"American desperado" de Jon Roberts ,Evan Wright chez 13e note (Puzol, Espagne)

"American desperado" de Jon Roberts ,Evan Wright chez 13e note (Puzol, Espagne)

en partenariat avec 20minutes.fr

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  • Auteur : Jon Roberts | Evan Wright
  • Traducteur : Patricia Carrera
  • Genre : Biographies, mémoires, correspondances...
  • Editeur : 13e note, Puzol, Espagne
  • Prix : 25.95 €
  • Date de sortie : 23/10/2013
  • GENCOD : 9782363740434

Résumé

Wright est un grand journaliste, Roberts un génie du trime. Ensemble, ils retracent la jeunesse mafieuse de Jon Roberts a New-York, ses dérapages de commando au Vietnam, son ascension de cocaïne cowboy... Ce sera la matière d American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.

«Huns les années 1980, on arrêtait tics petits consommateurs de drogue colombiens qui nous parlaient d'un gringo barbu. [...]
- Il a un nom ?
- John.
Pendant des années, on a recherche un «gringo barbu» nomme John. Je n'ai jamais pense que son nom pouvait s'écrire sans «h». On a récolté quelques informations. C'était un vétéran du Vietnam, un cinglé hyper-violent qui voyageait en compagnie d'un géant.
- Un géant ? Tu te fous de nous '
- Je vous jure, le gringo travaille avec un géant.
Pendant des années, on n'a eu que ça pour enquêter : John. Gringo bai bu. Se balade ava un géant.»

«Dangereux, bourré d'humour noir, terrifiant et superbement écrit, American Desperado est le premier grand livre du XXIème siècle sur le crime.»
Jerry Stahl, New York Times

«Robert est un narrateur bourré de charme, en grande partie grâce au coauteur du livre Evan Wright, qui réussit brillamment à pénétrer son univers terrifiant pour lui permettre de livrer son histoire. Bien que je prie pour ne jamais me retrouver dans la même pièce que Jon Roberts, il m'a été impossible de lâcher son livre.»
Steven Gaines, New York Times

«Un tour de force. Le meilleur récit sur le crime depuis Les Affranchis de Nicholas Pileggi. La découverte d'un monde où il est merveilleux de se balader, épouvantable de vivre. Je n'éprouve que jalousie et admiration à l'égard d'Evan Wright.»
Rich Cohen (coauteur du bestseller When I Stop Talking, You'll Know I'm Dead).

Jon Roberts né Riccobono, a vu le jour en 1948 à New York dans une famille liée au clan Gambino, et est mort d'un cancer en 2011, deux mois après la publication de ses Mémoires. Caïd des cocaïne cowboy, il fut le correspondant US numéro 1 du cartel de Medellín à Miami de 1975 à 1985. Dans American Desperado, Roberts raconte sa vie dans la mafia, le trafic de cocaïne et les services secrets. Arrêté en 1991, après des années en cavale, il a écourté sa peine de prison en devenant indic pour le gouvernement fédéral.

Evan Wright est un journaliste récompensé par de multiples prix (Los Angeles Times Book Award, PEN/Faulkner Award...). Ses reportages en immersion sur des anarchistes, skinheads et autres marginaux ont été publiés par Rolling Stone et Vanity Fair. Ayant accompagné les marines pour couvrir le conflit irakien, il a tiré de cette expérience un roman, Generation Kill, porté à l'écran par la chaîne HBO sous forme de mini-série. En 2008, il débute trois années d'entretiens avec Jon Roberts. Ce sera la matière d'American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.


Résumé

Wright est un grand journaliste, Roberts un génie du trime. Ensemble, ils retracent la jeunesse mafieuse de Jon Roberts a New-York, ses dérapages de commando au Vietnam, son ascension de cocaïne cowboy... Ce sera la matière d American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.

«Huns les années 1980, on arrêtait tics petits consommateurs de drogue colombiens qui nous parlaient d'un gringo barbu. [...]
- Il a un nom ?
- John.
Pendant des années, on a recherche un «gringo barbu» nomme John. Je n'ai jamais pense que son nom pouvait s'écrire sans «h». On a récolté quelques informations. C'était un vétéran du Vietnam, un cinglé hyper-violent qui voyageait en compagnie d'un géant.
- Un géant ? Tu te fous de nous '
- Je vous jure, le gringo travaille avec un géant.
Pendant des années, on n'a eu que ça pour enquêter : John. Gringo bai bu. Se balade ava un géant.»

«Dangereux, bourré d'humour noir, terrifiant et superbement écrit, American Desperado est le premier grand livre du XXIème siècle sur le crime.»
Jerry Stahl, New York Times

«Robert est un narrateur bourré de charme, en grande partie grâce au coauteur du livre Evan Wright, qui réussit brillamment à pénétrer son univers terrifiant pour lui permettre de livrer son histoire. Bien que je prie pour ne jamais me retrouver dans la même pièce que Jon Roberts, il m'a été impossible de lâcher son livre.»
Steven Gaines, New York Times

«Un tour de force. Le meilleur récit sur le crime depuis Les Affranchis de Nicholas Pileggi. La découverte d'un monde où il est merveilleux de se balader, épouvantable de vivre. Je n'éprouve que jalousie et admiration à l'égard d'Evan Wright.»
Rich Cohen (coauteur du bestseller When I Stop Talking, You'll Know I'm Dead).

Jon Roberts né Riccobono, a vu le jour en 1948 à New York dans une famille liée au clan Gambino, et est mort d'un cancer en 2011, deux mois après la publication de ses Mémoires. Caïd des cocaïne cowboy, il fut le correspondant US numéro 1 du cartel de Medellín à Miami de 1975 à 1985. Dans American Desperado, Roberts raconte sa vie dans la mafia, le trafic de cocaïne et les services secrets. Arrêté en 1991, après des années en cavale, il a écourté sa peine de prison en devenant indic pour le gouvernement fédéral.

Evan Wright est un journaliste récompensé par de multiples prix (Los Angeles Times Book Award, PEN/Faulkner Award...). Ses reportages en immersion sur des anarchistes, skinheads et autres marginaux ont été publiés par Rolling Stone et Vanity Fair. Ayant accompagné les marines pour couvrir le conflit irakien, il a tiré de cette expérience un roman, Generation Kill, porté à l'écran par la chaîne HBO sous forme de mini-série. En 2008, il débute trois années d'entretiens avec Jon Roberts. Ce sera la matière d'American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.


Résumé

Wright est un grand journaliste, Roberts un génie du trime. Ensemble, ils retracent la jeunesse mafieuse de Jon Roberts a New-York, ses dérapages de commando au Vietnam, son ascension de cocaïne cowboy... Ce sera la matière d American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.

«Huns les années 1980, on arrêtait tics petits consommateurs de drogue colombiens qui nous parlaient d'un gringo barbu. [...]
- Il a un nom ?
- John.
Pendant des années, on a recherche un «gringo barbu» nomme John. Je n'ai jamais pense que son nom pouvait s'écrire sans «h». On a récolté quelques informations. C'était un vétéran du Vietnam, un cinglé hyper-violent qui voyageait en compagnie d'un géant.
- Un géant ? Tu te fous de nous '
- Je vous jure, le gringo travaille avec un géant.
Pendant des années, on n'a eu que ça pour enquêter : John. Gringo bai bu. Se balade ava un géant.»

«Dangereux, bourré d'humour noir, terrifiant et superbement écrit, American Desperado est le premier grand livre du XXIème siècle sur le crime.»
Jerry Stahl, New York Times

«Robert est un narrateur bourré de charme, en grande partie grâce au coauteur du livre Evan Wright, qui réussit brillamment à pénétrer son univers terrifiant pour lui permettre de livrer son histoire. Bien que je prie pour ne jamais me retrouver dans la même pièce que Jon Roberts, il m'a été impossible de lâcher son livre.»
Steven Gaines, New York Times

«Un tour de force. Le meilleur récit sur le crime depuis Les Affranchis de Nicholas Pileggi. La découverte d'un monde où il est merveilleux de se balader, épouvantable de vivre. Je n'éprouve que jalousie et admiration à l'égard d'Evan Wright.»
Rich Cohen (coauteur du bestseller When I Stop Talking, You'll Know I'm Dead).

Jon Roberts né Riccobono, a vu le jour en 1948 à New York dans une famille liée au clan Gambino, et est mort d'un cancer en 2011, deux mois après la publication de ses Mémoires. Caïd des cocaïne cowboy, il fut le correspondant US numéro 1 du cartel de Medellín à Miami de 1975 à 1985. Dans American Desperado, Roberts raconte sa vie dans la mafia, le trafic de cocaïne et les services secrets. Arrêté en 1991, après des années en cavale, il a écourté sa peine de prison en devenant indic pour le gouvernement fédéral.

Evan Wright est un journaliste récompensé par de multiples prix (Los Angeles Times Book Award, PEN/Faulkner Award...). Ses reportages en immersion sur des anarchistes, skinheads et autres marginaux ont été publiés par Rolling Stone et Vanity Fair. Ayant accompagné les marines pour couvrir le conflit irakien, il a tiré de cette expérience un roman, Generation Kill, porté à l'écran par la chaîne HBO sous forme de mini-série. En 2008, il débute trois années d'entretiens avec Jon Roberts. Ce sera la matière d'American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.


Résumé

Wright est un grand journaliste, Roberts un génie du trime. Ensemble, ils retracent la jeunesse mafieuse de Jon Roberts a New-York, ses dérapages de commando au Vietnam, son ascension de cocaïne cowboy... Ce sera la matière d American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.

«Huns les années 1980, on arrêtait tics petits consommateurs de drogue colombiens qui nous parlaient d'un gringo barbu. [...]
- Il a un nom ?
- John.
Pendant des années, on a recherche un «gringo barbu» nomme John. Je n'ai jamais pense que son nom pouvait s'écrire sans «h». On a récolté quelques informations. C'était un vétéran du Vietnam, un cinglé hyper-violent qui voyageait en compagnie d'un géant.
- Un géant ? Tu te fous de nous '
- Je vous jure, le gringo travaille avec un géant.
Pendant des années, on n'a eu que ça pour enquêter : John. Gringo bai bu. Se balade ava un géant.»

«Dangereux, bourré d'humour noir, terrifiant et superbement écrit, American Desperado est le premier grand livre du XXIème siècle sur le crime.»
Jerry Stahl, New York Times

«Robert est un narrateur bourré de charme, en grande partie grâce au coauteur du livre Evan Wright, qui réussit brillamment à pénétrer son univers terrifiant pour lui permettre de livrer son histoire. Bien que je prie pour ne jamais me retrouver dans la même pièce que Jon Roberts, il m'a été impossible de lâcher son livre.»
Steven Gaines, New York Times

«Un tour de force. Le meilleur récit sur le crime depuis Les Affranchis de Nicholas Pileggi. La découverte d'un monde où il est merveilleux de se balader, épouvantable de vivre. Je n'éprouve que jalousie et admiration à l'égard d'Evan Wright.»
Rich Cohen (coauteur du bestseller When I Stop Talking, You'll Know I'm Dead).

Jon Roberts né Riccobono, a vu le jour en 1948 à New York dans une famille liée au clan Gambino, et est mort d'un cancer en 2011, deux mois après la publication de ses Mémoires. Caïd des cocaïne cowboy, il fut le correspondant US numéro 1 du cartel de Medellín à Miami de 1975 à 1985. Dans American Desperado, Roberts raconte sa vie dans la mafia, le trafic de cocaïne et les services secrets. Arrêté en 1991, après des années en cavale, il a écourté sa peine de prison en devenant indic pour le gouvernement fédéral.

Evan Wright est un journaliste récompensé par de multiples prix (Los Angeles Times Book Award, PEN/Faulkner Award...). Ses reportages en immersion sur des anarchistes, skinheads et autres marginaux ont été publiés par Rolling Stone et Vanity Fair. Ayant accompagné les marines pour couvrir le conflit irakien, il a tiré de cette expérience un roman, Generation Kill, porté à l'écran par la chaîne HBO sous forme de mini-série. En 2008, il débute trois années d'entretiens avec Jon Roberts. Ce sera la matière d'American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.


Résumé

Wright est un grand journaliste, Roberts un génie du trime. Ensemble, ils retracent la jeunesse mafieuse de Jon Roberts a New-York, ses dérapages de commando au Vietnam, son ascension de cocaïne cowboy... Ce sera la matière d American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.

«Huns les années 1980, on arrêtait tics petits consommateurs de drogue colombiens qui nous parlaient d'un gringo barbu. [...]
- Il a un nom ?
- John.
Pendant des années, on a recherche un «gringo barbu» nomme John. Je n'ai jamais pense que son nom pouvait s'écrire sans «h». On a récolté quelques informations. C'était un vétéran du Vietnam, un cinglé hyper-violent qui voyageait en compagnie d'un géant.
- Un géant ? Tu te fous de nous '
- Je vous jure, le gringo travaille avec un géant.
Pendant des années, on n'a eu que ça pour enquêter : John. Gringo bai bu. Se balade ava un géant.»

«Dangereux, bourré d'humour noir, terrifiant et superbement écrit, American Desperado est le premier grand livre du XXIème siècle sur le crime.»
Jerry Stahl, New York Times

«Robert est un narrateur bourré de charme, en grande partie grâce au coauteur du livre Evan Wright, qui réussit brillamment à pénétrer son univers terrifiant pour lui permettre de livrer son histoire. Bien que je prie pour ne jamais me retrouver dans la même pièce que Jon Roberts, il m'a été impossible de lâcher son livre.»
Steven Gaines, New York Times

«Un tour de force. Le meilleur récit sur le crime depuis Les Affranchis de Nicholas Pileggi. La découverte d'un monde où il est merveilleux de se balader, épouvantable de vivre. Je n'éprouve que jalousie et admiration à l'égard d'Evan Wright.»
Rich Cohen (coauteur du bestseller When I Stop Talking, You'll Know I'm Dead).

Jon Roberts né Riccobono, a vu le jour en 1948 à New York dans une famille liée au clan Gambino, et est mort d'un cancer en 2011, deux mois après la publication de ses Mémoires. Caïd des cocaïne cowboy, il fut le correspondant US numéro 1 du cartel de Medellín à Miami de 1975 à 1985. Dans American Desperado, Roberts raconte sa vie dans la mafia, le trafic de cocaïne et les services secrets. Arrêté en 1991, après des années en cavale, il a écourté sa peine de prison en devenant indic pour le gouvernement fédéral.

Evan Wright est un journaliste récompensé par de multiples prix (Los Angeles Times Book Award, PEN/Faulkner Award...). Ses reportages en immersion sur des anarchistes, skinheads et autres marginaux ont été publiés par Rolling Stone et Vanity Fair. Ayant accompagné les marines pour couvrir le conflit irakien, il a tiré de cette expérience un roman, Generation Kill, porté à l'écran par la chaîne HBO sous forme de mini-série. En 2008, il débute trois années d'entretiens avec Jon Roberts. Ce sera la matière d'American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.


Résumé

Wright est un grand journaliste, Roberts un génie du trime. Ensemble, ils retracent la jeunesse mafieuse de Jon Roberts a New-York, ses dérapages de commando au Vietnam, son ascension de cocaïne cowboy... Ce sera la matière d American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.

«Huns les années 1980, on arrêtait tics petits consommateurs de drogue colombiens qui nous parlaient d'un gringo barbu. [...]
- Il a un nom ?
- John.
Pendant des années, on a recherche un «gringo barbu» nomme John. Je n'ai jamais pense que son nom pouvait s'écrire sans «h». On a récolté quelques informations. C'était un vétéran du Vietnam, un cinglé hyper-violent qui voyageait en compagnie d'un géant.
- Un géant ? Tu te fous de nous '
- Je vous jure, le gringo travaille avec un géant.
Pendant des années, on n'a eu que ça pour enquêter : John. Gringo bai bu. Se balade ava un géant.»

«Dangereux, bourré d'humour noir, terrifiant et superbement écrit, American Desperado est le premier grand livre du XXIème siècle sur le crime.»
Jerry Stahl, New York Times

«Robert est un narrateur bourré de charme, en grande partie grâce au coauteur du livre Evan Wright, qui réussit brillamment à pénétrer son univers terrifiant pour lui permettre de livrer son histoire. Bien que je prie pour ne jamais me retrouver dans la même pièce que Jon Roberts, il m'a été impossible de lâcher son livre.»
Steven Gaines, New York Times

«Un tour de force. Le meilleur récit sur le crime depuis Les Affranchis de Nicholas Pileggi. La découverte d'un monde où il est merveilleux de se balader, épouvantable de vivre. Je n'éprouve que jalousie et admiration à l'égard d'Evan Wright.»
Rich Cohen (coauteur du bestseller When I Stop Talking, You'll Know I'm Dead).

Jon Roberts né Riccobono, a vu le jour en 1948 à New York dans une famille liée au clan Gambino, et est mort d'un cancer en 2011, deux mois après la publication de ses Mémoires. Caïd des cocaïne cowboy, il fut le correspondant US numéro 1 du cartel de Medellín à Miami de 1975 à 1985. Dans American Desperado, Roberts raconte sa vie dans la mafia, le trafic de cocaïne et les services secrets. Arrêté en 1991, après des années en cavale, il a écourté sa peine de prison en devenant indic pour le gouvernement fédéral.

