"L'exil recommencé" de Mahmoud Darwich chez Actes Sud (Arles, France)
•en partenariat avec 20minutes.fr
- Auteur : Mahmoud Darwich
- Traducteur : Elias Sanbar
- Genre : Romans et nouvelles - étranger
- Editeur : Actes Sud, Arles, France
- Prix : 23.00 €
- Date de sortie : 02/10/2013
- GENCOD : 9782330005917
Résumé
LE POINT DE VUE DES ÉDITEURS
L'oeuvre de Mahmoud Darwich comprend des centaines d'articles, d'éditoriaux, de chroniques et de discours qu'il a en partie rassemblés dans six recueils publiés entre 1971 et 2007. Le présent livre est une anthologie de ces textes en prose dont on a retenu en particulier les derniers en date, écrits après le retour du poète en Palestine en 1993. Le thème de l'exil y est partout présent, qu'il s'agisse de réflexions sur le destin palestinien, d'interrogations sur la nécessité de la poésie et sur le métier de poète, ou d'hommages à des amis disparus.
En résonance avec sa poésie, la prose de Darwich est ici, comme dans Une mémoire pour l'oubli-, puissamment lyrique, fourmillant d'images et d'allusions historiques ou littéraires. Il y est fidèle à sa vocation première, celle d'être, sans compromettre sa liberté d'écrivain, le dépositaire de la mémoire collective palestinienne.
Mahmoud Darwich, né en 1942 à Birwa, près de Saint-Jean-d'Acre, est unanimement considéré comme l'un des plus grands poètes arabes contemporains. Son oeuvre, maintes fois rééditée et traduite partout dans le monde, lui a valu plusieurs prix prestigieux. Il a publié chez Actes Sud une dizaine de recueils de poèmes, dont Le Lanceur de dés et autres poèmes (2010) et Nous choisirons Sophocle et autres poèmes (2011), ainsi qu'un récit et deux livres d'entretiens. Il est décédé en 2008.
Résumé
LE POINT DE VUE DES ÉDITEURS
L'oeuvre de Mahmoud Darwich comprend des centaines d'articles, d'éditoriaux, de chroniques et de discours qu'il a en partie rassemblés dans six recueils publiés entre 1971 et 2007. Le présent livre est une anthologie de ces textes en prose dont on a retenu en particulier les derniers en date, écrits après le retour du poète en Palestine en 1993. Le thème de l'exil y est partout présent, qu'il s'agisse de réflexions sur le destin palestinien, d'interrogations sur la nécessité de la poésie et sur le métier de poète, ou d'hommages à des amis disparus.
En résonance avec sa poésie, la prose de Darwich est ici, comme dans Une mémoire pour l'oubli-, puissamment lyrique, fourmillant d'images et d'allusions historiques ou littéraires. Il y est fidèle à sa vocation première, celle d'être, sans compromettre sa liberté d'écrivain, le dépositaire de la mémoire collective palestinienne.
Mahmoud Darwich, né en 1942 à Birwa, près de Saint-Jean-d'Acre, est unanimement considéré comme l'un des plus grands poètes arabes contemporains. Son oeuvre, maintes fois rééditée et traduite partout dans le monde, lui a valu plusieurs prix prestigieux. Il a publié chez Actes Sud une dizaine de recueils de poèmes, dont Le Lanceur de dés et autres poèmes (2010) et Nous choisirons Sophocle et autres poèmes (2011), ainsi qu'un récit et deux livres d'entretiens. Il est décédé en 2008.
Résumé
LE POINT DE VUE DES ÉDITEURS
L'oeuvre de Mahmoud Darwich comprend des centaines d'articles, d'éditoriaux, de chroniques et de discours qu'il a en partie rassemblés dans six recueils publiés entre 1971 et 2007. Le présent livre est une anthologie de ces textes en prose dont on a retenu en particulier les derniers en date, écrits après le retour du poète en Palestine en 1993. Le thème de l'exil y est partout présent, qu'il s'agisse de réflexions sur le destin palestinien, d'interrogations sur la nécessité de la poésie et sur le métier de poète, ou d'hommages à des amis disparus.
En résonance avec sa poésie, la prose de Darwich est ici, comme dans Une mémoire pour l'oubli-, puissamment lyrique, fourmillant d'images et d'allusions historiques ou littéraires. Il y est fidèle à sa vocation première, celle d'être, sans compromettre sa liberté d'écrivain, le dépositaire de la mémoire collective palestinienne.
Mahmoud Darwich, né en 1942 à Birwa, près de Saint-Jean-d'Acre, est unanimement considéré comme l'un des plus grands poètes arabes contemporains. Son oeuvre, maintes fois rééditée et traduite partout dans le monde, lui a valu plusieurs prix prestigieux. Il a publié chez Actes Sud une dizaine de recueils de poèmes, dont Le Lanceur de dés et autres poèmes (2010) et Nous choisirons Sophocle et autres poèmes (2011), ainsi qu'un récit et deux livres d'entretiens. Il est décédé en 2008.
