"L'ange Esmeralda" de Don DeLillo chez Actes Sud (Arles, France),Leméac (Montréal, Canada)

"L'ange Esmeralda" de Don DeLillo chez Actes Sud (Arles, France),Leméac (Montréal, Canada)

en partenariat avec 20minutes.fr

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  • Auteur : Don DeLillo
  • Traducteur : Marianne Véron
  • Genre : Romans et nouvelles - étranger
  • Editeur : Actes Sud, Arles, France | Leméac, Montréal, Canada
  • Prix : 21.80 €
  • Date de sortie : 06/02/2013
  • GENCOD : 9782330014247

Résumé

LE POINT DE VUE DES ÉDITEURS

On rencontrera, dans les textes qui composent ce recueil, des hommes méditatifs pistant, presque malgré eux, des femmes incompréhensibles (Baader-Meinhof, La Famélique), un mari fidèle qui, bloqué sur une île caribéenne par un avion qui n'arrive pas, finit par tuer le temps en séduisant une passagère comme lui en stand-by (Création), une jeune femme tétanisée par les répliques annoncées d'un tremblement de terre en Grèce (L'Acrobate d'ivoire) ou un banal joggeur dont l'enlèvement d'un enfant sous les yeux de sa mère vient perturber l'immuable parcours (Le Coureur). Ailleurs, dans Le Marteau et la Faucille, la crise des subprimes et ses conséquences sur le marché mondial se voient, dans le cadre d'un très surprenant programme pédagogique, déclinées à la télévision par deux fillettes devant un parterre médusé de détenus aux allures de Madoff.
Qu'il lance ses personnages en orbite autour de la Terre (ainsi des astronautes de Moments humains dans la Troisième Guerre mondiale), les fasse évoluer dans les quartiers déshérités de New York (L'Ange Esmeralda), ou retourne contre eux les divertissements inoffensifs auxquels ils croyaient se livrer (Dostoïevski à minuit), Don DeLillo, de dialogues elliptiques et cryptés en rencontres décalées, met en scène des individus victimes de silencieuses catastrophes où s'abîme l'inquiète charade de leurs existences.
Avec ces nouvelles écrites entre 1979 et 2011, Don DeLillo propose une variation aussi magistrale que singulière sur l'intranquillité à l'oeuvre chez l'homme contemporain tentant de s'adapter, à travers une paranoïaque recherche de sens, au sentiment d'insécurité qui gouverne sa vie aussi fragile qu'illisible.

En France, toute l'oeuvre de Don DeLillo est publiée par Actes Sud. Derniers titres parus : Point Oméga (2010) et Great Jones Street (2011).

Né en 1936 à New York, Don DeLillo est l'auteur de nouvelles et d'une trentaine de romans. En 1985, il reçoit pour Bruit de fond (Babel, 2001) la plus grande distinction américaine, The National Book Award. Deux ans plus tard, Libra (Babel, 2001) l'impose au grand public. En 1991, le PEN/Faulkner Award for Fiction lui est remis pour Mao II (Actes Sud, 1992). Don DeLillo est l'un des chefs défile incontestés de la littérature américaine. Actes Sud a publié onze de ses romans et une précédente pièce, Valparaiso (2001, traduction de Dominique Hollier).


Résumé

LE POINT DE VUE DES ÉDITEURS

On rencontrera, dans les textes qui composent ce recueil, des hommes méditatifs pistant, presque malgré eux, des femmes incompréhensibles (Baader-Meinhof, La Famélique), un mari fidèle qui, bloqué sur une île caribéenne par un avion qui n'arrive pas, finit par tuer le temps en séduisant une passagère comme lui en stand-by (Création), une jeune femme tétanisée par les répliques annoncées d'un tremblement de terre en Grèce (L'Acrobate d'ivoire) ou un banal joggeur dont l'enlèvement d'un enfant sous les yeux de sa mère vient perturber l'immuable parcours (Le Coureur). Ailleurs, dans Le Marteau et la Faucille, la crise des subprimes et ses conséquences sur le marché mondial se voient, dans le cadre d'un très surprenant programme pédagogique, déclinées à la télévision par deux fillettes devant un parterre médusé de détenus aux allures de Madoff.
Qu'il lance ses personnages en orbite autour de la Terre (ainsi des astronautes de Moments humains dans la Troisième Guerre mondiale), les fasse évoluer dans les quartiers déshérités de New York (L'Ange Esmeralda), ou retourne contre eux les divertissements inoffensifs auxquels ils croyaient se livrer (Dostoïevski à minuit), Don DeLillo, de dialogues elliptiques et cryptés en rencontres décalées, met en scène des individus victimes de silencieuses catastrophes où s'abîme l'inquiète charade de leurs existences.
Avec ces nouvelles écrites entre 1979 et 2011, Don DeLillo propose une variation aussi magistrale que singulière sur l'intranquillité à l'oeuvre chez l'homme contemporain tentant de s'adapter, à travers une paranoïaque recherche de sens, au sentiment d'insécurité qui gouverne sa vie aussi fragile qu'illisible.

