"Quand l'art est pris pour cible : 101 histoires improbables mais vraies" de Karin Müller chez Prisma media (Gennevilliers, Hauts-de-Seine)
en partenariat avec 20minutes.fr
- Auteur : Karin Müller
- Genre : Documents Essais d'actualité
- Editeur : Prisma media, Gennevilliers, Hauts-de-Seine
- Prix : 18.95 €
- Date de sortie : 09/10/2014
- GENCOD : 9782810413744
Courrier des auteurs le 09/10/2014
1) Qui êtes-vous ? !
Je codirige la galerie Gimpel & Müller (Paris 6e) tout en écrivant sur l'art. Ma «spécialité» est la biographie vivante, à la première personne, de grands artistes. Je me suis mise dans la peau et les pinceaux de Nicolas de Staël (Les Fulgurances de Nicolas de Staël), Edward Hopper, (Lever de rideau sur Edward Hopper), Henri Matisse (Métamorphoses de Matisse) et tout récemment de Vincent Van Gog (Van Gogh... pour planer au-dessus de la vie).
Ce nouveau livre est différent, c'est un plaidoyer contre les «articides», malheureusement trop fréquents, en 101 histoires improbables mais vraies.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Les agressions, volontaires ou non, contre des peintures, sculptures, monuments, villes... Fléau ancestral puisque le premier «crime» que je relate - la destruction du Temple d'Artémis par Érostrate - date d'avant J.C. Je parle de méfaits célèbres, comme les chapardages d'André Malraux au Cambodge en 1922 - il avait 21 ans - le vol de la Joconde de 1911 ou le «baiser» sur la toile de Twombly mais aussi de la destruction de la ville de Dresde - la Florence de l'Elbe - des tours jumelles de New York qui regorgeaient d'oeuvres d'art ou de l'incendie du château d'Immendorf en 1945 qui détruisit, outre le magnifique château, 13 toiles de Gustav Klimt
C'est un voyage à travers les continents et les siècles. Je suis très fière que Jean Lacouture ait accepté de le préfacer. Il m'a fait l'honneur et la joie de beaucoup aimer mon livre.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase de Jean-Baptiste Louis Gresset dans Le Méchant, en 1747 : «L'homme éclairé suspend l'éloge et la censure ; Il sait que sur les arts, les esprits et les goûts, le jugement d'un seul n'est pas la loi de tous, qu'attendre est pour juger la règle la meilleure, et que l'arrêt public est le seul qui demeure». Face aux obscurantismes de certaines municipalités qui n'hésitent pas à cacher, détériorer ou détruire des oeuvres sous prétexte qu'elles ne correspondent pas à leurs goûts, il me semble nécessaire de leur rappeler qu'elles n'ont pas droit de vie et de mort sur la création artistique.
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Peut-être «Déserts» d'Edgard Varèse pour la brutalité de certains passages qui, pour moi, évoquent, la brutalité des destructions. Quel scandale lors de sa création en 1954 !
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La fragilité de notre patrimoine artistique, régulièrement détruit pour des causes aussi diverses que l'intolérance religieuse ou politique, la maladresse, l'alcoolisme, la stupidité, la folie etc...
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Courrier des auteurs le 09/10/2014
1) Qui êtes-vous ? !
Je codirige la galerie Gimpel & Müller (Paris 6e) tout en écrivant sur l'art. Ma «spécialité» est la biographie vivante, à la première personne, de grands artistes. Je me suis mise dans la peau et les pinceaux de Nicolas de Staël (Les Fulgurances de Nicolas de Staël), Edward Hopper, (Lever de rideau sur Edward Hopper), Henri Matisse (Métamorphoses de Matisse) et tout récemment de Vincent Van Gog (Van Gogh... pour planer au-dessus de la vie).
Ce nouveau livre est différent, c'est un plaidoyer contre les «articides», malheureusement trop fréquents, en 101 histoires improbables mais vraies.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Les agressions, volontaires ou non, contre des peintures, sculptures, monuments, villes... Fléau ancestral puisque le premier «crime» que je relate - la destruction du Temple d'Artémis par Érostrate - date d'avant J.C. Je parle de méfaits célèbres, comme les chapardages d'André Malraux au Cambodge en 1922 - il avait 21 ans - le vol de la Joconde de 1911 ou le «baiser» sur la toile de Twombly mais aussi de la destruction de la ville de Dresde - la Florence de l'Elbe - des tours jumelles de New York qui regorgeaient d'oeuvres d'art ou de l'incendie du château d'Immendorf en 1945 qui détruisit, outre le magnifique château, 13 toiles de Gustav Klimt
C'est un voyage à travers les continents et les siècles. Je suis très fière que Jean Lacouture ait accepté de le préfacer. Il m'a fait l'honneur et la joie de beaucoup aimer mon livre.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase de Jean-Baptiste Louis Gresset dans Le Méchant, en 1747 : «L'homme éclairé suspend l'éloge et la censure ; Il sait que sur les arts, les esprits et les goûts, le jugement d'un seul n'est pas la loi de tous, qu'attendre est pour juger la règle la meilleure, et que l'arrêt public est le seul qui demeure». Face aux obscurantismes de certaines municipalités qui n'hésitent pas à cacher, détériorer ou détruire des oeuvres sous prétexte qu'elles ne correspondent pas à leurs goûts, il me semble nécessaire de leur rappeler qu'elles n'ont pas droit de vie et de mort sur la création artistique.
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Peut-être «Déserts» d'Edgard Varèse pour la brutalité de certains passages qui, pour moi, évoquent, la brutalité des destructions. Quel scandale lors de sa création en 1954 !
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La fragilité de notre patrimoine artistique, régulièrement détruit pour des causes aussi diverses que l'intolérance religieuse ou politique, la maladresse, l'alcoolisme, la stupidité, la folie etc...
Courrier des auteurs le 09/10/2014
1) Qui êtes-vous ? !
