un livre je devais avoir 10 ans et c'était avec mon Bel oranger de Vasconcelos. D'autres livres m'ont profondément marquée comme l'étranger de Camus, le Père Goriot de Balzac ou encore le procès de Kafka.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
A vivre ! A nous faire réfléchir, à mieux nous comprendre, à romancer nos vies, à combattre la morosité, à être moins lâches !
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Je dirai plutôt quelle place tiennent les libraires. Ce sont eux qui donnent l'envie, qui orientent, qui attisent notre gourmandise pour tel ou tel livre. Alors quand on en a trouvé un, il faut le garder précieusement parce qu'ils se font rares.
Courrier des auteurs le 01/02/2016
1) Qui êtes-vous ? !
Clémence Thévenot, 36 ans, journaliste indépendante.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
L'impact permanent des toxiques (pesticides, additifs alimentaires, particules fines...) sur nos organismes et les moyens de le limiter au maximum au quotidien.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase teintée d'espérance : «Une autre vision du monde est possible, à condition d'entamer sa propre écologie de consommation !»
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Celle du vent dans les arbres (dans un verger de pommes bio)
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Cette enquête journalistique m'a fait prendre conscience de l'ampleur du problème : les molécules chimiques toxiques sont de plus en plus nombreuses et affectent nos corps au quotidien, tel un poison administré, goutte après goutte. Invisible mais corrosif. J'aimerai que les lecteurs regardent la réalité en face et adoptent enfin de nouveaux réflexes qui pourraient inverser la tendance.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Non. Écrire est mon travail. Je suis une heureuse fonctionnaire de l'info.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Du réel.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescente «un jour j'écrirai des livres» ?
J'ai toujours aimé écrire, pour comprendre, pour préciser la pensée, pour mettre des mots. Je continue.
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lectrice) ?
La première fois que j'ai pleuré en lisant un livre je devais avoir 10 ans et c'était avec mon Bel oranger de Vasconcelos. D'autres livres m'ont profondément marquée comme l'étranger de Camus, le Père Goriot de Balzac ou encore le procès de Kafka.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
A vivre ! A nous faire réfléchir, à mieux nous comprendre, à romancer nos vies, à combattre la morosité, à être moins lâches !
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Je dirai plutôt quelle place tiennent les libraires. Ce sont eux qui donnent l'envie, qui orientent, qui attisent notre gourmandise pour tel ou tel livre. Alors quand on en a trouvé un, il faut le garder précieusement parce qu'ils se font rares.
Courrier des auteurs le 01/02/2016
1) Qui êtes-vous ? !
Clémence Thévenot, 36 ans, journaliste indépendante.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
L'impact permanent des toxiques (pesticides, additifs alimentaires, particules fines...) sur nos organismes et les moyens de le limiter au maximum au quotidien.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase teintée d'espérance : «Une autre vision du monde est possible, à condition d'entamer sa propre écologie de consommation !»
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Celle du vent dans les arbres (dans un verger de pommes bio)
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Cette enquête journalistique m'a fait prendre conscience de l'ampleur du problème : les molécules chimiques toxiques sont de plus en plus nombreuses et affectent nos corps au quotidien, tel un poison administré, goutte après goutte. Invisible mais corrosif. J'aimerai que les lecteurs regardent la réalité en face et adoptent enfin de nouveaux réflexes qui pourraient inverser la tendance.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Non. Écrire est mon travail. Je suis une heureuse fonctionnaire de l'info.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Du réel.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescente «un jour j'écrirai des livres» ?
J'ai toujours aimé écrire, pour comprendre, pour préciser la pensée, pour mettre des mots. Je continue.
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lectrice) ?
La première fois que j'ai pleuré en lisant un livre je devais avoir 10 ans et c'était avec mon Bel oranger de Vasconcelos. D'autres livres m'ont profondément marquée comme l'étranger de Camus, le Père Goriot de Balzac ou encore le procès de Kafka.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
A vivre ! A nous faire réfléchir, à mieux nous comprendre, à romancer nos vies, à combattre la morosité, à être moins lâches !
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Je dirai plutôt quelle place tiennent les libraires. Ce sont eux qui donnent l'envie, qui orientent, qui attisent notre gourmandise pour tel ou tel livre. Alors quand on en a trouvé un, il faut le garder précieusement parce qu'ils se font rares.
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1) Qui êtes-vous ? !
Clémence Thévenot, 36 ans, journaliste indépendante.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
L'impact permanent des toxiques (pesticides, additifs alimentaires, particules fines...) sur nos organismes et les moyens de le limiter au maximum au quotidien.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase teintée d'espérance : «Une autre vision du monde est possible, à condition d'entamer sa propre écologie de consommation !»
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Celle du vent dans les arbres (dans un verger de pommes bio)
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Cette enquête journalistique m'a fait prendre conscience de l'ampleur du problème : les molécules chimiques toxiques sont de plus en plus nombreuses et affectent nos corps au quotidien, tel un poison administré, goutte après goutte. Invisible mais corrosif. J'aimerai que les lecteurs regardent la réalité en face et adoptent enfin de nouveaux réflexes qui pourraient inverser la tendance.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Non. Écrire est mon travail. Je suis une heureuse fonctionnaire de l'info.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Du réel.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescente «un jour j'écrirai des livres» ?
J'ai toujours aimé écrire, pour comprendre, pour préciser la pensée, pour mettre des mots. Je continue.
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lectrice) ?
La première fois que j'ai pleuré en lisant un livre je devais avoir 10 ans et c'était avec mon Bel oranger de Vasconcelos. D'autres livres m'ont profondément marquée comme l'étranger de Camus, le Père Goriot de Balzac ou encore le procès de Kafka.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
A vivre ! A nous faire réfléchir, à mieux nous comprendre, à romancer nos vies, à combattre la morosité, à être moins lâches !
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Je dirai plutôt quelle place tiennent les libraires. Ce sont eux qui donnent l'envie, qui orientent, qui attisent notre gourmandise pour tel ou tel livre. Alors quand on en a trouvé un, il faut le garder précieusement parce qu'ils se font rares.
Courrier des auteurs le 01/02/2016
1) Qui êtes-vous ? !
Clémence Thévenot, 36 ans, journaliste indépendante.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
L'impact permanent des toxiques (pesticides, additifs alimentaires, particules fines...) sur nos organismes et les moyens de le limiter au maximum au quotidien.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase teintée d'espérance : «Une autre vision du monde est possible, à condition d'entamer sa propre écologie de consommation !»
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Celle du vent dans les arbres (dans un verger de pommes bio)
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Cette enquête journalistique m'a fait prendre conscience de l'ampleur du problème : les molécules chimiques toxiques sont de plus en plus nombreuses et affectent nos corps au quotidien, tel un poison administré, goutte après goutte. Invisible mais corrosif. J'aimerai que les lecteurs regardent la réalité en face et adoptent enfin de nouveaux réflexes qui pourraient inverser la tendance.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Non. Écrire est mon travail. Je suis une heureuse fonctionnaire de l'info.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Du réel.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescente «un jour j'écrirai des livres» ?
J'ai toujours aimé écrire, pour comprendre, pour préciser la pensée, pour mettre des mots. Je continue.
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lectrice) ?
