"Autobiographie d'une courgette" de Gilles Paris chez Flammarion (Paris, France)

"Autobiographie d'une courgette" de Gilles Paris chez Flammarion (Paris, France)

en partenariat avec 20minutes.fr

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  • Auteur : Gilles Paris
  • Illustrateur : Charles Berberian
  • Genre : Romans et nouvelles - français
  • Editeur : Flammarion, Paris, France
  • Prix : 4.90 €
  • Date de sortie : 17/04/2013
  • GENCOD : 9782081289758

Résumé

«Depuis tout petit, je veux tuer le ciel.» Ainsi commence l'histoire d'Icare, garçon naïf surnommé Courgette, qui, à neuf ans, vit seul avec sa mère. Depuis un accident qui a paralysé l'une de ses jambes, cette dernière passe ses journées devant la télévision, une bière à la main.

Un jour, Courgette découvre un revolver et tue accidentellement sa mère. Un saut au commissariat et l'enfant est placé dans le foyer d'accueil des Fontaines, près de Fontainebleau. Le grand bâtiment n'a pas vocation à enfermer des sales gosses mais plutôt à protéger des enfants traumatisés qui se serrent les coudes pour oublier que leurs parents leur manquent ou qui, au contraire, redoutent leur famille plus que tout.

Infirmière, psychologue et «zéducs» sont chargés de soigner les bleus à l'âme de ces petits pensionnaires, parmi lesquels Simon, qui sait tout sur tout, Ahmed qui pleurniche tout le temps, Béatrice qui n'arrive pas à enlever les doigts de son nez, Alice qui cache toujours son visage sous ses longs cheveux, Jujube qui compense l'absence de sa mère par des gâteaux et enfin Camille, dont Courgette tombe amoureux.

Courgette finit par être adopté, avec Camille, par Raymond, le gendarme qui l'avait conduit au foyer après l'accident.

Un récit sur l'enfance aussi drôle que poignant derrière lequel se dissimule une réflexion sur la délinquance et la misère sociale.

On recommandera la lecture d'Autobiographie d'une courgette aux élèves de Troisième, après l'étude, en classe, d'un récit sur l'enfance et l'adolescence (Le Grand Meaulnes d'Alain-Fournier ; Poil de carotte de Jules Renard ; Le Roman d'un enfant de Loti ; L'Enfant de Vallès, disponibles en «Étonnants Classiques») ou en classe de Quatrième après l'étude d'un récit réaliste du XIXe siècle sur l'enfance malheureuse (Le Papa de Simon, de Maupassant ;
Les Misérables, de Hugo, également disponibles en «Étonnants Classiques»).

Gilles Paris dirige une agence de communication spécialisée dans l'édition. Il est également l'auteur de Papa et maman sont morts (Seuil, 1991) et d'Au pays des kangourous (Éditions Don Quichotte, 2012).


Résumé

«Depuis tout petit, je veux tuer le ciel.» Ainsi commence l'histoire d'Icare, garçon naïf surnommé Courgette, qui, à neuf ans, vit seul avec sa mère. Depuis un accident qui a paralysé l'une de ses jambes, cette dernière passe ses journées devant la télévision, une bière à la main.

Un jour, Courgette découvre un revolver et tue accidentellement sa mère. Un saut au commissariat et l'enfant est placé dans le foyer d'accueil des Fontaines, près de Fontainebleau. Le grand bâtiment n'a pas vocation à enfermer des sales gosses mais plutôt à protéger des enfants traumatisés qui se serrent les coudes pour oublier que leurs parents leur manquent ou qui, au contraire, redoutent leur famille plus que tout.

Infirmière, psychologue et «zéducs» sont chargés de soigner les bleus à l'âme de ces petits pensionnaires, parmi lesquels Simon, qui sait tout sur tout, Ahmed qui pleurniche tout le temps, Béatrice qui n'arrive pas à enlever les doigts de son nez, Alice qui cache toujours son visage sous ses longs cheveux, Jujube qui compense l'absence de sa mère par des gâteaux et enfin Camille, dont Courgette tombe amoureux.

Courgette finit par être adopté, avec Camille, par Raymond, le gendarme qui l'avait conduit au foyer après l'accident.

Un récit sur l'enfance aussi drôle que poignant derrière lequel se dissimule une réflexion sur la délinquance et la misère sociale.

On recommandera la lecture d'Autobiographie d'une courgette aux élèves de Troisième, après l'étude, en classe, d'un récit sur l'enfance et l'adolescence (Le Grand Meaulnes d'Alain-Fournier ; Poil de carotte de Jules Renard ; Le Roman d'un enfant de Loti ; L'Enfant de Vallès, disponibles en «Étonnants Classiques») ou en classe de Quatrième après l'étude d'un récit réaliste du XIXe siècle sur l'enfance malheureuse (Le Papa de Simon, de Maupassant ;
Les Misérables, de Hugo, également disponibles en «Étonnants Classiques»).