Résumé
LE POINT DE VUE DES ÉDITEURS
L'oeuvre de Mahmoud Darwich comprend des centaines d'articles, d'éditoriaux, de chroniques et de discours qu'il a en partie rassemblés dans six recueils publiés entre 1971 et 2007. Le présent livre est une anthologie de ces textes en prose dont on a retenu en particulier les derniers en date, écrits après le retour du poète en Palestine en 1993. Le thème de l'exil y est partout présent, qu'il s'agisse de réflexions sur le destin palestinien, d'interrogations sur la nécessité de la poésie et sur le métier de poète, ou d'hommages à des amis disparus.
En résonance avec sa poésie, la prose de Darwich est ici, comme dans Une mémoire pour l'oubli-, puissamment lyrique, fourmillant d'images et d'allusions historiques ou littéraires. Il y est fidèle à sa vocation première, celle d'être, sans compromettre sa liberté d'écrivain, le dépositaire de la mémoire collective palestinienne.
Mahmoud Darwich, né en 1942 à Birwa, près de Saint-Jean-d'Acre, est unanimement considéré comme l'un des plus grands poètes arabes contemporains. Son oeuvre, maintes fois rééditée et traduite partout dans le monde, lui a valu plusieurs prix prestigieux. Il a publié chez Actes Sud une dizaine de recueils de poèmes, dont Le Lanceur de dés et autres poèmes (2010) et Nous choisirons Sophocle et autres poèmes (2011), ainsi qu'un récit et deux livres d'entretiens. Il est décédé en 2008.
Résumé
LE POINT DE VUE DES ÉDITEURS
L'oeuvre de Mahmoud Darwich comprend des centaines d'articles, d'éditoriaux, de chroniques et de discours qu'il a en partie rassemblés dans six recueils publiés entre 1971 et 2007. Le présent livre est une anthologie de ces textes en prose dont on a retenu en particulier les derniers en date, écrits après le retour du poète en Palestine en 1993. Le thème de l'exil y est partout présent, qu'il s'agisse de réflexions sur le destin palestinien, d'interrogations sur la nécessité de la poésie et sur le métier de poète, ou d'hommages à des amis disparus.
En résonance avec sa poésie, la prose de Darwich est ici, comme dans Une mémoire pour l'oubli-, puissamment lyrique, fourmillant d'images et d'allusions historiques ou littéraires. Il y est fidèle à sa vocation première, celle d'être, sans compromettre sa liberté d'écrivain, le dépositaire de la mémoire collective palestinienne.
Mahmoud Darwich, né en 1942 à Birwa, près de Saint-Jean-d'Acre, est unanimement considéré comme l'un des plus grands poètes arabes contemporains. Son oeuvre, maintes fois rééditée et traduite partout dans le monde, lui a valu plusieurs prix prestigieux. Il a publié chez Actes Sud une dizaine de recueils de poèmes, dont Le Lanceur de dés et autres poèmes (2010) et Nous choisirons Sophocle et autres poèmes (2011), ainsi qu'un récit et deux livres d'entretiens. Il est décédé en 2008.
Résumé
LE POINT DE VUE DES ÉDITEURS
L'oeuvre de Mahmoud Darwich comprend des centaines d'articles, d'éditoriaux, de chroniques et de discours qu'il a en partie rassemblés dans six recueils publiés entre 1971 et 2007. Le présent livre est une anthologie de ces textes en prose dont on a retenu en particulier les derniers en date, écrits après le retour du poète en Palestine en 1993. Le thème de l'exil y est partout présent, qu'il s'agisse de réflexions sur le destin palestinien, d'interrogations sur la nécessité de la poésie et sur le métier de poète, ou d'hommages à des amis disparus.
En résonance avec sa poésie, la prose de Darwich est ici, comme dans Une mémoire pour l'oubli-, puissamment lyrique, fourmillant d'images et d'allusions historiques ou littéraires. Il y est fidèle à sa vocation première, celle d'être, sans compromettre sa liberté d'écrivain, le dépositaire de la mémoire collective palestinienne.
Mahmoud Darwich, né en 1942 à Birwa, près de Saint-Jean-d'Acre, est unanimement considéré comme l'un des plus grands poètes arabes contemporains. Son oeuvre, maintes fois rééditée et traduite partout dans le monde, lui a valu plusieurs prix prestigieux. Il a publié chez Actes Sud une dizaine de recueils de poèmes, dont Le Lanceur de dés et autres poèmes (2010) et Nous choisirons Sophocle et autres poèmes (2011), ainsi qu'un récit et deux livres d'entretiens. Il est décédé en 2008.
Résumé
LE POINT DE VUE DES ÉDITEURS
L'oeuvre de Mahmoud Darwich comprend des centaines d'articles, d'éditoriaux, de chroniques et de discours qu'il a en partie rassemblés dans six recueils publiés entre 1971 et 2007. Le présent livre est une anthologie de ces textes en prose dont on a retenu en particulier les derniers en date, écrits après le retour du poète en Palestine en 1993. Le thème de l'exil y est partout présent, qu'il s'agisse de réflexions sur le destin palestinien, d'interrogations sur la nécessité de la poésie et sur le métier de poète, ou d'hommages à des amis disparus.