En France, toute l'oeuvre de Don DeLillo est publiée par Actes Sud. Derniers titres parus : Point Oméga (2010) et Great Jones Street (2011).

Né en 1936 à New York, Don DeLillo est l'auteur de nouvelles et d'une trentaine de romans. En 1985, il reçoit pour Bruit de fond (Babel, 2001) la plus grande distinction américaine, The National Book Award. Deux ans plus tard, Libra (Babel, 2001) l'impose au grand public. En 1991, le PEN/Faulkner Award for Fiction lui est remis pour Mao II (Actes Sud, 1992). Don DeLillo est l'un des chefs défile incontestés de la littérature américaine. Actes Sud a publié onze de ses romans et une précédente pièce, Valparaiso (2001, traduction de Dominique Hollier).


Résumé

LE POINT DE VUE DES ÉDITEURS

On rencontrera, dans les textes qui composent ce recueil, des hommes méditatifs pistant, presque malgré eux, des femmes incompréhensibles (Baader-Meinhof, La Famélique), un mari fidèle qui, bloqué sur une île caribéenne par un avion qui n'arrive pas, finit par tuer le temps en séduisant une passagère comme lui en stand-by (Création), une jeune femme tétanisée par les répliques annoncées d'un tremblement de terre en Grèce (L'Acrobate d'ivoire) ou un banal joggeur dont l'enlèvement d'un enfant sous les yeux de sa mère vient perturber l'immuable parcours (Le Coureur). Ailleurs, dans Le Marteau et la Faucille, la crise des subprimes et ses conséquences sur le marché mondial se voient, dans le cadre d'un très surprenant programme pédagogique, déclinées à la télévision par deux fillettes devant un parterre médusé de détenus aux allures de Madoff.
Qu'il lance ses personnages en orbite autour de la Terre (ainsi des astronautes de Moments humains dans la Troisième Guerre mondiale), les fasse évoluer dans les quartiers déshérités de New York (L'Ange Esmeralda), ou retourne contre eux les divertissements inoffensifs auxquels ils croyaient se livrer (Dostoïevski à minuit), Don DeLillo, de dialogues elliptiques et cryptés en rencontres décalées, met en scène des individus victimes de silencieuses catastrophes où s'abîme l'inquiète charade de leurs existences.
Avec ces nouvelles écrites entre 1979 et 2011, Don DeLillo propose une variation aussi magistrale que singulière sur l'intranquillité à l'oeuvre chez l'homme contemporain tentant de s'adapter, à travers une paranoïaque recherche de sens, au sentiment d'insécurité qui gouverne sa vie aussi fragile qu'illisible.

En France, toute l'oeuvre de Don DeLillo est publiée par Actes Sud. Derniers titres parus : Point Oméga (2010) et Great Jones Street (2011).

Né en 1936 à New York, Don DeLillo est l'auteur de nouvelles et d'une trentaine de romans. En 1985, il reçoit pour Bruit de fond (Babel, 2001) la plus grande distinction américaine, The National Book Award. Deux ans plus tard, Libra (Babel, 2001) l'impose au grand public. En 1991, le PEN/Faulkner Award for Fiction lui est remis pour Mao II (Actes Sud, 1992). Don DeLillo est l'un des chefs défile incontestés de la littérature américaine. Actes Sud a publié onze de ses romans et une précédente pièce, Valparaiso (2001, traduction de Dominique Hollier).