Gilles Paris dirige une agence de communication spécialisée dans l'édition. Il est également l'auteur de Papa et maman sont morts (Seuil, 1991) et d'Au pays des kangourous (Éditions Don Quichotte, 2012).

accident

Résumé

«Depuis tout petit, je veux tuer le ciel.» Ainsi commence l'histoire d'Icare, garçon naïf surnommé Courgette, qui, à neuf ans, vit seul avec sa mère. Depuis un accident qui a paralysé l'une de ses jambes, cette dernière passe ses journées devant la télévision, une bière à la main.

Un jour, Courgette découvre un revolver et tue accidentellement sa mère. Un saut au commissariat et l'enfant est placé dans le foyer d'accueil des Fontaines, près de Fontainebleau. Le grand bâtiment n'a pas vocation à enfermer des sales gosses mais plutôt à protéger des enfants traumatisés qui se serrent les coudes pour oublier que leurs parents leur manquent ou qui, au contraire, redoutent leur famille plus que tout.

Infirmière, psychologue et «zéducs» sont chargés de soigner les bleus à l'âme de ces petits pensionnaires, parmi lesquels Simon, qui sait tout sur tout, Ahmed qui pleurniche tout le temps, Béatrice qui n'arrive pas à enlever les doigts de son nez, Alice qui cache toujours son visage sous ses longs cheveux, Jujube qui compense l'absence de sa mère par des gâteaux et enfin Camille, dont Courgette tombe amoureux.

Courgette finit par être adopté, avec Camille, par Raymond, le gendarme qui l'avait conduit au foyer après l'accident.

Un récit sur l'enfance aussi drôle que poignant derrière lequel se dissimule une réflexion sur la délinquance et la misère sociale.

On recommandera la lecture d'Autobiographie d'une courgette aux élèves de Troisième, après l'étude, en classe, d'un récit sur l'enfance et l'adolescence (Le Grand Meaulnes d'Alain-Fournier ; Poil de carotte de Jules Renard ; Le Roman d'un enfant de Loti ; L'Enfant de Vallès, disponibles en «Étonnants Classiques») ou en classe de Quatrième après l'étude d'un récit réaliste du XIXe siècle sur l'enfance malheureuse (Le Papa de Simon, de Maupassant ;
Les Misérables, de Hugo, également disponibles en «Étonnants Classiques»).

Gilles Paris dirige une agence de communication spécialisée dans l'édition. Il est également l'auteur de Papa et maman sont morts (Seuil, 1991) et d'Au pays des kangourous (Éditions Don Quichotte, 2012).


Résumé

«Depuis tout petit, je veux tuer le ciel.» Ainsi commence l'histoire d'Icare, garçon naïf surnommé Courgette, qui, à neuf ans, vit seul avec sa mère. Depuis un accident qui a paralysé l'une de ses jambes, cette dernière passe ses journées devant la télévision, une bière à la main.

Un jour, Courgette découvre un revolver et tue accidentellement sa mère. Un saut au commissariat et l'enfant est placé dans le foyer d'accueil des Fontaines, près de Fontainebleau. Le grand bâtiment n'a pas vocation à enfermer des sales gosses mais plutôt à protéger des enfants traumatisés qui se serrent les coudes pour oublier que leurs parents leur manquent ou qui, au contraire, redoutent leur famille plus que tout.

Infirmière, psychologue et «zéducs» sont chargés de soigner les bleus à l'âme de ces petits pensionnaires, parmi lesquels Simon, qui sait tout sur tout, Ahmed qui pleurniche tout le temps, Béatrice qui n'arrive pas à enlever les doigts de son nez, Alice qui cache toujours son visage sous ses longs cheveux, Jujube qui compense l'absence de sa mère par des gâteaux et enfin Camille, dont Courgette tombe amoureux.

Courgette finit par être adopté, avec Camille, par Raymond, le gendarme qui l'avait conduit au foyer après l'accident.

Un récit sur l'enfance aussi drôle que poignant derrière lequel se dissimule une réflexion sur la délinquance et la misère sociale.

