"Comme un karatéka belge qui fait du cinéma" de Jean-Claude Lalumière chez Dilettante (Paris, France)
•en partenariat avec 20minutes.fr
- Auteur : Jean-Claude Lalumière
- Genre : Romans et nouvelles - français
- Editeur : Dilettante, Paris, France
- Prix : 17.00 €
- Date de sortie : 12/02/2014
- GENCOD : 9782842637934
Résumé
Rescapé de plusieurs redoutables théâtres d'opérations tels que la bureaucratie diplomatique (Le Front russe) ou le tourisme culturel itinérant (La Campagne de France), Jean-Claude Lalumière se risque là dans un monde mouvant et incertain, celui du «Paris, à nous deux !» d'un jeune «apatride social» se sentant mal décrassé de sa campagne et avide d'une grande percée en terre parisienne. Alors, moteur ! Le héros, un gars de Macau en Médoc, fils d'un ouvrier viticole, survivant entre un frère apprenti garagiste et une mère cruciverbiste et méritante, décide un beau jour de déserter les chais pour les sunlights, de monter à Paris, riche de ses seuls yeux fiévreux de jeune cinéphile. Là, il remplit la hotte, vendangeant tout ce qui pousse en matière de culture. Mais la ville a «sur [ses] économies l'effet du soleil sur la cire des ailes d'Icare» et la grande percée n'arrive pas. D'où manoeuvre de repli dans une galerie d'art contemporain où il devient l'homme à tout faire de Monsieur Henry et le spectateur sceptique des «événements» artistiques les plus effervescents. Mais rien n'y fait, pas même son mariage avec la bourgeoise Anne-Sophie, et une permanente mélancolie poisse le quotidien de notre homme. Quand soudain ! un trajet pour le bar du Lutetia prend des allures de chemin de Damas. Il y percute en effet rien de moins que Jean-Claude Van Damme. Barricadé derrière sa bière, il assiste à Van Damme prophète et bonimenteur. Révélation. Un périple romanesque que clôt le pèlerinage aux sources d'un voyage en Médoc entre retrouvailles avec le frère, cendres du père et vaticinations de la mère. Entre roman d'initiation balzacien et film d'une vie rêvée. Dans la vie, le super 8 se gonfle rarement en 35. Chacun son format, telle est la leçon que semble nous souffler, pour son troisième roman, Jean-Claude Lalumière.
«Monsieur Lalumière, vous n'en êtes pas une !» lui répète son professeur de mathématiques. Sans doute faut-il voir là une des raisons qui poussent le jeune Jean-Claude Lalumière vers les études de lettre. Il multiplie ensuite les expériences dans des domaines aussi variés que la papeterie industrielle, le sport, le transport de champignons, l'enseignement, le bâtiment, la radio et l'administration de la culture. De tout cela, et de bien d'autres choses, il s'inspire pour écrire ses romans.
Résumé
Rescapé de plusieurs redoutables théâtres d'opérations tels que la bureaucratie diplomatique (Le Front russe) ou le tourisme culturel itinérant (La Campagne de France), Jean-Claude Lalumière se risque là dans un monde mouvant et incertain, celui du «Paris, à nous deux !» d'un jeune «apatride social» se sentant mal décrassé de sa campagne et avide d'une grande percée en terre parisienne. Alors, moteur ! Le héros, un gars de Macau en Médoc, fils d'un ouvrier viticole, survivant entre un frère apprenti garagiste et une mère cruciverbiste et méritante, décide un beau jour de déserter les chais pour les sunlights, de monter à Paris, riche de ses seuls yeux fiévreux de jeune cinéphile. Là, il remplit la hotte, vendangeant tout ce qui pousse en matière de culture. Mais la ville a «sur [ses] économies l'effet du soleil sur la cire des ailes d'Icare» et la grande percée n'arrive pas. D'où manoeuvre de repli dans une galerie d'art contemporain où il devient l'homme à tout faire de Monsieur Henry et le spectateur sceptique des «événements» artistiques les plus effervescents. Mais rien n'y fait, pas même son mariage avec la bourgeoise Anne-Sophie, et une permanente mélancolie poisse le quotidien de notre homme. Quand soudain ! un trajet pour le bar du Lutetia prend des allures de chemin de Damas. Il y percute en effet rien de moins que Jean-Claude Van Damme. Barricadé derrière sa bière, il assiste à Van Damme prophète et bonimenteur. Révélation. Un périple romanesque que clôt le pèlerinage aux sources d'un voyage en Médoc entre retrouvailles avec le frère, cendres du père et vaticinations de la mère. Entre roman d'initiation balzacien et film d'une vie rêvée. Dans la vie, le super 8 se gonfle rarement en 35. Chacun son format, telle est la leçon que semble nous souffler, pour son troisième roman, Jean-Claude Lalumière.