Evan Wright est un journaliste récompensé par de multiples prix (Los Angeles Times Book Award, PEN/Faulkner Award...). Ses reportages en immersion sur des anarchistes, skinheads et autres marginaux ont été publiés par Rolling Stone et Vanity Fair. Ayant accompagné les marines pour couvrir le conflit irakien, il a tiré de cette expérience un roman, Generation Kill, porté à l'écran par la chaîne HBO sous forme de mini-série. En 2008, il débute trois années d'entretiens avec Jon Roberts. Ce sera la matière d'American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.


Résumé

Wright est un grand journaliste, Roberts un génie du trime. Ensemble, ils retracent la jeunesse mafieuse de Jon Roberts a New-York, ses dérapages de commando au Vietnam, son ascension de cocaïne cowboy... Ce sera la matière d American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.

«Huns les années 1980, on arrêtait tics petits consommateurs de drogue colombiens qui nous parlaient d'un gringo barbu. [...]
- Il a un nom ?
- John.
Pendant des années, on a recherche un «gringo barbu» nomme John. Je n'ai jamais pense que son nom pouvait s'écrire sans «h». On a récolté quelques informations. C'était un vétéran du Vietnam, un cinglé hyper-violent qui voyageait en compagnie d'un géant.
- Un géant ? Tu te fous de nous '
- Je vous jure, le gringo travaille avec un géant.
Pendant des années, on n'a eu que ça pour enquêter : John. Gringo bai bu. Se balade ava un géant.»

«Dangereux, bourré d'humour noir, terrifiant et superbement écrit, American Desperado est le premier grand livre du XXIème siècle sur le crime.»
Jerry Stahl, New York Times

«Robert est un narrateur bourré de charme, en grande partie grâce au coauteur du livre Evan Wright, qui réussit brillamment à pénétrer son univers terrifiant pour lui permettre de livrer son histoire. Bien que je prie pour ne jamais me retrouver dans la même pièce que Jon Roberts, il m'a été impossible de lâcher son livre.»
Steven Gaines, New York Times

«Un tour de force. Le meilleur récit sur le crime depuis Les Affranchis de Nicholas Pileggi. La découverte d'un monde où il est merveilleux de se balader, épouvantable de vivre. Je n'éprouve que jalousie et admiration à l'égard d'Evan Wright.»
Rich Cohen (coauteur du bestseller When I Stop Talking, You'll Know I'm Dead).

Jon Roberts né Riccobono, a vu le jour en 1948 à New York dans une famille liée au clan Gambino, et est mort d'un cancer en 2011, deux mois après la publication de ses Mémoires. Caïd des cocaïne cowboy, il fut le correspondant US numéro 1 du cartel de Medellín à Miami de 1975 à 1985. Dans American Desperado, Roberts raconte sa vie dans la mafia, le trafic de cocaïne et les services secrets. Arrêté en 1991, après des années en cavale, il a écourté sa peine de prison en devenant indic pour le gouvernement fédéral.

Evan Wright est un journaliste récompensé par de multiples prix (Los Angeles Times Book Award, PEN/Faulkner Award...). Ses reportages en immersion sur des anarchistes, skinheads et autres marginaux ont été publiés par Rolling Stone et Vanity Fair. Ayant accompagné les marines pour couvrir le conflit irakien, il a tiré de cette expérience un roman, Generation Kill, porté à l'écran par la chaîne HBO sous forme de mini-série. En 2008, il débute trois années d'entretiens avec Jon Roberts. Ce sera la matière d'American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.


Résumé

Wright est un grand journaliste, Roberts un génie du trime. Ensemble, ils retracent la jeunesse mafieuse de Jon Roberts a New-York, ses dérapages de commando au Vietnam, son ascension de cocaïne cowboy... Ce sera la matière d American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.

«Huns les années 1980, on arrêtait tics petits consommateurs de drogue colombiens qui nous parlaient d'un gringo barbu. [...]
- Il a un nom ?
- John.
Pendant des années, on a recherche un «gringo barbu» nomme John. Je n'ai jamais pense que son nom pouvait s'écrire sans «h». On a récolté quelques informations. C'était un vétéran du Vietnam, un cinglé hyper-violent qui voyageait en compagnie d'un géant.
- Un géant ? Tu te fous de nous '
- Je vous jure, le gringo travaille avec un géant.
Pendant des années, on n'a eu que ça pour enquêter : John. Gringo bai bu. Se balade ava un géant.»

«Dangereux, bourré d'humour noir, terrifiant et superbement écrit, American Desperado est le premier grand livre du XXIème siècle sur le crime.»
Jerry Stahl, New York Times

«Robert est un narrateur bourré de charme, en grande partie grâce au coauteur du livre Evan Wright, qui réussit brillamment à pénétrer son univers terrifiant pour lui permettre de livrer son histoire. Bien que je prie pour ne jamais me retrouver dans la même pièce que Jon Roberts, il m'a été impossible de lâcher son livre.»
Steven Gaines, New York Times

«Un tour de force. Le meilleur récit sur le crime depuis Les Affranchis de Nicholas Pileggi. La découverte d'un monde où il est merveilleux de se balader, épouvantable de vivre. Je n'éprouve que jalousie et admiration à l'égard d'Evan Wright.»
Rich Cohen (coauteur du bestseller When I Stop Talking, You'll Know I'm Dead).

Jon Roberts né Riccobono, a vu le jour en 1948 à New York dans une famille liée au clan Gambino, et est mort d'un cancer en 2011, deux mois après la publication de ses Mémoires. Caïd des cocaïne cowboy, il fut le correspondant US numéro 1 du cartel de Medellín à Miami de 1975 à 1985. Dans American Desperado, Roberts raconte sa vie dans la mafia, le trafic de cocaïne et les services secrets. Arrêté en 1991, après des années en cavale, il a écourté sa peine de prison en devenant indic pour le gouvernement fédéral.

Evan Wright est un journaliste récompensé par de multiples prix (Los Angeles Times Book Award, PEN/Faulkner Award...). Ses reportages en immersion sur des anarchistes, skinheads et autres marginaux ont été publiés par Rolling Stone et Vanity Fair. Ayant accompagné les marines pour couvrir le conflit irakien, il a tiré de cette expérience un roman, Generation Kill, porté à l'écran par la chaîne HBO sous forme de mini-série. En 2008, il débute trois années d'entretiens avec Jon Roberts. Ce sera la matière d'American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.


Résumé

Wright est un grand journaliste, Roberts un génie du trime. Ensemble, ils retracent la jeunesse mafieuse de Jon Roberts a New-York, ses dérapages de commando au Vietnam, son ascension de cocaïne cowboy... Ce sera la matière d American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.

«Huns les années 1980, on arrêtait tics petits consommateurs de drogue colombiens qui nous parlaient d'un gringo barbu. [...]
- Il a un nom ?
- John.
Pendant des années, on a recherche un «gringo barbu» nomme John. Je n'ai jamais pense que son nom pouvait s'écrire sans «h». On a récolté quelques informations. C'était un vétéran du Vietnam, un cinglé hyper-violent qui voyageait en compagnie d'un géant.
- Un géant ? Tu te fous de nous '
- Je vous jure, le gringo travaille avec un géant.
Pendant des années, on n'a eu que ça pour enquêter : John. Gringo bai bu. Se balade ava un géant.»

«Dangereux, bourré d'humour noir, terrifiant et superbement écrit, American Desperado est le premier grand livre du XXIème siècle sur le crime.»
Jerry Stahl, New York Times

«Robert est un narrateur bourré de charme, en grande partie grâce au coauteur du livre Evan Wright, qui réussit brillamment à pénétrer son univers terrifiant pour lui permettre de livrer son histoire. Bien que je prie pour ne jamais me retrouver dans la même pièce que Jon Roberts, il m'a été impossible de lâcher son livre.»
Steven Gaines, New York Times

«Un tour de force. Le meilleur récit sur le crime depuis Les Affranchis de Nicholas Pileggi. La découverte d'un monde où il est merveilleux de se balader, épouvantable de vivre. Je n'éprouve que jalousie et admiration à l'égard d'Evan Wright.»
Rich Cohen (coauteur du bestseller When I Stop Talking, You'll Know I'm Dead).

Jon Roberts né Riccobono, a vu le jour en 1948 à New York dans une famille liée au clan Gambino, et est mort d'un cancer en 2011, deux mois après la publication de ses Mémoires. Caïd des cocaïne cowboy, il fut le correspondant US numéro 1 du cartel de Medellín à Miami de 1975 à 1985. Dans American Desperado, Roberts raconte sa vie dans la mafia, le trafic de cocaïne et les services secrets. Arrêté en 1991, après des années en cavale, il a écourté sa peine de prison en devenant indic pour le gouvernement fédéral.

Evan Wright est un journaliste récompensé par de multiples prix (Los Angeles Times Book Award, PEN/Faulkner Award...). Ses reportages en immersion sur des anarchistes, skinheads et autres marginaux ont été publiés par Rolling Stone et Vanity Fair. Ayant accompagné les marines pour couvrir le conflit irakien, il a tiré de cette expérience un roman, Generation Kill, porté à l'écran par la chaîne HBO sous forme de mini-série. En 2008, il débute trois années d'entretiens avec Jon Roberts. Ce sera la matière d'American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.


Résumé

Wright est un grand journaliste, Roberts un génie du trime. Ensemble, ils retracent la jeunesse mafieuse de Jon Roberts a New-York, ses dérapages de commando au Vietnam, son ascension de cocaïne cowboy... Ce sera la matière d American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.

«Huns les années 1980, on arrêtait tics petits consommateurs de drogue colombiens qui nous parlaient d'un gringo barbu. [...]
- Il a un nom ?
- John.
Pendant des années, on a recherche un «gringo barbu» nomme John. Je n'ai jamais pense que son nom pouvait s'écrire sans «h». On a récolté quelques informations. C'était un vétéran du Vietnam, un cinglé hyper-violent qui voyageait en compagnie d'un géant.
- Un géant ? Tu te fous de nous '
- Je vous jure, le gringo travaille avec un géant.
Pendant des années, on n'a eu que ça pour enquêter : John. Gringo bai bu. Se balade ava un géant.»

«Dangereux, bourré d'humour noir, terrifiant et superbement écrit, American Desperado est le premier grand livre du XXIème siècle sur le crime.»
Jerry Stahl, New York Times

«Robert est un narrateur bourré de charme, en grande partie grâce au coauteur du livre Evan Wright, qui réussit brillamment à pénétrer son univers terrifiant pour lui permettre de livrer son histoire. Bien que je prie pour ne jamais me retrouver dans la même pièce que Jon Roberts, il m'a été impossible de lâcher son livre.»
Steven Gaines, New York Times

«Un tour de force. Le meilleur récit sur le crime depuis Les Affranchis de Nicholas Pileggi. La découverte d'un monde où il est merveilleux de se balader, épouvantable de vivre. Je n'éprouve que jalousie et admiration à l'égard d'Evan Wright.»
Rich Cohen (coauteur du bestseller When I Stop Talking, You'll Know I'm Dead).

Jon Roberts né Riccobono, a vu le jour en 1948 à New York dans une famille liée au clan Gambino, et est mort d'un cancer en 2011, deux mois après la publication de ses Mémoires. Caïd des cocaïne cowboy, il fut le correspondant US numéro 1 du cartel de Medellín à Miami de 1975 à 1985. Dans American Desperado, Roberts raconte sa vie dans la mafia, le trafic de cocaïne et les services secrets. Arrêté en 1991, après des années en cavale, il a écourté sa peine de prison en devenant indic pour le gouvernement fédéral.

Evan Wright est un journaliste récompensé par de multiples prix (Los Angeles Times Book Award, PEN/Faulkner Award...). Ses reportages en immersion sur des anarchistes, skinheads et autres marginaux ont été publiés par Rolling Stone et Vanity Fair. Ayant accompagné les marines pour couvrir le conflit irakien, il a tiré de cette expérience un roman, Generation Kill, porté à l'écran par la chaîne HBO sous forme de mini-série. En 2008, il débute trois années d'entretiens avec Jon Roberts. Ce sera la matière d'American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.


Résumé

Wright est un grand journaliste, Roberts un génie du trime. Ensemble, ils retracent la jeunesse mafieuse de Jon Roberts a New-York, ses dérapages de commando au Vietnam, son ascension de cocaïne cowboy... Ce sera la matière d American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.

«Huns les années 1980, on arrêtait tics petits consommateurs de drogue colombiens qui nous parlaient d'un gringo barbu. [...]
- Il a un nom ?
- John.
Pendant des années, on a recherche un «gringo barbu» nomme John. Je n'ai jamais pense que son nom pouvait s'écrire sans «h». On a récolté quelques informations. C'était un vétéran du Vietnam, un cinglé hyper-violent qui voyageait en compagnie d'un géant.
- Un géant ? Tu te fous de nous '
- Je vous jure, le gringo travaille avec un géant.
Pendant des années, on n'a eu que ça pour enquêter : John. Gringo bai bu. Se balade ava un géant.»

«Dangereux, bourré d'humour noir, terrifiant et superbement écrit, American Desperado est le premier grand livre du XXIème siècle sur le crime.»
Jerry Stahl, New York Times

«Robert est un narrateur bourré de charme, en grande partie grâce au coauteur du livre Evan Wright, qui réussit brillamment à pénétrer son univers terrifiant pour lui permettre de livrer son histoire. Bien que je prie pour ne jamais me retrouver dans la même pièce que Jon Roberts, il m'a été impossible de lâcher son livre.»
Steven Gaines, New York Times

«Un tour de force. Le meilleur récit sur le crime depuis Les Affranchis de Nicholas Pileggi. La découverte d'un monde où il est merveilleux de se balader, épouvantable de vivre. Je n'éprouve que jalousie et admiration à l'égard d'Evan Wright.»
Rich Cohen (coauteur du bestseller When I Stop Talking, You'll Know I'm Dead).

Jon Roberts né Riccobono, a vu le jour en 1948 à New York dans une famille liée au clan Gambino, et est mort d'un cancer en 2011, deux mois après la publication de ses Mémoires. Caïd des cocaïne cowboy, il fut le correspondant US numéro 1 du cartel de Medellín à Miami de 1975 à 1985. Dans American Desperado, Roberts raconte sa vie dans la mafia, le trafic de cocaïne et les services secrets. Arrêté en 1991, après des années en cavale, il a écourté sa peine de prison en devenant indic pour le gouvernement fédéral.

Evan Wright est un journaliste récompensé par de multiples prix (Los Angeles Times Book Award, PEN/Faulkner Award...). Ses reportages en immersion sur des anarchistes, skinheads et autres marginaux ont été publiés par Rolling Stone et Vanity Fair. Ayant accompagné les marines pour couvrir le conflit irakien, il a tiré de cette expérience un roman, Generation Kill, porté à l'écran par la chaîne HBO sous forme de mini-série. En 2008, il débute trois années d'entretiens avec Jon Roberts. Ce sera la matière d'American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.


Résumé

Wright est un grand journaliste, Roberts un génie du trime. Ensemble, ils retracent la jeunesse mafieuse de Jon Roberts a New-York, ses dérapages de commando au Vietnam, son ascension de cocaïne cowboy... Ce sera la matière d American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.

«Huns les années 1980, on arrêtait tics petits consommateurs de drogue colombiens qui nous parlaient d'un gringo barbu. [...]
- Il a un nom ?
- John.
Pendant des années, on a recherche un «gringo barbu» nomme John. Je n'ai jamais pense que son nom pouvait s'écrire sans «h». On a récolté quelques informations. C'était un vétéran du Vietnam, un cinglé hyper-violent qui voyageait en compagnie d'un géant.
- Un géant ? Tu te fous de nous '
- Je vous jure, le gringo travaille avec un géant.
Pendant des années, on n'a eu que ça pour enquêter : John. Gringo bai bu. Se balade ava un géant.»

«Dangereux, bourré d'humour noir, terrifiant et superbement écrit, American Desperado est le premier grand livre du XXIème siècle sur le crime.»
Jerry Stahl, New York Times

«Robert est un narrateur bourré de charme, en grande partie grâce au coauteur du livre Evan Wright, qui réussit brillamment à pénétrer son univers terrifiant pour lui permettre de livrer son histoire. Bien que je prie pour ne jamais me retrouver dans la même pièce que Jon Roberts, il m'a été impossible de lâcher son livre.»
Steven Gaines, New York Times

«Un tour de force. Le meilleur récit sur le crime depuis Les Affranchis de Nicholas Pileggi. La découverte d'un monde où il est merveilleux de se balader, épouvantable de vivre. Je n'éprouve que jalousie et admiration à l'égard d'Evan Wright.»
Rich Cohen (coauteur du bestseller When I Stop Talking, You'll Know I'm Dead).

Jon Roberts né Riccobono, a vu le jour en 1948 à New York dans une famille liée au clan Gambino, et est mort d'un cancer en 2011, deux mois après la publication de ses Mémoires. Caïd des cocaïne cowboy, il fut le correspondant US numéro 1 du cartel de Medellín à Miami de 1975 à 1985. Dans American Desperado, Roberts raconte sa vie dans la mafia, le trafic de cocaïne et les services secrets. Arrêté en 1991, après des années en cavale, il a écourté sa peine de prison en devenant indic pour le gouvernement fédéral.