Je codirige la galerie Gimpel & Müller (Paris 6e) tout en écrivant sur l'art. Ma «spécialité» est la biographie vivante, à la première personne, de grands artistes. Je me suis mise dans la peau et les pinceaux de Nicolas de Staël (Les Fulgurances de Nicolas de Staël), Edward Hopper, (Lever de rideau sur Edward Hopper), Henri Matisse (Métamorphoses de Matisse) et tout récemment de Vincent Van Gog (Van Gogh... pour planer au-dessus de la vie).
Ce nouveau livre est différent, c'est un plaidoyer contre les «articides», malheureusement trop fréquents, en 101 histoires improbables mais vraies.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Les agressions, volontaires ou non, contre des peintures, sculptures, monuments, villes... Fléau ancestral puisque le premier «crime» que je relate - la destruction du Temple d'Artémis par Érostrate - date d'avant J.C. Je parle de méfaits célèbres, comme les chapardages d'André Malraux au Cambodge en 1922 - il avait 21 ans - le vol de la Joconde de 1911 ou le «baiser» sur la toile de Twombly mais aussi de la destruction de la ville de Dresde - la Florence de l'Elbe - des tours jumelles de New York qui regorgeaient d'oeuvres d'art ou de l'incendie du château d'Immendorf en 1945 qui détruisit, outre le magnifique château, 13 toiles de Gustav Klimt
C'est un voyage à travers les continents et les siècles. Je suis très fière que Jean Lacouture ait accepté de le préfacer. Il m'a fait l'honneur et la joie de beaucoup aimer mon livre.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase de Jean-Baptiste Louis Gresset dans Le Méchant, en 1747 : «L'homme éclairé suspend l'éloge et la censure ; Il sait que sur les arts, les esprits et les goûts, le jugement d'un seul n'est pas la loi de tous, qu'attendre est pour juger la règle la meilleure, et que l'arrêt public est le seul qui demeure». Face aux obscurantismes de certaines municipalités qui n'hésitent pas à cacher, détériorer ou détruire des oeuvres sous prétexte qu'elles ne correspondent pas à leurs goûts, il me semble nécessaire de leur rappeler qu'elles n'ont pas droit de vie et de mort sur la création artistique.
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Peut-être «Déserts» d'Edgard Varèse pour la brutalité de certains passages qui, pour moi, évoquent, la brutalité des destructions. Quel scandale lors de sa création en 1954 !
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La fragilité de notre patrimoine artistique, régulièrement détruit pour des causes aussi diverses que l'intolérance religieuse ou politique, la maladresse, l'alcoolisme, la stupidité, la folie etc...
Courrier des auteurs le 09/10/2014
1) Qui êtes-vous ? !
Je codirige la galerie Gimpel & Müller (Paris 6e) tout en écrivant sur l'art. Ma «spécialité» est la biographie vivante, à la première personne, de grands artistes. Je me suis mise dans la peau et les pinceaux de Nicolas de Staël (Les Fulgurances de Nicolas de Staël), Edward Hopper, (Lever de rideau sur Edward Hopper), Henri Matisse (Métamorphoses de Matisse) et tout récemment de Vincent Van Gog (Van Gogh... pour planer au-dessus de la vie).
Ce nouveau livre est différent, c'est un plaidoyer contre les «articides», malheureusement trop fréquents, en 101 histoires improbables mais vraies.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Les agressions, volontaires ou non, contre des peintures, sculptures, monuments, villes... Fléau ancestral puisque le premier «crime» que je relate - la destruction du Temple d'Artémis par Érostrate - date d'avant J.C. Je parle de méfaits célèbres, comme les chapardages d'André Malraux au Cambodge en 1922 - il avait 21 ans - le vol de la Joconde de 1911 ou le «baiser» sur la toile de Twombly mais aussi de la destruction de la ville de Dresde - la Florence de l'Elbe - des tours jumelles de New York qui regorgeaient d'oeuvres d'art ou de l'incendie du château d'Immendorf en 1945 qui détruisit, outre le magnifique château, 13 toiles de Gustav Klimt
C'est un voyage à travers les continents et les siècles. Je suis très fière que Jean Lacouture ait accepté de le préfacer. Il m'a fait l'honneur et la joie de beaucoup aimer mon livre.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase de Jean-Baptiste Louis Gresset dans Le Méchant, en 1747 : «L'homme éclairé suspend l'éloge et la censure ; Il sait que sur les arts, les esprits et les goûts, le jugement d'un seul n'est pas la loi de tous, qu'attendre est pour juger la règle la meilleure, et que l'arrêt public est le seul qui demeure». Face aux obscurantismes de certaines municipalités qui n'hésitent pas à cacher, détériorer ou détruire des oeuvres sous prétexte qu'elles ne correspondent pas à leurs goûts, il me semble nécessaire de leur rappeler qu'elles n'ont pas droit de vie et de mort sur la création artistique.
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Peut-être «Déserts» d'Edgard Varèse pour la brutalité de certains passages qui, pour moi, évoquent, la brutalité des destructions. Quel scandale lors de sa création en 1954 !
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La fragilité de notre patrimoine artistique, régulièrement détruit pour des causes aussi diverses que l'intolérance religieuse ou politique, la maladresse, l'alcoolisme, la stupidité, la folie etc...
Courrier des auteurs le 09/10/2014
1) Qui êtes-vous ? !
Je codirige la galerie Gimpel & Müller (Paris 6e) tout en écrivant sur l'art. Ma «spécialité» est la biographie vivante, à la première personne, de grands artistes. Je me suis mise dans la peau et les pinceaux de Nicolas de Staël (Les Fulgurances de Nicolas de Staël), Edward Hopper, (Lever de rideau sur Edward Hopper), Henri Matisse (Métamorphoses de Matisse) et tout récemment de Vincent Van Gog (Van Gogh... pour planer au-dessus de la vie).