«Monsieur Lalumière, vous n'en êtes pas une !» lui répète son professeur de mathématiques. Sans doute faut-il voir là une des raisons qui poussent le jeune Jean-Claude Lalumière vers les études de lettre. Il multiplie ensuite les expériences dans des domaines aussi variés que la papeterie industrielle, le sport, le transport de champignons, l'enseignement, le bâtiment, la radio et l'administration de la culture. De tout cela, et de bien d'autres choses, il s'inspire pour écrire ses romans.
Résumé
Rescapé de plusieurs redoutables théâtres d'opérations tels que la bureaucratie diplomatique (Le Front russe) ou le tourisme culturel itinérant (La Campagne de France), Jean-Claude Lalumière se risque là dans un monde mouvant et incertain, celui du «Paris, à nous deux !» d'un jeune «apatride social» se sentant mal décrassé de sa campagne et avide d'une grande percée en terre parisienne. Alors, moteur ! Le héros, un gars de Macau en Médoc, fils d'un ouvrier viticole, survivant entre un frère apprenti garagiste et une mère cruciverbiste et méritante, décide un beau jour de déserter les chais pour les sunlights, de monter à Paris, riche de ses seuls yeux fiévreux de jeune cinéphile. Là, il remplit la hotte, vendangeant tout ce qui pousse en matière de culture. Mais la ville a «sur [ses] économies l'effet du soleil sur la cire des ailes d'Icare» et la grande percée n'arrive pas. D'où manoeuvre de repli dans une galerie d'art contemporain où il devient l'homme à tout faire de Monsieur Henry et le spectateur sceptique des «événements» artistiques les plus effervescents. Mais rien n'y fait, pas même son mariage avec la bourgeoise Anne-Sophie, et une permanente mélancolie poisse le quotidien de notre homme. Quand soudain ! un trajet pour le bar du Lutetia prend des allures de chemin de Damas. Il y percute en effet rien de moins que Jean-Claude Van Damme. Barricadé derrière sa bière, il assiste à Van Damme prophète et bonimenteur. Révélation. Un périple romanesque que clôt le pèlerinage aux sources d'un voyage en Médoc entre retrouvailles avec le frère, cendres du père et vaticinations de la mère. Entre roman d'initiation balzacien et film d'une vie rêvée. Dans la vie, le super 8 se gonfle rarement en 35. Chacun son format, telle est la leçon que semble nous souffler, pour son troisième roman, Jean-Claude Lalumière.
«Monsieur Lalumière, vous n'en êtes pas une !» lui répète son professeur de mathématiques. Sans doute faut-il voir là une des raisons qui poussent le jeune Jean-Claude Lalumière vers les études de lettre. Il multiplie ensuite les expériences dans des domaines aussi variés que la papeterie industrielle, le sport, le transport de champignons, l'enseignement, le bâtiment, la radio et l'administration de la culture. De tout cela, et de bien d'autres choses, il s'inspire pour écrire ses romans.
Résumé
Rescapé de plusieurs redoutables théâtres d'opérations tels que la bureaucratie diplomatique (Le Front russe) ou le tourisme culturel itinérant (La Campagne de France), Jean-Claude Lalumière se risque là dans un monde mouvant et incertain, celui du «Paris, à nous deux !» d'un jeune «apatride social» se sentant mal décrassé de sa campagne et avide d'une grande percée en terre parisienne. Alors, moteur ! Le héros, un gars de Macau en Médoc, fils d'un ouvrier viticole, survivant entre un frère apprenti garagiste et une mère cruciverbiste et méritante, décide un beau jour de déserter les chais pour les sunlights, de monter à Paris, riche de ses seuls yeux fiévreux de jeune cinéphile. Là, il remplit la hotte, vendangeant tout ce qui pousse en matière de culture. Mais la ville a «sur [ses] économies l'effet du soleil sur la cire des ailes d'Icare» et la grande percée n'arrive pas. D'où manoeuvre de repli dans une galerie d'art contemporain où il devient l'homme à tout faire de Monsieur Henry et le spectateur sceptique des «événements» artistiques les plus effervescents. Mais rien n'y fait, pas même son mariage avec la bourgeoise Anne-Sophie, et une permanente mélancolie poisse le quotidien de notre homme. Quand soudain ! un trajet pour le bar du Lutetia prend des allures de chemin de Damas. Il y percute en effet rien de moins que Jean-Claude Van Damme. Barricadé derrière sa bière, il assiste à Van Damme prophète et bonimenteur. Révélation. Un périple romanesque que clôt le pèlerinage aux sources d'un voyage en Médoc entre retrouvailles avec le frère, cendres du père et vaticinations de la mère. Entre roman d'initiation balzacien et film d'une vie rêvée. Dans la vie, le super 8 se gonfle rarement en 35. Chacun son format, telle est la leçon que semble nous souffler, pour son troisième roman, Jean-Claude Lalumière.