On recommandera la lecture d'Autobiographie d'une courgette aux élèves de Troisième, après l'étude, en classe, d'un récit sur l'enfance et l'adolescence (Le Grand Meaulnes d'Alain-Fournier ; Poil de carotte de Jules Renard ; Le Roman d'un enfant de Loti ; L'Enfant de Vallès, disponibles en «Étonnants Classiques») ou en classe de Quatrième après l'étude d'un récit réaliste du XIXe siècle sur l'enfance malheureuse (Le Papa de Simon, de Maupassant ;
Les Misérables, de Hugo, également disponibles en «Étonnants Classiques»).

Gilles Paris dirige une agence de communication spécialisée dans l'édition. Il est également l'auteur de Papa et maman sont morts (Seuil, 1991) et d'Au pays des kangourous (Éditions Don Quichotte, 2012).


Résumé

«Depuis tout petit, je veux tuer le ciel.» Ainsi commence l'histoire d'Icare, garçon naïf surnommé Courgette, qui, à neuf ans, vit seul avec sa mère. Depuis un accident qui a paralysé l'une de ses jambes, cette dernière passe ses journées devant la télévision, une bière à la main.

Un jour, Courgette découvre un revolver et tue accidentellement sa mère. Un saut au commissariat et l'enfant est placé dans le foyer d'accueil des Fontaines, près de Fontainebleau. Le grand bâtiment n'a pas vocation à enfermer des sales gosses mais plutôt à protéger des enfants traumatisés qui se serrent les coudes pour oublier que leurs parents leur manquent ou qui, au contraire, redoutent leur famille plus que tout.

Infirmière, psychologue et «zéducs» sont chargés de soigner les bleus à l'âme de ces petits pensionnaires, parmi lesquels Simon, qui sait tout sur tout, Ahmed qui pleurniche tout le temps, Béatrice qui n'arrive pas à enlever les doigts de son nez, Alice qui cache toujours son visage sous ses longs cheveux, Jujube qui compense l'absence de sa mère par des gâteaux et enfin Camille, dont Courgette tombe amoureux.

Courgette finit par être adopté, avec Camille, par Raymond, le gendarme qui l'avait conduit au foyer après l'accident.

Un récit sur l'enfance aussi drôle que poignant derrière lequel se dissimule une réflexion sur la délinquance et la misère sociale.

On recommandera la lecture d'Autobiographie d'une courgette aux élèves de Troisième, après l'étude, en classe, d'un récit sur l'enfance et l'adolescence (Le Grand Meaulnes d'Alain-Fournier ; Poil de carotte de Jules Renard ; Le Roman d'un enfant de Loti ; L'Enfant de Vallès, disponibles en «Étonnants Classiques») ou en classe de Quatrième après l'étude d'un récit réaliste du XIXe siècle sur l'enfance malheureuse (Le Papa de Simon, de Maupassant ;
Les Misérables, de Hugo, également disponibles en «Étonnants Classiques»).

Gilles Paris dirige une agence de communication spécialisée dans l'édition. Il est également l'auteur de Papa et maman sont morts (Seuil, 1991) et d'Au pays des kangourous (Éditions Don Quichotte, 2012).


Résumé

«Depuis tout petit, je veux tuer le ciel.» Ainsi commence l'histoire d'Icare, garçon naïf surnommé Courgette, qui, à neuf ans, vit seul avec sa mère. Depuis un accident qui a paralysé l'une de ses jambes, cette dernière passe ses journées devant la télévision, une bière à la main.

Un jour, Courgette découvre un revolver et tue accidentellement sa mère. Un saut au commissariat et l'enfant est placé dans le foyer d'accueil des Fontaines, près de Fontainebleau. Le grand bâtiment n'a pas vocation à enfermer des sales gosses mais plutôt à protéger des enfants traumatisés qui se serrent les coudes pour oublier que leurs parents leur manquent ou qui, au contraire, redoutent leur famille plus que tout.

Infirmière, psychologue et «zéducs» sont chargés de soigner les bleus à l'âme de ces petits pensionnaires, parmi lesquels Simon, qui sait tout sur tout, Ahmed qui pleurniche tout le temps, Béatrice qui n'arrive pas à enlever les doigts de son nez, Alice qui cache toujours son visage sous ses longs cheveux, Jujube qui compense l'absence de sa mère par des gâteaux et enfin Camille, dont Courgette tombe amoureux.

Courgette finit par être adopté, avec Camille, par Raymond, le gendarme qui l'avait conduit au foyer après l'accident.

Un récit sur l'enfance aussi drôle que poignant derrière lequel se dissimule une réflexion sur la délinquance et la misère sociale.

