"Voyage dans l'au-delà : les Bretons et la mort" de Bernard Rio chez Ouest-France (Rennes, France)
en partenariat avec 20minutes.fr
- Auteur : Bernard Rio
- Genre : Folklore Moeurs et coutumes
- Editeur : Ouest-France, Rennes, France
- Prix : 28.00 €
- Date de sortie : 13/09/2013
- GENCOD : 9782737358098
Résumé
Les Bretons entretiennent des relations singulières avec la mort et les morts, tel est le constat de cette vaste enquête dans la Bretagne d'aujourd'hui. L'«Ankou» n'est pas seulement un personnage de légende. Ce «conducteur des morts» dans l'au-delà apparaît toujours au XXIe siècle, comme en attestent plusieurs témoins dignes de foi. À l'ère d'Internet, les Bretons perçoivent de nouveaux intersignes annonçant les décès ou révélant la présence des «Anaon», les «âmes errantes» qui hantent les chemins et les maisons. Perdues au fond des bois, des tombes immémoriales continuent de recevoir les offrandes de visiteurs anonymes !
Quel sens donner à ces phénomènes mystérieux, révélateurs d'un véritable culte des morts et d'une croyance dans l'autre monde ? Qu'est-ce que le marteau bénit ? Pourquoi dépose-t-on le cercueil du défunt à la croisée du transept dans l'église ? Où se trouve l'enfer froid ? À quoi reconnaît-on la présence de l'Anaon ? Qui est l'auto-stoppeuse fantôme ? Où voir la danse macabre ? Qui sont les passeurs d'âmes ?
Autant de questions auxquelles Bernard Rio apporte des réponses dans ce livre qui renouvelle complètement la célèbre Légende de la Mort écrite par Anatole Le Braz au XIXe siècle.
Spécialiste de l'environnement et du patrimoine, Bernard Rio est l'auteur d'une quarantaine d'ouvrages chez différents éditeurs. Il a notamment contribué à la partie celtique du " dictionnaire critique de l'ésotérisme " publié par les PUF sous la direction de l'ethnologue et universitaire Jean Servier. Bernard Rio vit en Bretagne et collabore à la presse magazine.
Résumé
Les Bretons entretiennent des relations singulières avec la mort et les morts, tel est le constat de cette vaste enquête dans la Bretagne d'aujourd'hui. L'«Ankou» n'est pas seulement un personnage de légende. Ce «conducteur des morts» dans l'au-delà apparaît toujours au XXIe siècle, comme en attestent plusieurs témoins dignes de foi. À l'ère d'Internet, les Bretons perçoivent de nouveaux intersignes annonçant les décès ou révélant la présence des «Anaon», les «âmes errantes» qui hantent les chemins et les maisons. Perdues au fond des bois, des tombes immémoriales continuent de recevoir les offrandes de visiteurs anonymes !
Quel sens donner à ces phénomènes mystérieux, révélateurs d'un véritable culte des morts et d'une croyance dans l'autre monde ? Qu'est-ce que le marteau bénit ? Pourquoi dépose-t-on le cercueil du défunt à la croisée du transept dans l'église ? Où se trouve l'enfer froid ? À quoi reconnaît-on la présence de l'Anaon ? Qui est l'auto-stoppeuse fantôme ? Où voir la danse macabre ? Qui sont les passeurs d'âmes ?
Autant de questions auxquelles Bernard Rio apporte des réponses dans ce livre qui renouvelle complètement la célèbre Légende de la Mort écrite par Anatole Le Braz au XIXe siècle.
Spécialiste de l'environnement et du patrimoine, Bernard Rio est l'auteur d'une quarantaine d'ouvrages chez différents éditeurs. Il a notamment contribué à la partie celtique du " dictionnaire critique de l'ésotérisme " publié par les PUF sous la direction de l'ethnologue et universitaire Jean Servier. Bernard Rio vit en Bretagne et collabore à la presse magazine.
Résumé
Les Bretons entretiennent des relations singulières avec la mort et les morts, tel est le constat de cette vaste enquête dans la Bretagne d'aujourd'hui. L'«Ankou» n'est pas seulement un personnage de légende. Ce «conducteur des morts» dans l'au-delà apparaît toujours au XXIe siècle, comme en attestent plusieurs témoins dignes de foi. À l'ère d'Internet, les Bretons perçoivent de nouveaux intersignes annonçant les décès ou révélant la présence des «Anaon», les «âmes errantes» qui hantent les chemins et les maisons. Perdues au fond des bois, des tombes immémoriales continuent de recevoir les offrandes de visiteurs anonymes !