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LE POINT DE VUE DES ÉDITEURS

On rencontrera, dans les textes qui composent ce recueil, des hommes méditatifs pistant, presque malgré eux, des femmes incompréhensibles (Baader-Meinhof, La Famélique), un mari fidèle qui, bloqué sur une île caribéenne par un avion qui n'arrive pas, finit par tuer le temps en séduisant une passagère comme lui en stand-by (Création), une jeune femme tétanisée par les répliques annoncées d'un tremblement de terre en Grèce (L'Acrobate d'ivoire) ou un banal joggeur dont l'enlèvement d'un enfant sous les yeux de sa mère vient perturber l'immuable parcours (Le Coureur). Ailleurs, dans Le Marteau et la Faucille, la crise des subprimes et ses conséquences sur le marché mondial se voient, dans le cadre d'un très surprenant programme pédagogique, déclinées à la télévision par deux fillettes devant un parterre médusé de détenus aux allures de Madoff.
Qu'il lance ses personnages en orbite autour de la Terre (ainsi des astronautes de Moments humains dans la Troisième Guerre mondiale), les fasse évoluer dans les quartiers déshérités de New York (L'Ange Esmeralda), ou retourne contre eux les divertissements inoffensifs auxquels ils croyaient se livrer (Dostoïevski à minuit), Don DeLillo, de dialogues elliptiques et cryptés en rencontres décalées, met en scène des individus victimes de silencieuses catastrophes où s'abîme l'inquiète charade de leurs existences.
Avec ces nouvelles écrites entre 1979 et 2011, Don DeLillo propose une variation aussi magistrale que singulière sur l'intranquillité à l'oeuvre chez l'homme contemporain tentant de s'adapter, à travers une paranoïaque recherche de sens, au sentiment d'insécurité qui gouverne sa vie aussi fragile qu'illisible.

En France, toute l'oeuvre de Don DeLillo est publiée par Actes Sud. Derniers titres parus : Point Oméga (2010) et Great Jones Street (2011).

Né en 1936 à New York, Don DeLillo est l'auteur de nouvelles et d'une trentaine de romans. En 1985, il reçoit pour Bruit de fond (Babel, 2001) la plus grande distinction américaine, The National Book Award. Deux ans plus tard, Libra (Babel, 2001) l'impose au grand public. En 1991, le PEN/Faulkner Award for Fiction lui est remis pour Mao II (Actes Sud, 1992). Don DeLillo est l'un des chefs défile incontestés de la littérature américaine. Actes Sud a publié onze de ses romans et une précédente pièce, Valparaiso (2001, traduction de Dominique Hollier).

subprimes

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On rencontrera, dans les textes qui composent ce recueil, des hommes méditatifs pistant, presque malgré eux, des femmes incompréhensibles (Baader-Meinhof, La Famélique), un mari fidèle qui, bloqué sur une île caribéenne par un avion qui n'arrive pas, finit par tuer le temps en séduisant une passagère comme lui en stand-by (Création), une jeune femme tétanisée par les répliques annoncées d'un tremblement de terre en Grèce (L'Acrobate d'ivoire) ou un banal joggeur dont l'enlèvement d'un enfant sous les yeux de sa mère vient perturber l'immuable parcours (Le Coureur). Ailleurs, dans Le Marteau et la Faucille, la crise des subprimes et ses conséquences sur le marché mondial se voient, dans le cadre d'un très surprenant programme pédagogique, déclinées à la télévision par deux fillettes devant un parterre médusé de détenus aux allures de Madoff.
Qu'il lance ses personnages en orbite autour de la Terre (ainsi des astronautes de Moments humains dans la Troisième Guerre mondiale), les fasse évoluer dans les quartiers déshérités de New York (L'Ange Esmeralda), ou retourne contre eux les divertissements inoffensifs auxquels ils croyaient se livrer (Dostoïevski à minuit), Don DeLillo, de dialogues elliptiques et cryptés en rencontres décalées, met en scène des individus victimes de silencieuses catastrophes où s'abîme l'inquiète charade de leurs existences.
Avec ces nouvelles écrites entre 1979 et 2011, Don DeLillo propose une variation aussi magistrale que singulière sur l'intranquillité à l'oeuvre chez l'homme contemporain tentant de s'adapter, à travers une paranoïaque recherche de sens, au sentiment d'insécurité qui gouverne sa vie aussi fragile qu'illisible.