Ce nouveau livre est différent, c'est un plaidoyer contre les «articides», malheureusement trop fréquents, en 101 histoires improbables mais vraies.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Les agressions, volontaires ou non, contre des peintures, sculptures, monuments, villes... Fléau ancestral puisque le premier «crime» que je relate - la destruction du Temple d'Artémis par Érostrate - date d'avant J.C. Je parle de méfaits célèbres, comme les chapardages d'André Malraux au Cambodge en 1922 - il avait 21 ans - le vol de la Joconde de 1911 ou le «baiser» sur la toile de Twombly mais aussi de la destruction de la ville de Dresde - la Florence de l'Elbe - des tours jumelles de New York qui regorgeaient d'oeuvres d'art ou de l'incendie du château d'Immendorf en 1945 qui détruisit, outre le magnifique château, 13 toiles de Gustav Klimt
C'est un voyage à travers les continents et les siècles. Je suis très fière que Jean Lacouture ait accepté de le préfacer. Il m'a fait l'honneur et la joie de beaucoup aimer mon livre.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase de Jean-Baptiste Louis Gresset dans Le Méchant, en 1747 : «L'homme éclairé suspend l'éloge et la censure ; Il sait que sur les arts, les esprits et les goûts, le jugement d'un seul n'est pas la loi de tous, qu'attendre est pour juger la règle la meilleure, et que l'arrêt public est le seul qui demeure». Face aux obscurantismes de certaines municipalités qui n'hésitent pas à cacher, détériorer ou détruire des oeuvres sous prétexte qu'elles ne correspondent pas à leurs goûts, il me semble nécessaire de leur rappeler qu'elles n'ont pas droit de vie et de mort sur la création artistique.
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Peut-être «Déserts» d'Edgard Varèse pour la brutalité de certains passages qui, pour moi, évoquent, la brutalité des destructions. Quel scandale lors de sa création en 1954 !
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La fragilité de notre patrimoine artistique, régulièrement détruit pour des causes aussi diverses que l'intolérance religieuse ou politique, la maladresse, l'alcoolisme, la stupidité, la folie etc...
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1) Qui êtes-vous ? !
Je codirige la galerie Gimpel & Müller (Paris 6e) tout en écrivant sur l'art. Ma «spécialité» est la biographie vivante, à la première personne, de grands artistes. Je me suis mise dans la peau et les pinceaux de Nicolas de Staël (Les Fulgurances de Nicolas de Staël), Edward Hopper, (Lever de rideau sur Edward Hopper), Henri Matisse (Métamorphoses de Matisse) et tout récemment de Vincent Van Gog (Van Gogh... pour planer au-dessus de la vie).
Ce nouveau livre est différent, c'est un plaidoyer contre les «articides», malheureusement trop fréquents, en 101 histoires improbables mais vraies.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Les agressions, volontaires ou non, contre des peintures, sculptures, monuments, villes... Fléau ancestral puisque le premier «crime» que je relate - la destruction du Temple d'Artémis par Érostrate - date d'avant J.C. Je parle de méfaits célèbres, comme les chapardages d'André Malraux au Cambodge en 1922 - il avait 21 ans - le vol de la Joconde de 1911 ou le «baiser» sur la toile de Twombly mais aussi de la destruction de la ville de Dresde - la Florence de l'Elbe - des tours jumelles de New York qui regorgeaient d'oeuvres d'art ou de l'incendie du château d'Immendorf en 1945 qui détruisit, outre le magnifique château, 13 toiles de Gustav Klimt
C'est un voyage à travers les continents et les siècles. Je suis très fière que Jean Lacouture ait accepté de le préfacer. Il m'a fait l'honneur et la joie de beaucoup aimer mon livre.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase de Jean-Baptiste Louis Gresset dans Le Méchant, en 1747 : «L'homme éclairé suspend l'éloge et la censure ; Il sait que sur les arts, les esprits et les goûts, le jugement d'un seul n'est pas la loi de tous, qu'attendre est pour juger la règle la meilleure, et que l'arrêt public est le seul qui demeure». Face aux obscurantismes de certaines municipalités qui n'hésitent pas à cacher, détériorer ou détruire des oeuvres sous prétexte qu'elles ne correspondent pas à leurs goûts, il me semble nécessaire de leur rappeler qu'elles n'ont pas droit de vie et de mort sur la création artistique.
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Peut-être «Déserts» d'Edgard Varèse pour la brutalité de certains passages qui, pour moi, évoquent, la brutalité des destructions. Quel scandale lors de sa création en 1954 !
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La fragilité de notre patrimoine artistique, régulièrement détruit pour des causes aussi diverses que l'intolérance religieuse ou politique, la maladresse, l'alcoolisme, la stupidité, la folie etc...
Courrier des auteurs le 09/10/2014
1) Qui êtes-vous ? !
Je codirige la galerie Gimpel & Müller (Paris 6e) tout en écrivant sur l'art. Ma «spécialité» est la biographie vivante, à la première personne, de grands artistes. Je me suis mise dans la peau et les pinceaux de Nicolas de Staël (Les Fulgurances de Nicolas de Staël), Edward Hopper, (Lever de rideau sur Edward Hopper), Henri Matisse (Métamorphoses de Matisse) et tout récemment de Vincent Van Gog (Van Gogh... pour planer au-dessus de la vie).
Ce nouveau livre est différent, c'est un plaidoyer contre les «articides», malheureusement trop fréquents, en 101 histoires improbables mais vraies.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Les agressions, volontaires ou non, contre des peintures, sculptures, monuments, villes... Fléau ancestral puisque le premier «crime» que je relate - la destruction du Temple d'Artémis par Érostrate - date d'avant J.C. Je parle de méfaits célèbres, comme les chapardages d'André Malraux au Cambodge en 1922 - il avait 21 ans - le vol de la Joconde de 1911 ou le «baiser» sur la toile de Twombly mais aussi de la destruction de la ville de Dresde - la Florence de l'Elbe - des tours jumelles de New York qui regorgeaient d'oeuvres d'art ou de l'incendie du château d'Immendorf en 1945 qui détruisit, outre le magnifique château, 13 toiles de Gustav Klimt
C'est un voyage à travers les continents et les siècles. Je suis très fière que Jean Lacouture ait accepté de le préfacer. Il m'a fait l'honneur et la joie de beaucoup aimer mon livre.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase de Jean-Baptiste Louis Gresset dans Le Méchant, en 1747 : «L'homme éclairé suspend l'éloge et la censure ; Il sait que sur les arts, les esprits et les goûts, le jugement d'un seul n'est pas la loi de tous, qu'attendre est pour juger la règle la meilleure, et que l'arrêt public est le seul qui demeure». Face aux obscurantismes de certaines municipalités qui n'hésitent pas à cacher, détériorer ou détruire des oeuvres sous prétexte qu'elles ne correspondent pas à leurs goûts, il me semble nécessaire de leur rappeler qu'elles n'ont pas droit de vie et de mort sur la création artistique.