Quel sens donner à ces phénomènes mystérieux, révélateurs d'un véritable culte des morts et d'une croyance dans l'autre monde ? Qu'est-ce que le marteau bénit ? Pourquoi dépose-t-on le cercueil du défunt à la croisée du transept dans l'église ? Où se trouve l'enfer froid ? À quoi reconnaît-on la présence de l'Anaon ? Qui est l'auto-stoppeuse fantôme ? Où voir la danse macabre ? Qui sont les passeurs d'âmes ?
Autant de questions auxquelles Bernard Rio apporte des réponses dans ce livre qui renouvelle complètement la célèbre Légende de la Mort écrite par Anatole Le Braz au XIXe siècle.
Spécialiste de l'environnement et du patrimoine, Bernard Rio est l'auteur d'une quarantaine d'ouvrages chez différents éditeurs. Il a notamment contribué à la partie celtique du " dictionnaire critique de l'ésotérisme " publié par les PUF sous la direction de l'ethnologue et universitaire Jean Servier. Bernard Rio vit en Bretagne et collabore à la presse magazine.
Résumé
Les Bretons entretiennent des relations singulières avec la mort et les morts, tel est le constat de cette vaste enquête dans la Bretagne d'aujourd'hui. L'«Ankou» n'est pas seulement un personnage de légende. Ce «conducteur des morts» dans l'au-delà apparaît toujours au XXIe siècle, comme en attestent plusieurs témoins dignes de foi. À l'ère d'Internet, les Bretons perçoivent de nouveaux intersignes annonçant les décès ou révélant la présence des «Anaon», les «âmes errantes» qui hantent les chemins et les maisons. Perdues au fond des bois, des tombes immémoriales continuent de recevoir les offrandes de visiteurs anonymes !
Quel sens donner à ces phénomènes mystérieux, révélateurs d'un véritable culte des morts et d'une croyance dans l'autre monde ? Qu'est-ce que le marteau bénit ? Pourquoi dépose-t-on le cercueil du défunt à la croisée du transept dans l'église ? Où se trouve l'enfer froid ? À quoi reconnaît-on la présence de l'Anaon ? Qui est l'auto-stoppeuse fantôme ? Où voir la danse macabre ? Qui sont les passeurs d'âmes ?
Autant de questions auxquelles Bernard Rio apporte des réponses dans ce livre qui renouvelle complètement la célèbre Légende de la Mort écrite par Anatole Le Braz au XIXe siècle.
Spécialiste de l'environnement et du patrimoine, Bernard Rio est l'auteur d'une quarantaine d'ouvrages chez différents éditeurs. Il a notamment contribué à la partie celtique du " dictionnaire critique de l'ésotérisme " publié par les PUF sous la direction de l'ethnologue et universitaire Jean Servier. Bernard Rio vit en Bretagne et collabore à la presse magazine.
Résumé
Les Bretons entretiennent des relations singulières avec la mort et les morts, tel est le constat de cette vaste enquête dans la Bretagne d'aujourd'hui. L'«Ankou» n'est pas seulement un personnage de légende. Ce «conducteur des morts» dans l'au-delà apparaît toujours au XXIe siècle, comme en attestent plusieurs témoins dignes de foi. À l'ère d'Internet, les Bretons perçoivent de nouveaux intersignes annonçant les décès ou révélant la présence des «Anaon», les «âmes errantes» qui hantent les chemins et les maisons. Perdues au fond des bois, des tombes immémoriales continuent de recevoir les offrandes de visiteurs anonymes !
Quel sens donner à ces phénomènes mystérieux, révélateurs d'un véritable culte des morts et d'une croyance dans l'autre monde ? Qu'est-ce que le marteau bénit ? Pourquoi dépose-t-on le cercueil du défunt à la croisée du transept dans l'église ? Où se trouve l'enfer froid ? À quoi reconnaît-on la présence de l'Anaon ? Qui est l'auto-stoppeuse fantôme ? Où voir la danse macabre ? Qui sont les passeurs d'âmes ?