«Monsieur Lalumière, vous n'en êtes pas une !» lui répète son professeur de mathématiques. Sans doute faut-il voir là une des raisons qui poussent le jeune Jean-Claude Lalumière vers les études de lettre. Il multiplie ensuite les expériences dans des domaines aussi variés que la papeterie industrielle, le sport, le transport de champignons, l'enseignement, le bâtiment, la radio et l'administration de la culture. De tout cela, et de bien d'autres choses, il s'inspire pour écrire ses romans.
Résumé
Rescapé de plusieurs redoutables théâtres d'opérations tels que la bureaucratie diplomatique (Le Front russe) ou le tourisme culturel itinérant (La Campagne de France), Jean-Claude Lalumière se risque là dans un monde mouvant et incertain, celui du «Paris, à nous deux !» d'un jeune «apatride social» se sentant mal décrassé de sa campagne et avide d'une grande percée en terre parisienne. Alors, moteur ! Le héros, un gars de Macau en Médoc, fils d'un ouvrier viticole, survivant entre un frère apprenti garagiste et une mère cruciverbiste et méritante, décide un beau jour de déserter les chais pour les sunlights, de monter à Paris, riche de ses seuls yeux fiévreux de jeune cinéphile. Là, il remplit la hotte, vendangeant tout ce qui pousse en matière de culture. Mais la ville a «sur [ses] économies l'effet du soleil sur la cire des ailes d'Icare» et la grande percée n'arrive pas. D'où manoeuvre de repli dans une galerie d'art contemporain où il devient l'homme à tout faire de Monsieur Henry et le spectateur sceptique des «événements» artistiques les plus effervescents. Mais rien n'y fait, pas même son mariage avec la bourgeoise Anne-Sophie, et une permanente mélancolie poisse le quotidien de notre homme. Quand soudain ! un trajet pour le bar du Lutetia prend des allures de chemin de Damas. Il y percute en effet rien de moins que Jean-Claude Van Damme. Barricadé derrière sa bière, il assiste à Van Damme prophète et bonimenteur. Révélation. Un périple romanesque que clôt le pèlerinage aux sources d'un voyage en Médoc entre retrouvailles avec le frère, cendres du père et vaticinations de la mère. Entre roman d'initiation balzacien et film d'une vie rêvée. Dans la vie, le super 8 se gonfle rarement en 35. Chacun son format, telle est la leçon que semble nous souffler, pour son troisième roman, Jean-Claude Lalumière.
«Monsieur Lalumière, vous n'en êtes pas une !» lui répète son professeur de mathématiques. Sans doute faut-il voir là une des raisons qui poussent le jeune Jean-Claude Lalumière vers les études de lettre. Il multiplie ensuite les expériences dans des domaines aussi variés que la papeterie industrielle, le sport, le transport de champignons, l'enseignement, le bâtiment, la radio et l'administration de la culture. De tout cela, et de bien d'autres choses, il s'inspire pour écrire ses romans.