En France, toute l'oeuvre de Don DeLillo est publiée par Actes Sud. Derniers titres parus : Point Oméga (2010) et Great Jones Street (2011).

Né en 1936 à New York, Don DeLillo est l'auteur de nouvelles et d'une trentaine de romans. En 1985, il reçoit pour Bruit de fond (Babel, 2001) la plus grande distinction américaine, The National Book Award. Deux ans plus tard, Libra (Babel, 2001) l'impose au grand public. En 1991, le PEN/Faulkner Award for Fiction lui est remis pour Mao II (Actes Sud, 1992). Don DeLillo est l'un des chefs défile incontestés de la littérature américaine. Actes Sud a publié onze de ses romans et une précédente pièce, Valparaiso (2001, traduction de Dominique Hollier).


Résumé

LE POINT DE VUE DES ÉDITEURS

On rencontrera, dans les textes qui composent ce recueil, des hommes méditatifs pistant, presque malgré eux, des femmes incompréhensibles (Baader-Meinhof, La Famélique), un mari fidèle qui, bloqué sur une île caribéenne par un avion qui n'arrive pas, finit par tuer le temps en séduisant une passagère comme lui en stand-by (Création), une jeune femme tétanisée par les répliques annoncées d'un tremblement de terre en Grèce (L'Acrobate d'ivoire) ou un banal joggeur dont l'enlèvement d'un enfant sous les yeux de sa mère vient perturber l'immuable parcours (Le Coureur). Ailleurs, dans Le Marteau et la Faucille, la crise des subprimes et ses conséquences sur le marché mondial se voient, dans le cadre d'un très surprenant programme pédagogique, déclinées à la télévision par deux fillettes devant un parterre médusé de détenus aux allures de Madoff.
Qu'il lance ses personnages en orbite autour de la Terre (ainsi des astronautes de Moments humains dans la Troisième Guerre mondiale), les fasse évoluer dans les quartiers déshérités de New York (L'Ange Esmeralda), ou retourne contre eux les divertissements inoffensifs auxquels ils croyaient se livrer (Dostoïevski à minuit), Don DeLillo, de dialogues elliptiques et cryptés en rencontres décalées, met en scène des individus victimes de silencieuses catastrophes où s'abîme l'inquiète charade de leurs existences.
Avec ces nouvelles écrites entre 1979 et 2011, Don DeLillo propose une variation aussi magistrale que singulière sur l'intranquillité à l'oeuvre chez l'homme contemporain tentant de s'adapter, à travers une paranoïaque recherche de sens, au sentiment d'insécurité qui gouverne sa vie aussi fragile qu'illisible.

En France, toute l'oeuvre de Don DeLillo est publiée par Actes Sud. Derniers titres parus : Point Oméga (2010) et Great Jones Street (2011).

Né en 1936 à New York, Don DeLillo est l'auteur de nouvelles et d'une trentaine de romans. En 1985, il reçoit pour Bruit de fond (Babel, 2001) la plus grande distinction américaine, The National Book Award. Deux ans plus tard, Libra (Babel, 2001) l'impose au grand public. En 1991, le PEN/Faulkner Award for Fiction lui est remis pour Mao II (Actes Sud, 1992). Don DeLillo est l'un des chefs défile incontestés de la littérature américaine. Actes Sud a publié onze de ses romans et une précédente pièce, Valparaiso (2001, traduction de Dominique Hollier).