Autant de questions auxquelles Bernard Rio apporte des réponses dans ce livre qui renouvelle complètement la célèbre Légende de la Mort écrite par Anatole Le Braz au XIXe siècle.
Spécialiste de l'environnement et du patrimoine, Bernard Rio est l'auteur d'une quarantaine d'ouvrages chez différents éditeurs. Il a notamment contribué à la partie celtique du " dictionnaire critique de l'ésotérisme " publié par les PUF sous la direction de l'ethnologue et universitaire Jean Servier. Bernard Rio vit en Bretagne et collabore à la presse magazine.
Résumé
Les Bretons entretiennent des relations singulières avec la mort et les morts, tel est le constat de cette vaste enquête dans la Bretagne d'aujourd'hui. L'«Ankou» n'est pas seulement un personnage de légende. Ce «conducteur des morts» dans l'au-delà apparaît toujours au XXIe siècle, comme en attestent plusieurs témoins dignes de foi. À l'ère d'Internet, les Bretons perçoivent de nouveaux intersignes annonçant les décès ou révélant la présence des «Anaon», les «âmes errantes» qui hantent les chemins et les maisons. Perdues au fond des bois, des tombes immémoriales continuent de recevoir les offrandes de visiteurs anonymes !
Quel sens donner à ces phénomènes mystérieux, révélateurs d'un véritable culte des morts et d'une croyance dans l'autre monde ? Qu'est-ce que le marteau bénit ? Pourquoi dépose-t-on le cercueil du défunt à la croisée du transept dans l'église ? Où se trouve l'enfer froid ? À quoi reconnaît-on la présence de l'Anaon ? Qui est l'auto-stoppeuse fantôme ? Où voir la danse macabre ? Qui sont les passeurs d'âmes ?
Autant de questions auxquelles Bernard Rio apporte des réponses dans ce livre qui renouvelle complètement la célèbre Légende de la Mort écrite par Anatole Le Braz au XIXe siècle.
Spécialiste de l'environnement et du patrimoine, Bernard Rio est l'auteur d'une quarantaine d'ouvrages chez différents éditeurs. Il a notamment contribué à la partie celtique du " dictionnaire critique de l'ésotérisme " publié par les PUF sous la direction de l'ethnologue et universitaire Jean Servier. Bernard Rio vit en Bretagne et collabore à la presse magazine.
Résumé
Les Bretons entretiennent des relations singulières avec la mort et les morts, tel est le constat de cette vaste enquête dans la Bretagne d'aujourd'hui. L'«Ankou» n'est pas seulement un personnage de légende. Ce «conducteur des morts» dans l'au-delà apparaît toujours au XXIe siècle, comme en attestent plusieurs témoins dignes de foi. À l'ère d'Internet, les Bretons perçoivent de nouveaux intersignes annonçant les décès ou révélant la présence des «Anaon», les «âmes errantes» qui hantent les chemins et les maisons. Perdues au fond des bois, des tombes immémoriales continuent de recevoir les offrandes de visiteurs anonymes !
Quel sens donner à ces phénomènes mystérieux, révélateurs d'un véritable culte des morts et d'une croyance dans l'autre monde ? Qu'est-ce que le marteau bénit ? Pourquoi dépose-t-on le cercueil du défunt à la croisée du transept dans l'église ? Où se trouve l'enfer froid ? À quoi reconnaît-on la présence de l'Anaon ? Qui est l'auto-stoppeuse fantôme ? Où voir la danse macabre ? Qui sont les passeurs d'âmes ?
Autant de questions auxquelles Bernard Rio apporte des réponses dans ce livre qui renouvelle complètement la célèbre Légende de la Mort écrite par Anatole Le Braz au XIXe siècle.
Spécialiste de l'environnement et du patrimoine, Bernard Rio est l'auteur d'une quarantaine d'ouvrages chez différents éditeurs. Il a notamment contribué à la partie celtique du " dictionnaire critique de l'ésotérisme " publié par les PUF sous la direction de l'ethnologue et universitaire Jean Servier. Bernard Rio vit en Bretagne et collabore à la presse magazine.
Courrier des auteurs le 14/09/2013
«Les morts instruisent les vivants» écrit François-René de Chateaubriand dans les «Mémoires d'outre-tombe». La formule est éloquente, mais est-elle vraie ?