Le choix des libraires : choisi le 25/02/2014 par Aurélie Janssens de la librairie PAGE ET PLUME à LIMOGES, France
Aurélie Janssens recommande ce livre au micro d'Augustin Trapenard, dans Le Carnet du libraire, sur France Culture, en partenariat avec Lechoixdeslibraires.com
Le choix des libraires : choisi le 25/02/2014 par Aurélie Janssens de la librairie PAGE ET PLUME à LIMOGES, France
Aurélie Janssens recommande ce livre au micro d'Augustin Trapenard, dans Le Carnet du libraire, sur France Culture, en partenariat avec Lechoixdeslibraires.com
Le choix des libraires : choisi le 25/02/2014 par Aurélie Janssens de la librairie PAGE ET PLUME à LIMOGES, France
Aurélie Janssens recommande ce livre au micro d'Augustin Trapenard, dans Le Carnet du libraire, sur France Culture, en partenariat avec Lechoixdeslibraires.com
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Aurélie Janssens recommande ce livre au micro d'Augustin Trapenard, dans Le Carnet du libraire, sur France Culture, en partenariat avec Lechoixdeslibraires.com
Courrier des auteurs le 22/01/2014
1) Qui êtes-vous ? !
Je cherche encore mais j'ai bon espoir de le découvrir un jour. L'écriture de ce roman m'a laissé entrevoir quelques pistes possibles. Je vous tiens informés dès que j'en sais plus.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
C'est un roman sur l'acceptation de ce que l'on est. Dit ainsi, ça donne l'impression que le narrateur a passé 250 pages à se regarder le nombril... Je résume : un homme reçoit une lettre qui va remettre sa vie en question. Issu d'un milieu modeste, il a gravi l'échelle sociale, mais il a préféré coupé les ponts avec sa famille. Cette lettre va l'obliger à revenir vers elle. Dans ce cheminement qui l'amènera à considérer son histoire, ses origines sociales, sa culture, il trouvera une aide précieuse en la personne de Jean-Claude Van Damme.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Pour ma mère, la révolution plasticienne correspondait à l'arrivée du Tupperware
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Le Nocturne de Schubert auquel viendrait se mêler un petit air d'accordéon
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Un verre de vin, du Médoc bien sûr puisque le narrateur vient de cette région et que le roman nous y mène, et quelques éclats de rire, j'espère.
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Courrier des auteurs le 22/01/2014
1) Qui êtes-vous ? !
Je cherche encore mais j'ai bon espoir de le découvrir un jour. L'écriture de ce roman m'a laissé entrevoir quelques pistes possibles. Je vous tiens informés dès que j'en sais plus.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
C'est un roman sur l'acceptation de ce que l'on est. Dit ainsi, ça donne l'impression que le narrateur a passé 250 pages à se regarder le nombril... Je résume : un homme reçoit une lettre qui va remettre sa vie en question. Issu d'un milieu modeste, il a gravi l'échelle sociale, mais il a préféré coupé les ponts avec sa famille. Cette lettre va l'obliger à revenir vers elle. Dans ce cheminement qui l'amènera à considérer son histoire, ses origines sociales, sa culture, il trouvera une aide précieuse en la personne de Jean-Claude Van Damme.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Pour ma mère, la révolution plasticienne correspondait à l'arrivée du Tupperware
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Le Nocturne de Schubert auquel viendrait se mêler un petit air d'accordéon
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Un verre de vin, du Médoc bien sûr puisque le narrateur vient de cette région et que le roman nous y mène, et quelques éclats de rire, j'espère.
Courrier des auteurs le 22/01/2014
1) Qui êtes-vous ? !
Je cherche encore mais j'ai bon espoir de le découvrir un jour. L'écriture de ce roman m'a laissé entrevoir quelques pistes possibles. Je vous tiens informés dès que j'en sais plus.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
C'est un roman sur l'acceptation de ce que l'on est. Dit ainsi, ça donne l'impression que le narrateur a passé 250 pages à se regarder le nombril... Je résume : un homme reçoit une lettre qui va remettre sa vie en question. Issu d'un milieu modeste, il a gravi l'échelle sociale, mais il a préféré coupé les ponts avec sa famille. Cette lettre va l'obliger à revenir vers elle. Dans ce cheminement qui l'amènera à considérer son histoire, ses origines sociales, sa culture, il trouvera une aide précieuse en la personne de Jean-Claude Van Damme.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Pour ma mère, la révolution plasticienne correspondait à l'arrivée du Tupperware
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Le Nocturne de Schubert auquel viendrait se mêler un petit air d'accordéon
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Un verre de vin, du Médoc bien sûr puisque le narrateur vient de cette région et que le roman nous y mène, et quelques éclats de rire, j'espère.
Courrier des auteurs le 22/01/2014
1) Qui êtes-vous ? !