La première fois que j'ai pleuré en lisant un livre je devais avoir 10 ans et c'était avec mon Bel oranger de Vasconcelos. D'autres livres m'ont profondément marquée comme l'étranger de Camus, le Père Goriot de Balzac ou encore le procès de Kafka.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
A vivre ! A nous faire réfléchir, à mieux nous comprendre, à romancer nos vies, à combattre la morosité, à être moins lâches !
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Je dirai plutôt quelle place tiennent les libraires. Ce sont eux qui donnent l'envie, qui orientent, qui attisent notre gourmandise pour tel ou tel livre. Alors quand on en a trouvé un, il faut le garder précieusement parce qu'ils se font rares.
Courrier des auteurs le 01/02/2016
1) Qui êtes-vous ? !
Clémence Thévenot, 36 ans, journaliste indépendante.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
L'impact permanent des toxiques (pesticides, additifs alimentaires, particules fines...) sur nos organismes et les moyens de le limiter au maximum au quotidien.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase teintée d'espérance : «Une autre vision du monde est possible, à condition d'entamer sa propre écologie de consommation !»
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Celle du vent dans les arbres (dans un verger de pommes bio)
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Cette enquête journalistique m'a fait prendre conscience de l'ampleur du problème : les molécules chimiques toxiques sont de plus en plus nombreuses et affectent nos corps au quotidien, tel un poison administré, goutte après goutte. Invisible mais corrosif. J'aimerai que les lecteurs regardent la réalité en face et adoptent enfin de nouveaux réflexes qui pourraient inverser la tendance.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Non. Écrire est mon travail. Je suis une heureuse fonctionnaire de l'info.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Du réel.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescente «un jour j'écrirai des livres» ?
J'ai toujours aimé écrire, pour comprendre, pour préciser la pensée, pour mettre des mots. Je continue.
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lectrice) ?
La première fois que j'ai pleuré en lisant un livre je devais avoir 10 ans et c'était avec mon Bel oranger de Vasconcelos. D'autres livres m'ont profondément marquée comme l'étranger de Camus, le Père Goriot de Balzac ou encore le procès de Kafka.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
A vivre ! A nous faire réfléchir, à mieux nous comprendre, à romancer nos vies, à combattre la morosité, à être moins lâches !
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Je dirai plutôt quelle place tiennent les libraires. Ce sont eux qui donnent l'envie, qui orientent, qui attisent notre gourmandise pour tel ou tel livre. Alors quand on en a trouvé un, il faut le garder précieusement parce qu'ils se font rares.
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Courrier des auteurs le 01/02/2016
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Clémence Thévenot, 36 ans, journaliste indépendante.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
L'impact permanent des toxiques (pesticides, additifs alimentaires, particules fines...) sur nos organismes et les moyens de le limiter au maximum au quotidien.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase teintée d'espérance : «Une autre vision du monde est possible, à condition d'entamer sa propre écologie de consommation !»
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Celle du vent dans les arbres (dans un verger de pommes bio)
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Cette enquête journalistique m'a fait prendre conscience de l'ampleur du problème : les molécules chimiques toxiques sont de plus en plus nombreuses et affectent nos corps au quotidien, tel un poison administré, goutte après goutte. Invisible mais corrosif. J'aimerai que les lecteurs regardent la réalité en face et adoptent enfin de nouveaux réflexes qui pourraient inverser la tendance.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Non. Écrire est mon travail. Je suis une heureuse fonctionnaire de l'info.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Du réel.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescente «un jour j'écrirai des livres» ?
J'ai toujours aimé écrire, pour comprendre, pour préciser la pensée, pour mettre des mots. Je continue.
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lectrice) ?
La première fois que j'ai pleuré en lisant un livre je devais avoir 10 ans et c'était avec mon Bel oranger de Vasconcelos. D'autres livres m'ont profondément marquée comme l'étranger de Camus, le Père Goriot de Balzac ou encore le procès de Kafka.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
A vivre ! A nous faire réfléchir, à mieux nous comprendre, à romancer nos vies, à combattre la morosité, à être moins lâches !
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Je dirai plutôt quelle place tiennent les libraires. Ce sont eux qui donnent l'envie, qui orientent, qui attisent notre gourmandise pour tel ou tel livre. Alors quand on en a trouvé un, il faut le garder précieusement parce qu'ils se font rares.
Courrier des auteurs le 01/02/2016
1) Qui êtes-vous ? !
Clémence Thévenot, 36 ans, journaliste indépendante.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
L'impact permanent des toxiques (pesticides, additifs alimentaires, particules fines...) sur nos organismes et les moyens de le limiter au maximum au quotidien.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase teintée d'espérance : «Une autre vision du monde est possible, à condition d'entamer sa propre écologie de consommation !»
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Celle du vent dans les arbres (dans un verger de pommes bio)
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Cette enquête journalistique m'a fait prendre conscience de l'ampleur du problème : les molécules chimiques toxiques sont de plus en plus nombreuses et affectent nos corps au quotidien, tel un poison administré, goutte après goutte. Invisible mais corrosif. J'aimerai que les lecteurs regardent la réalité en face et adoptent enfin de nouveaux réflexes qui pourraient inverser la tendance.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Non. Écrire est mon travail. Je suis une heureuse fonctionnaire de l'info.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Du réel.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescente «un jour j'écrirai des livres» ?
J'ai toujours aimé écrire, pour comprendre, pour préciser la pensée, pour mettre des mots. Je continue.
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lectrice) ?
La première fois que j'ai pleuré en lisant un livre je devais avoir 10 ans et c'était avec mon Bel oranger de Vasconcelos. D'autres livres m'ont profondément marquée comme l'étranger de Camus, le Père Goriot de Balzac ou encore le procès de Kafka.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
A vivre ! A nous faire réfléchir, à mieux nous comprendre, à romancer nos vies, à combattre la morosité, à être moins lâches !
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Je dirai plutôt quelle place tiennent les libraires. Ce sont eux qui donnent l'envie, qui orientent, qui attisent notre gourmandise pour tel ou tel livre. Alors quand on en a trouvé un, il faut le garder précieusement parce qu'ils se font rares.
Courrier des auteurs le 01/02/2016
1) Qui êtes-vous ? !
Clémence Thévenot, 36 ans, journaliste indépendante.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
L'impact permanent des toxiques (pesticides, additifs alimentaires, particules fines...) sur nos organismes et les moyens de le limiter au maximum au quotidien.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase teintée d'espérance : «Une autre vision du monde est possible, à condition d'entamer sa propre écologie de consommation !»
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Celle du vent dans les arbres (dans un verger de pommes bio)
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Cette enquête journalistique m'a fait prendre conscience de l'ampleur du problème : les molécules chimiques toxiques sont de plus en plus nombreuses et affectent nos corps au quotidien, tel un poison administré, goutte après goutte. Invisible mais corrosif. J'aimerai que les lecteurs regardent la réalité en face et adoptent enfin de nouveaux réflexes qui pourraient inverser la tendance.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Non. Écrire est mon travail. Je suis une heureuse fonctionnaire de l'info.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Du réel.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescente «un jour j'écrirai des livres» ?
J'ai toujours aimé écrire, pour comprendre, pour préciser la pensée, pour mettre des mots. Je continue.
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lectrice) ?