Sans conteste, l'homme vivant est préoccupé par la mort. Mais ce «gouvernement des morts», selon Auguste Comte dans le «Catéchisme positiviste» peut ne pas être une fatalité.
Les racines de ma famille, dans la partie occidentale du pays vannetais, ont de facto contribué à l'intérêt que je porte depuis l'enfance aux «choses» de l'autre-monde. Elles ne m'ont cependant pas emprisonné dans le passé ou dans la nostalgie. Il y a beaucoup à apprendre en écoutant et en étudiant les morts, tandis que nier l'au-delà n'est pas s'en affranchir.
Aux récits familiaux notamment les «choses» vues et racontées par mon aïeule, ont succédé les lectures notamment «La légende de la Mort» d'Anatole Le Braz, puis les rencontres avec les vivants qui voient et passent les âmes des défunts, jusqu'au jour venu où il m'importait de partager ce voyage dans l'au-delà. Cette traversée dans la mémoire et le paysage n'est ni passéiste ni morbide, mais elle est sans fin car les hommes vivent avec les morts. Admettre cela, c'est, je crois, apprendre à se libérer de la peur et du passé, accepter l'éternité. «Les dieux sont des hommes immortels tandis que les hommes sont des dieux mortels» prétendait le philosophe grec Héraclite. C'est cette part d'humanité des morts et cette part de divinité des hommes que cet ouvrage essaie d'aborder.
Courrier des auteurs le 14/09/2013
«Les morts instruisent les vivants» écrit François-René de Chateaubriand dans les «Mémoires d'outre-tombe». La formule est éloquente, mais est-elle vraie ?
Sans conteste, l'homme vivant est préoccupé par la mort. Mais ce «gouvernement des morts», selon Auguste Comte dans le «Catéchisme positiviste» peut ne pas être une fatalité.
Les racines de ma famille, dans la partie occidentale du pays vannetais, ont de facto contribué à l'intérêt que je porte depuis l'enfance aux «choses» de l'autre-monde. Elles ne m'ont cependant pas emprisonné dans le passé ou dans la nostalgie. Il y a beaucoup à apprendre en écoutant et en étudiant les morts, tandis que nier l'au-delà n'est pas s'en affranchir.
Aux récits familiaux notamment les «choses» vues et racontées par mon aïeule, ont succédé les lectures notamment «La légende de la Mort» d'Anatole Le Braz, puis les rencontres avec les vivants qui voient et passent les âmes des défunts, jusqu'au jour venu où il m'importait de partager ce voyage dans l'au-delà. Cette traversée dans la mémoire et le paysage n'est ni passéiste ni morbide, mais elle est sans fin car les hommes vivent avec les morts. Admettre cela, c'est, je crois, apprendre à se libérer de la peur et du passé, accepter l'éternité. «Les dieux sont des hommes immortels tandis que les hommes sont des dieux mortels» prétendait le philosophe grec Héraclite. C'est cette part d'humanité des morts et cette part de divinité des hommes que cet ouvrage essaie d'aborder.
Courrier des auteurs le 14/09/2013
«Les morts instruisent les vivants» écrit François-René de Chateaubriand dans les «Mémoires d'outre-tombe». La formule est éloquente, mais est-elle vraie ?
Sans conteste, l'homme vivant est préoccupé par la mort. Mais ce «gouvernement des morts», selon Auguste Comte dans le «Catéchisme positiviste» peut ne pas être une fatalité.
Les racines de ma famille, dans la partie occidentale du pays vannetais, ont de facto contribué à l'intérêt que je porte depuis l'enfance aux «choses» de l'autre-monde. Elles ne m'ont cependant pas emprisonné dans le passé ou dans la nostalgie. Il y a beaucoup à apprendre en écoutant et en étudiant les morts, tandis que nier l'au-delà n'est pas s'en affranchir.