Evan Wright est un journaliste récompensé par de multiples prix (Los Angeles Times Book Award, PEN/Faulkner Award...). Ses reportages en immersion sur des anarchistes, skinheads et autres marginaux ont été publiés par Rolling Stone et Vanity Fair. Ayant accompagné les marines pour couvrir le conflit irakien, il a tiré de cette expérience un roman, Generation Kill, porté à l'écran par la chaîne HBO sous forme de mini-série. En 2008, il débute trois années d'entretiens avec Jon Roberts. Ce sera la matière d'American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.


Résumé

Wright est un grand journaliste, Roberts un génie du trime. Ensemble, ils retracent la jeunesse mafieuse de Jon Roberts a New-York, ses dérapages de commando au Vietnam, son ascension de cocaïne cowboy... Ce sera la matière d American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.

«Huns les années 1980, on arrêtait tics petits consommateurs de drogue colombiens qui nous parlaient d'un gringo barbu. [...]
- Il a un nom ?
- John.
Pendant des années, on a recherche un «gringo barbu» nomme John. Je n'ai jamais pense que son nom pouvait s'écrire sans «h». On a récolté quelques informations. C'était un vétéran du Vietnam, un cinglé hyper-violent qui voyageait en compagnie d'un géant.
- Un géant ? Tu te fous de nous '
- Je vous jure, le gringo travaille avec un géant.
Pendant des années, on n'a eu que ça pour enquêter : John. Gringo bai bu. Se balade ava un géant.»

«Dangereux, bourré d'humour noir, terrifiant et superbement écrit, American Desperado est le premier grand livre du XXIème siècle sur le crime.»
Jerry Stahl, New York Times

«Robert est un narrateur bourré de charme, en grande partie grâce au coauteur du livre Evan Wright, qui réussit brillamment à pénétrer son univers terrifiant pour lui permettre de livrer son histoire. Bien que je prie pour ne jamais me retrouver dans la même pièce que Jon Roberts, il m'a été impossible de lâcher son livre.»
Steven Gaines, New York Times

«Un tour de force. Le meilleur récit sur le crime depuis Les Affranchis de Nicholas Pileggi. La découverte d'un monde où il est merveilleux de se balader, épouvantable de vivre. Je n'éprouve que jalousie et admiration à l'égard d'Evan Wright.»
Rich Cohen (coauteur du bestseller When I Stop Talking, You'll Know I'm Dead).

Jon Roberts né Riccobono, a vu le jour en 1948 à New York dans une famille liée au clan Gambino, et est mort d'un cancer en 2011, deux mois après la publication de ses Mémoires. Caïd des cocaïne cowboy, il fut le correspondant US numéro 1 du cartel de Medellín à Miami de 1975 à 1985. Dans American Desperado, Roberts raconte sa vie dans la mafia, le trafic de cocaïne et les services secrets. Arrêté en 1991, après des années en cavale, il a écourté sa peine de prison en devenant indic pour le gouvernement fédéral.

Evan Wright est un journaliste récompensé par de multiples prix (Los Angeles Times Book Award, PEN/Faulkner Award...). Ses reportages en immersion sur des anarchistes, skinheads et autres marginaux ont été publiés par Rolling Stone et Vanity Fair. Ayant accompagné les marines pour couvrir le conflit irakien, il a tiré de cette expérience un roman, Generation Kill, porté à l'écran par la chaîne HBO sous forme de mini-série. En 2008, il débute trois années d'entretiens avec Jon Roberts. Ce sera la matière d'American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.


Résumé

Wright est un grand journaliste, Roberts un génie du trime. Ensemble, ils retracent la jeunesse mafieuse de Jon Roberts a New-York, ses dérapages de commando au Vietnam, son ascension de cocaïne cowboy... Ce sera la matière d American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.

«Huns les années 1980, on arrêtait tics petits consommateurs de drogue colombiens qui nous parlaient d'un gringo barbu. [...]
- Il a un nom ?
- John.
Pendant des années, on a recherche un «gringo barbu» nomme John. Je n'ai jamais pense que son nom pouvait s'écrire sans «h». On a récolté quelques informations. C'était un vétéran du Vietnam, un cinglé hyper-violent qui voyageait en compagnie d'un géant.
- Un géant ? Tu te fous de nous '
- Je vous jure, le gringo travaille avec un géant.
Pendant des années, on n'a eu que ça pour enquêter : John. Gringo bai bu. Se balade ava un géant.»

«Dangereux, bourré d'humour noir, terrifiant et superbement écrit, American Desperado est le premier grand livre du XXIème siècle sur le crime.»
Jerry Stahl, New York Times

«Robert est un narrateur bourré de charme, en grande partie grâce au coauteur du livre Evan Wright, qui réussit brillamment à pénétrer son univers terrifiant pour lui permettre de livrer son histoire. Bien que je prie pour ne jamais me retrouver dans la même pièce que Jon Roberts, il m'a été impossible de lâcher son livre.»
Steven Gaines, New York Times

«Un tour de force. Le meilleur récit sur le crime depuis Les Affranchis de Nicholas Pileggi. La découverte d'un monde où il est merveilleux de se balader, épouvantable de vivre. Je n'éprouve que jalousie et admiration à l'égard d'Evan Wright.»
Rich Cohen (coauteur du bestseller When I Stop Talking, You'll Know I'm Dead).

Jon Roberts né Riccobono, a vu le jour en 1948 à New York dans une famille liée au clan Gambino, et est mort d'un cancer en 2011, deux mois après la publication de ses Mémoires. Caïd des cocaïne cowboy, il fut le correspondant US numéro 1 du cartel de Medellín à Miami de 1975 à 1985. Dans American Desperado, Roberts raconte sa vie dans la mafia, le trafic de cocaïne et les services secrets. Arrêté en 1991, après des années en cavale, il a écourté sa peine de prison en devenant indic pour le gouvernement fédéral.

Evan Wright est un journaliste récompensé par de multiples prix (Los Angeles Times Book Award, PEN/Faulkner Award...). Ses reportages en immersion sur des anarchistes, skinheads et autres marginaux ont été publiés par Rolling Stone et Vanity Fair. Ayant accompagné les marines pour couvrir le conflit irakien, il a tiré de cette expérience un roman, Generation Kill, porté à l'écran par la chaîne HBO sous forme de mini-série. En 2008, il débute trois années d'entretiens avec Jon Roberts. Ce sera la matière d'American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.


Résumé

Wright est un grand journaliste, Roberts un génie du trime. Ensemble, ils retracent la jeunesse mafieuse de Jon Roberts a New-York, ses dérapages de commando au Vietnam, son ascension de cocaïne cowboy... Ce sera la matière d American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.

«Huns les années 1980, on arrêtait tics petits consommateurs de drogue colombiens qui nous parlaient d'un gringo barbu. [...]
- Il a un nom ?
- John.
Pendant des années, on a recherche un «gringo barbu» nomme John. Je n'ai jamais pense que son nom pouvait s'écrire sans «h». On a récolté quelques informations. C'était un vétéran du Vietnam, un cinglé hyper-violent qui voyageait en compagnie d'un géant.
- Un géant ? Tu te fous de nous '
- Je vous jure, le gringo travaille avec un géant.
Pendant des années, on n'a eu que ça pour enquêter : John. Gringo bai bu. Se balade ava un géant.»

«Dangereux, bourré d'humour noir, terrifiant et superbement écrit, American Desperado est le premier grand livre du XXIème siècle sur le crime.»
Jerry Stahl, New York Times

«Robert est un narrateur bourré de charme, en grande partie grâce au coauteur du livre Evan Wright, qui réussit brillamment à pénétrer son univers terrifiant pour lui permettre de livrer son histoire. Bien que je prie pour ne jamais me retrouver dans la même pièce que Jon Roberts, il m'a été impossible de lâcher son livre.»
Steven Gaines, New York Times

«Un tour de force. Le meilleur récit sur le crime depuis Les Affranchis de Nicholas Pileggi. La découverte d'un monde où il est merveilleux de se balader, épouvantable de vivre. Je n'éprouve que jalousie et admiration à l'égard d'Evan Wright.»
Rich Cohen (coauteur du bestseller When I Stop Talking, You'll Know I'm Dead).

Jon Roberts né Riccobono, a vu le jour en 1948 à New York dans une famille liée au clan Gambino, et est mort d'un cancer en 2011, deux mois après la publication de ses Mémoires. Caïd des cocaïne cowboy, il fut le correspondant US numéro 1 du cartel de Medellín à Miami de 1975 à 1985. Dans American Desperado, Roberts raconte sa vie dans la mafia, le trafic de cocaïne et les services secrets. Arrêté en 1991, après des années en cavale, il a écourté sa peine de prison en devenant indic pour le gouvernement fédéral.

Evan Wright est un journaliste récompensé par de multiples prix (Los Angeles Times Book Award, PEN/Faulkner Award...). Ses reportages en immersion sur des anarchistes, skinheads et autres marginaux ont été publiés par Rolling Stone et Vanity Fair. Ayant accompagné les marines pour couvrir le conflit irakien, il a tiré de cette expérience un roman, Generation Kill, porté à l'écran par la chaîne HBO sous forme de mini-série. En 2008, il débute trois années d'entretiens avec Jon Roberts. Ce sera la matière d'American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.


Résumé

Wright est un grand journaliste, Roberts un génie du trime. Ensemble, ils retracent la jeunesse mafieuse de Jon Roberts a New-York, ses dérapages de commando au Vietnam, son ascension de cocaïne cowboy... Ce sera la matière d American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.

«Huns les années 1980, on arrêtait tics petits consommateurs de drogue colombiens qui nous parlaient d'un gringo barbu. [...]
- Il a un nom ?
- John.
Pendant des années, on a recherche un «gringo barbu» nomme John. Je n'ai jamais pense que son nom pouvait s'écrire sans «h». On a récolté quelques informations. C'était un vétéran du Vietnam, un cinglé hyper-violent qui voyageait en compagnie d'un géant.
- Un géant ? Tu te fous de nous '
- Je vous jure, le gringo travaille avec un géant.
Pendant des années, on n'a eu que ça pour enquêter : John. Gringo bai bu. Se balade ava un géant.»

«Dangereux, bourré d'humour noir, terrifiant et superbement écrit, American Desperado est le premier grand livre du XXIème siècle sur le crime.»
Jerry Stahl, New York Times

«Robert est un narrateur bourré de charme, en grande partie grâce au coauteur du livre Evan Wright, qui réussit brillamment à pénétrer son univers terrifiant pour lui permettre de livrer son histoire. Bien que je prie pour ne jamais me retrouver dans la même pièce que Jon Roberts, il m'a été impossible de lâcher son livre.»
Steven Gaines, New York Times

«Un tour de force. Le meilleur récit sur le crime depuis Les Affranchis de Nicholas Pileggi. La découverte d'un monde où il est merveilleux de se balader, épouvantable de vivre. Je n'éprouve que jalousie et admiration à l'égard d'Evan Wright.»
Rich Cohen (coauteur du bestseller When I Stop Talking, You'll Know I'm Dead).

Jon Roberts né Riccobono, a vu le jour en 1948 à New York dans une famille liée au clan Gambino, et est mort d'un cancer en 2011, deux mois après la publication de ses Mémoires. Caïd des cocaïne cowboy, il fut le correspondant US numéro 1 du cartel de Medellín à Miami de 1975 à 1985. Dans American Desperado, Roberts raconte sa vie dans la mafia, le trafic de cocaïne et les services secrets. Arrêté en 1991, après des années en cavale, il a écourté sa peine de prison en devenant indic pour le gouvernement fédéral.

Evan Wright est un journaliste récompensé par de multiples prix (Los Angeles Times Book Award, PEN/Faulkner Award...). Ses reportages en immersion sur des anarchistes, skinheads et autres marginaux ont été publiés par Rolling Stone et Vanity Fair. Ayant accompagné les marines pour couvrir le conflit irakien, il a tiré de cette expérience un roman, Generation Kill, porté à l'écran par la chaîne HBO sous forme de mini-série. En 2008, il débute trois années d'entretiens avec Jon Roberts. Ce sera la matière d'American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.


Résumé

Wright est un grand journaliste, Roberts un génie du trime. Ensemble, ils retracent la jeunesse mafieuse de Jon Roberts a New-York, ses dérapages de commando au Vietnam, son ascension de cocaïne cowboy... Ce sera la matière d American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.

«Huns les années 1980, on arrêtait tics petits consommateurs de drogue colombiens qui nous parlaient d'un gringo barbu. [...]
- Il a un nom ?
- John.
Pendant des années, on a recherche un «gringo barbu» nomme John. Je n'ai jamais pense que son nom pouvait s'écrire sans «h». On a récolté quelques informations. C'était un vétéran du Vietnam, un cinglé hyper-violent qui voyageait en compagnie d'un géant.
- Un géant ? Tu te fous de nous '
- Je vous jure, le gringo travaille avec un géant.
Pendant des années, on n'a eu que ça pour enquêter : John. Gringo bai bu. Se balade ava un géant.»

«Dangereux, bourré d'humour noir, terrifiant et superbement écrit, American Desperado est le premier grand livre du XXIème siècle sur le crime.»
Jerry Stahl, New York Times

«Robert est un narrateur bourré de charme, en grande partie grâce au coauteur du livre Evan Wright, qui réussit brillamment à pénétrer son univers terrifiant pour lui permettre de livrer son histoire. Bien que je prie pour ne jamais me retrouver dans la même pièce que Jon Roberts, il m'a été impossible de lâcher son livre.»
Steven Gaines, New York Times

«Un tour de force. Le meilleur récit sur le crime depuis Les Affranchis de Nicholas Pileggi. La découverte d'un monde où il est merveilleux de se balader, épouvantable de vivre. Je n'éprouve que jalousie et admiration à l'égard d'Evan Wright.»
Rich Cohen (coauteur du bestseller When I Stop Talking, You'll Know I'm Dead).

Jon Roberts né Riccobono, a vu le jour en 1948 à New York dans une famille liée au clan Gambino, et est mort d'un cancer en 2011, deux mois après la publication de ses Mémoires. Caïd des cocaïne cowboy, il fut le correspondant US numéro 1 du cartel de Medellín à Miami de 1975 à 1985. Dans American Desperado, Roberts raconte sa vie dans la mafia, le trafic de cocaïne et les services secrets. Arrêté en 1991, après des années en cavale, il a écourté sa peine de prison en devenant indic pour le gouvernement fédéral.

Evan Wright est un journaliste récompensé par de multiples prix (Los Angeles Times Book Award, PEN/Faulkner Award...). Ses reportages en immersion sur des anarchistes, skinheads et autres marginaux ont été publiés par Rolling Stone et Vanity Fair. Ayant accompagné les marines pour couvrir le conflit irakien, il a tiré de cette expérience un roman, Generation Kill, porté à l'écran par la chaîne HBO sous forme de mini-série. En 2008, il débute trois années d'entretiens avec Jon Roberts. Ce sera la matière d'American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.


Résumé

Wright est un grand journaliste, Roberts un génie du trime. Ensemble, ils retracent la jeunesse mafieuse de Jon Roberts a New-York, ses dérapages de commando au Vietnam, son ascension de cocaïne cowboy... Ce sera la matière d American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.

«Huns les années 1980, on arrêtait tics petits consommateurs de drogue colombiens qui nous parlaient d'un gringo barbu. [...]
- Il a un nom ?
- John.
Pendant des années, on a recherche un «gringo barbu» nomme John. Je n'ai jamais pense que son nom pouvait s'écrire sans «h». On a récolté quelques informations. C'était un vétéran du Vietnam, un cinglé hyper-violent qui voyageait en compagnie d'un géant.
- Un géant ? Tu te fous de nous '
- Je vous jure, le gringo travaille avec un géant.
Pendant des années, on n'a eu que ça pour enquêter : John. Gringo bai bu. Se balade ava un géant.»

«Dangereux, bourré d'humour noir, terrifiant et superbement écrit, American Desperado est le premier grand livre du XXIème siècle sur le crime.»
Jerry Stahl, New York Times

«Robert est un narrateur bourré de charme, en grande partie grâce au coauteur du livre Evan Wright, qui réussit brillamment à pénétrer son univers terrifiant pour lui permettre de livrer son histoire. Bien que je prie pour ne jamais me retrouver dans la même pièce que Jon Roberts, il m'a été impossible de lâcher son livre.»
Steven Gaines, New York Times

«Un tour de force. Le meilleur récit sur le crime depuis Les Affranchis de Nicholas Pileggi. La découverte d'un monde où il est merveilleux de se balader, épouvantable de vivre. Je n'éprouve que jalousie et admiration à l'égard d'Evan Wright.»
Rich Cohen (coauteur du bestseller When I Stop Talking, You'll Know I'm Dead).

Jon Roberts né Riccobono, a vu le jour en 1948 à New York dans une famille liée au clan Gambino, et est mort d'un cancer en 2011, deux mois après la publication de ses Mémoires. Caïd des cocaïne cowboy, il fut le correspondant US numéro 1 du cartel de Medellín à Miami de 1975 à 1985. Dans American Desperado, Roberts raconte sa vie dans la mafia, le trafic de cocaïne et les services secrets. Arrêté en 1991, après des années en cavale, il a écourté sa peine de prison en devenant indic pour le gouvernement fédéral.