La première fois que j'ai pleuré en lisant un livre je devais avoir 10 ans et c'était avec mon Bel oranger de Vasconcelos. D'autres livres m'ont profondément marquée comme l'étranger de Camus, le Père Goriot de Balzac ou encore le procès de Kafka.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
A vivre ! A nous faire réfléchir, à mieux nous comprendre, à romancer nos vies, à combattre la morosité, à être moins lâches !
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Je dirai plutôt quelle place tiennent les libraires. Ce sont eux qui donnent l'envie, qui orientent, qui attisent notre gourmandise pour tel ou tel livre. Alors quand on en a trouvé un, il faut le garder précieusement parce qu'ils se font rares.
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Courrier des auteur
1) Qui êtes-vous ? !
Clémence Thévenot, 36 ans, journaliste indépendante.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
L'impact permanent des toxiques (pesticides, additifs alimentaires, particules fines...) sur nos organismes et les moyens de le limiter au maximum au quotidien.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase teintée d'espérance : «Une autre vision du monde est possible, à condition d'entamer sa propre écologie de consommation !»
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Celle du vent dans les arbres (dans un verger de pommes bio)
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Cette enquête journalistique m'a fait prendre conscience de l'ampleur du problème : les molécules chimiques toxiques sont de plus en plus nombreuses et affectent nos corps au quotidien, tel un poison administré, goutte après goutte. Invisible mais corrosif. J'aimerai que les lecteurs regardent la réalité en face et adoptent enfin de nouveaux réflexes qui pourraient inverser la tendance.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Non. Écrire est mon travail. Je suis une heureuse fonctionnaire de l'info.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Du réel.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescente «un jour j'écrirai des livres» ?
J'ai toujours aimé écrire, pour comprendre, pour préciser la pensée, pour mettre des mots. Je continue.
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lectrice) ?
La première fois que j'ai pleuré en lisant un livre je devais avoir 10 ans et c'était avec mon Bel oranger de Vasconcelos. D'autres livres m'ont profondément marquée comme l'étranger de Camus, le Père Goriot de Balzac ou encore le procès de Kafka.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
A vivre ! A nous faire réfléchir, à mieux nous comprendre, à romancer nos vies, à combattre la morosité, à être moins lâches !
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
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Courrier des auteurs le 01/02/2016
1) Qui êtes-vous ? !
Clémence Thévenot, 36 ans, journaliste indépendante.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
L'impact permanent des toxiques (pesticides, additifs alimentaires, particules fines...) sur nos organismes et les moyens de le limiter au maximum au quotidien.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase teintée d'espérance : «Une autre vision du monde est possible, à condition d'entamer sa propre écologie de consommation !»
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
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5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Cette enquête journalistique m'a fait prendre conscience de l'ampleur du problème : les molécules chimiques toxiques sont de plus en plus nombreuses et affectent nos corps au quotidien, tel un poison administré, goutte après goutte. Invisible mais corrosif. J'aimerai que les lecteurs regardent la réalité en face et adoptent enfin de nouveaux réflexes qui pourraient inverser la tendance.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Non. Écrire est mon travail. Je suis une heureuse fonctionnaire de l'info.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Du réel.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescente «un jour j'écrirai des livres» ?
J'ai toujours aimé écrire, pour comprendre, pour préciser la pensée, pour mettre des mots. Je continue.
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lectrice) ?
La première fois que j'ai pleuré en lisant un livre je devais avoir 10 ans et c'était avec mon Bel oranger de Vasconcelos. D'autres livres m'ont profondément marquée comme l'étranger de Camus, le Père Goriot de Balzac ou encore le procès de Kafka.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
A vivre ! A nous faire réfléchir, à mieux nous comprendre, à romancer nos vies, à combattre la morosité, à être moins lâches !
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Je dirai plutôt quelle place tiennent les libraires. Ce sont eux qui donnent l'envie, qui orientent, qui attisent notre gourmandise pour tel ou tel livre. Alors quand on en a trouvé un, il faut le garder précieusement parce qu'ils se font rares.
Courrier des auteurs le 01/02/2016
1) Qui êtes-vous ? !
Clémence Thévenot, 36 ans, journaliste indépendante.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
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3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase teintée d'espérance : «Une autre vision du monde est possible, à condition d'entamer sa propre écologie de consommation !»
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
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Cette enquête journalistique m'a fait prendre conscience de l'ampleur du problème : les molécules chimiques toxiques sont de plus en plus nombreuses et affectent nos corps au quotidien, tel un poison administré, goutte après goutte. Invisible mais corrosif. J'aimerai que les lecteurs regardent la réalité en face et adoptent enfin de nouveaux réflexes qui pourraient inverser la tendance.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Non. Écrire est mon travail. Je suis une heureuse fonctionnaire de l'info.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Du réel.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescente «un jour j'écrirai des livres» ?
J'ai toujours aimé écrire, pour comprendre, pour préciser la pensée, pour mettre des mots. Je continue.
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lectrice) ?
La première fois que j'ai pleuré en lisant un livre je devais avoir 10 ans et c'était avec mon Bel oranger de Vasconcelos. D'autres livres m'ont profondément marquée comme l'étranger de Camus, le Père Goriot de Balzac ou encore le procès de Kafka.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
A vivre ! A nous faire réfléchir, à mieux nous comprendre, à romancer nos vies, à combattre la morosité, à être moins lâches !
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Je dirai plutôt quelle place tiennent les libraires. Ce sont eux qui donnent l'envie, qui orientent, qui attisent notre gourmandise pour tel ou tel livre. Alors quand on en a trouvé un, il faut le garder précieusement parce qu'ils se font rares.
<div>
Courrier des auteurs le 01/02
1) Qui êtes-vous ? !
Clémence Thévenot, 36 ans, journaliste indépendante.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
L'impact permanent des toxiques (pesticides, additifs alimentaires, particules fines...) sur nos organismes et les moyens de le limiter au maximum au quotidien.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase teintée d'espérance : «Une autre vision du monde est possible, à condition d'entamer sa propre écologie de consommation !»
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Celle du vent dans les arbres (dans un verger de pommes bio)
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Cette enquête journalistique m'a fait prendre conscience de l'ampleur du problème : les molécules chimiques toxiques sont de plus en plus nombreuses et affectent nos corps au quotidien, tel un poison administré, goutte après goutte. Invisible mais corrosif. J'aimerai que les lecteurs regardent la réalité en face et adoptent enfin de nouveaux réflexes qui pourraient inverser la tendance.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Non. Écrire est mon travail. Je suis une heureuse fonctionnaire de l'info.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Du réel.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescente «un jour j'écrirai des livres» ?
J'ai toujours aimé écrire, pour comprendre, pour préciser la pensée, pour mettre des mots. Je continue.
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lectrice) ?
La première fois que j'ai pleuré en lisant un livre je devais avoir 10 ans et c'était avec mon Bel oranger de Vasconcelos. D'autres livres m'ont profondément marquée comme l'étranger de Camus, le Père Goriot de Balzac ou encore le procès de Kafka.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
A vivre ! A nous faire réfléchir, à mieux nous comprendre, à romancer nos vies, à combattre la morosité, à être moins lâches !
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Je dirai plutôt quelle place tiennent les libraires. Ce sont eux qui donnent l'envie, qui orientent, qui attisent notre gourmandise pour tel ou tel livre. Alors quand on en a trouvé un, il faut le garder précieusement parce qu'ils se font rares.
Courrier des auteurs le 01/02/2016
1) Qui êtes-vous ? !