On recommandera la lecture d'Autobiographie d'une courgette aux élèves de Troisième, après l'étude, en classe, d'un récit sur l'enfance et l'adolescence (Le Grand Meaulnes d'Alain-Fournier ; Poil de carotte de Jules Renard ; Le Roman d'un enfant de Loti ; L'Enfant de Vallès, disponibles en «Étonnants Classiques») ou en classe de Quatrième après l'étude d'un récit réaliste du XIXe siècle sur l'enfance malheureuse (Le Papa de Simon, de Maupassant ;
Les Misérables, de Hugo, également disponibles en «Étonnants Classiques»).

Gilles Paris dirige une agence de communication spécialisée dans l'édition. Il est également l'auteur de Papa et maman sont morts (Seuil, 1991) et d'Au pays des kangourous (Éditions Don Quichotte, 2012).


Résumé

«Depuis tout petit, je veux tuer le ciel.» Ainsi commence l'histoire d'Icare, garçon naïf surnommé Courgette, qui, à neuf ans, vit seul avec sa mère. Depuis un accident qui a paralysé l'une de ses jambes, cette dernière passe ses journées devant la télévision, une bière à la main.

Un jour, Courgette découvre un revolver et tue accidentellement sa mère. Un saut au commissariat et l'enfant est placé dans le foyer d'accueil des Fontaines, près de Fontainebleau. Le grand bâtiment n'a pas vocation à enfermer des sales gosses mais plutôt à protéger des enfants traumatisés qui se serrent les coudes pour oublier que leurs parents leur manquent ou qui, au contraire, redoutent leur famille plus que tout.

Infirmière, psychologue et «zéducs» sont chargés de soigner les bleus à l'âme de ces petits pensionnaires, parmi lesquels Simon, qui sait tout sur tout, Ahmed qui pleurniche tout le temps, Béatrice qui n'arrive pas à enlever les doigts de son nez, Alice qui cache toujours son visage sous ses longs cheveux, Jujube qui compense l'absence de sa mère par des gâteaux et enfin Camille, dont Courgette tombe amoureux.

Courgette finit par être adopté, avec Camille, par Raymond, le gendarme qui l'avait conduit au foyer après l'accident.

Un récit sur l'enfance aussi drôle que poignant derrière lequel se dissimule une réflexion sur la délinquance et la misère sociale.

On recommandera la lecture d'Autobiographie d'une courgette aux élèves de Troisième, après l'étude, en classe, d'un récit sur l'enfance et l'adolescence (Le Grand Meaulnes d'Alain-Fournier ; Poil de carotte de Jules Renard ; Le Roman d'un enfant de Loti ; L'Enfant de Vallès, disponibles en «Étonnants Classiques») ou en classe de Quatrième après l'étude d'un récit réaliste du XIXe siècle sur l'enfance malheureuse (Le Papa de Simon, de Maupassant ;
Les Misérables, de Hugo, également disponibles en «Étonnants Classiques»).

Gilles Paris dirige une agence de communication spécialisée dans l'édition. Il est également l'auteur de Papa et maman sont morts (Seuil, 1991) et d'Au pays des kangourous (Éditions Don Quichotte, 2012).


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«Depuis tout petit, je veux tuer le ciel.» Ainsi commence l'histoire d'Icare, garçon naïf surnommé Courgette, qui, à neuf ans, vit seul avec sa mère. Depuis un accident qui a paralysé l'une de ses jambes, cette dernière passe ses journées devant la télévision, une bière à la main.

Un jour, Courgette découvre un revolver et tue accidentellement sa mère. Un saut au commissariat et l'enfant est placé dans le foyer d'accueil des Fontaines, près de Fontainebleau. Le grand bâtiment n'a pas vocation à enfermer des sales gosses mais plutôt à protéger des enfants traumatisés qui se serrent les coudes pour oublier que leurs parents leur manquent ou qui, au contraire, redoutent leur famille plus que tout.

Infirmière, psychologue et «zéducs» sont chargés de soigner les bleus à l'âme de ces petits pensionnaires, parmi lesquels Simon, qui sait tout sur tout, Ahmed qui pleurniche tout le temps, Béatrice qui n'arrive pas à enlever les doigts de son nez, Alice qui cache toujours son visage sous ses longs cheveux, Jujube qui compense l'absence de sa mère par des gâteaux et enfin Camille, dont Courgette tombe amoureux.

Courgette finit par être adopté, avec Camille, par Raymond, le gendarme qui l'avait conduit au foyer après l'accident.

Un récit sur l'enfance aussi drôle que poignant derrière lequel se dissimule une réflexion sur la délinquance et la misère sociale.