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Peut-être «Déserts» d'Edgard Varèse pour la brutalité de certains passages qui, pour moi, évoquent, la brutalité des destructions. Quel scandale lors de sa création en 1954 !
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La fragilité de notre patrimoine artistique, régulièrement détruit pour des causes aussi diverses que l'intolérance religieuse ou politique, la maladresse, l'alcoolisme, la stupidité, la folie etc...
Courrier des auteurs le 09/10/2014
1) Qui êtes-vous ? !
Je codirige la galerie Gimpel & Müller (Paris 6e) tout en écrivant sur l'art. Ma «spécialité» est la biographie vivante, à la première personne, de grands artistes. Je me suis mise dans la peau et les pinceaux de Nicolas de Staël (Les Fulgurances de Nicolas de Staël), Edward Hopper, (Lever de rideau sur Edward Hopper), Henri Matisse (Métamorphoses de Matisse) et tout récemment de Vincent Van Gog (Van Gogh... pour planer au-dessus de la vie).
Ce nouveau livre est différent, c'est un plaidoyer contre les «articides», malheureusement trop fréquents, en 101 histoires improbables mais vraies.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Les agressions, volontaires ou non, contre des peintures, sculptures, monuments, villes... Fléau ancestral puisque le premier «crime» que je relate - la destruction du Temple d'Artémis par Érostrate - date d'avant J.C. Je parle de méfaits célèbres, comme les chapardages d'André Malraux au Cambodge en 1922 - il avait 21 ans - le vol de la Joconde de 1911 ou le «baiser» sur la toile de Twombly mais aussi de la destruction de la ville de Dresde - la Florence de l'Elbe - des tours jumelles de New York qui regorgeaient d'oeuvres d'art ou de l'incendie du château d'Immendorf en 1945 qui détruisit, outre le magnifique château, 13 toiles de Gustav Klimt
C'est un voyage à travers les continents et les siècles. Je suis très fière que Jean Lacouture ait accepté de le préfacer. Il m'a fait l'honneur et la joie de beaucoup aimer mon livre.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase de Jean-Baptiste Louis Gresset dans Le Méchant, en 1747 : «L'homme éclairé suspend l'éloge et la censure ; Il sait que sur les arts, les esprits et les goûts, le jugement d'un seul n'est pas la loi de tous, qu'attendre est pour juger la règle la meilleure, et que l'arrêt public est le seul qui demeure». Face aux obscurantismes de certaines municipalités qui n'hésitent pas à cacher, détériorer ou détruire des oeuvres sous prétexte qu'elles ne correspondent pas à leurs goûts, il me semble nécessaire de leur rappeler qu'elles n'ont pas droit de vie et de mort sur la création artistique.
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Peut-être «Déserts» d'Edgard Varèse pour la brutalité de certains passages qui, pour moi, évoquent, la brutalité des destructions. Quel scandale lors de sa création en 1954 !
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La fragilité de notre patrimoine artistique, régulièrement détruit pour des causes aussi diverses que l'intolérance religieuse ou politique, la maladresse, l'alcoolisme, la stupidité, la folie etc...
Courrier des auteurs le 09/10/2014
1) Qui êtes-vous ? !
Je codirige la galerie Gimpel & Müller (Paris 6e) tout en écrivant sur l'art. Ma «spécialité» est la biographie vivante, à la première personne, de grands artistes. Je me suis mise dans la peau et les pinceaux de Nicolas de Staël (Les Fulgurances de Nicolas de Staël), Edward Hopper, (Lever de rideau sur Edward Hopper), Henri Matisse (Métamorphoses de Matisse) et tout récemment de Vincent Van Gog (Van Gogh... pour planer au-dessus de la vie).
Ce nouveau livre est différent, c'est un plaidoyer contre les «articides», malheureusement trop fréquents, en 101 histoires improbables mais vraies.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Les agressions, volontaires ou non, contre des peintures, sculptures, monuments, villes... Fléau ancestral puisque le premier «crime» que je relate - la destruction du Temple d'Artémis par Érostrate - date d'avant J.C. Je parle de méfaits célèbres, comme les chapardages d'André Malraux au Cambodge en 1922 - il avait 21 ans - le vol de la Joconde de 1911 ou le «baiser» sur la toile de Twombly mais aussi de la destruction de la ville de Dresde - la Florence de l'Elbe - des tours jumelles de New York qui regorgeaient d'oeuvres d'art ou de l'incendie du château d'Immendorf en 1945 qui détruisit, outre le magnifique château, 13 toiles de Gustav Klimt
C'est un voyage à travers les continents et les siècles. Je suis très fière que Jean Lacouture ait accepté de le préfacer. Il m'a fait l'honneur et la joie de beaucoup aimer mon livre.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase de Jean-Baptiste Louis Gresset dans Le Méchant, en 1747 : «L'homme éclairé suspend l'éloge et la censure ; Il sait que sur les arts, les esprits et les goûts, le jugement d'un seul n'est pas la loi de tous, qu'attendre est pour juger la règle la meilleure, et que l'arrêt public est le seul qui demeure». Face aux obscurantismes de certaines municipalités qui n'hésitent pas à cacher, détériorer ou détruire des oeuvres sous prétexte qu'elles ne correspondent pas à leurs goûts, il me semble nécessaire de leur rappeler qu'elles n'ont pas droit de vie et de mort sur la création artistique.
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Peut-être «Déserts» d'Edgard Varèse pour la brutalité de certains passages qui, pour moi, évoquent, la brutalité des destructions. Quel scandale lors de sa création en 1954 !