Clémence Thévenot, 36 ans, journaliste indépendante.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
L'impact permanent des toxiques (pesticides, additifs alimentaires, particules fines...) sur nos organismes et les moyens de le limiter au maximum au quotidien.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase teintée d'espérance : «Une autre vision du monde est possible, à condition d'entamer sa propre écologie de consommation !»
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Celle du vent dans les arbres (dans un verger de pommes bio)
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Cette enquête journalistique m'a fait prendre conscience de l'ampleur du problème : les molécules chimiques toxiques sont de plus en plus nombreuses et affectent nos corps au quotidien, tel un poison administré, goutte après goutte. Invisible mais corrosif. J'aimerai que les lecteurs regardent la réalité en face et adoptent enfin de nouveaux réflexes qui pourraient inverser la tendance.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Non. Écrire est mon travail. Je suis une heureuse fonctionnaire de l'info.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Du réel.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescente «un jour j'écrirai des livres» ?
J'ai toujours aimé écrire, pour comprendre, pour préciser la pensée, pour mettre des mots. Je continue.
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lectrice) ?
La première fois que j'ai pleuré en lisant un livre je devais avoir 10 ans et c'était avec mon Bel oranger de Vasconcelos. D'autres livres m'ont profondément marquée comme l'étranger de Camus, le Père Goriot de Balzac ou encore le procès de Kafka.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
A vivre ! A nous faire réfléchir, à mieux nous comprendre, à romancer nos vies, à combattre la morosité, à être moins lâches !
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Je dirai plutôt quelle place tiennent les libraires. Ce sont eux qui donnent l'envie, qui orientent, qui attisent notre gourmandise pour tel ou tel livre. Alors quand on en a trouvé un, il faut le garder précieusement parce qu'ils se font rares.
Courrier des auteurs le 01/02/2016
1) Qui êtes-vous ? !
Clémence Thévenot, 36 ans, journaliste indépendante.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
L'impact permanent des toxiques (pesticides, additifs alimentaires, particules fines...) sur nos organismes et les moyens de le limiter au maximum au quotidien.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase teintée d'espérance : «Une autre vision du monde est possible, à condition d'entamer sa propre écologie de consommation !»
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Celle du vent dans les arbres (dans un verger de pommes bio)
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Cette enquête journalistique m'a fait prendre conscience de l'ampleur du problème : les molécules chimiques toxiques sont de plus en plus nombreuses et affectent nos corps au quotidien, tel un poison administré, goutte après goutte. Invisible mais corrosif. J'aimerai que les lecteurs regardent la réalité en face et adoptent enfin de nouveaux réflexes qui pourraient inverser la tendance.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Non. Écrire est mon travail. Je suis une heureuse fonctionnaire de l'info.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Du réel.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescente «un jour j'écrirai des livres» ?
J'ai toujours aimé écrire, pour comprendre, pour préciser la pensée, pour mettre des mots. Je continue.
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lectrice) ?
La première fois que j'ai pleuré en lisant un livre je devais avoir 10 ans et c'était avec mon Bel oranger de Vasconcelos. D'autres livres m'ont profondément marquée comme l'étranger de Camus, le Père Goriot de Balzac ou encore le procès de Kafka.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
A vivre ! A nous faire réfléchir, à mieux nous comprendre, à romancer nos vies, à combattre la morosité, à être moins lâches !
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Je dirai plutôt quelle place tiennent les libraires. Ce sont eux qui donnent l'envie, qui orientent, qui attisent notre gourmandise pour tel ou tel livre. Alors quand on en a trouvé un, il faut le garder précieusement parce qu'ils se font rares.
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1) Qui êtes-vous ? !
Clémence Thévenot, 36 ans, journaliste indépendante.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
L'impact permanent des toxiques (pesticides, additifs alimentaires, particules fines...) sur nos organismes et les moyens de le limiter au maximum au quotidien.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase teintée d'espérance : «Une autre vision du monde est possible, à condition d'entamer sa propre écologie de consommation !»
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Celle du vent dans les arbres (dans un verger de pommes bio)
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Cette enquête journalistique m'a fait prendre conscience de l'ampleur du problème : les molécules chimiques toxiques sont de plus en plus nombreuses et affectent nos corps au quotidien, tel un poison administré, goutte après goutte. Invisible mais corrosif. J'aimerai que les lecteurs regardent la réalité en face et adoptent enfin de nouveaux réflexes qui pourraient inverser la tendance.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Non. Écrire est mon travail. Je suis une heureuse fonctionnaire de l'info.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Du réel.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescente «un jour j'écrirai des livres» ?
J'ai toujours aimé écrire, pour comprendre, pour préciser la pensée, pour mettre des mots. Je continue.
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lectrice) ?
La première fois que j'ai pleuré en lisant un livre je devais avoir 10 ans et c'était avec mon Bel oranger de Vasconcelos. D'autres livres m'ont profondément marquée comme l'étranger de Camus, le Père Goriot de Balzac ou encore le procès de Kafka.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
A vivre ! A nous faire réfléchir, à mieux nous comprendre, à romancer nos vies, à combattre la morosité, à être moins lâches !
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Je dirai plutôt quelle place tiennent les libraires. Ce sont eux qui donnent l'envie, qui orientent, qui attisent notre gourmandise pour tel ou tel livre. Alors quand on en a trouvé un, il faut le garder précieusement parce qu'ils se font rares.
Courrier des auteurs le 01/02/2016
1) Qui êtes-vous ? !
Clémence Thévenot, 36 ans, journaliste indépendante.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
L'impact permanent des toxiques (pesticides, additifs alimentaires, particules fines...) sur nos organismes et les moyens de le limiter au maximum au quotidien.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase teintée d'espérance : «Une autre vision du monde est possible, à condition d'entamer sa propre écologie de consommation !»
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Celle du vent dans les arbres (dans un verger de pommes bio)
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Cette enquête journalistique m'a fait prendre conscience de l'ampleur du problème : les molécules chimiques toxiques sont de plus en plus nombreuses et affectent nos corps au quotidien, tel un poison administré, goutte après goutte. Invisible mais corrosif. J'aimerai que les lecteurs regardent la réalité en face et adoptent enfin de nouveaux réflexes qui pourraient inverser la tendance.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Non. Écrire est mon travail. Je suis une heureuse fonctionnaire de l'info.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Du réel.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescente «un jour j'écrirai des livres» ?
J'ai toujours aimé écrire, pour comprendre, pour préciser la pensée, pour mettre des mots. Je continue.
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lectrice) ?
La première fois que j'ai pleuré en lisant un livre je devais avoir 10 ans et c'était avec mon Bel oranger de Vasconcelos. D'autres livres m'ont profondément marquée comme l'étranger de Camus, le Père Goriot de Balzac ou encore le procès de Kafka.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
A vivre ! A nous faire réfléchir, à mieux nous comprendre, à romancer nos vies, à combattre la morosité, à être moins lâches !
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Je dirai plutôt quelle place tiennent les libraires. Ce sont eux qui donnent l'envie, qui orientent, qui attisent notre gourmandise pour tel ou tel livre. Alors quand on en a trouvé un, il faut le garder précieusement parce qu'ils se font rares.
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1) Qui êtes-vous ? !