Evan Wright est un journaliste récompensé par de multiples prix (Los Angeles Times Book Award, PEN/Faulkner Award...). Ses reportages en immersion sur des anarchistes, skinheads et autres marginaux ont été publiés par Rolling Stone et Vanity Fair. Ayant accompagné les marines pour couvrir le conflit irakien, il a tiré de cette expérience un roman, Generation Kill, porté à l'écran par la chaîne HBO sous forme de mini-série. En 2008, il débute trois années d'entretiens avec Jon Roberts. Ce sera la matière d'American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.


Résumé

Wright est un grand journaliste, Roberts un génie du trime. Ensemble, ils retracent la jeunesse mafieuse de Jon Roberts a New-York, ses dérapages de commando au Vietnam, son ascension de cocaïne cowboy... Ce sera la matière d American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.

«Huns les années 1980, on arrêtait tics petits consommateurs de drogue colombiens qui nous parlaient d'un gringo barbu. [...]
- Il a un nom ?
- John.
Pendant des années, on a recherche un «gringo barbu» nomme John. Je n'ai jamais pense que son nom pouvait s'écrire sans «h». On a récolté quelques informations. C'était un vétéran du Vietnam, un cinglé hyper-violent qui voyageait en compagnie d'un géant.
- Un géant ? Tu te fous de nous '
- Je vous jure, le gringo travaille avec un géant.
Pendant des années, on n'a eu que ça pour enquêter : John. Gringo bai bu. Se balade ava un géant.»

«Dangereux, bourré d'humour noir, terrifiant et superbement écrit, American Desperado est le premier grand livre du XXIème siècle sur le crime.»
Jerry Stahl, New York Times

«Robert est un narrateur bourré de charme, en grande partie grâce au coauteur du livre Evan Wright, qui réussit brillamment à pénétrer son univers terrifiant pour lui permettre de livrer son histoire. Bien que je prie pour ne jamais me retrouver dans la même pièce que Jon Roberts, il m'a été impossible de lâcher son livre.»
Steven Gaines, New York Times

«Un tour de force. Le meilleur récit sur le crime depuis Les Affranchis de Nicholas Pileggi. La découverte d'un monde où il est merveilleux de se balader, épouvantable de vivre. Je n'éprouve que jalousie et admiration à l'égard d'Evan Wright.»
Rich Cohen (coauteur du bestseller When I Stop Talking, You'll Know I'm Dead).

Jon Roberts né Riccobono, a vu le jour en 1948 à New York dans une famille liée au clan Gambino, et est mort d'un cancer en 2011, deux mois après la publication de ses Mémoires. Caïd des cocaïne cowboy, il fut le correspondant US numéro 1 du cartel de Medellín à Miami de 1975 à 1985. Dans American Desperado, Roberts raconte sa vie dans la mafia, le trafic de cocaïne et les services secrets. Arrêté en 1991, après des années en cavale, il a écourté sa peine de prison en devenant indic pour le gouvernement fédéral.

Evan Wright est un journaliste récompensé par de multiples prix (Los Angeles Times Book Award, PEN/Faulkner Award...). Ses reportages en immersion sur des anarchistes, skinheads et autres marginaux ont été publiés par Rolling Stone et Vanity Fair. Ayant accompagné les marines pour couvrir le conflit irakien, il a tiré de cette expérience un roman, Generation Kill, porté à l'écran par la chaîne HBO sous forme de mini-série. En 2008, il débute trois années d'entretiens avec Jon Roberts. Ce sera la matière d'American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.


Résumé

Wright est un grand journaliste, Roberts un génie du trime. Ensemble, ils retracent la jeunesse mafieuse de Jon Roberts a New-York, ses dérapages de commando au Vietnam, son ascension de cocaïne cowboy... Ce sera la matière d American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.

«Huns les années 1980, on arrêtait tics petits consommateurs de drogue colombiens qui nous parlaient d'un gringo barbu. [...]
- Il a un nom ?
- John.
Pendant des années, on a recherche un «gringo barbu» nomme John. Je n'ai jamais pense que son nom pouvait s'écrire sans «h». On a récolté quelques informations. C'était un vétéran du Vietnam, un cinglé hyper-violent qui voyageait en compagnie d'un géant.
- Un géant ? Tu te fous de nous '
- Je vous jure, le gringo travaille avec un géant.
Pendant des années, on n'a eu que ça pour enquêter : John. Gringo bai bu. Se balade ava un géant.»

«Dangereux, bourré d'humour noir, terrifiant et superbement écrit, American Desperado est le premier grand livre du XXIème siècle sur le crime.»
Jerry Stahl, New York Times

«Robert est un narrateur bourré de charme, en grande partie grâce au coauteur du livre Evan Wright, qui réussit brillamment à pénétrer son univers terrifiant pour lui permettre de livrer son histoire. Bien que je prie pour ne jamais me retrouver dans la même pièce que Jon Roberts, il m'a été impossible de lâcher son livre.»
Steven Gaines, New York Times

«Un tour de force. Le meilleur récit sur le crime depuis Les Affranchis de Nicholas Pileggi. La découverte d'un monde où il est merveilleux de se balader, épouvantable de vivre. Je n'éprouve que jalousie et admiration à l'égard d'Evan Wright.»
Rich Cohen (coauteur du bestseller When I Stop Talking, You'll Know I'm Dead).

Jon Roberts né Riccobono, a vu le jour en 1948 à New York dans une famille liée au clan Gambino, et est mort d'un cancer en 2011, deux mois après la publication de ses Mémoires. Caïd des cocaïne cowboy, il fut le correspondant US numéro 1 du cartel de Medellín à Miami de 1975 à 1985. Dans American Desperado, Roberts raconte sa vie dans la mafia, le trafic de cocaïne et les services secrets. Arrêté en 1991, après des années en cavale, il a écourté sa peine de prison en devenant indic pour le gouvernement fédéral.

Evan Wright est un journaliste récompensé par de multiples prix (Los Angeles Times Book Award, PEN/Faulkner Award...). Ses reportages en immersion sur des anarchistes, skinheads et autres marginaux ont été publiés par Rolling Stone et Vanity Fair. Ayant accompagné les marines pour couvrir le conflit irakien, il a tiré de cette expérience un roman, Generation Kill, porté à l'écran par la chaîne HBO sous forme de mini-série. En 2008, il débute trois années d'entretiens avec Jon Roberts. Ce sera la matière d'American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.


Résumé

Wright est un grand journaliste, Roberts un génie du trime. Ensemble, ils retracent la jeunesse mafieuse de Jon Roberts a New-York, ses dérapages de commando au Vietnam, son ascension de cocaïne cowboy... Ce sera la matière d American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.

«Huns les années 1980, on arrêtait tics petits consommateurs de drogue colombiens qui nous parlaient d'un gringo barbu. [...]
- Il a un nom ?
- John.
Pendant des années, on a recherche un «gringo barbu» nomme John. Je n'ai jamais pense que son nom pouvait s'écrire sans «h». On a récolté quelques informations. C'était un vétéran du Vietnam, un cinglé hyper-violent qui voyageait en compagnie d'un géant.
- Un géant ? Tu te fous de nous '
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Jerry Stahl, New York Times

«Robert est un narrateur bourré de charme, en grande partie grâce au coauteur du livre Evan Wright, qui réussit brillamment à pénétrer son univers terrifiant pour lui permettre de livrer son histoire. Bien que je prie pour ne jamais me retrouver dans la même pièce que Jon Roberts, il m'a été impossible de lâcher son livre.»
Steven Gaines, New York Times

«Un tour de force. Le meilleur récit sur le crime depuis Les Affranchis de Nicholas Pileggi. La découverte d'un monde où il est merveilleux de se balader, épouvantable de vivre. Je n'éprouve que jalousie et admiration à l'égard d'Evan Wright.»
Rich Cohen (coauteur du bestseller When I Stop Talking, You'll Know I'm Dead).

Jon Roberts né Riccobono, a vu le jour en 1948 à New York dans une famille liée au clan Gambino, et est mort d'un cancer en 2011, deux mois après la publication de ses Mémoires. Caïd des cocaïne cowboy, il fut le correspondant US numéro 1 du cartel de Medellín à Miami de 1975 à 1985. Dans American Desperado, Roberts raconte sa vie dans la mafia, le trafic de cocaïne et les services secrets. Arrêté en 1991, après des années en cavale, il a écourté sa peine de prison en devenant indic pour le gouvernement fédéral.

Evan Wright est un journaliste récompensé par de multiples prix (Los Angeles Times Book Award, PEN/Faulkner Award...). Ses reportages en immersion sur des anarchistes, skinheads et autres marginaux ont été publiés par Rolling Stone et Vanity Fair. Ayant accompagné les marines pour couvrir le conflit irakien, il a tiré de cette expérience un roman, Generation Kill, porté à l'écran par la chaîne HBO sous forme de mini-série. En 2008, il débute trois années d'entretiens avec Jon Roberts. Ce sera la matière d'American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.


Résumé

Wright est un grand journaliste, Roberts un génie du trime. Ensemble, ils retracent la jeunesse mafieuse de Jon Roberts a New-York, ses dérapages de commando au Vietnam, son ascension de cocaïne cowboy... Ce sera la matière d American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.

«Huns les années 1980, on arrêtait tics petits consommateurs de drogue colombiens qui nous parlaient d'un gringo barbu. [...]
- Il a un nom ?
- John.
Pendant des années, on a recherche un «gringo barbu» nomme John. Je n'ai jamais pense que son nom pouvait s'écrire sans «h». On a récolté quelques informations. C'était un vétéran du Vietnam, un cinglé hyper-violent qui voyageait en compagnie d'un géant.
- Un géant ? Tu te fous de nous '
- Je vous jure, le gringo travaille avec un géant.
Pendant des années, on n'a eu que ça pour enquêter : John. Gringo bai bu. Se balade ava un géant.»

«Dangereux, bourré d'humour noir, terrifiant et superbement écrit, American Desperado est le premier grand livre du XXIème siècle sur le crime.»
Jerry Stahl, New York Times

«Robert est un narrateur bourré de charme, en grande partie grâce au coauteur du livre Evan Wright, qui réussit brillamment à pénétrer son univers terrifiant pour lui permettre de livrer son histoire. Bien que je prie pour ne jamais me retrouver dans la même pièce que Jon Roberts, il m'a été impossible de lâcher son livre.»
Steven Gaines, New York Times

«Un tour de force. Le meilleur récit sur le crime depuis Les Affranchis de Nicholas Pileggi. La découverte d'un monde où il est merveilleux de se balader, épouvantable de vivre. Je n'éprouve que jalousie et admiration à l'égard d'Evan Wright.»
Rich Cohen (coauteur du bestseller When I Stop Talking, You'll Know I'm Dead).

Jon Roberts né Riccobono, a vu le jour en 1948 à New York dans une famille liée au clan Gambino, et est mort d'un cancer en 2011, deux mois après la publication de ses Mémoires. Caïd des cocaïne cowboy, il fut le correspondant US numéro 1 du cartel de Medellín à Miami de 1975 à 1985. Dans American Desperado, Roberts raconte sa vie dans la mafia, le trafic de cocaïne et les services secrets. Arrêté en 1991, après des années en cavale, il a écourté sa peine de prison en devenant indic pour le gouvernement fédéral.

Evan Wright est un journaliste récompensé par de multiples prix (Los Angeles Times Book Award, PEN/Faulkner Award...). Ses reportages en immersion sur des anarchistes, skinheads et autres marginaux ont été publiés par Rolling Stone et Vanity Fair. Ayant accompagné les marines pour couvrir le conflit irakien, il a tiré de cette expérience un roman, Generation Kill, porté à l'écran par la chaîne HBO sous forme de mini-série. En 2008, il débute trois années d'entretiens avec Jon Roberts. Ce sera la matière d'American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.


Résumé

Wright est un grand journaliste, Roberts un génie du trime. Ensemble, ils retracent la jeunesse mafieuse de Jon Roberts a New-York, ses dérapages de commando au Vietnam, son ascension de cocaïne cowboy... Ce sera la matière d American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.

«Huns les années 1980, on arrêtait tics petits consommateurs de drogue colombiens qui nous parlaient d'un gringo barbu. [...]
- Il a un nom ?
- John.
Pendant des années, on a recherche un «gringo barbu» nomme John. Je n'ai jamais pense que son nom pouvait s'écrire sans «h». On a récolté quelques informations. C'était un vétéran du Vietnam, un cinglé hyper-violent qui voyageait en compagnie d'un géant.
- Un géant ? Tu te fous de nous '
- Je vous jure, le gringo travaille avec un géant.
Pendant des années, on n'a eu que ça pour enquêter : John. Gringo bai bu. Se balade ava un géant.»

«Dangereux, bourré d'humour noir, terrifiant et superbement écrit, American Desperado est le premier grand livre du XXIème siècle sur le crime.»
Jerry Stahl, New York Times

«Robert est un narrateur bourré de charme, en grande partie grâce au coauteur du livre Evan Wright, qui réussit brillamment à pénétrer son univers terrifiant pour lui permettre de livrer son histoire. Bien que je prie pour ne jamais me retrouver dans la même pièce que Jon Roberts, il m'a été impossible de lâcher son livre.»
Steven Gaines, New York Times

«Un tour de force. Le meilleur récit sur le crime depuis Les Affranchis de Nicholas Pileggi. La découverte d'un monde où il est merveilleux de se balader, épouvantable de vivre. Je n'éprouve que jalousie et admiration à l'égard d'Evan Wright.»
Rich Cohen (coauteur du bestseller When I Stop Talking, You'll Know I'm Dead).

Jon Roberts né Riccobono, a vu le jour en 1948 à New York dans une famille liée au clan Gambino, et est mort d'un cancer en 2011, deux mois après la publication de ses Mémoires. Caïd des cocaïne cowboy, il fut le correspondant US numéro 1 du cartel de Medellín à Miami de 1975 à 1985. Dans American Desperado, Roberts raconte sa vie dans la mafia, le trafic de cocaïne et les services secrets. Arrêté en 1991, après des années en cavale, il a écourté sa peine de prison en devenant indic pour le gouvernement fédéral.

Evan Wright est un journaliste récompensé par de multiples prix (Los Angeles Times Book Award, PEN/Faulkner Award...). Ses reportages en immersion sur des anarchistes, skinheads et autres marginaux ont été publiés par Rolling Stone et Vanity Fair. Ayant accompagné les marines pour couvrir le conflit irakien, il a tiré de cette expérience un roman, Generation Kill, porté à l'écran par la chaîne HBO sous forme de mini-série. En 2008, il débute trois années d'entretiens avec Jon Roberts. Ce sera la matière d'American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.


Résumé

Wright est un grand journaliste, Roberts un génie du trime. Ensemble, ils retracent la jeunesse mafieuse de Jon Roberts a New-York, ses dérapages de commando au Vietnam, son ascension de cocaïne cowboy... Ce sera la matière d American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.

«Huns les années 1980, on arrêtait tics petits consommateurs de drogue colombiens qui nous parlaient d'un gringo barbu. [...]
- Il a un nom ?
- John.
Pendant des années, on a recherche un «gringo barbu» nomme John. Je n'ai jamais pense que son nom pouvait s'écrire sans «h». On a récolté quelques informations. C'était un vétéran du Vietnam, un cinglé hyper-violent qui voyageait en compagnie d'un géant.
- Un géant ? Tu te fous de nous '
- Je vous jure, le gringo travaille avec un géant.
Pendant des années, on n'a eu que ça pour enquêter : John. Gringo bai bu. Se balade ava un géant.»

«Dangereux, bourré d'humour noir, terrifiant et superbement écrit, American Desperado est le premier grand livre du XXIème siècle sur le crime.»
Jerry Stahl, New York Times

«Robert est un narrateur bourré de charme, en grande partie grâce au coauteur du livre Evan Wright, qui réussit brillamment à pénétrer son univers terrifiant pour lui permettre de livrer son histoire. Bien que je prie pour ne jamais me retrouver dans la même pièce que Jon Roberts, il m'a été impossible de lâcher son livre.»
Steven Gaines, New York Times

«Un tour de force. Le meilleur récit sur le crime depuis Les Affranchis de Nicholas Pileggi. La découverte d'un monde où il est merveilleux de se balader, épouvantable de vivre. Je n'éprouve que jalousie et admiration à l'égard d'Evan Wright.»
Rich Cohen (coauteur du bestseller When I Stop Talking, You'll Know I'm Dead).

Jon Roberts né Riccobono, a vu le jour en 1948 à New York dans une famille liée au clan Gambino, et est mort d'un cancer en 2011, deux mois après la publication de ses Mémoires. Caïd des cocaïne cowboy, il fut le correspondant US numéro 1 du cartel de Medellín à Miami de 1975 à 1985. Dans American Desperado, Roberts raconte sa vie dans la mafia, le trafic de cocaïne et les services secrets. Arrêté en 1991, après des années en cavale, il a écourté sa peine de prison en devenant indic pour le gouvernement fédéral.

Evan Wright est un journaliste récompensé par de multiples prix (Los Angeles Times Book Award, PEN/Faulkner Award...). Ses reportages en immersion sur des anarchistes, skinheads et autres marginaux ont été publiés par Rolling Stone et Vanity Fair. Ayant accompagné les marines pour couvrir le conflit irakien, il a tiré de cette expérience un roman, Generation Kill, porté à l'écran par la chaîne HBO sous forme de mini-série. En 2008, il débute trois années d'entretiens avec Jon Roberts. Ce sera la matière d'American Desperado, effrayante épopée de la réussite criminelle.