New York

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On rencontrera, dans les textes qui composent ce recueil, des hommes méditatifs pistant, presque malgré eux, des femmes incompréhensibles (Baader-Meinhof, La Famélique), un mari fidèle qui, bloqué sur une île caribéenne par un avion qui n'arrive pas, finit par tuer le temps en séduisant une passagère comme lui en stand-by (Création), une jeune femme tétanisée par les répliques annoncées d'un tremblement de terre en Grèce (L'Acrobate d'ivoire) ou un banal joggeur dont l'enlèvement d'un enfant sous les yeux de sa mère vient perturber l'immuable parcours (Le Coureur). Ailleurs, dans Le Marteau et la Faucille, la crise des subprimes et ses conséquences sur le marché mondial se voient, dans le cadre d'un très surprenant programme pédagogique, déclinées à la télévision par deux fillettes devant un parterre médusé de détenus aux allures de Madoff.
Qu'il lance ses personnages en orbite autour de la Terre (ainsi des astronautes de Moments humains dans la Troisième Guerre mondiale), les fasse évoluer dans les quartiers déshérités de New York (L'Ange Esmeralda), ou retourne contre eux les divertissements inoffensifs auxquels ils croyaient se livrer (Dostoïevski à minuit), Don DeLillo, de dialogues elliptiques et cryptés en rencontres décalées, met en scène des individus victimes de silencieuses catastrophes où s'abîme l'inquiète charade de leurs existences.
Avec ces nouvelles écrites entre 1979 et 2011, Don DeLillo propose une variation aussi magistrale que singulière sur l'intranquillité à l'oeuvre chez l'homme contemporain tentant de s'adapter, à travers une paranoïaque recherche de sens, au sentiment d'insécurité qui gouverne sa vie aussi fragile qu'illisible.

En France, toute l'oeuvre de Don DeLillo est publiée par Actes Sud. Derniers titres parus : Point Oméga (2010) et Great Jones Street (2011).

Né en 1936 à New York, Don DeLillo est l'auteur de nouvelles et d'une trentaine de romans. En 1985, il reçoit pour Bruit de fond (Babel, 2001) la plus grande distinction américaine, The National Book Award. Deux ans plus tard, Libra (Babel, 2001) l'impose au grand public. En 1991, le PEN/Faulkner Award for Fiction lui est remis pour Mao II (Actes Sud, 1992). Don DeLillo est l'un des chefs défile incontestés de la littérature américaine. Actes Sud a publié onze de ses romans et une précédente pièce, Valparaiso (2001, traduction de Dominique Hollier).


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LE POINT DE VUE DES ÉDITEURS

On rencontrera, dans les textes qui composent ce recueil, des hommes méditatifs pistant, presque malgré eux, des femmes incompréhensibles (Baader-Meinhof, La Famélique), un mari fidèle qui, bloqué sur une île caribéenne par un avion qui n'arrive pas, finit par tuer le temps en séduisant une passagère comme lui en stand-by (Création), une jeune femme tétanisée par les répliques annoncées d'un tremblement de terre en Grèce (L'Acrobate d'ivoire) ou un banal joggeur dont l'enlèvement d'un enfant sous les yeux de sa mère vient perturber l'immuable parcours (Le Coureur). Ailleurs, dans Le Marteau et la Faucille, la crise des subprimes et ses conséquences sur le marché mondial se voient, dans le cadre d'un très surprenant programme pédagogique, déclinées à la télévision par deux fillettes devant un parterre médusé de détenus aux allures de Madoff.
Qu'il lance ses personnages en orbite autour de la Terre (ainsi des astronautes de Moments humains dans la Troisième Guerre mondiale), les fasse évoluer dans les quartiers déshérités de New York (L'Ange Esmeralda), ou retourne contre eux les divertissements inoffensifs auxquels ils croyaient se livrer (Dostoïevski à minuit), Don DeLillo, de dialogues elliptiques et cryptés en rencontres décalées, met en scène des individus victimes de silencieuses catastrophes où s'abîme l'inquiète charade de leurs existences.
Avec ces nouvelles écrites entre 1979 et 2011, Don DeLillo propose une variation aussi magistrale que singulière sur l'intranquillité à l'oeuvre chez l'homme contemporain tentant de s'adapter, à travers une paranoïaque recherche de sens, au sentiment d'insécurité qui gouverne sa vie aussi fragile qu'illisible.

En France, toute l'oeuvre de Don DeLillo est publiée par Actes Sud. Derniers titres parus : Point Oméga (2010) et Great Jones Street (2011).

Né en 1936 à New York, Don DeLillo est l'auteur de nouvelles et d'une trentaine de romans. En 1985, il reçoit pour Bruit de fond (Babel, 2001) la plus grande distinction américaine, The National Book Award. Deux ans plus tard, Libra (Babel, 2001) l'impose au grand public. En 1991, le PEN/Faulkner Award for Fiction lui est remis pour Mao II (Actes Sud, 1992). Don DeLillo est l'un des chefs défile incontestés de la littérature américaine. Actes Sud a publié onze de ses romans et une précédente pièce, Valparaiso (2001, traduction de Dominique Hollier).