Clémence Thévenot, 36 ans, journaliste indépendante.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
L'impact permanent des toxiques (pesticides, additifs alimentaires, particules fines...) sur nos organismes et les moyens de le limiter au maximum au quotidien.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase teintée d'espérance : «Une autre vision du monde est possible, à condition d'entamer sa propre écologie de consommation !»
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Celle du vent dans les arbres (dans un verger de pommes bio)
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Cette enquête journalistique m'a fait prendre conscience de l'ampleur du problème : les molécules chimiques toxiques sont de plus en plus nombreuses et affectent nos corps au quotidien, tel un poison administré, goutte après goutte. Invisible mais corrosif. J'aimerai que les lecteurs regardent la réalité en face et adoptent enfin de nouveaux réflexes qui pourraient inverser la tendance.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Non. Écrire est mon travail. Je suis une heureuse fonctionnaire de l'info.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Du réel.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescente «un jour j'écrirai des livres» ?
J'ai toujours aimé écrire, pour comprendre, pour préciser la pensée, pour mettre des mots. Je continue.
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lectrice) ?
La première fois que j'ai pleuré en lisant un livre je devais avoir 10 ans et c'était avec mon Bel oranger de Vasconcelos. D'autres livres m'ont profondément marquée comme l'étranger de Camus, le Père Goriot de Balzac ou encore le procès de Kafka.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
A vivre ! A nous faire réfléchir, à mieux nous comprendre, à romancer nos vies, à combattre la morosité, à être moins lâches !
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Je dirai plutôt quelle place tiennent les libraires. Ce sont eux qui donnent l'envie, qui orientent, qui attisent notre gourmandise pour tel ou tel livre. Alors quand on en a trouvé un, il faut le garder précieusement parce qu'ils se font rares.
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Courrie
1) Qui êtes-vous ? !
Clémence Thévenot, 36 ans, journaliste indépendante.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
L'impact permanent des toxiques (pesticides, additifs alimentaires, particules fines...) sur nos organismes et les moyens de le limiter au maximum au quotidien.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase teintée d'espérance : «Une autre vision du monde est possible, à condition d'entamer sa propre écologie de consommation !»
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Celle du vent dans les arbres (dans un verger de pommes bio)
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Cette enquête journalistique m'a fait prendre conscience de l'ampleur du problème : les molécules chimiques toxiques sont de plus en plus nombreuses et affectent nos corps au quotidien, tel un poison administré, goutte après goutte. Invisible mais corrosif. J'aimerai que les lecteurs regardent la réalité en face et adoptent enfin de nouveaux réflexes qui pourraient inverser la tendance.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Non. Écrire est mon travail. Je suis une heureuse fonctionnaire de l'info.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Du réel.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescente «un jour j'écrirai des livres» ?
J'ai toujours aimé écrire, pour comprendre, pour préciser la pensée, pour mettre des mots. Je continue.
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lectrice) ?
La première fois que j'ai pleuré en lisant un livre je devais avoir 10 ans et c'était avec mon Bel oranger de Vasconcelos. D'autres livres m'ont profondément marquée comme l'étranger de Camus, le Père Goriot de Balzac ou encore le procès de Kafka.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
A vivre ! A nous faire réfléchir, à mieux nous comprendre, à romancer nos vies, à combattre la morosité, à être moins lâches !
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Je dirai plutôt quelle place tiennent les libraires. Ce sont eux qui donnent l'envie, qui orientent, qui attisent notre gourmandise pour tel ou tel livre. Alors quand on en a trouvé un, il faut le garder précieusement parce qu'ils se font rares.
Courrier des auteurs le 01/02/2016
1) Qui êtes-vous ? !
Clémence Thévenot, 36 ans, journaliste indépendante.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
L'impact permanent des toxiques (pesticides, additifs alimentaires, particules fines...) sur nos organismes et les moyens de le limiter au maximum au quotidien.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase teintée d'espérance : «Une autre vision du monde est possible, à condition d'entamer sa propre écologie de consommation !»
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Celle du vent dans les arbres (dans un verger de pommes bio)
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Cette enquête journalistique m'a fait prendre conscience de l'ampleur du problème : les molécules chimiques toxiques sont de plus en plus nombreuses et affectent nos corps au quotidien, tel un poison administré, goutte après goutte. Invisible mais corrosif. J'aimerai que les lecteurs regardent la réalité en face et adoptent enfin de nouveaux réflexes qui pourraient inverser la tendance.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Non. Écrire est mon travail. Je suis une heureuse fonctionnaire de l'info.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Du réel.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescente «un jour j'écrirai des livres» ?
J'ai toujours aimé écrire, pour comprendre, pour préciser la pensée, pour mettre des mots. Je continue.
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lectrice) ?
La première fois que j'ai pleuré en lisant un livre je devais avoir 10 ans et c'était avec mon Bel oranger de Vasconcelos. D'autres livres m'ont profondément marquée comme l'étranger de Camus, le Père Goriot de Balzac ou encore le procès de Kafka.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
A vivre ! A nous faire réfléchir, à mieux nous comprendre, à romancer nos vies, à combattre la morosité, à être moins lâches !
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Je dirai plutôt quelle place tiennent les libraires. Ce sont eux qui donnent l'envie, qui orientent, qui attisent notre gourmandise pour tel ou tel livre. Alors quand on en a trouvé un, il faut le garder précieusement parce qu'ils se font rares.
Courrier des auteurs le 01/02/2016
1) Qui êtes-vous ? !
Clémence Thévenot, 36 ans, journaliste indépendante.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
L'impact permanent des toxiques (pesticides, additifs alimentaires, particules fines...) sur nos organismes et les moyens de le limiter au maximum au quotidien.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase teintée d'espérance : «Une autre vision du monde est possible, à condition d'entamer sa propre écologie de consommation !»
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Celle du vent dans les arbres (dans un verger de pommes bio)
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Cette enquête journalistique m'a fait prendre conscience de l'ampleur du problème : les molécules chimiques toxiques sont de plus en plus nombreuses et affectent nos corps au quotidien, tel un poison administré, goutte après goutte. Invisible mais corrosif. J'aimerai que les lecteurs regardent la réalité en face et adoptent enfin de nouveaux réflexes qui pourraient inverser la tendance.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Non. Écrire est mon travail. Je suis une heureuse fonctionnaire de l'info.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Du réel.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescente «un jour j'écrirai des livres» ?
J'ai toujours aimé écrire, pour comprendre, pour préciser la pensée, pour mettre des mots. Je continue.
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lectrice) ?
La première fois que j'ai pleuré en lisant un livre je devais avoir 10 ans et c'était avec mon Bel oranger de Vasconcelos. D'autres livres m'ont profondément marquée comme l'étranger de Camus, le Père Goriot de Balzac ou encore le procès de Kafka.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
A vivre ! A nous faire réfléchir, à mieux nous comprendre, à romancer nos vies, à combattre la morosité, à être moins lâches !
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Je dirai plutôt quelle place tiennent les libraires. Ce sont eux qui donnent l'envie, qui orientent, qui attisent notre gourmandise pour tel ou tel livre. Alors quand on en a trouvé un, il faut le garder précieusement parce qu'ils se font rares.
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1) Qui êtes-vous ? !
Clémence Thévenot, 36 ans
2) Quel est le thème central de ce livre ?