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La fragilité de notre patrimoine artistique, régulièrement détruit pour des causes aussi diverses que l'intolérance religieuse ou politique, la maladresse, l'alcoolisme, la stupidité, la folie etc...
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Je codirige la galerie Gimpel & Müller (Paris 6e) tout en écrivant sur l'art. Ma «spécialité» est la biographie vivante, à la première personne, de grands artistes. Je me suis mise dans la peau et les pinceaux de Nicolas de Staël (Les Fulgurances de Nicolas de Staël), Edward Hopper, (Lever de rideau sur Edward Hopper), Henri Matisse (Métamorphoses de Matisse) et tout récemment de Vincent Van Gog (Van Gogh... pour planer au-dessus de la vie).
Ce nouveau livre est différent, c'est un plaidoyer contre les «articides», malheureusement trop fréquents, en 101 histoires improbables mais vraies.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Les agressions, volontaires ou non, contre des peintures, sculptures, monuments, villes... Fléau ancestral puisque le premier «crime» que je relate - la destruction du Temple d'Artémis par Érostrate - date d'avant J.C. Je parle de méfaits célèbres, comme les chapardages d'André Malraux au Cambodge en 1922 - il avait 21 ans - le vol de la Joconde de 1911 ou le «baiser» sur la toile de Twombly mais aussi de la destruction de la ville de Dresde - la Florence de l'Elbe - des tours jumelles de New York qui regorgeaient d'oeuvres d'art ou de l'incendie du château d'Immendorf en 1945 qui détruisit, outre le magnifique château, 13 toiles de Gustav Klimt
C'est un voyage à travers les continents et les siècles. Je suis très fière que Jean Lacouture ait accepté de le préfacer. Il m'a fait l'honneur et la joie de beaucoup aimer mon livre.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase de Jean-Baptiste Louis Gresset dans Le Méchant, en 1747 : «L'homme éclairé suspend l'éloge et la censure ; Il sait que sur les arts, les esprits et les goûts, le jugement d'un seul n'est pas la loi de tous, qu'attendre est pour juger la règle la meilleure, et que l'arrêt public est le seul qui demeure». Face aux obscurantismes de certaines municipalités qui n'hésitent pas à cacher, détériorer ou détruire des oeuvres sous prétexte qu'elles ne correspondent pas à leurs goûts, il me semble nécessaire de leur rappeler qu'elles n'ont pas droit de vie et de mort sur la création artistique.
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Peut-être «Déserts» d'Edgard Varèse pour la brutalité de certains passages qui, pour moi, évoquent, la brutalité des destructions. Quel scandale lors de sa création en 1954 !
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La fragilité de notre patrimoine artistique, régulièrement détruit pour des causes aussi diverses que l'intolérance religieuse ou politique, la maladresse, l'alcoolisme, la stupidité, la folie etc...
Courrier des auteurs le 09/10/2014
1) Qui êtes-vous ? !
Je codirige la galerie Gimpel & Müller (Paris 6e) tout en écrivant sur l'art. Ma «spécialité» est la biographie vivante, à la première personne, de grands artistes. Je me suis mise dans la peau et les pinceaux de Nicolas de Staël (Les Fulgurances de Nicolas de Staël), Edward Hopper, (Lever de rideau sur Edward Hopper), Henri Matisse (Métamorphoses de Matisse) et tout récemment de Vincent Van Gog (Van Gogh... pour planer au-dessus de la vie).
Ce nouveau livre est différent, c'est un plaidoyer contre les «articides», malheureusement trop fréquents, en 101 histoires improbables mais vraies.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Les agressions, volontaires ou non, contre des peintures, sculptures, monuments, villes... Fléau ancestral puisque le premier «crime» que je relate - la destruction du Temple d'Artémis par Érostrate - date d'avant J.C. Je parle de méfaits célèbres, comme les chapardages d'André Malraux au Cambodge en 1922 - il avait 21 ans - le vol de la Joconde de 1911 ou le «baiser» sur la toile de Twombly mais aussi de la destruction de la ville de Dresde - la Florence de l'Elbe - des tours jumelles de New York qui regorgeaient d'oeuvres d'art ou de l'incendie du château d'Immendorf en 1945 qui détruisit, outre le magnifique château, 13 toiles de Gustav Klimt
C'est un voyage à travers les continents et les siècles. Je suis très fière que Jean Lacouture ait accepté de le préfacer. Il m'a fait l'honneur et la joie de beaucoup aimer mon livre.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase de Jean-Baptiste Louis Gresset dans Le Méchant, en 1747 : «L'homme éclairé suspend l'éloge et la censure ; Il sait que sur les arts, les esprits et les goûts, le jugement d'un seul n'est pas la loi de tous, qu'attendre est pour juger la règle la meilleure, et que l'arrêt public est le seul qui demeure». Face aux obscurantismes de certaines municipalités qui n'hésitent pas à cacher, détériorer ou détruire des oeuvres sous prétexte qu'elles ne correspondent pas à leurs goûts, il me semble nécessaire de leur rappeler qu'elles n'ont pas droit de vie et de mort sur la création artistique.
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Peut-être «Déserts» d'Edgard Varèse pour la brutalité de certains passages qui, pour moi, évoquent, la brutalité des destructions. Quel scandale lors de sa création en 1954 !
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La fragilité de notre patrimoine artistique, régulièrement détruit pour des causes aussi diverses que l'intolérance religieuse ou politique, la maladresse, l'alcoolisme, la stupidité, la folie etc...
Courrier des auteurs le 09/10/2014
1) Qui êtes-vous ? !
Je codirige la galerie Gimpel & Müller (Paris 6e) tout en écrivant sur l'art. Ma «spécialité» est la biographie vivante, à la première personne, de grands artistes. Je me suis mise dans la peau et les pinceaux de Nicolas de Staël (Les Fulgurances de Nicolas de Staël), Edward Hopper, (Lever de rideau sur Edward Hopper), Henri Matisse (Métamorphoses de Matisse) et tout récemment de Vincent Van Gog (Van Gogh... pour planer au-dessus de la vie).