Résumé

LE POINT DE VUE DES ÉDITEURS

On rencontrera, dans les textes qui composent ce recueil, des hommes méditatifs pistant, presque malgré eux, des femmes incompréhensibles (Baader-Meinhof, La Famélique), un mari fidèle qui, bloqué sur une île caribéenne par un avion qui n'arrive pas, finit par tuer le temps en séduisant une passagère comme lui en stand-by (Création), une jeune femme tétanisée par les répliques annoncées d'un tremblement de terre en Grèce (L'Acrobate d'ivoire) ou un banal joggeur dont l'enlèvement d'un enfant sous les yeux de sa mère vient perturber l'immuable parcours (Le Coureur). Ailleurs, dans Le Marteau et la Faucille, la crise des subprimes et ses conséquences sur le marché mondial se voient, dans le cadre d'un très surprenant programme pédagogique, déclinées à la télévision par deux fillettes devant un parterre médusé de détenus aux allures de Madoff.
Qu'il lance ses personnages en orbite autour de la Terre (ainsi des astronautes de Moments humains dans la Troisième Guerre mondiale), les fasse évoluer dans les quartiers déshérités de New York (L'Ange Esmeralda), ou retourne contre eux les divertissements inoffensifs auxquels ils croyaient se livrer (Dostoïevski à minuit), Don DeLillo, de dialogues elliptiques et cryptés en rencontres décalées, met en scène des individus victimes de silencieuses catastrophes où s'abîme l'inquiète charade de leurs existences.
Avec ces nouvelles écrites entre 1979 et 2011, Don DeLillo propose une variation aussi magistrale que singulière sur l'intranquillité à l'oeuvre chez l'homme contemporain tentant de s'adapter, à travers une paranoïaque recherche de sens, au sentiment d'insécurité qui gouverne sa vie aussi fragile qu'illisible.

En France, toute l'oeuvre de Don DeLillo est publiée par Actes Sud. Derniers titres parus : Point Oméga (2010) et Great Jones Street (2011).

Né en 1936 à New York, Don DeLillo est l'auteur de nouvelles et d'une trentaine de romans. En 1985, il reçoit pour Bruit de fond (Babel, 2001) la plus grande distinction américaine, The National Book Award. Deux ans plus tard, Libra (Babel, 2001) l'impose au grand public. En 1991, le PEN/Faulkner Award for Fiction lui est remis pour Mao II (Actes Sud, 1992). Don DeLillo est l'un des chefs défile incontestés de la littérature américaine. Actes Sud a publié onze de ses romans et une précédente pièce, Valparaiso (2001, traduction de Dominique Hollier).


Résumé

LE POINT DE VUE DES ÉDITEURS

On rencontrera, dans les textes qui composent ce recueil, des hommes méditatifs pistant, presque malgré eux, des femmes incompréhensibles (Baader-Meinhof, La Famélique), un mari fidèle qui, bloqué sur une île caribéenne par un avion qui n'arrive pas, finit par tuer le temps en séduisant une passagère comme lui en stand-by (Création), une jeune femme tétanisée par les répliques annoncées d'un tremblement de terre en Grèce (L'Acrobate d'ivoire) ou un banal joggeur dont l'enlèvement d'un enfant sous les yeux de sa mère vient perturber l'immuable parcours (Le Coureur). Ailleurs, dans Le Marteau et la Faucille, la crise des subprimes et ses conséquences sur le marché mondial se voient, dans le cadre d'un très surprenant programme pédagogique, déclinées à la télévision par deux fillettes devant un parterre médusé de détenus aux allures de Madoff.
Qu'il lance ses personnages en orbite autour de la Terre (ainsi des astronautes de Moments humains dans la Troisième Guerre mondiale), les fasse évoluer dans les quartiers déshérités de New York (L'Ange Esmeralda), ou retourne contre eux les divertissements inoffensifs auxquels ils croyaient se livrer (Dostoïevski à minuit), Don DeLillo, de dialogues elliptiques et cryptés en rencontres décalées, met en scène des individus victimes de silencieuses catastrophes où s'abîme l'inquiète charade de leurs existences.
Avec ces nouvelles écrites entre 1979 et 2011, Don DeLillo propose une variation aussi magistrale que singulière sur l'intranquillité à l'oeuvre chez l'homme contemporain tentant de s'adapter, à travers une paranoïaque recherche de sens, au sentiment d'insécurité qui gouverne sa vie aussi fragile qu'illisible.