Je cherche encore mais j'ai bon espoir de le découvrir un jour. L'écriture de ce roman m'a laissé entrevoir quelques pistes possibles. Je vous tiens informés dès que j'en sais plus.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
C'est un roman sur l'acceptation de ce que l'on est. Dit ainsi, ça donne l'impression que le narrateur a passé 250 pages à se regarder le nombril... Je résume : un homme reçoit une lettre qui va remettre sa vie en question. Issu d'un milieu modeste, il a gravi l'échelle sociale, mais il a préféré coupé les ponts avec sa famille. Cette lettre va l'obliger à revenir vers elle. Dans ce cheminement qui l'amènera à considérer son histoire, ses origines sociales, sa culture, il trouvera une aide précieuse en la personne de Jean-Claude Van Damme.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Pour ma mère, la révolution plasticienne correspondait à l'arrivée du Tupperware
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Le Nocturne de Schubert auquel viendrait se mêler un petit air d'accordéon
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Un verre de vin, du Médoc bien sûr puisque le narrateur vient de cette région et que le roman nous y mène, et quelques éclats de rire, j'espère.
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Courrie
1) Qui êtes-vous ? !
Je cherche encore mais j'ai bon espoir de le découvrir un jour. L'écriture de ce roman m'a laissé entrevoir quelques pistes possibles. Je vous tiens informés dès que j'en sais plus.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
C'est un roman sur l'acceptation de ce que l'on est. Dit ainsi, ça donne l'impression que le narrateur a passé 250 pages à se regarder le nombril... Je résume : un homme reçoit une lettre qui va remettre sa vie en question. Issu d'un milieu modeste, il a gravi l'échelle sociale, mais il a préféré coupé les ponts avec sa famille. Cette lettre va l'obliger à revenir vers elle. Dans ce cheminement qui l'amènera à considérer son histoire, ses origines sociales, sa culture, il trouvera une aide précieuse en la personne de Jean-Claude Van Damme.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Pour ma mère, la révolution plasticienne correspondait à l'arrivée du Tupperware
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Le Nocturne de Schubert auquel viendrait se mêler un petit air d'accordéon
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Un verre de vin, du Médoc bien sûr puisque le narrateur vient de cette région et que le roman nous y mène, et quelques éclats de rire, j'espère.
Courrier des auteurs le 22/01/2014
1) Qui êtes-vous ? !
Je cherche encore mais j'ai bon espoir de le découvrir un jour. L'écriture de ce roman m'a laissé entrevoir quelques pistes possibles. Je vous tiens informés dès que j'en sais plus.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
C'est un roman sur l'acceptation de ce que l'on est. Dit ainsi, ça donne l'impression que le narrateur a passé 250 pages à se regarder le nombril... Je résume : un homme reçoit une lettre qui va remettre sa vie en question. Issu d'un milieu modeste, il a gravi l'échelle sociale, mais il a préféré coupé les ponts avec sa famille. Cette lettre va l'obliger à revenir vers elle. Dans ce cheminement qui l'amènera à considérer son histoire, ses origines sociales, sa culture, il trouvera une aide précieuse en la personne de Jean-Claude Van Damme.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Pour ma mère, la révolution plasticienne correspondait à l'arrivée du Tupperware
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Le Nocturne de Schubert auquel viendrait se mêler un petit air d'accordéon
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Un verre de vin, du Médoc bien sûr puisque le narrateur vient de cette région et que le roman nous y mène, et quelques éclats de rire, j'espère.
Courrier des auteurs le 22/01/2014
1) Qui êtes-vous ? !
Je cherche encore mais j'ai bon espoir de le découvrir un jour. L'écriture de ce roman m'a laissé entrevoir quelques pistes possibles. Je vous tiens informés dès que j'en sais plus.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
C'est un roman sur l'acceptation de ce que l'on est. Dit ainsi, ça donne l'impression que le narrateur a passé 250 pages à se regarder le nombril... Je résume : un homme reçoit une lettre qui va remettre sa vie en question. Issu d'un milieu modeste, il a gravi l'échelle sociale, mais il a préféré coupé les ponts avec sa famille. Cette lettre va l'obliger à revenir vers elle. Dans ce cheminement qui l'amènera à considérer son histoire, ses origines sociales, sa culture, il trouvera une aide précieuse en la personne de Jean-Claude Van Damme.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Pour ma mère, la révolution plasticienne correspondait à l'arrivée du Tupperware
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Le Nocturne de Schubert auquel viendrait se mêler un petit air d'accordéon
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Un verre de vin, du Médoc bien sûr puisque le narrateur vient de cette région et que le roman nous y mène, et quelques éclats de rire, j'espère.