On recommandera la lecture d'Autobiographie d'une courgette aux élèves de Troisième, après l'étude, en classe, d'un récit sur l'enfance et l'adolescence (Le Grand Meaulnes d'Alain-Fournier ; Poil de carotte de Jules Renard ; Le Roman d'un enfant de Loti ; L'Enfant de Vallès, disponibles en «Étonnants Classiques») ou en classe de Quatrième après l'étude d'un récit réaliste du XIXe siècle sur l'enfance malheureuse (Le Papa de Simon, de Maupassant ;
Les Misérables, de Hugo, également disponibles en «Étonnants Classiques»).

Gilles Paris dirige une agence de communication spécialisée dans l'édition. Il est également l'auteur de Papa et maman sont morts (Seuil, 1991) et d'Au pays des kangourous (Éditions Don Quichotte, 2012).


Résumé

«Depuis tout petit, je veux tuer le ciel.» Ainsi commence l'histoire d'Icare, garçon naïf surnommé Courgette, qui, à neuf ans, vit seul avec sa mère. Depuis un accident qui a paralysé l'une de ses jambes, cette dernière passe ses journées devant la télévision, une bière à la main.

Un jour, Courgette découvre un revolver et tue accidentellement sa mère. Un saut au commissariat et l'enfant est placé dans le foyer d'accueil des Fontaines, près de Fontainebleau. Le grand bâtiment n'a pas vocation à enfermer des sales gosses mais plutôt à protéger des enfants traumatisés qui se serrent les coudes pour oublier que leurs parents leur manquent ou qui, au contraire, redoutent leur famille plus que tout.

Infirmière, psychologue et «zéducs» sont chargés de soigner les bleus à l'âme de ces petits pensionnaires, parmi lesquels Simon, qui sait tout sur tout, Ahmed qui pleurniche tout le temps, Béatrice qui n'arrive pas à enlever les doigts de son nez, Alice qui cache toujours son visage sous ses longs cheveux, Jujube qui compense l'absence de sa mère par des gâteaux et enfin Camille, dont Courgette tombe amoureux.

Courgette finit par être adopté, avec Camille, par Raymond, le gendarme qui l'avait conduit au foyer après l'accident.

Un récit sur l'enfance aussi drôle que poignant derrière lequel se dissimule une réflexion sur la délinquance et la misère sociale.

On recommandera la lecture d'Autobiographie d'une courgette aux élèves de Troisième, après l'étude, en classe, d'un récit sur l'enfance et l'adolescence (Le Grand Meaulnes d'Alain-Fournier ; Poil de carotte de Jules Renard ; Le Roman d'un enfant de Loti ; L'Enfant de Vallès, disponibles en «Étonnants Classiques») ou en classe de Quatrième après l'étude d'un récit réaliste du XIXe siècle sur l'enfance malheureuse (Le Papa de Simon, de Maupassant ;
Les Misérables, de Hugo, également disponibles en «Étonnants Classiques»).

Gilles Paris dirige une agence de communication spécialisée dans l'édition. Il est également l'auteur de Papa et maman sont morts (Seuil, 1991) et d'Au pays des kangourous (Éditions Don Quichotte, 2012).


Résumé

«Depuis tout petit, je veux tuer le ciel.» Ainsi commence l'histoire d'Icare, garçon naïf surnommé Courgette, qui, à neuf ans, vit seul avec sa mère. Depuis un accident qui a paralysé l'une de ses jambes, cette dernière passe ses journées devant la télévision, une bière à la main.

Un jour, Courgette découvre un revolver et tue accidentellement sa mère. Un saut au commissariat et l'enfant est placé dans le foyer d'accueil des Fontaines, près de Fontainebleau. Le grand bâtiment n'a pas vocation à enfermer des sales gosses mais plutôt à protéger des enfants traumatisés qui se serrent les coudes pour oublier que leurs parents leur manquent ou qui, au contraire, redoutent leur famille plus que tout.

Infirmière, psychologue et «zéducs» sont chargés de soigner les bleus à l'âme de ces petits pensionnaires, parmi lesquels Simon, qui sait tout sur tout, Ahmed qui pleurniche tout le temps, Béatrice qui n'arrive pas à enlever les doigts de son nez, Alice qui cache toujours son visage sous ses longs cheveux, Jujube qui compense l'absence de sa mère par des gâteaux et enfin Camille, dont Courgette tombe amoureux.

Courgette finit par être adopté, avec Camille, par Raymond, le gendarme qui l'avait conduit au foyer après l'accident.

Un récit sur l'enfance aussi drôle que poignant derrière lequel se dissimule une réflexion sur la délinquance et la misère sociale.