Ce nouveau livre est différent, c'est un plaidoyer contre les «articides», malheureusement trop fréquents, en 101 histoires improbables mais vraies.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Les agressions, volontaires ou non, contre des peintures, sculptures, monuments, villes... Fléau ancestral puisque le premier «crime» que je relate - la destruction du Temple d'Artémis par Érostrate - date d'avant J.C. Je parle de méfaits célèbres, comme les chapardages d'André Malraux au Cambodge en 1922 - il avait 21 ans - le vol de la Joconde de 1911 ou le «baiser» sur la toile de Twombly mais aussi de la destruction de la ville de Dresde - la Florence de l'Elbe - des tours jumelles de New York qui regorgeaient d'oeuvres d'art ou de l'incendie du château d'Immendorf en 1945 qui détruisit, outre le magnifique château, 13 toiles de Gustav Klimt
C'est un voyage à travers les continents et les siècles. Je suis très fière que Jean Lacouture ait accepté de le préfacer. Il m'a fait l'honneur et la joie de beaucoup aimer mon livre.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase de Jean-Baptiste Louis Gresset dans Le Méchant, en 1747 : «L'homme éclairé suspend l'éloge et la censure ; Il sait que sur les arts, les esprits et les goûts, le jugement d'un seul n'est pas la loi de tous, qu'attendre est pour juger la règle la meilleure, et que l'arrêt public est le seul qui demeure». Face aux obscurantismes de certaines municipalités qui n'hésitent pas à cacher, détériorer ou détruire des oeuvres sous prétexte qu'elles ne correspondent pas à leurs goûts, il me semble nécessaire de leur rappeler qu'elles n'ont pas droit de vie et de mort sur la création artistique.
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Peut-être «Déserts» d'Edgard Varèse pour la brutalité de certains passages qui, pour moi, évoquent, la brutalité des destructions. Quel scandale lors de sa création en 1954 !
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La fragilité de notre patrimoine artistique, régulièrement détruit pour des causes aussi diverses que l'intolérance religieuse ou politique, la maladresse, l'alcoolisme, la stupidité, la folie etc...
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Courrier des auteur
1) Qui êtes-vous ? !
Je codirige la galerie Gimpel & Müller (Paris 6e) tout en écrivant sur l'art. Ma «spécialité» est la biographie vivante, à la première personne, de grands artistes. Je me suis mise dans la peau et les pinceaux de Nicolas de Staël (Les Fulgurances de Nicolas de Staël), Edward Hopper, (Lever de rideau sur Edward Hopper), Henri Matisse (Métamorphoses de Matisse) et tout récemment de Vincent Van Gog (Van Gogh... pour planer au-dessus de la vie).
Ce nouveau livre est différent, c'est un plaidoyer contre les «articides», malheureusement trop fréquents, en 101 histoires improbables mais vraies.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Les agressions, volontaires ou non, contre des peintures, sculptures, monuments, villes... Fléau ancestral puisque le premier «crime» que je relate - la destruction du Temple d'Artémis par Érostrate - date d'avant J.C. Je parle de méfaits célèbres, comme les chapardages d'André Malraux au Cambodge en 1922 - il avait 21 ans - le vol de la Joconde de 1911 ou le «baiser» sur la toile de Twombly mais aussi de la destruction de la ville de Dresde - la Florence de l'Elbe - des tours jumelles de New York qui regorgeaient d'oeuvres d'art ou de l'incendie du château d'Immendorf en 1945 qui détruisit, outre le magnifique château, 13 toiles de Gustav Klimt
C'est un voyage à travers les continents et les siècles. Je suis très fière que Jean Lacouture ait accepté de le préfacer. Il m'a fait l'honneur et la joie de beaucoup aimer mon livre.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase de Jean-Baptiste Louis Gresset dans Le Méchant, en 1747 : «L'homme éclairé suspend l'éloge et la censure ; Il sait que sur les arts, les esprits et les goûts, le jugement d'un seul n'est pas la loi de tous, qu'attendre est pour juger la règle la meilleure, et que l'arrêt public est le seul qui demeure». Face aux obscurantismes de certaines municipalités qui n'hésitent pas à cacher, détériorer ou détruire des oeuvres sous prétexte qu'elles ne correspondent pas à leurs goûts, il me semble nécessaire de leur rappeler qu'elles n'ont pas droit de vie et de mort sur la création artistique.
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Peut-être «Déserts» d'Edgard Varèse pour la brutalité de certains passages qui, pour moi, évoquent, la brutalité des destructions. Quel scandale lors de sa création en 1954 !
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La fragilité de notre patrimoine artistique, régulièrement détruit pour des causes aussi diverses que l'intolérance religieuse ou politique, la maladresse, l'alcoolisme, la stupidité, la folie etc...
Courrier des auteurs le 09/10/2014
1) Qui êtes-vous ? !
Je codirige la galerie Gimpel & Müller (Paris 6e) tout en écrivant sur l'art. Ma «spécialité» est la biographie vivante, à la première personne, de grands artistes. Je me suis mise dans la peau et les pinceaux de Nicolas de Staël (Les Fulgurances de Nicolas de Staël), Edward Hopper, (Lever de rideau sur Edward Hopper), Henri Matisse (Métamorphoses de Matisse) et tout récemment de Vincent Van Gog (Van Gogh... pour planer au-dessus de la vie).