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Courrier des auteurs le 22/01/2014
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Je cherche encore mais j'ai bon espoir de le découvrir un jour. L'écriture de ce roman m'a laissé entrevoir quelques pistes possibles. Je vous tiens informés dès que j'en sais plus.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
C'est un roman sur l'acceptation de ce que l'on est. Dit ainsi, ça donne l'impression que le narrateur a passé 250 pages à se regarder le nombril... Je résume : un homme reçoit une lettre qui va remettre sa vie en question. Issu d'un milieu modeste, il a gravi l'échelle sociale, mais il a préféré coupé les ponts avec sa famille. Cette lettre va l'obliger à revenir vers elle. Dans ce cheminement qui l'amènera à considérer son histoire, ses origines sociales, sa culture, il trouvera une aide précieuse en la personne de Jean-Claude Van Damme.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Pour ma mère, la révolution plasticienne correspondait à l'arrivée du Tupperware
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Le Nocturne de Schubert auquel viendrait se mêler un petit air d'accordéon
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Un verre de vin, du Médoc bien sûr puisque le narrateur vient de cette région et que le roman nous y mène, et quelques éclats de rire, j'espère.
Courrier des auteurs le 22/01/2014
1) Qui êtes-vous ? !
Je cherche encore mais j'ai bon espoir de le découvrir un jour. L'écriture de ce roman m'a laissé entrevoir quelques pistes possibles. Je vous tiens informés dès que j'en sais plus.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
C'est un roman sur l'acceptation de ce que l'on est. Dit ainsi, ça donne l'impression que le narrateur a passé 250 pages à se regarder le nombril... Je résume : un homme reçoit une lettre qui va remettre sa vie en question. Issu d'un milieu modeste, il a gravi l'échelle sociale, mais il a préféré coupé les ponts avec sa famille. Cette lettre va l'obliger à revenir vers elle. Dans ce cheminement qui l'amènera à considérer son histoire, ses origines sociales, sa culture, il trouvera une aide précieuse en la personne de Jean-Claude Van Damme.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
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4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
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5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
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Courrier des auteurs le 22/01/2014
1) Qui êtes-vous ? !
Je cherche encore mais j'ai bon espoir de le découvrir un jour. L'écriture de ce roman m'a laissé entrevoir quelques pistes possibles. Je vous tiens informés dès que j'en sais plus.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
C'est un roman sur l'acceptation de ce que l'on est. Dit ainsi, ça donne l'impression que le narrateur a passé 250 pages à se regarder le nombril... Je résume : un homme reçoit une lettre qui va remettre sa vie en question. Issu d'un milieu modeste, il a gravi l'échelle sociale, mais il a préféré coupé les ponts avec sa famille. Cette lettre va l'obliger à revenir vers elle. Dans ce cheminement qui l'amènera à considérer son histoire, ses origines sociales, sa culture, il trouvera une aide précieuse en la personne de Jean-Claude Van Damme.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
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4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
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5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
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Courrier des auteur
1) Qui êtes-vous ? !
Je cherche encore mais j'ai bon espoir de le découvrir un jour. L'écriture de ce roman m'a laissé entrevoir quelques pistes possibles. Je vous tiens informés dès que j'en sais plus.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
C'est un roman sur l'acceptation de ce que l'on est. Dit ainsi, ça donne l'impression que le narrateur a passé 250 pages à se regarder le nombril... Je résume : un homme reçoit une lettre qui va remettre sa vie en question. Issu d'un milieu modeste, il a gravi l'échelle sociale, mais il a préféré coupé les ponts avec sa famille. Cette lettre va l'obliger à revenir vers elle. Dans ce cheminement qui l'amènera à considérer son histoire, ses origines sociales, sa culture, il trouvera une aide précieuse en la personne de Jean-Claude Van Damme.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
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4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Le Nocturne de Schubert auquel viendrait se mêler un petit air d'accordéon
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Un verre de vin, du Médoc bien sûr puisque le narrateur vient de cette région et que le roman nous y mène, et quelques éclats de rire, j'espère.
Courrier des auteurs le 22/01/2014
1) Qui êtes-vous ? !