Le choix des libraires : choisi le 16/11/2013 par Pascal Adam de la librairie LA BELLE IMAGE à REIMS, France

Pascal Adam recommande ce livre au micro d'Augustin Trapenard, dans Le Carnet du libraire, sur France Culture, en partenariat avec Lechoixdeslibraires.com

LA BELLE IMAGE

Le choix des libraires : choisi le 16/11/2013 par Pascal Adam de la librairie LA BELLE IMAGE à REIMS, France

Pascal Adam recommande ce livre au micro d'Augustin Trapenard, dans Le Carnet du libraire, sur France Culture, en partenariat avec Lechoixdeslibraires.com


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Le choix des libraires : choisi le 16/11/2013 par Pascal Adam de la librairie LA BELLE IMAGE à REIMS, France

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Courrier des auteurs le 16/11/2013

1) Qui êtes-vous ? !
Une artisane (à l'amante).

2) Quel est le thème central de ce livre ?
Il est exprimé dans la phrase suivante :

Une devise de mon père a dominé ma vie quand j'étais gosse : «le mal est plus fort que le bien - en cas de doute, choisis le camp du mal.»

Devise à l'opposé de celle proposée par le poète et philosophe de Perpignan, François Brousse (1913-1995) : «Le bien est plus fort que le mal, car le mal finit nécessairement par s'autodétruire.»

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
C'est un peu plus d'une phrase - un bref dialogue entre le narrateur et son compagnon d'aventures et d'horreur au Vietnam, rentrés plus ou moins estropiés aux États-Unis :
- Peut-être que ça nous est arrivé en châtiment de tout ce qu'on a fait aux gens, là-bas...
- C'est possible, a répondu Steve. Et alors ? On a bien profité de chaque instant.

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
MOONLIGHT FEELS RIGHT, de STARBUCK, manne d'accords disco tombée en 1976 sur les States en général et Miami en particulier :
http ://www.youtube.com/watch ?v=oCuQQcISZTM
En plus, le chanteur ressemble étrangement à Jon Roberts (en plus maigre).

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Les gens courageux ne sont pas toujours gentils et les gentils ne sont pas toujours courageux.
Jon Roberts fera l'expérience de la gentillesse dans sa prochaine existence, s'y étant préparé à la fin de celle-ci en fondant d'amour pour son fils.

Patricia Carrera, la traductrice de l'ouvrage


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Courrier des auteurs le 16/11/2013

1) Qui êtes-vous ? !
Une artisane (à l'amante).

2) Quel est le thème central de ce livre ?
Il est exprimé dans la phrase suivante :

Une devise de mon père a dominé ma vie quand j'étais gosse : «le mal est plus fort que le bien - en cas de doute, choisis le camp du mal.»

Devise à l'opposé de celle proposée par le poète et philosophe de Perpignan, François Brousse (1913-1995) : «Le bien est plus fort que le mal, car le mal finit nécessairement par s'autodétruire.»

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
C'est un peu plus d'une phrase - un bref dialogue entre le narrateur et son compagnon d'aventures et d'horreur au Vietnam, rentrés plus ou moins estropiés aux États-Unis :
- Peut-être que ça nous est arrivé en châtiment de tout ce qu'on a fait aux gens, là-bas...
- C'est possible, a répondu Steve. Et alors ? On a bien profité de chaque instant.

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
MOONLIGHT FEELS RIGHT, de STARBUCK, manne d'accords disco tombée en 1976 sur les States en général et Miami en particulier :
http ://www.youtube.com/watch ?v=oCuQQcISZTM
En plus, le chanteur ressemble étrangement à Jon Roberts (en plus maigre).

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Les gens courageux ne sont pas toujours gentils et les gentils ne sont pas toujours courageux.
Jon Roberts fera l'expérience de la gentillesse dans sa prochaine existence, s'y étant préparé à la fin de celle-ci en fondant d'amour pour son fils.

Patricia Carrera, la traductrice de l'ouvrage


Courrier des auteurs le 16/11/2013

1) Qui êtes-vous ? !
Une artisane (à l'amante).

2) Quel est le thème central de ce livre ?
Il est exprimé dans la phrase suivante :

Une devise de mon père a dominé ma vie quand j'étais gosse : «le mal est plus fort que le bien - en cas de doute, choisis le camp du mal.»

Devise à l'opposé de celle proposée par le poète et philosophe de Perpignan, François Brousse (1913-1995) : «Le bien est plus fort que le mal, car le mal finit nécessairement par s'autodétruire.»

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
C'est un peu plus d'une phrase - un bref dialogue entre le narrateur et son compagnon d'aventures et d'horreur au Vietnam, rentrés plus ou moins estropiés aux États-Unis :
- Peut-être que ça nous est arrivé en châtiment de tout ce qu'on a fait aux gens, là-bas...
- C'est possible, a répondu Steve. Et alors ? On a bien profité de chaque instant.

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
MOONLIGHT FEELS RIGHT, de STARBUCK, manne d'accords disco tombée en 1976 sur les States en général et Miami en particulier :
http ://www.youtube.com/watch ?v=oCuQQcISZTM
En plus, le chanteur ressemble étrangement à Jon Roberts (en plus maigre).

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Les gens courageux ne sont pas toujours gentils et les gentils ne sont pas toujours courageux.
Jon Roberts fera l'expérience de la gentillesse dans sa prochaine existence, s'y étant préparé à la fin de celle-ci en fondant d'amour pour son fils.

Patricia Carrera, la traductrice de l'ouvrage


Courrier des auteurs le 16/11/2013

1) Qui êtes-vous ? !
Une artisane (à l'amante).

2) Quel est le thème central de ce livre ?
Il est exprimé dans la phrase suivante :

Une devise de mon père a dominé ma vie quand j'étais gosse : «le mal est plus fort que le bien - en cas de doute, choisis le camp du mal.»

Devise à l'opposé de celle proposée par le poète et philosophe de Perpignan, François Brousse (1913-1995) : «Le bien est plus fort que le mal, car le mal finit nécessairement par s'autodétruire.»

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
C'est un peu plus d'une phrase - un bref dialogue entre le narrateur et son compagnon d'aventures et d'horreur au Vietnam, rentrés plus ou moins estropiés aux États-Unis :
- Peut-être que ça nous est arrivé en châtiment de tout ce qu'on a fait aux gens, là-bas...
- C'est possible, a répondu Steve. Et alors ? On a bien profité de chaque instant.

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
MOONLIGHT FEELS RIGHT, de STARBUCK, manne d'accords disco tombée en 1976 sur les States en général et Miami en particulier :
http ://www.youtube.com/watch ?v=oCuQQcISZTM
En plus, le chanteur ressemble étrangement à Jon Roberts (en plus maigre).

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Les gens courageux ne sont pas toujours gentils et les gentils ne sont pas toujours courageux.
Jon Roberts fera l'expérience de la gentillesse dans sa prochaine existence, s'y étant préparé à la fin de celle-ci en fondant d'amour pour son fils.

Patricia Carrera, la traductrice de l'ouvrage


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Courrie

r des auteurs le 16/11/2013

1) Qui êtes-vous ? !
Une artisane (à l'amante).

2) Quel est le thème central de ce livre ?
Il est exprimé dans la phrase suivante :

Une devise de mon père a dominé ma vie quand j'étais gosse : «le mal est plus fort que le bien - en cas de doute, choisis le camp du mal.»

Devise à l'opposé de celle proposée par le poète et philosophe de Perpignan, François Brousse (1913-1995) : «Le bien est plus fort que le mal, car le mal finit nécessairement par s'autodétruire.»

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
C'est un peu plus d'une phrase - un bref dialogue entre le narrateur et son compagnon d'aventures et d'horreur au Vietnam, rentrés plus ou moins estropiés aux États-Unis :
- Peut-être que ça nous est arrivé en châtiment de tout ce qu'on a fait aux gens, là-bas...
- C'est possible, a répondu Steve. Et alors ? On a bien profité de chaque instant.

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
MOONLIGHT FEELS RIGHT, de STARBUCK, manne d'accords disco tombée en 1976 sur les States en général et Miami en particulier :
http ://www.youtube.com/watch ?v=oCuQQcISZTM
En plus, le chanteur ressemble étrangement à Jon Roberts (en plus maigre).

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Les gens courageux ne sont pas toujours gentils et les gentils ne sont pas toujours courageux.
Jon Roberts fera l'expérience de la gentillesse dans sa prochaine existence, s'y étant préparé à la fin de celle-ci en fondant d'amour pour son fils.

Patricia Carrera, la traductrice de l'ouvrage


Courrier des auteurs le 16/11/2013

1) Qui êtes-vous ? !
Une artisane (à l'amante).

2) Quel est le thème central de ce livre ?
Il est exprimé dans la phrase suivante :

Une devise de mon père a dominé ma vie quand j'étais gosse : «le mal est plus fort que le bien - en cas de doute, choisis le camp du mal.»

Devise à l'opposé de celle proposée par le poète et philosophe de Perpignan, François Brousse (1913-1995) : «Le bien est plus fort que le mal, car le mal finit nécessairement par s'autodétruire.»

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
C'est un peu plus d'une phrase - un bref dialogue entre le narrateur et son compagnon d'aventures et d'horreur au Vietnam, rentrés plus ou moins estropiés aux États-Unis :
- Peut-être que ça nous est arrivé en châtiment de tout ce qu'on a fait aux gens, là-bas...
- C'est possible, a répondu Steve. Et alors ? On a bien profité de chaque instant.

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
MOONLIGHT FEELS RIGHT, de STARBUCK, manne d'accords disco tombée en 1976 sur les States en général et Miami en particulier :
http ://www.youtube.com/watch ?v=oCuQQcISZTM
En plus, le chanteur ressemble étrangement à Jon Roberts (en plus maigre).

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Les gens courageux ne sont pas toujours gentils et les gentils ne sont pas toujours courageux.
Jon Roberts fera l'expérience de la gentillesse dans sa prochaine existence, s'y étant préparé à la fin de celle-ci en fondant d'amour pour son fils.

Patricia Carrera, la traductrice de l'ouvrage


Courrier des auteurs le 16/11/2013

1) Qui êtes-vous ? !
Une artisane (à l'amante).

2) Quel est le thème central de ce livre ?
Il est exprimé dans la phrase suivante :

Une devise de mon père a dominé ma vie quand j'étais gosse : «le mal est plus fort que le bien - en cas de doute, choisis le camp du mal.»

Devise à l'opposé de celle proposée par le poète et philosophe de Perpignan, François Brousse (1913-1995) : «Le bien est plus fort que le mal, car le mal finit nécessairement par s'autodétruire.»

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
C'est un peu plus d'une phrase - un bref dialogue entre le narrateur et son compagnon d'aventures et d'horreur au Vietnam, rentrés plus ou moins estropiés aux États-Unis :
- Peut-être que ça nous est arrivé en châtiment de tout ce qu'on a fait aux gens, là-bas...
- C'est possible, a répondu Steve. Et alors ? On a bien profité de chaque instant.

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
MOONLIGHT FEELS RIGHT, de STARBUCK, manne d'accords disco tombée en 1976 sur les States en général et Miami en particulier :
http ://www.youtube.com/watch ?v=oCuQQcISZTM
En plus, le chanteur ressemble étrangement à Jon Roberts (en plus maigre).

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Les gens courageux ne sont pas toujours gentils et les gentils ne sont pas toujours courageux.
Jon Roberts fera l'expérience de la gentillesse dans sa prochaine existence, s'y étant préparé à la fin de celle-ci en fondant d'amour pour son fils.

Patricia Carrera, la traductrice de l'ouvrage


Courrier des auteurs le 16/11/2013

1) Qui êtes-vous ? !
Une artisane (à l'amante).

2) Quel est le thème central de ce livre ?
Il est exprimé dans la phrase suivante :

Une devise de mon père a dominé ma vie quand j'étais gosse : «le mal est plus fort que le bien - en cas de doute, choisis le camp du mal.»

Devise à l'opposé de celle proposée par le poète et philosophe de Perpignan, François Brousse (1913-1995) : «Le bien est plus fort que le mal, car le mal finit nécessairement par s'autodétruire.»

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
C'est un peu plus d'une phrase - un bref dialogue entre le narrateur et son compagnon d'aventures et d'horreur au Vietnam, rentrés plus ou moins estropiés aux États-Unis :
- Peut-être que ça nous est arrivé en châtiment de tout ce qu'on a fait aux gens, là-bas...
- C'est possible, a répondu Steve. Et alors ? On a bien profité de chaque instant.

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
MOONLIGHT FEELS RIGHT, de STARBUCK, manne d'accords disco tombée en 1976 sur les States en général et Miami en particulier :
http ://www.youtube.com/watch ?v=oCuQQcISZTM
En plus, le chanteur ressemble étrangement à Jon Roberts (en plus maigre).

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Les gens courageux ne sont pas toujours gentils et les gentils ne sont pas toujours courageux.
Jon Roberts fera l'expérience de la gentillesse dans sa prochaine existence, s'y étant préparé à la fin de celle-ci en fondant d'amour pour son fils.

Patricia Carrera, la traductrice de l'ouvrage


Courrier des auteurs le 16/11/2013

1) Qui êtes-vous ? !
Une artisane (à l'amante).

2) Quel est le thème central de ce livre ?
Il est exprimé dans la phrase suivante :

Une devise de mon père a dominé ma vie quand j'étais gosse : «le mal est plus fort que le bien - en cas de doute, choisis le camp du mal.»

Devise à l'opposé de celle proposée par le poète et philosophe de Perpignan, François Brousse (1913-1995) : «Le bien est plus fort que le mal, car le mal finit nécessairement par s'autodétruire.»

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
C'est un peu plus d'une phrase - un bref dialogue entre le narrateur et son compagnon d'aventures et d'horreur au Vietnam, rentrés plus ou moins estropiés aux États-Unis :
- Peut-être que ça nous est arrivé en châtiment de tout ce qu'on a fait aux gens, là-bas...
- C'est possible, a répondu Steve. Et alors ? On a bien profité de chaque instant.

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
MOONLIGHT FEELS RIGHT, de STARBUCK, manne d'accords disco tombée en 1976 sur les States en général et Miami en particulier :
http ://www.youtube.com/watch ?v=oCuQQcISZTM
En plus, le chanteur ressemble étrangement à Jon Roberts (en plus maigre).

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Les gens courageux ne sont pas toujours gentils et les gentils ne sont pas toujours courageux.
Jon Roberts fera l'expérience de la gentillesse dans sa prochaine existence, s'y étant préparé à la fin de celle-ci en fondant d'amour pour son fils.

Patricia Carrera, la traductrice de l'ouvrage


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1) Qui êtes-vous ? !
Une artisane (à l'amante).

2) Quel est le thème central de ce livre ?
Il est exprimé dans la phrase suivante :

Une devise de mon père a dominé ma vie quand j'étais gosse : «le mal est plus fort que le bien - en cas de doute, choisis le camp du mal.»

Devise à l'opposé de celle proposée par le poète et philosophe de Perpignan, François Brousse (1913-1995) : «Le bien est plus fort que le mal, car le mal finit nécessairement par s'autodétruire.»

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
C'est un peu plus d'une phrase - un bref dialogue entre le narrateur et son compagnon d'aventures et d'horreur au Vietnam, rentrés plus ou moins estropiés aux États-Unis :
- Peut-être que ça nous est arrivé en châtiment de tout ce qu'on a fait aux gens, là-bas...
- C'est possible, a répondu Steve. Et alors ? On a bien profité de chaque instant.

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
MOONLIGHT FEELS RIGHT, de STARBUCK, manne d'accords disco tombée en 1976 sur les States en général et Miami en particulier :
http ://www.youtube.com/watch ?v=oCuQQcISZTM
En plus, le chanteur ressemble étrangement à Jon Roberts (en plus maigre).

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Les gens courageux ne sont pas toujours gentils et les gentils ne sont pas toujours courageux.
Jon Roberts fera l'expérience de la gentillesse dans sa prochaine existence, s'y étant préparé à la fin de celle-ci en fondant d'amour pour son fils.

Patricia Carrera, la traductrice de l'ouvrage


Courrier des auteurs le 16/11/2013

1) Qui êtes-vous ? !
Une artisane (à l'amante).

2) Quel est le thème central de ce livre ?
Il est exprimé dans la phrase suivante :

Une devise de mon père a dominé ma vie quand j'étais gosse : «le mal est plus fort que le bien - en cas de doute, choisis le camp du mal.»

Devise à l'opposé de celle proposée par le poète et philosophe de Perpignan, François Brousse (1913-1995) : «Le bien est plus fort que le mal, car le mal finit nécessairement par s'autodétruire.»

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
C'est un peu plus d'une phrase - un bref dialogue entre le narrateur et son compagnon d'aventures et d'horreur au Vietnam, rentrés plus ou moins estropiés aux États-Unis :
- Peut-être que ça nous est arrivé en châtiment de tout ce qu'on a fait aux gens, là-bas...
- C'est possible, a répondu Steve. Et alors ? On a bien profité de chaque instant.