L'impact permanent des toxiques (pesticides, additifs alimentaires, particules fines...) sur nos organismes et les moyens de le limiter au maximum au quotidien.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase teintée d'espérance : «Une autre vision du monde est possible, à condition d'entamer sa propre écologie de consommation !»
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Celle du vent dans les arbres (dans un verger de pommes bio)
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Cette enquête journalistique m'a fait prendre conscience de l'ampleur du problème : les molécules chimiques toxiques sont de plus en plus nombreuses et affectent nos corps au quotidien, tel un poison administré, goutte après goutte. Invisible mais corrosif. J'aimerai que les lecteurs regardent la réalité en face et adoptent enfin de nouveaux réflexes qui pourraient inverser la tendance.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Non. Écrire est mon travail. Je suis une heureuse fonctionnaire de l'info.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Du réel.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescente «un jour j'écrirai des livres» ?
J'ai toujours aimé écrire, pour comprendre, pour préciser la pensée, pour mettre des mots. Je continue.
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lectrice) ?
La première fois que j'ai pleuré en lisant un livre je devais avoir 10 ans et c'était avec mon Bel oranger de Vasconcelos. D'autres livres m'ont profondément marquée comme l'étranger de Camus, le Père Goriot de Balzac ou encore le procès de Kafka.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
A vivre ! A nous faire réfléchir, à mieux nous comprendre, à romancer nos vies, à combattre la morosité, à être moins lâches !
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Je dirai plutôt quelle place tiennent les libraires. Ce sont eux qui donnent l'envie, qui orientent, qui attisent notre gourmandise pour tel ou tel livre. Alors quand on en a trouvé un, il faut le garder précieusement parce qu'ils se font rares.
Courrier des auteurs le 01/02/2016
1) Qui êtes-vous ? !
Clémence Thévenot, 36 ans, journaliste indépendante.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
L'impact permanent des toxiques (pesticides, additifs alimentaires, particules fines...) sur nos organismes et les moyens de le limiter au maximum au quotidien.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase teintée d'espérance : «Une autre vision du monde est possible, à condition d'entamer sa propre écologie de consommation !»
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Celle du vent dans les arbres (dans un verger de pommes bio)
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Cette enquête journalistique m'a fait prendre conscience de l'ampleur du problème : les molécules chimiques toxiques sont de plus en plus nombreuses et affectent nos corps au quotidien, tel un poison administré, goutte après goutte. Invisible mais corrosif. J'aimerai que les lecteurs regardent la réalité en face et adoptent enfin de nouveaux réflexes qui pourraient inverser la tendance.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Non. Écrire est mon travail. Je suis une heureuse fonctionnaire de l'info.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Du réel.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescente «un jour j'écrirai des livres» ?
J'ai toujours aimé écrire, pour comprendre, pour préciser la pensée, pour mettre des mots. Je continue.
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lectrice) ?
La première fois que j'ai pleuré en lisant un livre je devais avoir 10 ans et c'était avec mon Bel oranger de Vasconcelos. D'autres livres m'ont profondément marquée comme l'étranger de Camus, le Père Goriot de Balzac ou encore le procès de Kafka.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
A vivre ! A nous faire réfléchir, à mieux nous comprendre, à romancer nos vies, à combattre la morosité, à être moins lâches !
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Je dirai plutôt quelle place tiennent les libraires. Ce sont eux qui donnent l'envie, qui orientent, qui attisent notre gourmandise pour tel ou tel livre. Alors quand on en a trouvé un, il faut le garder précieusement parce qu'ils se font rares.
Courrier des auteurs le 01/02/2016
1) Qui êtes-vous ? !
Clémence Thévenot, 36 ans, journaliste indépendante.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
L'impact permanent des toxiques (pesticides, additifs alimentaires, particules fines...) sur nos organismes et les moyens de le limiter au maximum au quotidien.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase teintée d'espérance : «Une autre vision du monde est possible, à condition d'entamer sa propre écologie de consommation !»
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Celle du vent dans les arbres (dans un verger de pommes bio)
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Cette enquête journalistique m'a fait prendre conscience de l'ampleur du problème : les molécules chimiques toxiques sont de plus en plus nombreuses et affectent nos corps au quotidien, tel un poison administré, goutte après goutte. Invisible mais corrosif. J'aimerai que les lecteurs regardent la réalité en face et adoptent enfin de nouveaux réflexes qui pourraient inverser la tendance.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Non. Écrire est mon travail. Je suis une heureuse fonctionnaire de l'info.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Du réel.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescente «un jour j'écrirai des livres» ?
J'ai toujours aimé écrire, pour comprendre, pour préciser la pensée, pour mettre des mots. Je continue.
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lectrice) ?
La première fois que j'ai pleuré en lisant un livre je devais avoir 10 ans et c'était avec mon Bel oranger de Vasconcelos. D'autres livres m'ont profondément marquée comme l'étranger de Camus, le Père Goriot de Balzac ou encore le procès de Kafka.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
A vivre ! A nous faire réfléchir, à mieux nous comprendre, à romancer nos vies, à combattre la morosité, à être moins lâches !
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Je dirai plutôt quelle place tiennent les libraires. Ce sont eux qui donnent l'envie, qui orientent, qui attisent notre gourmandise pour tel ou tel livre. Alors quand on en a trouvé un, il faut le garder précieusement parce qu'ils se font rares.
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Courrier des auteurs le 01/02/2016
Clémence Thévenot, 36 ans, journaliste indépendante.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
L'impact permanent des toxiques (pesticides, additifs alimentaires, particules fines...) sur nos organismes et les moyens de le limiter au maximum au quotidien.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase teintée d'espérance : «Une autre vision du monde est possible, à condition d'entamer sa propre écologie de consommation !»
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Celle du vent dans les arbres (dans un verger de pommes bio)
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Cette enquête journalistique m'a fait prendre conscience de l'ampleur du problème : les molécules chimiques toxiques sont de plus en plus nombreuses et affectent nos corps au quotidien, tel un poison administré, goutte après goutte. Invisible mais corrosif. J'aimerai que les lecteurs regardent la réalité en face et adoptent enfin de nouveaux réflexes qui pourraient inverser la tendance.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Non. Écrire est mon travail. Je suis une heureuse fonctionnaire de l'info.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Du réel.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescente «un jour j'écrirai des livres» ?
J'ai toujours aimé écrire, pour comprendre, pour préciser la pensée, pour mettre des mots. Je continue.
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lectrice) ?
La première fois que j'ai pleuré en lisant un livre je devais avoir 10 ans et c'était avec mon Bel oranger de Vasconcelos. D'autres livres m'ont profondément marquée comme l'étranger de Camus, le Père Goriot de Balzac ou encore le procès de Kafka.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
A vivre ! A nous faire réfléchir, à mieux nous comprendre, à romancer nos vies, à combattre la morosité, à être moins lâches !
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Je dirai plutôt quelle place tiennent les libraires. Ce sont eux qui donnent l'envie, qui orientent, qui attisent notre gourmandise pour tel ou tel livre. Alors quand on en a trouvé un, il faut le garder précieusement parce qu'ils se font rares.
Courrier des auteurs le 01/02/2016
1) Qui êtes-vous ? !
Clémence Thévenot, 36 ans, journaliste indépendante.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
L'impact permanent des toxiques (pesticides, additifs alimentaires, particules fines...) sur nos organismes et les moyens de le limiter au maximum au quotidien.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase teintée d'espérance : «Une autre vision du monde est possible, à condition d'entamer sa propre écologie de consommation !»