En France, toute l'oeuvre de Don DeLillo est publiée par Actes Sud. Derniers titres parus : Point Oméga (2010) et Great Jones Street (2011).

Né en 1936 à New York, Don DeLillo est l'auteur de nouvelles et d'une trentaine de romans. En 1985, il reçoit pour Bruit de fond (Babel, 2001) la plus grande distinction américaine, The National Book Award. Deux ans plus tard, Libra (Babel, 2001) l'impose au grand public. En 1991, le PEN/Faulkner Award for Fiction lui est remis pour Mao II (Actes Sud, 1992). Don DeLillo est l'un des chefs défile incontestés de la littérature américaine. Actes Sud a publié onze de ses romans et une précédente pièce, Valparaiso (2001, traduction de Dominique Hollier).


Résumé

LE POINT DE VUE DES ÉDITEURS

On rencontrera, dans les textes qui composent ce recueil, des hommes méditatifs pistant, presque malgré eux, des femmes incompréhensibles (Baader-Meinhof, La Famélique), un mari fidèle qui, bloqué sur une île caribéenne par un avion qui n'arrive pas, finit par tuer le temps en séduisant une passagère comme lui en stand-by (Création), une jeune femme tétanisée par les répliques annoncées d'un tremblement de terre en Grèce (L'Acrobate d'ivoire) ou un banal joggeur dont l'enlèvement d'un enfant sous les yeux de sa mère vient perturber l'immuable parcours (Le Coureur). Ailleurs, dans Le Marteau et la Faucille, la crise des subprimes et ses conséquences sur le marché mondial se voient, dans le cadre d'un très surprenant programme pédagogique, déclinées à la télévision par deux fillettes devant un parterre médusé de détenus aux allures de Madoff.
Qu'il lance ses personnages en orbite autour de la Terre (ainsi des astronautes de Moments humains dans la Troisième Guerre mondiale), les fasse évoluer dans les quartiers déshérités de New York (L'Ange Esmeralda), ou retourne contre eux les divertissements inoffensifs auxquels ils croyaient se livrer (Dostoïevski à minuit), Don DeLillo, de dialogues elliptiques et cryptés en rencontres décalées, met en scène des individus victimes de silencieuses catastrophes où s'abîme l'inquiète charade de leurs existences.
Avec ces nouvelles écrites entre 1979 et 2011, Don DeLillo propose une variation aussi magistrale que singulière sur l'intranquillité à l'oeuvre chez l'homme contemporain tentant de s'adapter, à travers une paranoïaque recherche de sens, au sentiment d'insécurité qui gouverne sa vie aussi fragile qu'illisible.

En France, toute l'oeuvre de Don DeLillo est publiée par Actes Sud. Derniers titres parus : Point Oméga (2010) et Great Jones Street (2011).

Né en 1936 à New York, Don DeLillo est l'auteur de nouvelles et d'une trentaine de romans. En 1985, il reçoit pour Bruit de fond (Babel, 2001) la plus grande distinction américaine, The National Book Award. Deux ans plus tard, Libra (Babel, 2001) l'impose au grand public. En 1991, le PEN/Faulkner Award for Fiction lui est remis pour Mao II (Actes Sud, 1992). Don DeLillo est l'un des chefs défile incontestés de la littérature américaine. Actes Sud a publié onze de ses romans et une précédente pièce, Valparaiso (2001, traduction de Dominique Hollier).