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
MOONLIGHT FEELS RIGHT, de STARBUCK, manne d'accords disco tombée en 1976 sur les States en général et Miami en particulier :
http ://www.youtube.com/watch ?v=oCuQQcISZTM
En plus, le chanteur ressemble étrangement à Jon Roberts (en plus maigre).

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Les gens courageux ne sont pas toujours gentils et les gentils ne sont pas toujours courageux.
Jon Roberts fera l'expérience de la gentillesse dans sa prochaine existence, s'y étant préparé à la fin de celle-ci en fondant d'amour pour son fils.

Patricia Carrera, la traductrice de l'ouvrage


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Courrier des auteurs le 16/11/2013

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) Qui êtes-vous ? !
Une artisane (à l'amante).

2) Quel est le thème central de ce livre ?
Il est exprimé dans la phrase suivante :

Une devise de mon père a dominé ma vie quand j'étais gosse : «le mal est plus fort que le bien - en cas de doute, choisis le camp du mal.»

Devise à l'opposé de celle proposée par le poète et philosophe de Perpignan, François Brousse (1913-1995) : «Le bien est plus fort que le mal, car le mal finit nécessairement par s'autodétruire.»

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
C'est un peu plus d'une phrase - un bref dialogue entre le narrateur et son compagnon d'aventures et d'horreur au Vietnam, rentrés plus ou moins estropiés aux États-Unis :
- Peut-être que ça nous est arrivé en châtiment de tout ce qu'on a fait aux gens, là-bas...
- C'est possible, a répondu Steve. Et alors ? On a bien profité de chaque instant.

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
MOONLIGHT FEELS RIGHT, de STARBUCK, manne d'accords disco tombée en 1976 sur les States en général et Miami en particulier :
http ://www.youtube.com/watch ?v=oCuQQcISZTM
En plus, le chanteur ressemble étrangement à Jon Roberts (en plus maigre).

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Les gens courageux ne sont pas toujours gentils et les gentils ne sont pas toujours courageux.
Jon Roberts fera l'expérience de la gentillesse dans sa prochaine existence, s'y étant préparé à la fin de celle-ci en fondant d'amour pour son fils.

Patricia Carrera, la traductrice de l'ouvrage


Courrier des auteurs le 16/11/2013

1) Qui êtes-vous ? !
Une artisane (à l'amante).

2) Quel est le thème central de ce livre ?
Il est exprimé dans la phrase suivante :

Une devise de mon père a dominé ma vie quand j'étais gosse : «le mal est plus fort que le bien - en cas de doute, choisis le camp du mal.»

Devise à l'opposé de celle proposée par le poète et philosophe de Perpignan, François Brousse (1913-1995) : «Le bien est plus fort que le mal, car le mal finit nécessairement par s'autodétruire.»

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
C'est un peu plus d'une phrase - un bref dialogue entre le narrateur et son compagnon d'aventures et d'horreur au Vietnam, rentrés plus ou moins estropiés aux États-Unis :
- Peut-être que ça nous est arrivé en châtiment de tout ce qu'on a fait aux gens, là-bas...
- C'est possible, a répondu Steve. Et alors ? On a bien profité de chaque instant.

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
MOONLIGHT FEELS RIGHT, de STARBUCK, manne d'accords disco tombée en 1976 sur les States en général et Miami en particulier :
http ://www.youtube.com/watch ?v=oCuQQcISZTM
En plus, le chanteur ressemble étrangement à Jon Roberts (en plus maigre).

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Les gens courageux ne sont pas toujours gentils et les gentils ne sont pas toujours courageux.
Jon Roberts fera l'expérience de la gentillesse dans sa prochaine existence, s'y étant préparé à la fin de celle-ci en fondant d'amour pour son fils.

Patricia Carrera, la traductrice de l'ouvrage


Courrier des auteurs le 16/11/2013

1) Qui êtes-vous ? !
Une artisane (à l'amante).

2) Quel est le thème central de ce livre ?
Il est exprimé dans la phrase suivante :

Une devise de mon père a dominé ma vie quand j'étais gosse : «le mal est plus fort que le bien - en cas de doute, choisis le camp du mal.»

Devise à l'opposé de celle proposée par le poète et philosophe de Perpignan, François Brousse (1913-1995) : «Le bien est plus fort que le mal, car le mal finit nécessairement par s'autodétruire.»

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
C'est un peu plus d'une phrase - un bref dialogue entre le narrateur et son compagnon d'aventures et d'horreur au Vietnam, rentrés plus ou moins estropiés aux États-Unis :
- Peut-être que ça nous est arrivé en châtiment de tout ce qu'on a fait aux gens, là-bas...
- C'est possible, a répondu Steve. Et alors ? On a bien profité de chaque instant.

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
MOONLIGHT FEELS RIGHT, de STARBUCK, manne d'accords disco tombée en 1976 sur les States en général et Miami en particulier :
http ://www.youtube.com/watch ?v=oCuQQcISZTM
En plus, le chanteur ressemble étrangement à Jon Roberts (en plus maigre).

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Les gens courageux ne sont pas toujours gentils et les gentils ne sont pas toujours courageux.
Jon Roberts fera l'expérience de la gentillesse dans sa prochaine existence, s'y étant préparé à la fin de celle-ci en fondant d'amour pour son fils.

Patricia Carrera, la traductrice de l'ouvrage


Courrier des auteurs le 16/11/2013

1) Qui êtes-vous ? !
Une artisane (à l'amante).

2) Quel est le thème central de ce livre ?
Il est exprimé dans la phrase suivante :

Une devise de mon père a dominé ma vie quand j'étais gosse : «le mal est plus fort que le bien - en cas de doute, choisis le camp du mal.»

Devise à l'opposé de celle proposée par le poète et philosophe de Perpignan, François Brousse (1913-1995) : «Le bien est plus fort que le mal, car le mal finit nécessairement par s'autodétruire.»

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
C'est un peu plus d'une phrase - un bref dialogue entre le narrateur et son compagnon d'aventures et d'horreur au Vietnam, rentrés plus ou moins estropiés aux États-Unis :
- Peut-être que ça nous est arrivé en châtiment de tout ce qu'on a fait aux gens, là-bas...
- C'est possible, a répondu Steve. Et alors ? On a bien profité de chaque instant.

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
MOONLIGHT FEELS RIGHT, de STARBUCK, manne d'accords disco tombée en 1976 sur les States en général et Miami en particulier :
http ://www.youtube.com/watch ?v=oCuQQcISZTM
En plus, le chanteur ressemble étrangement à Jon Roberts (en plus maigre).

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Les gens courageux ne sont pas toujours gentils et les gentils ne sont pas toujours courageux.
Jon Roberts fera l'expérience de la gentillesse dans sa prochaine existence, s'y étant préparé à la fin de celle-ci en fondant d'amour pour son fils.

Patricia Carrera, la traductrice de l'ouvrage


Courrier des auteurs le 16/11/2013

1) Qui êtes-vous ? !
Une artisane (à l'amante).

2) Quel est le thème central de ce livre ?
Il est exprimé dans la phrase suivante :

Une devise de mon père a dominé ma vie quand j'étais gosse : «le mal est plus fort que le bien - en cas de doute, choisis le camp du mal.»

Devise à l'opposé de celle proposée par le poète et philosophe de Perpignan, François Brousse (1913-1995) : «Le bien est plus fort que le mal, car le mal finit nécessairement par s'autodétruire.»

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
C'est un peu plus d'une phrase - un bref dialogue entre le narrateur et son compagnon d'aventures et d'horreur au Vietnam, rentrés plus ou moins estropiés aux États-Unis :
- Peut-être que ça nous est arrivé en châtiment de tout ce qu'on a fait aux gens, là-bas...
- C'est possible, a répondu Steve. Et alors ? On a bien profité de chaque instant.

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
MOONLIGHT FEELS RIGHT, de STARBUCK, manne d'accords disco tombée en 1976 sur les States en général et Miami en particulier :
http ://www.youtube.com/watch ?v=oCuQQcISZTM
En plus, le chanteur ressemble étrangement à Jon Roberts (en plus maigre).

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Les gens courageux ne sont pas toujours gentils et les gentils ne sont pas toujours courageux.
Jon Roberts fera l'expérience de la gentillesse dans sa prochaine existence, s'y étant préparé à la fin de celle-ci en fondant d'amour pour son fils.

Patricia Carrera, la traductrice de l'ouvrage


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s le 16/11/2013

1) Qui êtes-vous ? !
Une artisane (à l'amante).

2) Quel est le thème central de ce livre ?
Il est exprimé dans la phrase suivante :

Une devise de mon père a dominé ma vie quand j'étais gosse : «le mal est plus fort que le bien - en cas de doute, choisis le camp du mal.»

Devise à l'opposé de celle proposée par le poète et philosophe de Perpignan, François Brousse (1913-1995) : «Le bien est plus fort que le mal, car le mal finit nécessairement par s'autodétruire.»

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
C'est un peu plus d'une phrase - un bref dialogue entre le narrateur et son compagnon d'aventures et d'horreur au Vietnam, rentrés plus ou moins estropiés aux États-Unis :
- Peut-être que ça nous est arrivé en châtiment de tout ce qu'on a fait aux gens, là-bas...
- C'est possible, a répondu Steve. Et alors ? On a bien profité de chaque instant.

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
MOONLIGHT FEELS RIGHT, de STARBUCK, manne d'accords disco tombée en 1976 sur les States en général et Miami en particulier :
http ://www.youtube.com/watch ?v=oCuQQcISZTM
En plus, le chanteur ressemble étrangement à Jon Roberts (en plus maigre).

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Les gens courageux ne sont pas toujours gentils et les gentils ne sont pas toujours courageux.
Jon Roberts fera l'expérience de la gentillesse dans sa prochaine existence, s'y étant préparé à la fin de celle-ci en fondant d'amour pour son fils.

Patricia Carrera, la traductrice de l'ouvrage


Courrier des auteurs le 16/11/2013

1) Qui êtes-vous ? !
Une artisane (à l'amante).

2) Quel est le thème central de ce livre ?
Il est exprimé dans la phrase suivante :

Une devise de mon père a dominé ma vie quand j'étais gosse : «le mal est plus fort que le bien - en cas de doute, choisis le camp du mal.»

Devise à l'opposé de celle proposée par le poète et philosophe de Perpignan, François Brousse (1913-1995) : «Le bien est plus fort que le mal, car le mal finit nécessairement par s'autodétruire.»

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
C'est un peu plus d'une phrase - un bref dialogue entre le narrateur et son compagnon d'aventures et d'horreur au Vietnam, rentrés plus ou moins estropiés aux États-Unis :
- Peut-être que ça nous est arrivé en châtiment de tout ce qu'on a fait aux gens, là-bas...
- C'est possible, a répondu Steve. Et alors ? On a bien profité de chaque instant.

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
MOONLIGHT FEELS RIGHT, de STARBUCK, manne d'accords disco tombée en 1976 sur les States en général et Miami en particulier :
http ://www.youtube.com/watch ?v=oCuQQcISZTM
En plus, le chanteur ressemble étrangement à Jon Roberts (en plus maigre).

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Les gens courageux ne sont pas toujours gentils et les gentils ne sont pas toujours courageux.
Jon Roberts fera l'expérience de la gentillesse dans sa prochaine existence, s'y étant préparé à la fin de celle-ci en fondant d'amour pour son fils.

Patricia Carrera, la traductrice de l'ouvrage


Courrier des auteurs le 16/11/2013

1) Qui êtes-vous ? !
Une artisane (à l'amante).

2) Quel est le thème central de ce livre ?
Il est exprimé dans la phrase suivante :

Une devise de mon père a dominé ma vie quand j'étais gosse : «le mal est plus fort que le bien - en cas de doute, choisis le camp du mal.»

Devise à l'opposé de celle proposée par le poète et philosophe de Perpignan, François Brousse (1913-1995) : «Le bien est plus fort que le mal, car le mal finit nécessairement par s'autodétruire.»

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
C'est un peu plus d'une phrase - un bref dialogue entre le narrateur et son compagnon d'aventures et d'horreur au Vietnam, rentrés plus ou moins estropiés aux États-Unis :
- Peut-être que ça nous est arrivé en châtiment de tout ce qu'on a fait aux gens, là-bas...
- C'est possible, a répondu Steve. Et alors ? On a bien profité de chaque instant.

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
MOONLIGHT FEELS RIGHT, de STARBUCK, manne d'accords disco tombée en 1976 sur les States en général et Miami en particulier :
http ://www.youtube.com/watch ?v=oCuQQcISZTM
En plus, le chanteur ressemble étrangement à Jon Roberts (en plus maigre).

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Les gens courageux ne sont pas toujours gentils et les gentils ne sont pas toujours courageux.
Jon Roberts fera l'expérience de la gentillesse dans sa prochaine existence, s'y étant préparé à la fin de celle-ci en fondant d'amour pour son fils.

Patricia Carrera, la traductrice de l'ouvrage


Courrier des auteurs le 16/11/2013

1) Qui êtes-vous ? !
Une artisane (à l'amante).

2) Quel est le thème central de ce livre ?
Il est exprimé dans la phrase suivante :

Une devise de mon père a dominé ma vie quand j'étais gosse : «le mal est plus fort que le bien - en cas de doute, choisis le camp du mal.»

Devise à l'opposé de celle proposée par le poète et philosophe de Perpignan, François Brousse (1913-1995) : «Le bien est plus fort que le mal, car le mal finit nécessairement par s'autodétruire.»

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
C'est un peu plus d'une phrase - un bref dialogue entre le narrateur et son compagnon d'aventures et d'horreur au Vietnam, rentrés plus ou moins estropiés aux États-Unis :
- Peut-être que ça nous est arrivé en châtiment de tout ce qu'on a fait aux gens, là-bas...
- C'est possible, a répondu Steve. Et alors ? On a bien profité de chaque instant.

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
MOONLIGHT FEELS RIGHT, de STARBUCK, manne d'accords disco tombée en 1976 sur les States en général et Miami en particulier :
http ://www.youtube.com/watch ?v=oCuQQcISZTM
En plus, le chanteur ressemble étrangement à Jon Roberts (en plus maigre).

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Les gens courageux ne sont pas toujours gentils et les gentils ne sont pas toujours courageux.
Jon Roberts fera l'expérience de la gentillesse dans sa prochaine existence, s'y étant préparé à la fin de celle-ci en fondant d'amour pour son fils.

Patricia Carrera, la traductrice de l'ouvrage


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1) Qui êtes-vous ? !
Une artisane (à l'amante).

2) Quel est le thème central de ce livre ?
Il est exprimé dans la phrase suivante :

Une devise de mon père a dominé ma vie quand j'étais gosse : «le mal est plus fort que le bien - en cas de doute, choisis le camp du mal.»

Devise à l'opposé de celle proposée par le poète et philosophe de Perpignan, François Brousse (1913-1995) : «Le bien est plus fort que le mal, car le mal finit nécessairement par s'autodétruire.»

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
C'est un peu plus d'une phrase - un bref dialogue entre le narrateur et son compagnon d'aventures et d'horreur au Vietnam, rentrés plus ou moins estropiés aux États-Unis :
- Peut-être que ça nous est arrivé en châtiment de tout ce qu'on a fait aux gens, là-bas...
- C'est possible, a répondu Steve. Et alors ? On a bien profité de chaque instant.

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
MOONLIGHT FEELS RIGHT, de STARBUCK, manne d'accords disco tombée en 1976 sur les States en général et Miami en particulier :
http ://www.youtube.com/watch ?v=oCuQQcISZTM
En plus, le chanteur ressemble étrangement à Jon Roberts (en plus maigre).

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Les gens courageux ne sont pas toujours gentils et les gentils ne sont pas toujours courageux.
Jon Roberts fera l'expérience de la gentillesse dans sa prochaine existence, s'y étant préparé à la fin de celle-ci en fondant d'amour pour son fils.

Patricia Carrera, la traductrice de l'ouvrage


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Courrier des auteurs le 16/11

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1) Qui êtes-vous ? !
Une artisane (à l'amante).

2) Quel est le thème central de ce livre ?
Il est exprimé dans la phrase suivante :

Une devise de mon père a dominé ma vie quand j'étais gosse : «le mal est plus fort que le bien - en cas de doute, choisis le camp du mal.»

Devise à l'opposé de celle proposée par le poète et philosophe de Perpignan, François Brousse (1913-1995) : «Le bien est plus fort que le mal, car le mal finit nécessairement par s'autodétruire.»

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
C'est un peu plus d'une phrase - un bref dialogue entre le narrateur et son compagnon d'aventures et d'horreur au Vietnam, rentrés plus ou moins estropiés aux États-Unis :
- Peut-être que ça nous est arrivé en châtiment de tout ce qu'on a fait aux gens, là-bas...
- C'est possible, a répondu Steve. Et alors ? On a bien profité de chaque instant.

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
MOONLIGHT FEELS RIGHT, de STARBUCK, manne d'accords disco tombée en 1976 sur les States en général et Miami en particulier :
http ://www.youtube.com/watch ?v=oCuQQcISZTM
En plus, le chanteur ressemble étrangement à Jon Roberts (en plus maigre).

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Les gens courageux ne sont pas toujours gentils et les gentils ne sont pas toujours courageux.
Jon Roberts fera l'expérience de la gentillesse dans sa prochaine existence, s'y étant préparé à la fin de celle-ci en fondant d'amour pour son fils.