Aux récits familiaux notamment les «choses» vues et racontées par mon aïeule, ont succédé les lectures notamment «La légende de la Mort» d'Anatole Le Braz, puis les rencontres avec les vivants qui voient et passent les âmes des défunts, jusqu'au jour venu où il m'importait de partager ce voyage dans l'au-delà. Cette traversée dans la mémoire et le paysage n'est ni passéiste ni morbide, mais elle est sans fin car les hommes vivent avec les morts. Admettre cela, c'est, je crois, apprendre à se libérer de la peur et du passé, accepter l'éternité. «Les dieux sont des hommes immortels tandis que les hommes sont des dieux mortels» prétendait le philosophe grec Héraclite. C'est cette part d'humanité des morts et cette part de divinité des hommes que cet ouvrage essaie d'aborder.
Courrier des auteurs le 14/09/2013
«Les morts instruisent les vivants» écrit François-René de Chateaubriand dans les «Mémoires d'outre-tombe». La formule est éloquente, mais est-elle vraie ?
Sans conteste, l'homme vivant est préoccupé par la mort. Mais ce «gouvernement des morts», selon Auguste Comte dans le «Catéchisme positiviste» peut ne pas être une fatalité.
Les racines de ma famille, dans la partie occidentale du pays vannetais, ont de facto contribué à l'intérêt que je porte depuis l'enfance aux «choses» de l'autre-monde. Elles ne m'ont cependant pas emprisonné dans le passé ou dans la nostalgie. Il y a beaucoup à apprendre en écoutant et en étudiant les morts, tandis que nier l'au-delà n'est pas s'en affranchir.
Aux récits familiaux notamment les «choses» vues et racontées par mon aïeule, ont succédé les lectures notamment «La légende de la Mort» d'Anatole Le Braz, puis les rencontres avec les vivants qui voient et passent les âmes des défunts, jusqu'au jour venu où il m'importait de partager ce voyage dans l'au-delà. Cette traversée dans la mémoire et le paysage n'est ni passéiste ni morbide, mais elle est sans fin car les hommes vivent avec les morts. Admettre cela, c'est, je crois, apprendre à se libérer de la peur et du passé, accepter l'éternité. «Les dieux sont des hommes immortels tandis que les hommes sont des dieux mortels» prétendait le philosophe grec Héraclite. C'est cette part d'humanité des morts et cette part de divinité des hommes que cet ouvrage essaie d'aborder.
Courrier des auteurs le 14/09/2013
«Les morts instruisent les vivants» écrit François-René de Chateaubriand dans les «Mémoires d'outre-tombe». La formule est éloquente, mais est-elle vraie ?
Sans conteste, l'homme vivant est préoccupé par la mort. Mais ce «gouvernement des morts», selon Auguste Comte dans le «Catéchisme positiviste» peut ne pas être une fatalité.
Les racines de ma famille, dans la partie occidentale du pays vannetais, ont de facto contribué à l'intérêt que je porte depuis l'enfance aux «choses» de l'autre-monde. Elles ne m'ont cependant pas emprisonné dans le passé ou dans la nostalgie. Il y a beaucoup à apprendre en écoutant et en étudiant les morts, tandis que nier l'au-delà n'est pas s'en affranchir.
Aux récits familiaux notamment les «choses» vues et racontées par mon aïeule, ont succédé les lectures notamment «La légende de la Mort» d'Anatole Le Braz, puis les rencontres avec les vivants qui voient et passent les âmes des défunts, jusqu'au jour venu où il m'importait de partager ce voyage dans l'au-delà. Cette traversée dans la mémoire et le paysage n'est ni passéiste ni morbide, mais elle est sans fin car les hommes vivent avec les morts. Admettre cela, c'est, je crois, apprendre à se libérer de la peur et du passé, accepter l'éternité. «Les dieux sont des hommes immortels tandis que les hommes sont des dieux mortels» prétendait le philosophe grec Héraclite. C'est cette part d'humanité des morts et cette part de divinité des hommes que cet ouvrage essaie d'aborder.
Courrier des auteurs le 14/09/2013
«Les morts instruisent les vivants» écrit François-René de Chateaubriand dans les «Mémoires d'outre-tombe». La formule est éloquente, mais est-elle vraie ?
Sans conteste, l'homme vivant est préoccupé par la mort. Mais ce «gouvernement des morts», selon Auguste Comte dans le «Catéchisme positiviste» peut ne pas être une fatalité.