On recommandera la lecture d'Autobiographie d'une courgette aux élèves de Troisième, après l'étude, en classe, d'un récit sur l'enfance et l'adolescence (Le Grand Meaulnes d'Alain-Fournier ; Poil de carotte de Jules Renard ; Le Roman d'un enfant de Loti ; L'Enfant de Vallès, disponibles en «Étonnants Classiques») ou en classe de Quatrième après l'étude d'un récit réaliste du XIXe siècle sur l'enfance malheureuse (Le Papa de Simon, de Maupassant ;
Les Misérables, de Hugo, également disponibles en «Étonnants Classiques»).

Gilles Paris dirige une agence de communication spécialisée dans l'édition. Il est également l'auteur de Papa et maman sont morts (Seuil, 1991) et d'Au pays des kangourous (Éditions Don Quichotte, 2012).


Résumé

«Depuis tout petit, je veux tuer le ciel.» Ainsi commence l'histoire d'Icare, garçon naïf surnommé Courgette, qui, à neuf ans, vit seul avec sa mère. Depuis un accident qui a paralysé l'une de ses jambes, cette dernière passe ses journées devant la télévision, une bière à la main.

Un jour, Courgette découvre un revolver et tue accidentellement sa mère. Un saut au commissariat et l'enfant est placé dans le foyer d'accueil des Fontaines, près de Fontainebleau. Le grand bâtiment n'a pas vocation à enfermer des sales gosses mais plutôt à protéger des enfants traumatisés qui se serrent les coudes pour oublier que leurs parents leur manquent ou qui, au contraire, redoutent leur famille plus que tout.

Infirmière, psychologue et «zéducs» sont chargés de soigner les bleus à l'âme de ces petits pensionnaires, parmi lesquels Simon, qui sait tout sur tout, Ahmed qui pleurniche tout le temps, Béatrice qui n'arrive pas à enlever les doigts de son nez, Alice qui cache toujours son visage sous ses longs cheveux, Jujube qui compense l'absence de sa mère par des gâteaux et enfin Camille, dont Courgette tombe amoureux.

Courgette finit par être adopté, avec Camille, par Raymond, le gendarme qui l'avait conduit au foyer après l'accident.

Un récit sur l'enfance aussi drôle que poignant derrière lequel se dissimule une réflexion sur la délinquance et la misère sociale.

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Gilles Paris dirige une agence de communication spécialisée dans l'édition. Il est également l'auteur de Papa et maman sont morts (Seuil, 1991) et d'Au pays des kangourous (Éditions Don Quichotte, 2012).


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«Depuis tout petit, je veux tuer le ciel.» Ainsi commence l'histoire d'Icare, garçon naïf surnommé Courgette, qui, à neuf ans, vit seul avec sa mère. Depuis un accident qui a paralysé l'une de ses jambes, cette dernière passe ses journées devant la télévision, une bière à la main.

Un jour, Courgette découvre un revolver et tue accidentellement sa mère. Un saut au commissariat et l'enfant est placé dans le foyer d'accueil des Fontaines, près de Fontainebleau. Le grand bâtiment n'a pas vocation à enfermer des sales gosses mais plutôt à protéger des enfants traumatisés qui se serrent les coudes pour oublier que leurs parents leur manquent ou qui, au contraire, redoutent leur famille plus que tout.

Infirmière, psychologue et «zéducs» sont chargés de soigner les bleus à l'âme de ces petits pensionnaires, parmi lesquels Simon, qui sait tout sur tout, Ahmed qui pleurniche tout le temps, Béatrice qui n'arrive pas à enlever les doigts de son nez, Alice qui cache toujours son visage sous ses longs cheveux, Jujube qui compense l'absence de sa mère par des gâteaux et enfin Camille, dont Courgette tombe amoureux.

Courgette finit par être adopté, avec Camille, par Raymond, le gendarme qui l'avait conduit au foyer après l'accident.

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Gilles Paris dirige une agence de communication spécialisée dans l'édition. Il est également l'auteur de Papa et maman sont morts (Seuil, 1991) et d'Au pays des kangourous (Éditions Don Quichotte, 2012).


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Infirmière, psychologue et «zéducs» sont chargés de soigner les bleus à l'âme de ces petits pensionnaires, parmi lesquels Simon, qui sait tout sur tout, Ahmed qui pleurniche tout le temps, Béatrice qui n'arrive pas à enlever les doigts de son nez, Alice qui cache toujours son visage sous ses longs cheveux, Jujube qui compense l'absence de sa mère par des gâteaux et enfin Camille, dont Courgette tombe amoureux.

Courgette finit par être adopté, avec Camille, par Raymond, le gendarme qui l'avait conduit au foyer après l'accident.

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Gilles Paris dirige une agence de communication spécialisée dans l'édition. Il est également l'auteur de Papa et maman sont morts (Seuil, 1991) et d'Au pays des kangourous (Éditions Don Quichotte, 2012).