Patricia Carrera, la traductrice de l'ouvrage


Courrier des auteurs le 16/11/2013

1) Qui êtes-vous ? !
Une artisane (à l'amante).

2) Quel est le thème central de ce livre ?
Il est exprimé dans la phrase suivante :

Une devise de mon père a dominé ma vie quand j'étais gosse : «le mal est plus fort que le bien - en cas de doute, choisis le camp du mal.»

Devise à l'opposé de celle proposée par le poète et philosophe de Perpignan, François Brousse (1913-1995) : «Le bien est plus fort que le mal, car le mal finit nécessairement par s'autodétruire.»

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
C'est un peu plus d'une phrase - un bref dialogue entre le narrateur et son compagnon d'aventures et d'horreur au Vietnam, rentrés plus ou moins estropiés aux États-Unis :
- Peut-être que ça nous est arrivé en châtiment de tout ce qu'on a fait aux gens, là-bas...
- C'est possible, a répondu Steve. Et alors ? On a bien profité de chaque instant.

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
MOONLIGHT FEELS RIGHT, de STARBUCK, manne d'accords disco tombée en 1976 sur les States en général et Miami en particulier :
http ://www.youtube.com/watch ?v=oCuQQcISZTM
En plus, le chanteur ressemble étrangement à Jon Roberts (en plus maigre).

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Les gens courageux ne sont pas toujours gentils et les gentils ne sont pas toujours courageux.
Jon Roberts fera l'expérience de la gentillesse dans sa prochaine existence, s'y étant préparé à la fin de celle-ci en fondant d'amour pour son fils.

Patricia Carrera, la traductrice de l'ouvrage


Courrier des auteurs le 16/11/2013

1) Qui êtes-vous ? !
Une artisane (à l'amante).

2) Quel est le thème central de ce livre ?
Il est exprimé dans la phrase suivante :

Une devise de mon père a dominé ma vie quand j'étais gosse : «le mal est plus fort que le bien - en cas de doute, choisis le camp du mal.»

Devise à l'opposé de celle proposée par le poète et philosophe de Perpignan, François Brousse (1913-1995) : «Le bien est plus fort que le mal, car le mal finit nécessairement par s'autodétruire.»

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
C'est un peu plus d'une phrase - un bref dialogue entre le narrateur et son compagnon d'aventures et d'horreur au Vietnam, rentrés plus ou moins estropiés aux États-Unis :
- Peut-être que ça nous est arrivé en châtiment de tout ce qu'on a fait aux gens, là-bas...
- C'est possible, a répondu Steve. Et alors ? On a bien profité de chaque instant.

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
MOONLIGHT FEELS RIGHT, de STARBUCK, manne d'accords disco tombée en 1976 sur les States en général et Miami en particulier :
http ://www.youtube.com/watch ?v=oCuQQcISZTM
En plus, le chanteur ressemble étrangement à Jon Roberts (en plus maigre).

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Les gens courageux ne sont pas toujours gentils et les gentils ne sont pas toujours courageux.
Jon Roberts fera l'expérience de la gentillesse dans sa prochaine existence, s'y étant préparé à la fin de celle-ci en fondant d'amour pour son fils.

Patricia Carrera, la traductrice de l'ouvrage


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1) Qui êtes-vous ? !
Une artisane (à l'amante).

2) Quel est le thème central de ce livre ?
Il est exprimé dans la phrase suivante :

Une devise de mon père a dominé ma vie quand j'étais gosse : «le mal est plus fort que le bien - en cas de doute, choisis le camp du mal.»

Devise à l'opposé de celle proposée par le poète et philosophe de Perpignan, François Brousse (1913-1995) : «Le bien est plus fort que le mal, car le mal finit nécessairement par s'autodétruire.»

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
C'est un peu plus d'une phrase - un bref dialogue entre le narrateur et son compagnon d'aventures et d'horreur au Vietnam, rentrés plus ou moins estropiés aux États-Unis :
- Peut-être que ça nous est arrivé en châtiment de tout ce qu'on a fait aux gens, là-bas...
- C'est possible, a répondu Steve. Et alors ? On a bien profité de chaque instant.

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
MOONLIGHT FEELS RIGHT, de STARBUCK, manne d'accords disco tombée en 1976 sur les States en général et Miami en particulier :
http ://www.youtube.com/watch ?v=oCuQQcISZTM
En plus, le chanteur ressemble étrangement à Jon Roberts (en plus maigre).

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Les gens courageux ne sont pas toujours gentils et les gentils ne sont pas toujours courageux.
Jon Roberts fera l'expérience de la gentillesse dans sa prochaine existence, s'y étant préparé à la fin de celle-ci en fondant d'amour pour son fils.

Patricia Carrera, la traductrice de l'ouvrage


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1) Qui êtes-vous ? !
Une artisane (à l'amante).

2) Quel est le thème central de ce livre ?
Il est exprimé dans la phrase suivante :

Une devise de mon père a dominé ma vie quand j'étais gosse : «le mal est plus fort que le bien - en cas de doute, choisis le camp du mal.»

Devise à l'opposé de celle proposée par le poète et philosophe de Perpignan, François Brousse (1913-1995) : «Le bien est plus fort que le mal, car le mal finit nécessairement par s'autodétruire.»

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
C'est un peu plus d'une phrase - un bref dialogue entre le narrateur et son compagnon d'aventures et d'horreur au Vietnam, rentrés plus ou moins estropiés aux États-Unis :
- Peut-être que ça nous est arrivé en châtiment de tout ce qu'on a fait aux gens, là-bas...
- C'est possible, a répondu Steve. Et alors ? On a bien profité de chaque instant.

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
MOONLIGHT FEELS RIGHT, de STARBUCK, manne d'accords disco tombée en 1976 sur les States en général et Miami en particulier :
http ://www.youtube.com/watch ?v=oCuQQcISZTM
En plus, le chanteur ressemble étrangement à Jon Roberts (en plus maigre).

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Les gens courageux ne sont pas toujours gentils et les gentils ne sont pas toujours courageux.
Jon Roberts fera l'expérience de la gentillesse dans sa prochaine existence, s'y étant préparé à la fin de celle-ci en fondant d'amour pour son fils.

Patricia Carrera, la traductrice de l'ouvrage


Courrier des auteurs le 16/11/2013

1) Qui êtes-vous ? !
Une artisane (à l'amante).

2) Quel est le thème central de ce livre ?
Il est exprimé dans la phrase suivante :

Une devise de mon père a dominé ma vie quand j'étais gosse : «le mal est plus fort que le bien - en cas de doute, choisis le camp du mal.»

Devise à l'opposé de celle proposée par le poète et philosophe de Perpignan, François Brousse (1913-1995) : «Le bien est plus fort que le mal, car le mal finit nécessairement par s'autodétruire.»

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
C'est un peu plus d'une phrase - un bref dialogue entre le narrateur et son compagnon d'aventures et d'horreur au Vietnam, rentrés plus ou moins estropiés aux États-Unis :
- Peut-être que ça nous est arrivé en châtiment de tout ce qu'on a fait aux gens, là-bas...
- C'est possible, a répondu Steve. Et alors ? On a bien profité de chaque instant.

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
MOONLIGHT FEELS RIGHT, de STARBUCK, manne d'accords disco tombée en 1976 sur les States en général et Miami en particulier :
http ://www.youtube.com/watch ?v=oCuQQcISZTM
En plus, le chanteur ressemble étrangement à Jon Roberts (en plus maigre).

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
Les gens courageux ne sont pas toujours gentils et les gentils ne sont pas toujours courageux.
Jon Roberts fera l'expérience de la gentillesse dans sa prochaine existence, s'y étant préparé à la fin de celle-ci en fondant d'amour pour son fils.

Patricia Carrera, la traductrice de l'ouvrage

La revue de presse : Clémentine Goldszal - Les Inrocks, décembre 2013

Ames sensibles, passez votre chemin, ce livre est plus gore qu'un film de Tarantino, mais aussi plus palpitant que tout autre roman de gangsters...
Ecrit avec Evan Wright, un journaliste américain qui a pu longuement rencontrer Jon Roberts avant sa mort en 2011, le récit de la vie absolument décadente de Roberts en apprend plus sur le fonctionnement de la mafia américaine que n'importe quel documentaire sur Lucky Luciano : une mine d'informations racontées sur le ton du badinage, les confessions d'un malfrat pas du tout repenti mais surtout le récit désopilant d'une vie menée à l'encontre de tout politiquement correct. Jon Roberts, né Riccobono, voit le jour en 1948 dans le Bronx et grandit dans le crime comme d'autres dans la soie...
Psychopathe autoproclamé, Jon Roberts est un personnage profondément iconoclaste, mais surtout hilarant. «Bryan était excessif. Un jour, il a forcé un type à manger son arme», confie-t-il ainsi au sujet de son associé. C'est ce mélange d'horreur et de détachement qui fait tout le sel d'un livre qui aurait pu tourner à l'énumération de faits d'armes pour rappeurs apprentis- gangsters. Au lieu de quoi, American Desperado fait se rencontrer Woody Allen et Tarantino, Oliver Stone et Michel Audiard.

La revue de presse : Macha Séry - Le Monde du 31 octobre 2013

Le journaliste Evan Wright a eu le privilège d'écouter Jon Roberts, criminel endurci, raconter sa vie. Résultat : l'incroyable mais vrai " American Desperado ". Jon Roberts est mort en 2011, à peine trois mois après la parution, aux Etats-Unis, de ses Mémoires, American Desperado, coécrits avec le reporter et romancier Evan Wright. Son CV criminel a de quoi impressionner les amateurs les plus endurcis des films de gangsters : braquages, rackets, tortures, assassinats, arnaques en tout genre, trafic de drogue à grande échelle pour le cartel de Medellín... En parcourant son autobiographie, on croit revivre des scènes du Parrain et de Scarface...
Dans American Desperado, Jon Roberts s'est livré avec une rare franchise : son ascension au sein de la pègre new-yorkaise dès la fin des années 1960, les meurtres ayant précipité son exil à Miami, la sophistication des moyens mis en oeuvre avec ses associés pour berner les autorités pendant plus de dix ans (aérodromes secrets, bornes d'écoute pour espionner les communications des gardes-côtes, balises à longue distance équipant les bateaux, avions capables de voler très bas, sous les radars), lorsqu'il assurait la logistique du transport de drogue pour les Colombiens. Il raconte aussi son accord secret avec la CIA pour convoyer des armes aux Contras qui combattaient le gouvernement sandiniste au Nicaragua... Wright s'est interdit de glorifier comme de " moraliser " le personnage ou la trajectoire de Jon Roberts...
Courant des années 1960 aux années 1990, lorsque la drogue coulait à flots et que les Etats-Unis menaient en sous-main ses guerres sales en Amérique du Sud, cette fresque est en voie d'adaptation au cinéma.


La revue de presse : Clémentine Goldszal - Les Inrocks, décembre 2013

Ames sensibles, passez votre chemin, ce livre est plus gore qu'un film de Tarantino, mais aussi plus palpitant que tout autre roman de gangsters...
Ecrit avec Evan Wright, un journaliste américain qui a pu longuement rencontrer Jon Roberts avant sa mort en 2011, le récit de la vie absolument décadente de Roberts en apprend plus sur le fonctionnement de la mafia américaine que n'importe quel documentaire sur Lucky Luciano : une mine d'informations racontées sur le ton du badinage, les confessions d'un malfrat pas du tout repenti mais surtout le récit désopilant d'une vie menée à l'encontre de tout politiquement correct. Jon Roberts, né Riccobono, voit le jour en 1948 dans le Bronx et grandit dans le crime comme d'autres dans la soie...
Psychopathe autoproclamé, Jon Roberts est un personnage profondément iconoclaste, mais surtout hilarant. «Bryan était excessif. Un jour, il a forcé un type à manger son arme», confie-t-il ainsi au sujet de son associé. C'est ce mélange d'horreur et de détachement qui fait tout le sel d'un livre qui aurait pu tourner à l'énumération de faits d'armes pour rappeurs apprentis- gangsters. Au lieu de quoi, American Desperado fait se rencontrer Woody Allen et Tarantino, Oliver Stone et Michel Audiard.

La revue de presse : Macha Séry - Le Monde du 31 octobre 2013

Le journaliste Evan Wright a eu le privilège d'écouter Jon Roberts, criminel endurci, raconter sa vie. Résultat : l'incroyable mais vrai " American Desperado ". Jon Roberts est mort en 2011, à peine trois mois après la parution, aux Etats-Unis, de ses Mémoires, American Desperado, coécrits avec le reporter et romancier Evan Wright. Son CV criminel a de quoi impressionner les amateurs les plus endurcis des films de gangsters : braquages, rackets, tortures, assassinats, arnaques en tout genre, trafic de drogue à grande échelle pour le cartel de Medellín... En parcourant son autobiographie, on croit revivre des scènes du Parrain et de Scarface...
Dans American Desperado, Jon Roberts s'est livré avec une rare franchise : son ascension au sein de la pègre new-yorkaise dès la fin des années 1960, les meurtres ayant précipité son exil à Miami, la sophistication des moyens mis en oeuvre avec ses associés pour berner les autorités pendant plus de dix ans (aérodromes secrets, bornes d'écoute pour espionner les communications des gardes-côtes, balises à longue distance équipant les bateaux, avions capables de voler très bas, sous les radars), lorsqu'il assurait la logistique du transport de drogue pour les Colombiens. Il raconte aussi son accord secret avec la CIA pour convoyer des armes aux Contras qui combattaient le gouvernement sandiniste au Nicaragua... Wright s'est interdit de glorifier comme de " moraliser " le personnage ou la trajectoire de Jon Roberts...
Courant des années 1960 aux années 1990, lorsque la drogue coulait à flots et que les Etats-Unis menaient en sous-main ses guerres sales en Amérique du Sud, cette fresque est en voie d'adaptation au cinéma.


La revue de presse : Clémentine Goldszal - Les Inrocks, décembre 2013

Ames sensibles, passez votre chemin, ce livre est plus gore qu'un film de Tarantino, mais aussi plus palpitant que tout autre roman de gangsters...
Ecrit avec Evan Wright, un journaliste américain qui a pu longuement rencontrer Jon Roberts avant sa mort en 2011, le récit de la vie absolument décadente de Roberts en apprend plus sur le fonctionnement de la mafia américaine que n'importe quel documentaire sur Lucky Luciano : une mine d'informations racontées sur le ton du badinage, les confessions d'un malfrat pas du tout repenti mais surtout le récit désopilant d'une vie menée à l'encontre de tout politiquement correct. Jon Roberts, né Riccobono, voit le jour en 1948 dans le Bronx et grandit dans le crime comme d'autres dans la soie...
Psychopathe autoproclamé, Jon Roberts est un personnage profondément iconoclaste, mais surtout hilarant. «Bryan était excessif. Un jour, il a forcé un type à manger son arme», confie-t-il ainsi au sujet de son associé. C'est ce mélange d'horreur et de détachement qui fait tout le sel d'un livre qui aurait pu tourner à l'énumération de faits d'armes pour rappeurs apprentis- gangsters. Au lieu de quoi, American Desperado fait se rencontrer Woody Allen et Tarantino, Oliver Stone et Michel Audiard.

La revue de presse : Macha Séry - Le Monde du 31 octobre 2013

Le journaliste Evan Wright a eu le privilège d'écouter Jon Roberts, criminel endurci, raconter sa vie. Résultat : l'incroyable mais vrai " American Desperado ". Jon Roberts est mort en 2011, à peine trois mois après la parution, aux Etats-Unis, de ses Mémoires, American Desperado, coécrits avec le reporter et romancier Evan Wright. Son CV criminel a de quoi impressionner les amateurs les plus endurcis des films de gangsters : braquages, rackets, tortures, assassinats, arnaques en tout genre, trafic de drogue à grande échelle pour le cartel de Medellín... En parcourant son autobiographie, on croit revivre des scènes du Parrain et de Scarface...
Dans American Desperado, Jon Roberts s'est livré avec une rare franchise : son ascension au sein de la pègre new-yorkaise dès la fin des années 1960, les meurtres ayant précipité son exil à Miami, la sophistication des moyens mis en oeuvre avec ses associés pour berner les autorités pendant plus de dix ans (aérodromes secrets, bornes d'écoute pour espionner les communications des gardes-côtes, balises à longue distance équipant les bateaux, avions capables de voler très bas, sous les radars), lorsqu'il assurait la logistique du transport de drogue pour les Colombiens. Il raconte aussi son accord secret avec la CIA pour convoyer des armes aux Contras qui combattaient le gouvernement sandiniste au Nicaragua... Wright s'est interdit de glorifier comme de " moraliser " le personnage ou la trajectoire de Jon Roberts...
Courant des années 1960 aux années 1990, lorsque la drogue coulait à flots et que les Etats-Unis menaient en sous-main ses guerres sales en Amérique du Sud, cette fresque est en voie d'adaptation au cinéma.