Je cherche encore mais j'ai bon espoir de le découvrir un jour. L'écriture de ce roman m'a laissé entrevoir quelques pistes possibles. Je vous tiens informés dès que j'en sais plus.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
C'est un roman sur l'acceptation de ce que l'on est. Dit ainsi, ça donne l'impression que le narrateur a passé 250 pages à se regarder le nombril... Je résume : un homme reçoit une lettre qui va remettre sa vie en question. Issu d'un milieu modeste, il a gravi l'échelle sociale, mais il a préféré coupé les ponts avec sa famille. Cette lettre va l'obliger à revenir vers elle. Dans ce cheminement qui l'amènera à considérer son histoire, ses origines sociales, sa culture, il trouvera une aide précieuse en la personne de Jean-Claude Van Damme.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Pour ma mère, la révolution plasticienne correspondait à l'arrivée du Tupperware
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Le Nocturne de Schubert auquel viendrait se mêler un petit air d'accordéon
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Un verre de vin, du Médoc bien sûr puisque le narrateur vient de cette région et que le roman nous y mène, et quelques éclats de rire, j'espère.
Courrier des auteurs le 22/01/2014
1) Qui êtes-vous ? !
Je cherche encore mais j'ai bon espoir de le découvrir un jour. L'écriture de ce roman m'a laissé entrevoir quelques pistes possibles. Je vous tiens informés dès que j'en sais plus.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
C'est un roman sur l'acceptation de ce que l'on est. Dit ainsi, ça donne l'impression que le narrateur a passé 250 pages à se regarder le nombril... Je résume : un homme reçoit une lettre qui va remettre sa vie en question. Issu d'un milieu modeste, il a gravi l'échelle sociale, mais il a préféré coupé les ponts avec sa famille. Cette lettre va l'obliger à revenir vers elle. Dans ce cheminement qui l'amènera à considérer son histoire, ses origines sociales, sa culture, il trouvera une aide précieuse en la personne de Jean-Claude Van Damme.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Pour ma mère, la révolution plasticienne correspondait à l'arrivée du Tupperware
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Le Nocturne de Schubert auquel viendrait se mêler un petit air d'accordéon
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Un verre de vin, du Médoc bien sûr puisque le narrateur vient de cette région et que le roman nous y mène, et quelques éclats de rire, j'espère.
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Courrier des auteurs le 22/01
1) Qui êtes-vous ? !
Je cherche encore mais j'ai bon espoir de le découvrir un jour. L'écriture de ce roman m'a laissé entrevoir quelques pistes possibles. Je vous tiens informés dès que j'en sais plus.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
C'est un roman sur l'acceptation de ce que l'on est. Dit ainsi, ça donne l'impression que le narrateur a passé 250 pages à se regarder le nombril... Je résume : un homme reçoit une lettre qui va remettre sa vie en question. Issu d'un milieu modeste, il a gravi l'échelle sociale, mais il a préféré coupé les ponts avec sa famille. Cette lettre va l'obliger à revenir vers elle. Dans ce cheminement qui l'amènera à considérer son histoire, ses origines sociales, sa culture, il trouvera une aide précieuse en la personne de Jean-Claude Van Damme.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Pour ma mère, la révolution plasticienne correspondait à l'arrivée du Tupperware
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Le Nocturne de Schubert auquel viendrait se mêler un petit air d'accordéon
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Un verre de vin, du Médoc bien sûr puisque le narrateur vient de cette région et que le roman nous y mène, et quelques éclats de rire, j'espère.
Courrier des auteurs le 22/01/2014
1) Qui êtes-vous ? !
Je cherche encore mais j'ai bon espoir de le découvrir un jour. L'écriture de ce roman m'a laissé entrevoir quelques pistes possibles. Je vous tiens informés dès que j'en sais plus.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
C'est un roman sur l'acceptation de ce que l'on est. Dit ainsi, ça donne l'impression que le narrateur a passé 250 pages à se regarder le nombril... Je résume : un homme reçoit une lettre qui va remettre sa vie en question. Issu d'un milieu modeste, il a gravi l'échelle sociale, mais il a préféré coupé les ponts avec sa famille. Cette lettre va l'obliger à revenir vers elle. Dans ce cheminement qui l'amènera à considérer son histoire, ses origines sociales, sa culture, il trouvera une aide précieuse en la personne de Jean-Claude Van Damme.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Pour ma mère, la révolution plasticienne correspondait à l'arrivée du Tupperware
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Le Nocturne de Schubert auquel viendrait se mêler un petit air d'accordéon
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Un verre de vin, du Médoc bien sûr puisque le narrateur vient de cette région et que le roman nous y mène, et quelques éclats de rire, j'espère.