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Celle du vent dans les arbres (dans un verger de pommes bio)
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Cette enquête journalistique m'a fait prendre conscience de l'ampleur du problème : les molécules chimiques toxiques sont de plus en plus nombreuses et affectent nos corps au quotidien, tel un poison administré, goutte après goutte. Invisible mais corrosif. J'aimerai que les lecteurs regardent la réalité en face et adoptent enfin de nouveaux réflexes qui pourraient inverser la tendance.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Non. Écrire est mon travail. Je suis une heureuse fonctionnaire de l'info.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Du réel.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescente «un jour j'écrirai des livres» ?
J'ai toujours aimé écrire, pour comprendre, pour préciser la pensée, pour mettre des mots. Je continue.
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lectrice) ?
La première fois que j'ai pleuré en lisant un livre je devais avoir 10 ans et c'était avec mon Bel oranger de Vasconcelos. D'autres livres m'ont profondément marquée comme l'étranger de Camus, le Père Goriot de Balzac ou encore le procès de Kafka.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
A vivre ! A nous faire réfléchir, à mieux nous comprendre, à romancer nos vies, à combattre la morosité, à être moins lâches !
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Je dirai plutôt quelle place tiennent les libraires. Ce sont eux qui donnent l'envie, qui orientent, qui attisent notre gourmandise pour tel ou tel livre. Alors quand on en a trouvé un, il faut le garder précieusement parce qu'ils se font rares.
Courrier des auteurs le 01/02/2016
1) Qui êtes-vous ? !
Clémence Thévenot, 36 ans, journaliste indépendante.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
L'impact permanent des toxiques (pesticides, additifs alimentaires, particules fines...) sur nos organismes et les moyens de le limiter au maximum au quotidien.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase teintée d'espérance : «Une autre vision du monde est possible, à condition d'entamer sa propre écologie de consommation !»
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Celle du vent dans les arbres (dans un verger de pommes bio)
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Cette enquête journalistique m'a fait prendre conscience de l'ampleur du problème : les molécules chimiques toxiques sont de plus en plus nombreuses et affectent nos corps au quotidien, tel un poison administré, goutte après goutte. Invisible mais corrosif. J'aimerai que les lecteurs regardent la réalité en face et adoptent enfin de nouveaux réflexes qui pourraient inverser la tendance.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Non. Écrire est mon travail. Je suis une heureuse fonctionnaire de l'info.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Du réel.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescente «un jour j'écrirai des livres» ?
J'ai toujours aimé écrire, pour comprendre, pour préciser la pensée, pour mettre des mots. Je continue.
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lectrice) ?
La première fois que j'ai pleuré en lisant un livre je devais avoir 10 ans et c'était avec mon Bel oranger de Vasconcelos. D'autres livres m'ont profondément marquée comme l'étranger de Camus, le Père Goriot de Balzac ou encore le procès de Kafka.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
A vivre ! A nous faire réfléchir, à mieux nous comprendre, à romancer nos vies, à combattre la morosité, à être moins lâches !
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Je dirai plutôt quelle place tiennent les libraires. Ce sont eux qui donnent l'envie, qui orientent, qui attisent notre gourmandise pour tel ou tel livre. Alors quand on en a trouvé un, il faut le garder précieusement parce qu'ils se font rares.
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Courrier des
1) Qui êtes-vous ? !
Clémence Thévenot, 36 ans, journaliste indépendante.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
L'impact permanent des toxiques (pesticides, additifs alimentaires, particules fines...) sur nos organismes et les moyens de le limiter au maximum au quotidien.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase teintée d'espérance : «Une autre vision du monde est possible, à condition d'entamer sa propre écologie de consommation !»
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Celle du vent dans les arbres (dans un verger de pommes bio)
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Cette enquête journalistique m'a fait prendre conscience de l'ampleur du problème : les molécules chimiques toxiques sont de plus en plus nombreuses et affectent nos corps au quotidien, tel un poison administré, goutte après goutte. Invisible mais corrosif. J'aimerai que les lecteurs regardent la réalité en face et adoptent enfin de nouveaux réflexes qui pourraient inverser la tendance.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Non. Écrire est mon travail. Je suis une heureuse fonctionnaire de l'info.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Du réel.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescente «un jour j'écrirai des livres» ?
J'ai toujours aimé écrire, pour comprendre, pour préciser la pensée, pour mettre des mots. Je continue.
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lectrice) ?
La première fois que j'ai pleuré en lisant un livre je devais avoir 10 ans et c'était avec mon Bel oranger de Vasconcelos. D'autres livres m'ont profondément marquée comme l'étranger de Camus, le Père Goriot de Balzac ou encore le procès de Kafka.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
A vivre ! A nous faire réfléchir, à mieux nous comprendre, à romancer nos vies, à combattre la morosité, à être moins lâches !
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Je dirai plutôt quelle place tiennent les libraires. Ce sont eux qui donnent l'envie, qui orientent, qui attisent notre gourmandise pour tel ou tel livre. Alors quand on en a trouvé un, il faut le garder précieusement parce qu'ils se font rares.
Courrier des auteurs le 01/02/2016
1) Qui êtes-vous ? !
Clémence Thévenot, 36 ans, journaliste indépendante.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
L'impact permanent des toxiques (pesticides, additifs alimentaires, particules fines...) sur nos organismes et les moyens de le limiter au maximum au quotidien.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase teintée d'espérance : «Une autre vision du monde est possible, à condition d'entamer sa propre écologie de consommation !»
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Celle du vent dans les arbres (dans un verger de pommes bio)
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Cette enquête journalistique m'a fait prendre conscience de l'ampleur du problème : les molécules chimiques toxiques sont de plus en plus nombreuses et affectent nos corps au quotidien, tel un poison administré, goutte après goutte. Invisible mais corrosif. J'aimerai que les lecteurs regardent la réalité en face et adoptent enfin de nouveaux réflexes qui pourraient inverser la tendance.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Non. Écrire est mon travail. Je suis une heureuse fonctionnaire de l'info.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Du réel.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescente «un jour j'écrirai des livres» ?
J'ai toujours aimé écrire, pour comprendre, pour préciser la pensée, pour mettre des mots. Je continue.
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lectrice) ?
La première fois que j'ai pleuré en lisant un livre je devais avoir 10 ans et c'était avec mon Bel oranger de Vasconcelos. D'autres livres m'ont profondément marquée comme l'étranger de Camus, le Père Goriot de Balzac ou encore le procès de Kafka.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
A vivre ! A nous faire réfléchir, à mieux nous comprendre, à romancer nos vies, à combattre la morosité, à être moins lâches !
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Je dirai plutôt quelle place tiennent les libraires. Ce sont eux qui donnent l'envie, qui orientent, qui attisent notre gourmandise pour tel ou tel livre. Alors quand on en a trouvé un, il faut le garder précieusement parce qu'ils se font rares.
Courrier des auteurs le 01/02/2016
1) Qui êtes-vous ? !
Clémence Thévenot, 36 ans, journaliste indépendante.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
L'impact permanent des toxiques (pesticides, additifs alimentaires, particules fines...) sur nos organismes et les moyens de le limiter au maximum au quotidien.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase teintée d'espérance : «Une autre vision du monde est possible, à condition d'entamer sa propre écologie de consommation !»