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«Depuis tout petit, je veux tuer le ciel.» Ainsi commence l'histoire d'Icare, garçon naïf surnommé Courgette, qui, à neuf ans, vit seul avec sa mère. Depuis un accident qui a paralysé l'une de ses jambes, cette dernière passe ses journées devant la télévision, une bière à la main.

Un jour, Courgette découvre un revolver et tue accidentellement sa mère. Un saut au commissariat et l'enfant est placé dans le foyer d'accueil des Fontaines, près de Fontainebleau. Le grand bâtiment n'a pas vocation à enfermer des sales gosses mais plutôt à protéger des enfants traumatisés qui se serrent les coudes pour oublier que leurs parents leur manquent ou qui, au contraire, redoutent leur famille plus que tout.

Infirmière, psychologue et «zéducs» sont chargés de soigner les bleus à l'âme de ces petits pensionnaires, parmi lesquels Simon, qui sait tout sur tout, Ahmed qui pleurniche tout le temps, Béatrice qui n'arrive pas à enlever les doigts de son nez, Alice qui cache toujours son visage sous ses longs cheveux, Jujube qui compense l'absence de sa mère par des gâteaux et enfin Camille, dont Courgette tombe amoureux.

Courgette finit par être adopté, avec Camille, par Raymond, le gendarme qui l'avait conduit au foyer après l'accident.

Un récit sur l'enfance aussi drôle que poignant derrière lequel se dissimule une réflexion sur la délinquance et la misère sociale.

On recommandera la lecture d'Autobiographie d'une courgette aux élèves de Troisième, après l'étude, en classe, d'un récit sur l'enfance et l'adolescence (Le Grand Meaulnes d'Alain-Fournier ; Poil de carotte de Jules Renard ; Le Roman d'un enfant de Loti ; L'Enfant de Vallès, disponibles en «Étonnants Classiques») ou en classe de Quatrième après l'étude d'un récit réaliste du XIXe siècle sur l'enfance malheureuse (Le Papa de Simon, de Maupassant ;
Les Misérables, de Hugo, également disponibles en «Étonnants Classiques»).

Gilles Paris dirige une agence de communication spécialisée dans l'édition. Il est également l'auteur de Papa et maman sont morts (Seuil, 1991) et d'Au pays des kangourous (Éditions Don Quichotte, 2012).


Résumé

«Depuis tout petit, je veux tuer le ciel.» Ainsi commence l'histoire d'Icare, garçon naïf surnommé Courgette, qui, à neuf ans, vit seul avec sa mère. Depuis un accident qui a paralysé l'une de ses jambes, cette dernière passe ses journées devant la télévision, une bière à la main.

Un jour, Courgette découvre un revolver et tue accidentellement sa mère. Un saut au commissariat et l'enfant est placé dans le foyer d'accueil des Fontaines, près de Fontainebleau. Le grand bâtiment n'a pas vocation à enfermer des sales gosses mais plutôt à protéger des enfants traumatisés qui se serrent les coudes pour oublier que leurs parents leur manquent ou qui, au contraire, redoutent leur famille plus que tout.

Infirmière, psychologue et «zéducs» sont chargés de soigner les bleus à l'âme de ces petits pensionnaires, parmi lesquels Simon, qui sait tout sur tout, Ahmed qui pleurniche tout le temps, Béatrice qui n'arrive pas à enlever les doigts de son nez, Alice qui cache toujours son visage sous ses longs cheveux, Jujube qui compense l'absence de sa mère par des gâteaux et enfin Camille, dont Courgette tombe amoureux.

Courgette finit par être adopté, avec Camille, par Raymond, le gendarme qui l'avait conduit au foyer après l'accident.

Un récit sur l'enfance aussi drôle que poignant derrière lequel se dissimule une réflexion sur la délinquance et la misère sociale.

On recommandera la lecture d'Autobiographie d'une courgette aux élèves de Troisième, après l'étude, en classe, d'un récit sur l'enfance et l'adolescence (Le Grand Meaulnes d'Alain-Fournier ; Poil de carotte de Jules Renard ; Le Roman d'un enfant de Loti ; L'Enfant de Vallès, disponibles en «Étonnants Classiques») ou en classe de Quatrième après l'étude d'un récit réaliste du XIXe siècle sur l'enfance malheureuse (Le Papa de Simon, de Maupassant ;
Les Misérables, de Hugo, également disponibles en «Étonnants Classiques»).

Gilles Paris dirige une agence de communication spécialisée dans l'édition. Il est également l'auteur de Papa et maman sont morts (Seuil, 1991) et d'Au pays des kangourous (Éditions Don Quichotte, 2012).