Ce nouveau livre est différent, c'est un plaidoyer contre les «articides», malheureusement trop fréquents, en 101 histoires improbables mais vraies.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Les agressions, volontaires ou non, contre des peintures, sculptures, monuments, villes... Fléau ancestral puisque le premier «crime» que je relate - la destruction du Temple d'Artémis par Érostrate - date d'avant J.C. Je parle de méfaits célèbres, comme les chapardages d'André Malraux au Cambodge en 1922 - il avait 21 ans - le vol de la Joconde de 1911 ou le «baiser» sur la toile de Twombly mais aussi de la destruction de la ville de Dresde - la Florence de l'Elbe - des tours jumelles de New York qui regorgeaient d'oeuvres d'art ou de l'incendie du château d'Immendorf en 1945 qui détruisit, outre le magnifique château, 13 toiles de Gustav Klimt
C'est un voyage à travers les continents et les siècles. Je suis très fière que Jean Lacouture ait accepté de le préfacer. Il m'a fait l'honneur et la joie de beaucoup aimer mon livre.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase de Jean-Baptiste Louis Gresset dans Le Méchant, en 1747 : «L'homme éclairé suspend l'éloge et la censure ; Il sait que sur les arts, les esprits et les goûts, le jugement d'un seul n'est pas la loi de tous, qu'attendre est pour juger la règle la meilleure, et que l'arrêt public est le seul qui demeure». Face aux obscurantismes de certaines municipalités qui n'hésitent pas à cacher, détériorer ou détruire des oeuvres sous prétexte qu'elles ne correspondent pas à leurs goûts, il me semble nécessaire de leur rappeler qu'elles n'ont pas droit de vie et de mort sur la création artistique.
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Peut-être «Déserts» d'Edgard Varèse pour la brutalité de certains passages qui, pour moi, évoquent, la brutalité des destructions. Quel scandale lors de sa création en 1954 !
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La fragilité de notre patrimoine artistique, régulièrement détruit pour des causes aussi diverses que l'intolérance religieuse ou politique, la maladresse, l'alcoolisme, la stupidité, la folie etc...
Courrier des auteurs le 09/10/2014
1) Qui êtes-vous ? !
Je codirige la galerie Gimpel & Müller (Paris 6e) tout en écrivant sur l'art. Ma «spécialité» est la biographie vivante, à la première personne, de grands artistes. Je me suis mise dans la peau et les pinceaux de Nicolas de Staël (Les Fulgurances de Nicolas de Staël), Edward Hopper, (Lever de rideau sur Edward Hopper), Henri Matisse (Métamorphoses de Matisse) et tout récemment de Vincent Van Gog (Van Gogh... pour planer au-dessus de la vie).
Ce nouveau livre est différent, c'est un plaidoyer contre les «articides», malheureusement trop fréquents, en 101 histoires improbables mais vraies.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Les agressions, volontaires ou non, contre des peintures, sculptures, monuments, villes... Fléau ancestral puisque le premier «crime» que je relate - la destruction du Temple d'Artémis par Érostrate - date d'avant J.C. Je parle de méfaits célèbres, comme les chapardages d'André Malraux au Cambodge en 1922 - il avait 21 ans - le vol de la Joconde de 1911 ou le «baiser» sur la toile de Twombly mais aussi de la destruction de la ville de Dresde - la Florence de l'Elbe - des tours jumelles de New York qui regorgeaient d'oeuvres d'art ou de l'incendie du château d'Immendorf en 1945 qui détruisit, outre le magnifique château, 13 toiles de Gustav Klimt
C'est un voyage à travers les continents et les siècles. Je suis très fière que Jean Lacouture ait accepté de le préfacer. Il m'a fait l'honneur et la joie de beaucoup aimer mon livre.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase de Jean-Baptiste Louis Gresset dans Le Méchant, en 1747 : «L'homme éclairé suspend l'éloge et la censure ; Il sait que sur les arts, les esprits et les goûts, le jugement d'un seul n'est pas la loi de tous, qu'attendre est pour juger la règle la meilleure, et que l'arrêt public est le seul qui demeure». Face aux obscurantismes de certaines municipalités qui n'hésitent pas à cacher, détériorer ou détruire des oeuvres sous prétexte qu'elles ne correspondent pas à leurs goûts, il me semble nécessaire de leur rappeler qu'elles n'ont pas droit de vie et de mort sur la création artistique.
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Peut-être «Déserts» d'Edgard Varèse pour la brutalité de certains passages qui, pour moi, évoquent, la brutalité des destructions. Quel scandale lors de sa création en 1954 !
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La fragilité de notre patrimoine artistique, régulièrement détruit pour des causes aussi diverses que l'intolérance religieuse ou politique, la maladresse, l'alcoolisme, la stupidité, la folie etc...
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1) Qui êtes-vous ? !
Je codirige la galerie Gimpel & Müller (Paris 6e) tout en écrivant sur l'art. Ma «spécialité» est la biographie vivante, à la première personne, de grands artistes. Je me suis mise dans la peau et les pinceaux de Nicolas de Staël (Les Fulgurances de Nicolas de Staël), Edward Hopper, (Lever de rideau sur Edward Hopper), Henri Matisse (Métamorphoses de Matisse) et tout récemment de Vincent Van Gog (Van Gogh... pour planer au-dessus de la vie).
Ce nouveau livre est différent, c'est un plaidoyer contre les «articides», malheureusement trop fréquents, en 101 histoires improbables mais vraies.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Les agressions, volontaires ou non, contre des peintures, sculptures, monuments, villes... Fléau ancestral puisque le premier «crime» que je relate - la destruction du Temple d'Artémis par Érostrate - date d'avant J.C. Je parle de méfaits célèbres, comme les chapardages d'André Malraux au Cambodge en 1922 - il avait 21 ans - le vol de la Joconde de 1911 ou le «baiser» sur la toile de Twombly mais aussi de la destruction de la ville de Dresde - la Florence de l'Elbe - des tours jumelles de New York qui regorgeaient d'oeuvres d'art ou de l'incendie du château d'Immendorf en 1945 qui détruisit, outre le magnifique château, 13 toiles de Gustav Klimt
C'est un voyage à travers les continents et les siècles. Je suis très fière que Jean Lacouture ait accepté de le préfacer. Il m'a fait l'honneur et la joie de beaucoup aimer mon livre.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase de Jean-Baptiste Louis Gresset dans Le Méchant, en 1747 : «L'homme éclairé suspend l'éloge et la censure ; Il sait que sur les arts, les esprits et les goûts, le jugement d'un seul n'est pas la loi de tous, qu'attendre est pour juger la règle la meilleure, et que l'arrêt public est le seul qui demeure». Face aux obscurantismes de certaines municipalités qui n'hésitent pas à cacher, détériorer ou détruire des oeuvres sous prétexte qu'elles ne correspondent pas à leurs goûts, il me semble nécessaire de leur rappeler qu'elles n'ont pas droit de vie et de mort sur la création artistique.
