"Un vent de cendres" de Sandrine Collette chez Denoël (Paris, France)
en partenariat avec 20minutes.fr
- Auteur : Sandrine Collette
- Genre : Policiers
- Editeur : Denoël, Paris, France
- Prix : 18.00 €
- Date de sortie : 13/02/2014
- GENCOD : 9782207117361
Courrier des auteurs le 22/10/2014
Sandrine Collette, pour Le Courrier des auteurs, sur une idée des libraires, évoque le mot «Consolation»
«Moi, ma façon de me consoler, c'est de repartir de l'avant et de faire du positif avec tout ce qui est moche dans ma vie... En comportement s'il y en a un, l'idéal pour moi, c'est aller m'asseoir au bord du pré et écouter les chevaux manger, c'est tout bête. En fait, un cheval qui broute de l'herbe dans un pré, pour moi, il n'y a rien de plus paisible. C'est peut-être la même chose pour les gens qui diraient : prendre un chat qui ronronne sur les genoux. C'est quelque chose de très apaisant. Vous avez d'énormes masses calmes devant vous, et ce bruit de mastication est berçant. C'est aussi ma façon de me poser, de me remettre d'équerre quand quelque chose ne va pas. Si je suis dans le Morvan, je vais m'asseoir à côté des chevaux. C'est un vrai refuge.»
Sandrine Collette
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Courrier des auteurs le 22/10/2014
Sandrine Collette, pou
«Moi, ma façon de me consoler, c'est de repartir de l'avant et de faire du positif avec tout ce qui est moche dans ma vie... En comportement s'il y en a un, l'idéal pour moi, c'est aller m'asseoir au bord du pré et écouter les chevaux manger, c'est tout bête. En fait, un cheval qui broute de l'herbe dans un pré, pour moi, il n'y a rien de plus paisible. C'est peut-être la même chose pour les gens qui diraient : prendre un chat qui ronronne sur les genoux. C'est quelque chose de très apaisant. Vous avez d'énormes masses calmes devant vous, et ce bruit de mastication est berçant. C'est aussi ma façon de me poser, de me remettre d'équerre quand quelque chose ne va pas. Si je suis dans le Morvan, je vais m'asseoir à côté des chevaux. C'est un vrai refuge.»
Sandrine Collette
Courrier des auteurs le 22/10/2014
Sandrine Collette, pour Le Courrier des auteurs, sur une idée des libraires, évoque le mot «Consolation»
«Moi, ma façon de me consoler, c'est de repartir de l'avant et de faire du positif avec tout ce qui est moche dans ma vie... En comportement s'il y en a un, l'idéal pour moi, c'est aller m'asseoir au bord du pré et écouter les chevaux manger, c'est tout bête. En fait, un cheval qui broute de l'herbe dans un pré, pour moi, il n'y a rien de plus paisible. C'est peut-être la même chose pour les gens qui diraient : prendre un chat qui ronronne sur les genoux. C'est quelque chose de très apaisant. Vous avez d'énormes masses calmes devant vous, et ce bruit de mastication est berçant. C'est aussi ma façon de me poser, de me remettre d'équerre quand quelque chose ne va pas. Si je suis dans le Morvan, je vais m'asseoir à côté des chevaux. C'est un vrai refuge.»
Sandrine Collette
Courrier des auteurs le 22/10/2014
Sandrine Collette, pour Le Courrier des auteurs, sur une idée des libraires, évoque le mot «Consolation»
«Moi, ma façon de me consoler, c'est de repartir de l'avant et de faire du positif avec tout ce qui est moche dans ma vie... En comportement s'il y en a un, l'idéal pour moi, c'est aller m'asseoir au bord du pré et écouter les chevaux manger, c'est tout bête. En fait, un cheval qui broute de l'herbe dans un pré, pour moi, il n'y a rien de plus paisible. C'est peut-être la même chose pour les gens qui diraient : prendre un chat qui ronronne sur les genoux. C'est quelque chose de très apaisant. Vous avez d'énormes masses calmes devant vous, et ce bruit de mastication est berçant. C'est aussi ma façon de me poser, de me remettre d'équerre quand quelque chose ne va pas. Si je suis dans le Morvan, je vais m'asseoir à côté des chevaux. C'est un vrai refuge.»
Sandrine Collette
Courrier des auteurs le 22/10/2014
Sandrine Collette, pour Le Courrier des auteurs, sur une idée des libraires, évoque le mot «Consolation»
«Moi, ma façon de me consoler, c'est de repartir de l'avant et de faire du positif avec tout ce qui est moche dans ma vie... En comportement s'il y en a un, l'idéal pour moi, c'est aller m'asseoir au bord du pré et écouter les chevaux manger, c'est tout bête. En fait, un cheval qui broute de l'herbe dans un pré, pour moi, il n'y a rien de plus paisible. C'est peut-être la même chose pour les gens qui diraient : prendre un chat qui ronronne sur les genoux. C'est quelque chose de très apaisant. Vous avez d'énormes masses calmes devant vous, et ce bruit de mastication est berçant. C'est aussi ma façon de me poser, de me remettre d'équerre quand quelque chose ne va pas. Si je suis dans le Morvan, je vais m'asseoir à côté des chevaux. C'est un vrai refuge.»
Sandrine Collette
Courrier des auteurs le 22/10/2014
Sandrine Collette, pour Le Courrier des auteurs, sur une idée des libraires, évoque le mot «Consolation»
«Moi, ma façon de me consoler, c'est de repartir de l'avant et de faire du positif avec tout ce qui est moche dans ma vie... En comportement s'il y en a un, l'idéal pour moi, c'est aller m'asseoir au bord du pré et écouter les chevaux manger, c'est tout bête. En fait, un cheval qui broute de l'herbe dans un pré, pour moi, il n'y a rien de plus paisible. C'est peut-être la même chose pour les gens qui diraient : prendre un chat qui ronronne sur les genoux. C'est quelque chose de très apaisant. Vous avez d'énormes masses calmes devant vous, et ce bruit de mastication est berçant. C'est aussi ma façon de me poser, de me remettre d'équerre quand quelque chose ne va pas. Si je suis dans le Morvan, je vais m'asseoir à côté des chevaux. C'est un vrai refuge.»
Sandrine Collette
Courrier des auteurs le 22/10/2014
Sandrine Collette, pour Le Courrier des auteurs, sur une idée des libraires, évoque le mot «Consolation»
«Moi, ma façon de me consoler, c'est de repartir de l'avant et de faire du positif avec tout ce qui est moche dans ma vie... En comportement s'il y en a un, l'idéal pour moi, c'est aller m'asseoir au bord du pré et écouter les chevaux manger, c'est tout bête. En fait, un cheval qui broute de l'herbe dans un pré, pour moi, il n'y a rien de plus paisible. C'est peut-être la même chose pour les gens qui diraient : prendre un chat qui ronronne sur les genoux. C'est quelque chose de très apaisant. Vous avez d'énormes masses calmes devant vous, et ce bruit de mastication est berçant. C'est aussi ma façon de me poser, de me remettre d'équerre quand quelque chose ne va pas. Si je suis dans le Morvan, je vais m'asseoir à côté des chevaux. C'est un vrai refuge.»
Sandrine Collette