La revue de presse : Clémentine Goldszal - Les Inrocks, décembre 2013

Ames sensibles, passez votre chemin, ce livre est plus gore qu'un film de Tarantino, mais aussi plus palpitant que tout autre roman de gangsters...
Ecrit avec Evan Wright, un journaliste américain qui a pu longuement rencontrer Jon Roberts avant sa mort en 2011, le récit de la vie absolument décadente de Roberts en apprend plus sur le fonctionnement de la mafia américaine que n'importe quel documentaire sur Lucky Luciano : une mine d'informations racontées sur le ton du badinage, les confessions d'un malfrat pas du tout repenti mais surtout le récit désopilant d'une vie menée à l'encontre de tout politiquement correct. Jon Roberts, né Riccobono, voit le jour en 1948 dans le Bronx et grandit dans le crime comme d'autres dans la soie...
Psychopathe autoproclamé, Jon Roberts est un personnage profondément iconoclaste, mais surtout hilarant. «Bryan était excessif. Un jour, il a forcé un type à manger son arme», confie-t-il ainsi au sujet de son associé. C'est ce mélange d'horreur et de détachement qui fait tout le sel d'un livre qui aurait pu tourner à l'énumération de faits d'armes pour rappeurs apprentis- gangsters. Au lieu de quoi, American Desperado fait se rencontrer Woody Allen et Tarantino, Oliver Stone et Michel Audiard.

La revue de presse : Macha Séry - Le Monde du 31 octobre 2013

Le journaliste Evan Wright a eu le privilège d'écouter Jon Roberts, criminel endurci, raconter sa vie. Résultat : l'incroyable mais vrai " American Desperado ". Jon Roberts est mort en 2011, à peine trois mois après la parution, aux Etats-Unis, de ses Mémoires, American Desperado, coécrits avec le reporter et romancier Evan Wright. Son CV criminel a de quoi impressionner les amateurs les plus endurcis des films de gangsters : braquages, rackets, tortures, assassinats, arnaques en tout genre, trafic de drogue à grande échelle pour le cartel de Medellín... En parcourant son autobiographie, on croit revivre des scènes du Parrain et de Scarface...
Dans American Desperado, Jon Roberts s'est livré avec une rare franchise : son ascension au sein de la pègre new-yorkaise dès la fin des années 1960, les meurtres ayant précipité son exil à Miami, la sophistication des moyens mis en oeuvre avec ses associés pour berner les autorités pendant plus de dix ans (aérodromes secrets, bornes d'écoute pour espionner les communications des gardes-côtes, balises à longue distance équipant les bateaux, avions capables de voler très bas, sous les radars), lorsqu'il assurait la logistique du transport de drogue pour les Colombiens. Il raconte aussi son accord secret avec la CIA pour convoyer des armes aux Contras qui combattaient le gouvernement sandiniste au Nicaragua... Wright s'est interdit de glorifier comme de " moraliser " le personnage ou la trajectoire de Jon Roberts...
Courant des années 1960 aux années 1990, lorsque la drogue coulait à flots et que les Etats-Unis menaient en sous-main ses guerres sales en Amérique du Sud, cette fresque est en voie d'adaptation au cinéma.


La revue de presse : Clémentine Goldszal - Les Inrocks, décembre 2013

Ames sensibles, passez votre chemin, ce livre est plus gore qu'un film de Tarantino, mais aussi plus palpitant que tout autre roman de gangsters...
Ecrit avec Evan Wright, un journaliste américain qui a pu longuement rencontrer Jon Roberts avant sa mort en 2011, le récit de la vie absolument décadente de Roberts en apprend plus sur le fonctionnement de la mafia américaine que n'importe quel documentaire sur Lucky Luciano : une mine d'informations racontées sur le ton du badinage, les confessions d'un malfrat pas du tout repenti mais surtout le récit désopilant d'une vie menée à l'encontre de tout politiquement correct. Jon Roberts, né Riccobono, voit le jour en 1948 dans le Bronx et grandit dans le crime comme d'autres dans la soie...
Psychopathe autoproclamé, Jon Roberts est un personnage profondément iconoclaste, mais surtout hilarant. «Bryan était excessif. Un jour, il a forcé un type à manger son arme», confie-t-il ainsi au sujet de son associé. C'est ce mélange d'horreur et de détachement qui fait tout le sel d'un livre qui aurait pu tourner à l'énumération de faits d'armes pour rappeurs apprentis- gangsters. Au lieu de quoi, American Desperado fait se rencontrer Woody Allen et Tarantino, Oliver Stone et Michel Audiard.

La revue de presse : Macha Séry - Le Monde du 31 octobre 2013

Le journaliste Evan Wright a eu le privilège d'écouter Jon Roberts, criminel endurci, raconter sa vie. Résultat : l'incroyable mais vrai " American Desperado ". Jon Roberts est mort en 2011, à peine trois mois après la parution, aux Etats-Unis, de ses Mémoires, American Desperado, coécrits avec le reporter et romancier Evan Wright. Son CV criminel a de quoi impressionner les amateurs les plus endurcis des films de gangsters : braquages, rackets, tortures, assassinats, arnaques en tout genre, trafic de drogue à grande échelle pour le cartel de Medellín... En parcourant son autobiographie, on croit revivre des scènes du Parrain et de Scarface...
Dans American Desperado, Jon Roberts s'est livré avec une rare franchise : son ascension au sein de la pègre new-yorkaise dès la fin des années 1960, les meurtres ayant précipité son exil à Miami, la sophistication des moyens mis en oeuvre avec ses associés pour berner les autorités pendant plus de dix ans (aérodromes secrets, bornes d'écoute pour espionner les communications des gardes-côtes, balises à longue distance équipant les bateaux, avions capables de voler très bas, sous les radars), lorsqu'il assurait la logistique du transport de drogue pour les Colombiens. Il raconte aussi son accord secret avec la CIA pour convoyer des armes aux Contras qui combattaient le gouvernement sandiniste au Nicaragua... Wright s'est interdit de glorifier comme de " moraliser " le personnage ou la trajectoire de Jon Roberts...
Courant des années 1960 aux années 1990, lorsque la drogue coulait à flots et que les Etats-Unis menaient en sous-main ses guerres sales en Amérique du Sud, cette fresque est en voie d'adaptation au cinéma.


La revue de presse : Clémentine Goldszal - Les Inrocks, décembre 2013

Ames sensibles, passez votre chemin, ce livre est plus gore qu'un film de Tarantino, mais aussi plus palpitant que tout autre roman de gangsters...
Ecrit avec Evan Wright, un journaliste américain qui a pu longuement rencontrer Jon Roberts avant sa mort en 2011, le récit de la vie absolument décadente de Roberts en apprend plus sur le fonctionnement de la mafia américaine que n'importe quel documentaire sur Lucky Luciano : une mine d'informations racontées sur le ton du badinage, les confessions d'un malfrat pas du tout repenti mais surtout le récit désopilant d'une vie menée à l'encontre de tout politiquement correct. Jon Roberts, né Riccobono, voit le jour en 1948 dans le Bronx et grandit dans le crime comme d'autres dans la soie...
Psychopathe autoproclamé, Jon Roberts est un personnage profondément iconoclaste, mais surtout hilarant. «Bryan était excessif. Un jour, il a forcé un type à manger son arme», confie-t-il ainsi au sujet de son associé. C'est ce mélange d'horreur et de détachement qui fait tout le sel d'un livre qui aurait pu tourner à l'énumération de faits d'armes pour rappeurs apprentis- gangsters. Au lieu de quoi, American Desperado fait se rencontrer Woody Allen et Tarantino, Oliver Stone et Michel Audiard.

La revue de presse : Macha Séry - Le Monde du 31 octobre 2013

Le journaliste Evan Wright a eu le privilège d'écouter Jon Roberts, criminel endurci, raconter sa vie. Résultat : l'incroyable mais vrai " American Desperado ". Jon Roberts est mort en 2011, à peine trois mois après la parution, aux Etats-Unis, de ses Mémoires, American Desperado, coécrits avec le reporter et romancier Evan Wright. Son CV criminel a de quoi impressionner les amateurs les plus endurcis des films de gangsters : braquages, rackets, tortures, assassinats, arnaques en tout genre, trafic de drogue à grande échelle pour le cartel de Medellín... En parcourant son autobiographie, on croit revivre des scènes du Parrain et de Scarface...
Dans American Desperado, Jon Roberts s'est livré avec une rare franchise : son ascension au sein de la pègre new-yorkaise dès la fin des années 1960, les meurtres ayant précipité son exil à Miami, la sophistication des moyens mis en oeuvre avec ses associés pour berner les autorités pendant plus de dix ans (aérodromes secrets, bornes d'écoute pour espionner les communications des gardes-côtes, balises à longue distance équipant les bateaux, avions capables de voler très bas, sous les radars), lorsqu'il assurait la logistique du transport de drogue pour les Colombiens. Il raconte aussi son accord secret avec la CIA pour convoyer des armes aux Contras qui combattaient le gouvernement sandiniste au Nicaragua... Wright s'est interdit de glorifier comme de " moraliser " le personnage ou la trajectoire de Jon Roberts...
Courant des années 1960 aux années 1990, lorsque la drogue coulait à flots et que les Etats-Unis menaient en sous-main ses guerres sales en Amérique du Sud, cette fresque est en voie d'adaptation au cinéma.


La revue de presse : Clémentine Goldszal - Les Inrocks, décembre 2013

Ames sensibles, passez votre chemin, ce livre est plus gore qu'un film de Tarantino, mais aussi plus palpitant que tout autre roman de gangsters...
Ecrit avec Evan Wright, un journaliste américain qui a pu longuement rencontrer Jon Roberts avant sa mort en 2011, le récit de la vie absolument décadente de Roberts en apprend plus sur le fonctionnement de la mafia américaine que n'importe quel documentaire sur Lucky Luciano : une mine d'informations racontées sur le ton du badinage, les confessions d'un malfrat pas du tout repenti mais surtout le récit désopilant d'une vie menée à l'encontre de tout politiquement correct. Jon Roberts, né Riccobono, voit le jour en 1948 dans le Bronx et grandit dans le crime comme d'autres dans la soie...
Psychopathe autoproclamé, Jon Roberts est un personnage profondément iconoclaste, mais surtout hilarant. «Bryan était excessif. Un jour, il a forcé un type à manger son arme», confie-t-il ainsi au sujet de son associé. C'est ce mélange d'horreur et de détachement qui fait tout le sel d'un livre qui aurait pu tourner à l'énumération de faits d'armes pour rappeurs apprentis- gangsters. Au lieu de quoi, American Desperado fait se rencontrer Woody Allen et Tarantino, Oliver Stone et Michel Audiard.

La revue de presse : Macha Séry - Le Monde du 31 octobre 2013

Le journaliste Evan Wright a eu le privilège d'écouter Jon Roberts, criminel endurci, raconter sa vie. Résultat : l'incroyable mais vrai " American Desperado ". Jon Roberts est mort en 2011, à peine trois mois après la parution, aux Etats-Unis, de ses Mémoires, American Desperado, coécrits avec le reporter et romancier Evan Wright. Son CV criminel a de quoi impressionner les amateurs les plus endurcis des films de gangsters : braquages, rackets, tortures, assassinats, arnaques en tout genre, trafic de drogue à grande échelle pour le cartel de Medellín... En parcourant son autobiographie, on croit revivre des scènes du Parrain et de Scarface...
Dans American Desperado, Jon Roberts s'est livré avec une rare franchise : son ascension au sein de la pègre new-yorkaise dès la fin des années 1960, les meurtres ayant précipité son exil à Miami, la sophistication des moyens mis en oeuvre avec ses associés pour berner les autorités pendant plus de dix ans (aérodromes secrets, bornes d'écoute pour espionner les communications des gardes-côtes, balises à longue distance équipant les bateaux, avions capables de voler très bas, sous les radars), lorsqu'il assurait la logistique du transport de drogue pour les Colombiens. Il raconte aussi son accord secret avec la CIA pour convoyer des armes aux Contras qui combattaient le gouvernement sandiniste au Nicaragua... Wright s'est interdit de glorifier comme de " moraliser " le personnage ou la trajectoire de Jon Roberts...
Courant des années 1960 aux années 1990, lorsque la drogue coulait à flots et que les Etats-Unis menaient en sous-main ses guerres sales en Amérique du Sud, cette fresque est en voie d'adaptation au cinéma.


La revue de presse : Clémentine Goldszal - Les Inrocks, décembre 2013

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Psychopathe autoproclamé, Jon Roberts est un personnage profondément iconoclaste, mais surtout hilarant. «Bryan était excessif. Un jour, il a forcé un type à manger son arme», confie-t-il ainsi au sujet de son associé. C'est ce mélange d'horreur et de détachement qui fait tout le sel d'un livre qui aurait pu tourner à l'énumération de faits d'armes pour rappeurs apprentis- gangsters. Au lieu de quoi, American Desperado fait se rencontrer Woody Allen et Tarantino, Oliver Stone et Michel Audiard.

La revue de presse : Macha Séry - Le Monde du 31 octobre 2013

Le journaliste Evan Wright a eu le privilège d'écouter Jon Roberts, criminel endurci, raconter sa vie. Résultat : l'incroyable mais vrai " American Desperado ". Jon Roberts est mort en 2011, à peine trois mois après la parution, aux Etats-Unis, de ses Mémoires, American Desperado, coécrits avec le reporter et romancier Evan Wright. Son CV criminel a de quoi impressionner les amateurs les plus endurcis des films de gangsters : braquages, rackets, tortures, assassinats, arnaques en tout genre, trafic de drogue à grande échelle pour le cartel de Medellín... En parcourant son autobiographie, on croit revivre des scènes du Parrain et de Scarface...
Dans American Desperado, Jon Roberts s'est livré avec une rare franchise : son ascension au sein de la pègre new-yorkaise dès la fin des années 1960, les meurtres ayant précipité son exil à Miami, la sophistication des moyens mis en oeuvre avec ses associés pour berner les autorités pendant plus de dix ans (aérodromes secrets, bornes d'écoute pour espionner les communications des gardes-côtes, balises à longue distance équipant les bateaux, avions capables de voler très bas, sous les radars), lorsqu'il assurait la logistique du transport de drogue pour les Colombiens. Il raconte aussi son accord secret avec la CIA pour convoyer des armes aux Contras qui combattaient le gouvernement sandiniste au Nicaragua... Wright s'est interdit de glorifier comme de " moraliser " le personnage ou la trajectoire de Jon Roberts...
Courant des années 1960 aux années 1990, lorsque la drogue coulait à flots et que les Etats-Unis menaient en sous-main ses guerres sales en Amérique du Sud, cette fresque est en voie d'adaptation au cinéma.


La revue de presse : Clémentine Goldszal - Les Inrocks, décembre 2013

Ames sensibles, passez votre chemin, ce livre est plus gore qu'un film de Tarantino, mais aussi plus palpitant que tout autre roman de gangsters...
Ecrit avec Evan Wright, un journaliste américain qui a pu longuement rencontrer Jon Roberts avant sa mort en 2011, le récit de la vie absolument décadente de Roberts en apprend plus sur le fonctionnement de la mafia américaine que n'importe quel documentaire sur Lucky Luciano : une mine d'informations racontées sur le ton du badinage, les confessions d'un malfrat pas du tout repenti mais surtout le récit désopilant d'une vie menée à l'encontre de tout politiquement correct. Jon Roberts, né Riccobono, voit le jour en 1948 dans le Bronx et grandit dans le crime comme d'autres dans la soie...
Psychopathe autoproclamé, Jon Roberts est un personnage profondément iconoclaste, mais surtout hilarant. «Bryan était excessif. Un jour, il a forcé un type à manger son arme», confie-t-il ainsi au sujet de son associé. C'est ce mélange d'horreur et de détachement qui fait tout le sel d'un livre qui aurait pu tourner à l'énumération de faits d'armes pour rappeurs apprentis- gangsters. Au lieu de quoi, American Desperado fait se rencontrer Woody Allen et Tarantino, Oliver Stone et Michel Audiard.

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Le journaliste Evan Wright a eu le privilège d'écouter Jon Roberts, criminel endurci, raconter sa vie. Résultat : l'incroyable mais vrai " American Desperado ". Jon Roberts est mort en 2011, à peine trois mois après la parution, aux Etats-Unis, de ses Mémoires, American Desperado, coécrits avec le reporter et romancier Evan Wright. Son CV criminel a de quoi impressionner les amateurs les plus endurcis des films de gangsters : braquages, rackets, tortures, assassinats, arnaques en tout genre, trafic de drogue à grande échelle pour le cartel de Medellín... En parcourant son autobiographie, on croit revivre des scènes du Parrain et de Scarface...
Dans American Desperado, Jon Roberts s'est livré avec une rare franchise : son ascension au sein de la pègre new-yorkaise dès la fin des années 1960, les meurtres ayant précipité son exil à Miami, la sophistication des moyens mis en oeuvre avec ses associés pour berner les autorités pendant plus de dix ans (aérodromes secrets, bornes d'écoute pour espionner les communications des gardes-côtes, balises à longue distance équipant les bateaux, avions capables de voler très bas, sous les radars), lorsqu'il assurait la logistique du transport de drogue pour les Colombiens. Il raconte aussi son accord secret avec la CIA pour convoyer des armes aux Contras qui combattaient le gouvernement sandiniste au Nicaragua... Wright s'est interdit de glorifier comme de " moraliser " le personnage ou la trajectoire de Jon Roberts...
Courant des années 1960 aux années 1990, lorsque la drogue coulait à flots et que les Etats-Unis menaient en sous-main ses guerres sales en Amérique du Sud, cette fresque est en voie d'adaptation au cinéma.

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