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Peut-être «Déserts» d'Edgard Varèse pour la brutalité de certains passages qui, pour moi, évoquent, la brutalité des destructions. Quel scandale lors de sa création en 1954 !
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La fragilité de notre patrimoine artistique, régulièrement détruit pour des causes aussi diverses que l'intolérance religieuse ou politique, la maladresse, l'alcoolisme, la stupidité, la folie etc...
Courrier des auteurs le 09/10/2014
1) Qui êtes-vous ? !
Je codirige la galerie Gimpel & Müller (Paris 6e) tout en écrivant sur l'art. Ma «spécialité» est la biographie vivante, à la première personne, de grands artistes. Je me suis mise dans la peau et les pinceaux de Nicolas de Staël (Les Fulgurances de Nicolas de Staël), Edward Hopper, (Lever de rideau sur Edward Hopper), Henri Matisse (Métamorphoses de Matisse) et tout récemment de Vincent Van Gog (Van Gogh... pour planer au-dessus de la vie).
Ce nouveau livre est différent, c'est un plaidoyer contre les «articides», malheureusement trop fréquents, en 101 histoires improbables mais vraies.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Les agressions, volontaires ou non, contre des peintures, sculptures, monuments, villes... Fléau ancestral puisque le premier «crime» que je relate - la destruction du Temple d'Artémis par Érostrate - date d'avant J.C. Je parle de méfaits célèbres, comme les chapardages d'André Malraux au Cambodge en 1922 - il avait 21 ans - le vol de la Joconde de 1911 ou le «baiser» sur la toile de Twombly mais aussi de la destruction de la ville de Dresde - la Florence de l'Elbe - des tours jumelles de New York qui regorgeaient d'oeuvres d'art ou de l'incendie du château d'Immendorf en 1945 qui détruisit, outre le magnifique château, 13 toiles de Gustav Klimt
C'est un voyage à travers les continents et les siècles. Je suis très fière que Jean Lacouture ait accepté de le préfacer. Il m'a fait l'honneur et la joie de beaucoup aimer mon livre.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase de Jean-Baptiste Louis Gresset dans Le Méchant, en 1747 : «L'homme éclairé suspend l'éloge et la censure ; Il sait que sur les arts, les esprits et les goûts, le jugement d'un seul n'est pas la loi de tous, qu'attendre est pour juger la règle la meilleure, et que l'arrêt public est le seul qui demeure». Face aux obscurantismes de certaines municipalités qui n'hésitent pas à cacher, détériorer ou détruire des oeuvres sous prétexte qu'elles ne correspondent pas à leurs goûts, il me semble nécessaire de leur rappeler qu'elles n'ont pas droit de vie et de mort sur la création artistique.
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Peut-être «Déserts» d'Edgard Varèse pour la brutalité de certains passages qui, pour moi, évoquent, la brutalité des destructions. Quel scandale lors de sa création en 1954 !
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La fragilité de notre patrimoine artistique, régulièrement détruit pour des causes aussi diverses que l'intolérance religieuse ou politique, la maladresse, l'alcoolisme, la stupidité, la folie etc...
Courrier des auteurs le 09/10/2014
1) Qui êtes-vous ? !
Je codirige la galerie Gimpel & Müller (Paris 6e) tout en écrivant sur l'art. Ma «spécialité» est la biographie vivante, à la première personne, de grands artistes. Je me suis mise dans la peau et les pinceaux de Nicolas de Staël (Les Fulgurances de Nicolas de Staël), Edward Hopper, (Lever de rideau sur Edward Hopper), Henri Matisse (Métamorphoses de Matisse) et tout récemment de Vincent Van Gog (Van Gogh... pour planer au-dessus de la vie).
Ce nouveau livre est différent, c'est un plaidoyer contre les «articides», malheureusement trop fréquents, en 101 histoires improbables mais vraies.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
Les agressions, volontaires ou non, contre des peintures, sculptures, monuments, villes... Fléau ancestral puisque le premier «crime» que je relate - la destruction du Temple d'Artémis par Érostrate - date d'avant J.C. Je parle de méfaits célèbres, comme les chapardages d'André Malraux au Cambodge en 1922 - il avait 21 ans - le vol de la Joconde de 1911 ou le «baiser» sur la toile de Twombly mais aussi de la destruction de la ville de Dresde - la Florence de l'Elbe - des tours jumelles de New York qui regorgeaient d'oeuvres d'art ou de l'incendie du château d'Immendorf en 1945 qui détruisit, outre le magnifique château, 13 toiles de Gustav Klimt
C'est un voyage à travers les continents et les siècles. Je suis très fière que Jean Lacouture ait accepté de le préfacer. Il m'a fait l'honneur et la joie de beaucoup aimer mon livre.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Une phrase de Jean-Baptiste Louis Gresset dans Le Méchant, en 1747 : «L'homme éclairé suspend l'éloge et la censure ; Il sait que sur les arts, les esprits et les goûts, le jugement d'un seul n'est pas la loi de tous, qu'attendre est pour juger la règle la meilleure, et que l'arrêt public est le seul qui demeure». Face aux obscurantismes de certaines municipalités qui n'hésitent pas à cacher, détériorer ou détruire des oeuvres sous prétexte qu'elles ne correspondent pas à leurs goûts, il me semble nécessaire de leur rappeler qu'elles n'ont pas droit de vie et de mort sur la création artistique.
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Peut-être «Déserts» d'Edgard Varèse pour la brutalité de certains passages qui, pour moi, évoquent, la brutalité des destructions. Quel scandale lors de sa création en 1954 !
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
La fragilité de notre patrimoine artistique, régulièrement détruit pour des causes aussi diverses que l'intolérance religieuse ou politique, la maladresse, l'alcoolisme, la stupidité, la folie etc...