Résumé

«Depuis tout petit, je veux tuer le ciel.» Ainsi commence l'histoire d'Icare, garçon naïf surnommé Courgette, qui, à neuf ans, vit seul avec sa mère. Depuis un accident qui a paralysé l'une de ses jambes, cette dernière passe ses journées devant la télévision, une bière à la main.

Un jour, Courgette découvre un revolver et tue accidentellement sa mère. Un saut au commissariat et l'enfant est placé dans le foyer d'accueil des Fontaines, près de Fontainebleau. Le grand bâtiment n'a pas vocation à enfermer des sales gosses mais plutôt à protéger des enfants traumatisés qui se serrent les coudes pour oublier que leurs parents leur manquent ou qui, au contraire, redoutent leur famille plus que tout.

Infirmière, psychologue et «zéducs» sont chargés de soigner les bleus à l'âme de ces petits pensionnaires, parmi lesquels Simon, qui sait tout sur tout, Ahmed qui pleurniche tout le temps, Béatrice qui n'arrive pas à enlever les doigts de son nez, Alice qui cache toujours son visage sous ses longs cheveux, Jujube qui compense l'absence de sa mère par des gâteaux et enfin Camille, dont Courgette tombe amoureux.

Courgette finit par être adopté, avec Camille, par Raymond, le gendarme qui l'avait conduit au foyer après l'accident.

Un récit sur l'enfance aussi drôle que poignant derrière lequel se dissimule une réflexion sur la délinquance et la misère sociale.

On recommandera la lecture d'Autobiographie d'une courgette aux élèves de Troisième, après l'étude, en classe, d'un récit sur l'enfance et l'adolescence (Le Grand Meaulnes d'Alain-Fournier ; Poil de carotte de Jules Renard ; Le Roman d'un enfant de Loti ; L'Enfant de Vallès, disponibles en «Étonnants Classiques») ou en classe de Quatrième après l'étude d'un récit réaliste du XIXe siècle sur l'enfance malheureuse (Le Papa de Simon, de Maupassant ;
Les Misérables, de Hugo, également disponibles en «Étonnants Classiques»).

Gilles Paris dirige une agence de communication spécialisée dans l'édition. Il est également l'auteur de Papa et maman sont morts (Seuil, 1991) et d'Au pays des kangourous (Éditions Don Quichotte, 2012).


Résumé

«Depuis tout petit, je veux tuer le ciel.» Ainsi commence l'histoire d'Icare, garçon naïf surnommé Courgette, qui, à neuf ans, vit seul avec sa mère. Depuis un accident qui a paralysé l'une de ses jambes, cette dernière passe ses journées devant la télévision, une bière à la main.

Un jour, Courgette découvre un revolver et tue accidentellement sa mère. Un saut au commissariat et l'enfant est placé dans le foyer d'accueil des Fontaines, près de Fontainebleau. Le grand bâtiment n'a pas vocation à enfermer des sales gosses mais plutôt à protéger des enfants traumatisés qui se serrent les coudes pour oublier que leurs parents leur manquent ou qui, au contraire, redoutent leur famille plus que tout.

Infirmière, psychologue et «zéducs» sont chargés de soigner les bleus à l'âme de ces petits pensionnaires, parmi lesquels Simon, qui sait tout sur tout, Ahmed qui pleurniche tout le temps, Béatrice qui n'arrive pas à enlever les doigts de son nez, Alice qui cache toujours son visage sous ses longs cheveux, Jujube qui compense l'absence de sa mère par des gâteaux et enfin Camille, dont Courgette tombe amoureux.

Courgette finit par être adopté, avec Camille, par Raymond, le gendarme qui l'avait conduit au foyer après l'accident.

Un récit sur l'enfance aussi drôle que poignant derrière lequel se dissimule une réflexion sur la délinquance et la misère sociale.

On recommandera la lecture d'Autobiographie d'une courgette aux élèves de Troisième, après l'étude, en classe, d'un récit sur l'enfance et l'adolescence (Le Grand Meaulnes d'Alain-Fournier ; Poil de carotte de Jules Renard ; Le Roman d'un enfant de Loti ; L'Enfant de Vallès, disponibles en «Étonnants Classiques») ou en classe de Quatrième après l'étude d'un récit réaliste du XIXe siècle sur l'enfance malheureuse (Le Papa de Simon, de Maupassant ;
Les Misérables, de Hugo, également disponibles en «Étonnants Classiques»).

Gilles Paris dirige une agence de communication spécialisée dans l'édition. Il est également l'auteur de Papa et maman sont morts (Seuil, 1991) et d'Au pays des kangourous (Éditions Don Quichotte, 2012).

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