Courrier des auteurs le 22/01/2014
1) Qui êtes-vous ? !
Je cherche encore mais j'ai bon espoir de le découvrir un jour. L'écriture de ce roman m'a laissé entrevoir quelques pistes possibles. Je vous tiens informés dès que j'en sais plus.
2) Quel est le thème central de ce livre ?
C'est un roman sur l'acceptation de ce que l'on est. Dit ainsi, ça donne l'impression que le narrateur a passé 250 pages à se regarder le nombril... Je résume : un homme reçoit une lettre qui va remettre sa vie en question. Issu d'un milieu modeste, il a gravi l'échelle sociale, mais il a préféré coupé les ponts avec sa famille. Cette lettre va l'obliger à revenir vers elle. Dans ce cheminement qui l'amènera à considérer son histoire, ses origines sociales, sa culture, il trouvera une aide précieuse en la personne de Jean-Claude Van Damme.
3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
Pour ma mère, la révolution plasticienne correspondait à l'arrivée du Tupperware
4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Le Nocturne de Schubert auquel viendrait se mêler un petit air d'accordéon
5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Un verre de vin, du Médoc bien sûr puisque le narrateur vient de cette région et que le roman nous y mène, et quelques éclats de rire, j'espère.
La revue de presse : Christian Authier - Le Figaro du 13 février 2014
Parmi les bonheurs de lecture de ce roman, il faut citer la description de Paris digne d'Antoine Blondin, le récit drolatique d'une nuit de dérive avec Jean-Claude Van Damme au bar du Lutetia, la satire irrésistible du monde de l'art contemporain...
l y a surtout l'histoire d'un homme, qui s'est évertué à ne pas être lui-même, condamné à retrouver «les sombres forêts de son enfance». «Il n'est pas possible de s'affranchir sans dommages des rituels ancestraux», se rend compte le héros. Trop tard, évidemment. On ne prend jamais les trains quand il le faudrait. Tout cela est drôle, limpide et terriblement émouvant.
La revue de presse : Christian Authier - Le Figaro du 13 février 2014
Parmi les bonheurs de lecture de ce roman, il faut citer la description de Paris digne d'Antoine Blondin, le récit drolatique d'une nuit de dérive avec Jean-Claude Van Damme au bar du Lutetia, la satire irrésistible du monde de l'art contemporain...
l y a surtout l'histoire d'un homme, qui s'est évertué à ne pas être lui-même, condamné à retrouver «les sombres forêts de son enfance». «Il n'est pas possible de s'affranchir sans dommages des rituels ancestraux», se rend compte le héros. Trop tard, évidemment. On ne prend jamais les trains quand il le faudrait. Tout cela est drôle, limpide et terriblement émouvant.
La revue de presse : Christian Authier - Le Figaro du 13 février 2014
Parmi les bonheurs de lecture de ce roman, il faut citer la description de Paris digne d'Antoine Blondin, le récit drolatique d'une nuit de dérive avec Jean-Claude Van Damme au bar du Lutetia, la satire irrésistible du monde de l'art contemporain...
l y a surtout l'histoire d'un homme, qui s'est évertué à ne pas être lui-même, condamné à retrouver «les sombres forêts de son enfance». «Il n'est pas possible de s'affranchir sans dommages des rituels ancestraux», se rend compte le héros. Trop tard, évidemment. On ne prend jamais les trains quand il le faudrait. Tout cela est drôle, limpide et terriblement émouvant.
La revue de presse : Christian Authier - Le Figaro du 13 février 2014
Parmi les bonheurs de lecture de ce roman, il faut citer la description de Paris digne d'Antoine Blondin, le récit drolatique d'une nuit de dérive avec Jean-Claude Van Damme au bar du Lutetia, la satire irrésistible du monde de l'art contemporain...
l y a surtout l'histoire d'un homme, qui s'est évertué à ne pas être lui-même, condamné à retrouver «les sombres forêts de son enfance». «Il n'est pas possible de s'affranchir sans dommages des rituels ancestraux», se rend compte le héros. Trop tard, évidemment. On ne prend jamais les trains quand il le faudrait. Tout cela est drôle, limpide et terriblement émouvant.