Les racines de ma famille, dans la partie occidentale du pays vannetais, ont de facto contribué à l'intérêt que je porte depuis l'enfance aux «choses» de l'autre-monde. Elles ne m'ont cependant pas emprisonné dans le passé ou dans la nostalgie. Il y a beaucoup à apprendre en écoutant et en étudiant les morts, tandis que nier l'au-delà n'est pas s'en affranchir.
Aux récits familiaux notamment les «choses» vues et racontées par mon aïeule, ont succédé les lectures notamment «La légende de la Mort» d'Anatole Le Braz, puis les rencontres avec les vivants qui voient et passent les âmes des défunts, jusqu'au jour venu où il m'importait de partager ce voyage dans l'au-delà. Cette traversée dans la mémoire et le paysage n'est ni passéiste ni morbide, mais elle est sans fin car les hommes vivent avec les morts. Admettre cela, c'est, je crois, apprendre à se libérer de la peur et du passé, accepter l'éternité. «Les dieux sont des hommes immortels tandis que les hommes sont des dieux mortels» prétendait le philosophe grec Héraclite. C'est cette part d'humanité des morts et cette part de divinité des hommes que cet ouvrage essaie d'aborder.
Courrier des auteurs le 14/09/2013
«Les morts instruisent les vivants» écrit François-René de Chateaubriand dans les «Mémoires d'outre-tombe». La formule est éloquente, mais est-elle vraie ?
Sans conteste, l'homme vivant est préoccupé par la mort. Mais ce «gouvernement des morts», selon Auguste Comte dans le «Catéchisme positiviste» peut ne pas être une fatalité.
Les racines de ma famille, dans la partie occidentale du pays vannetais, ont de facto contribué à l'intérêt que je porte depuis l'enfance aux «choses» de l'autre-monde. Elles ne m'ont cependant pas emprisonné dans le passé ou dans la nostalgie. Il y a beaucoup à apprendre en écoutant et en étudiant les morts, tandis que nier l'au-delà n'est pas s'en affranchir.
Aux récits familiaux notamment les «choses» vues et racontées par mon aïeule, ont succédé les lectures notamment «La légende de la Mort» d'Anatole Le Braz, puis les rencontres avec les vivants qui voient et passent les âmes des défunts, jusqu'au jour venu où il m'importait de partager ce voyage dans l'au-delà. Cette traversée dans la mémoire et le paysage n'est ni passéiste ni morbide, mais elle est sans fin car les hommes vivent avec les morts. Admettre cela, c'est, je crois, apprendre à se libérer de la peur et du passé, accepter l'éternité. «Les dieux sont des hommes immortels tandis que les hommes sont des dieux mortels» prétendait le philosophe grec Héraclite. C'est cette part d'humanité des morts et cette part de divinité des hommes que cet ouvrage essaie d'aborder.
Courrier des auteurs le 14/09/2013
«Les morts instruisent les vivants» écrit François-René de Chateaubriand dans les «Mémoires d'outre-tombe». La formule est éloquente, mais est-elle vraie ?
Sans conteste, l'homme vivant est préoccupé par la mort. Mais ce «gouvernement des morts», selon Auguste Comte dans le «Catéchisme positiviste» peut ne pas être une fatalité.
Les racines de ma famille, dans la partie occidentale du pays vannetais, ont de facto contribué à l'intérêt que je porte depuis l'enfance aux «choses» de l'autre-monde. Elles ne m'ont cependant pas emprisonné dans le passé ou dans la nostalgie. Il y a beaucoup à apprendre en écoutant et en étudiant les morts, tandis que nier l'au-delà n'est pas s'en affranchir.
Aux récits familiaux notamment les «choses» vues et racontées par mon aïeule, ont succédé les lectures notamment «La légende de la Mort» d'Anatole Le Braz, puis les rencontres avec les vivants qui voient et passent les âmes des défunts, jusqu'au jour venu où il m'importait de partager ce voyage dans l'au-delà. Cette traversée dans la mémoire et le paysage n'est ni passéiste ni morbide, mais elle est sans fin car les hommes vivent avec les morts. Admettre cela, c'est, je crois, apprendre à se libérer de la peur et du passé, accepter l'éternité. «Les dieux sont des hommes immortels tandis que les hommes sont des dieux mortels» prétendait le philosophe grec Héraclite. C'est cette part d'humanité des morts et cette part de divinité des hommes que cet ouvrage essaie d'aborder.