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Celle du vent dans les arbres (dans un verger de pommes bio)
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Cette enquête journalistique m'a fait prendre conscience de l'ampleur du problème : les molécules chimiques toxiques sont de plus en plus nombreuses et affectent nos corps au quotidien, tel un poison administré, goutte après goutte. Invisible mais corrosif. J'aimerai que les lecteurs regardent la réalité en face et adoptent enfin de nouveaux réflexes qui pourraient inverser la tendance.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Non. Écrire est mon travail. Je suis une heureuse fonctionnaire de l'info.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Du réel.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescente «un jour j'écrirai des livres» ?
J'ai toujours aimé écrire, pour comprendre, pour préciser la pensée, pour mettre des mots. Je continue.
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lectrice) ?
La première fois que j'ai pleuré en lisant un livre je devais avoir 10 ans et c'était avec mon Bel oranger de Vasconcelos. D'autres livres m'ont profondément marquée comme l'étranger de Camus, le Père Goriot de Balzac ou encore le procès de Kafka.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
A vivre ! A nous faire réfléchir, à mieux nous comprendre, à romancer nos vies, à combattre la morosité, à être moins lâches !
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Je dirai plutôt quelle place tiennent les libraires. Ce sont eux qui donnent l'envie, qui orientent, qui attisent notre gourmandise pour tel ou tel livre. Alors quand on en a trouvé un, il faut le garder précieusement parce qu'ils se font rares.
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Courrier des auteurs
1) Qui êtes-vous ? !
Clémence Thévenot, 36 ans, journaliste indépendante.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
L'impact permanent des toxiques (pesticides, additifs alimentaires, particules fines...) sur nos organismes et les moyens de le limiter au maximum au quotidien.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase teintée d'espérance : «Une autre vision du monde est possible, à condition d'entamer sa propre écologie de consommation !»
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Celle du vent dans les arbres (dans un verger de pommes bio)
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Cette enquête journalistique m'a fait prendre conscience de l'ampleur du problème : les molécules chimiques toxiques sont de plus en plus nombreuses et affectent nos corps au quotidien, tel un poison administré, goutte après goutte. Invisible mais corrosif. J'aimerai que les lecteurs regardent la réalité en face et adoptent enfin de nouveaux réflexes qui pourraient inverser la tendance.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Non. Écrire est mon travail. Je suis une heureuse fonctionnaire de l'info.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Du réel.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescente «un jour j'écrirai des livres» ?
J'ai toujours aimé écrire, pour comprendre, pour préciser la pensée, pour mettre des mots. Je continue.
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lectrice) ?
La première fois que j'ai pleuré en lisant un livre je devais avoir 10 ans et c'était avec mon Bel oranger de Vasconcelos. D'autres livres m'ont profondément marquée comme l'étranger de Camus, le Père Goriot de Balzac ou encore le procès de Kafka.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
A vivre ! A nous faire réfléchir, à mieux nous comprendre, à romancer nos vies, à combattre la morosité, à être moins lâches !
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Je dirai plutôt quelle place tiennent les libraires. Ce sont eux qui donnent l'envie, qui orientent, qui attisent notre gourmandise pour tel ou tel livre. Alors quand on en a trouvé un, il faut le garder précieusement parce qu'ils se font rares.
Courrier des auteurs le 01/02/2016
1) Qui êtes-vous ? !
Clémence Thévenot, 36 ans, journaliste indépendante.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
L'impact permanent des toxiques (pesticides, additifs alimentaires, particules fines...) sur nos organismes et les moyens de le limiter au maximum au quotidien.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase teintée d'espérance : «Une autre vision du monde est possible, à condition d'entamer sa propre écologie de consommation !»
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Celle du vent dans les arbres (dans un verger de pommes bio)
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Cette enquête journalistique m'a fait prendre conscience de l'ampleur du problème : les molécules chimiques toxiques sont de plus en plus nombreuses et affectent nos corps au quotidien, tel un poison administré, goutte après goutte. Invisible mais corrosif. J'aimerai que les lecteurs regardent la réalité en face et adoptent enfin de nouveaux réflexes qui pourraient inverser la tendance.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Non. Écrire est mon travail. Je suis une heureuse fonctionnaire de l'info.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Du réel.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescente «un jour j'écrirai des livres» ?
J'ai toujours aimé écrire, pour comprendre, pour préciser la pensée, pour mettre des mots. Je continue.
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lectrice) ?
La première fois que j'ai pleuré en lisant un livre je devais avoir 10 ans et c'était avec mon Bel oranger de Vasconcelos. D'autres livres m'ont profondément marquée comme l'étranger de Camus, le Père Goriot de Balzac ou encore le procès de Kafka.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
A vivre ! A nous faire réfléchir, à mieux nous comprendre, à romancer nos vies, à combattre la morosité, à être moins lâches !
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Je dirai plutôt quelle place tiennent les libraires. Ce sont eux qui donnent l'envie, qui orientent, qui attisent notre gourmandise pour tel ou tel livre. Alors quand on en a trouvé un, il faut le garder précieusement parce qu'ils se font rares.
Courrier des auteurs le 01/02/2016
1) Qui êtes-vous ? !
Clémence Thévenot, 36 ans, journaliste indépendante.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
L'impact permanent des toxiques (pesticides, additifs alimentaires, particules fines...) sur nos organismes et les moyens de le limiter au maximum au quotidien.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase teintée d'espérance : «Une autre vision du monde est possible, à condition d'entamer sa propre écologie de consommation !»
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Celle du vent dans les arbres (dans un verger de pommes bio)
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Cette enquête journalistique m'a fait prendre conscience de l'ampleur du problème : les molécules chimiques toxiques sont de plus en plus nombreuses et affectent nos corps au quotidien, tel un poison administré, goutte après goutte. Invisible mais corrosif. J'aimerai que les lecteurs regardent la réalité en face et adoptent enfin de nouveaux réflexes qui pourraient inverser la tendance.
6) Avez-vous des rituels d'écrivain ? (Choix du lieu, de l'horaire, d'une musique de fond) ?
Non. Écrire est mon travail. Je suis une heureuse fonctionnaire de l'info.
7) Comment vous vient l'inspiration ?
Du réel.
8) Comment l'écriture est-elle entrée dans votre vie ? Vous êtes-vous dit enfant ou adolescente «un jour j'écrirai des livres» ?
J'ai toujours aimé écrire, pour comprendre, pour préciser la pensée, pour mettre des mots. Je continue.
9) Vous souvenez-vous de vos premiers chocs littéraires (en tant que lectrice) ?
La première fois que j'ai pleuré en lisant un livre je devais avoir 10 ans et c'était avec mon Bel oranger de Vasconcelos. D'autres livres m'ont profondément marquée comme l'étranger de Camus, le Père Goriot de Balzac ou encore le procès de Kafka.
10) Savez-vous à quoi servent les écrivains ? !
A vivre ! A nous faire réfléchir, à mieux nous comprendre, à romancer nos vies, à combattre la morosité, à être moins lâches !
11) Quelle place tiennent les librairies dans votre vie ?
Je dirai plutôt quelle place tiennent les libraires. Ce sont eux qui donnent l'envie, qui orientent, qui attisent notre gourmandise pour tel ou tel livre. Alors quand on en a trouvé un, il faut le garder précieusement parce qu'ils se font rares.
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