En résonance avec sa poésie, la prose de Darwich est ici, comme dans Une mémoire pour l'oubli-, puissamment lyrique, fourmillant d'images et d'allusions historiques ou littéraires. Il y est fidèle à sa vocation première, celle d'être, sans compromettre sa liberté d'écrivain, le dépositaire de la mémoire collective palestinienne.
Mahmoud Darwich, né en 1942 à Birwa, près de Saint-Jean-d'Acre, est unanimement considéré comme l'un des plus grands poètes arabes contemporains. Son oeuvre, maintes fois rééditée et traduite partout dans le monde, lui a valu plusieurs prix prestigieux. Il a publié chez Actes Sud une dizaine de recueils de poèmes, dont Le Lanceur de dés et autres poèmes (2010) et Nous choisirons Sophocle et autres poèmes (2011), ainsi qu'un récit et deux livres d'entretiens. Il est décédé en 2008.
Résumé
LE POINT DE VUE DES ÉDITEURS
L'oeuvre de Mahmoud Darwich comprend des centaines d'articles, d'éditoriaux, de chroniques et de discours qu'il a en partie rassemblés dans six recueils publiés entre 1971 et 2007. Le présent livre est une anthologie de ces textes en prose dont on a retenu en particulier les derniers en date, écrits après le retour du poète en Palestine en 1993. Le thème de l'exil y est partout présent, qu'il s'agisse de réflexions sur le destin palestinien, d'interrogations sur la nécessité de la poésie et sur le métier de poète, ou d'hommages à des amis disparus.
En résonance avec sa poésie, la prose de Darwich est ici, comme dans Une mémoire pour l'oubli-, puissamment lyrique, fourmillant d'images et d'allusions historiques ou littéraires. Il y est fidèle à sa vocation première, celle d'être, sans compromettre sa liberté d'écrivain, le dépositaire de la mémoire collective palestinienne.
Mahmoud Darwich, né en 1942 à Birwa, près de Saint-Jean-d'Acre, est unanimement considéré comme l'un des plus grands poètes arabes contemporains. Son oeuvre, maintes fois rééditée et traduite partout dans le monde, lui a valu plusieurs prix prestigieux. Il a publié chez Actes Sud une dizaine de recueils de poèmes, dont Le Lanceur de dés et autres poèmes (2010) et Nous choisirons Sophocle et autres poèmes (2011), ainsi qu'un récit et deux livres d'entretiens. Il est décédé en 2008.
La revue de presse : Joseph Macé-Scaron - Le Magazine Littéraire, octobre 2013
A quoi bon des poètes en temps de détresse ? On connaît la célèbre question de Hölderlin. Un élément de réponse nous est donné avec le recueil d'articles écrits par Mahmoud Darwich. Même si ce recueil rassemble des textes écrits après le retour en Palestine du poète en 1993, le thème de l'exil affleure à chaque page...
Pourquoi des poètes ? Parce que la langue est le dernier refuge où peuvent habiter ceux qui n'ont ni maison ni terre. Parce que la violence leur est étrangère et qu'ils gardent cette étincelle à partir de laquelle tout peut se reconstruire.
La revue de presse : Joseph Macé-Scaron - Le Magazine Littéraire, octobre 2013
A quoi bon des poètes en temps de détresse ? On connaît la célèbre question de Hölderlin. Un élément de réponse nous est donné avec le recueil d'articles écrits par Mahmoud Darwich. Même si ce recueil rassemble des textes écrits après le retour en Palestine du poète en 1993, le thème de l'exil affleure à chaque page...
Pourquoi des poètes ? Parce que la langue est le dernier refuge où peuvent habiter ceux qui n'ont ni maison ni terre. Parce que la violence leur est étrangère et qu'ils gardent cette étincelle à partir de laquelle tout peut se reconstruire.
La revue de presse : Joseph Macé-Scaron - Le Magazine Littéraire, octobre 2013
A quoi bon des poètes en temps de détresse ? On connaît la célèbre question de Hölderlin. Un élément de réponse nous est donné avec le recueil d'articles écrits par Mahmoud Darwich. Même si ce recueil rassemble des textes écrits après le retour en Palestine du poète en 1993, le thème de l'exil affleure à chaque page...
Pourquoi des poètes ? Parce que la langue est le dernier refuge où peuvent habiter ceux qui n'ont ni maison ni terre. Parce que la violence leur est étrangère et qu'ils gardent cette étincelle à partir de laquelle tout peut se reconstruire.
La revue de presse : Joseph Macé-Scaron - Le Magazine Littéraire, octobre 2013
A quoi bon des poètes en temps de détresse ? On connaît la célèbre question de Hölderlin. Un élément de réponse nous est donné avec le recueil d'articles écrits par Mahmoud Darwich. Même si ce recueil rassemble des textes écrits après le retour en Palestine du poète en 1993, le thème de l'exil affleure à chaque page...
Pourquoi des poètes ? Parce que la langue est le dernier refuge où peuvent habiter ceux qui n'ont ni maison ni terre. Parce que la violence leur est étrangère et qu'ils gardent cette étincelle à partir de laquelle tout peut se reconstruire.