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LE POINT DE VUE DES ÉDITEURS

On rencontrera, dans les textes qui composent ce recueil, des hommes méditatifs pistant, presque malgré eux, des femmes incompréhensibles (Baader-Meinhof, La Famélique), un mari fidèle qui, bloqué sur une île caribéenne par un avion qui n'arrive pas, finit par tuer le temps en séduisant une passagère comme lui en stand-by (Création), une jeune femme tétanisée par les répliques annoncées d'un tremblement de terre en Grèce (L'Acrobate d'ivoire) ou un banal joggeur dont l'enlèvement d'un enfant sous les yeux de sa mère vient perturber l'immuable parcours (Le Coureur). Ailleurs, dans Le Marteau et la Faucille, la crise des subprimes et ses conséquences sur le marché mondial se voient, dans le cadre d'un très surprenant programme pédagogique, déclinées à la télévision par deux fillettes devant un parterre médusé de détenus aux allures de Madoff.
Qu'il lance ses personnages en orbite autour de la Terre (ainsi des astronautes de Moments humains dans la Troisième Guerre mondiale), les fasse évoluer dans les quartiers déshérités de New York (L'Ange Esmeralda), ou retourne contre eux les divertissements inoffensifs auxquels ils croyaient se livrer (Dostoïevski à minuit), Don DeLillo, de dialogues elliptiques et cryptés en rencontres décalées, met en scène des individus victimes de silencieuses catastrophes où s'abîme l'inquiète charade de leurs existences.
Avec ces nouvelles écrites entre 1979 et 2011, Don DeLillo propose une variation aussi magistrale que singulière sur l'intranquillité à l'oeuvre chez l'homme contemporain tentant de s'adapter, à travers une paranoïaque recherche de sens, au sentiment d'insécurité qui gouverne sa vie aussi fragile qu'illisible.

En France, toute l'oeuvre de Don DeLillo est publiée par Actes Sud. Derniers titres parus : Point Oméga (2010) et Great Jones Street (2011).

Né en 1936 à New York, Don DeLillo est l'auteur de nouvelles et d'une trentaine de romans. En 1985, il reçoit pour Bruit de fond (Babel, 2001) la plus grande distinction américaine, The National Book Award. Deux ans plus tard, Libra (Babel, 2001) l'impose au grand public. En 1991, le PEN/Faulkner Award for Fiction lui est remis pour Mao II (Actes Sud, 1992). Don DeLillo est l'un des chefs défile incontestés de la littérature américaine. Actes Sud a publié onze de ses romans et une précédente pièce, Valparaiso (2001, traduction de Dominique Hollier).


Résumé

LE POINT DE VUE DES ÉDITEURS

On rencontrera, dans les textes qui composent ce recueil, des hommes méditatifs pistant, presque malgré eux, des femmes incompréhensibles (Baader-Meinhof, La Famélique), un mari fidèle qui, bloqué sur une île caribéenne par un avion qui n'arrive pas, finit par tuer le temps en séduisant une passagère comme lui en stand-by (Création), une jeune femme tétanisée par les répliques annoncées d'un tremblement de terre en Grèce (L'Acrobate d'ivoire) ou un banal joggeur dont l'enlèvement d'un enfant sous les yeux de sa mère vient perturber l'immuable parcours (Le Coureur). Ailleurs, dans Le Marteau et la Faucille, la crise des subprimes et ses conséquences sur le marché mondial se voient, dans le cadre d'un très surprenant programme pédagogique, déclinées à la télévision par deux fillettes devant un parterre médusé de détenus aux allures de Madoff.
Qu'il lance ses personnages en orbite autour de la Terre (ainsi des astronautes de Moments humains dans la Troisième Guerre mondiale), les fasse évoluer dans les quartiers déshérités de New York (L'Ange Esmeralda), ou retourne contre eux les divertissements inoffensifs auxquels ils croyaient se livrer (Dostoïevski à minuit), Don DeLillo, de dialogues elliptiques et cryptés en rencontres décalées, met en scène des individus victimes de silencieuses catastrophes où s'abîme l'inquiète charade de leurs existences.
Avec ces nouvelles écrites entre 1979 et 2011, Don DeLillo propose une variation aussi magistrale que singulière sur l'intranquillité à l'oeuvre chez l'homme contemporain tentant de s'adapter, à travers une paranoïaque recherche de sens, au sentiment d'insécurité qui gouverne sa vie aussi fragile qu'illisible.

En France, toute l'oeuvre de Don DeLillo est publiée par Actes Sud. Derniers titres parus : Point Oméga (2010) et Great Jones Street (2011).

Né en 1936 à New York, Don DeLillo est l'auteur de nouvelles et d'une trentaine de romans. En 1985, il reçoit pour Bruit de fond (Babel, 2001) la plus grande distinction américaine, The National Book Award. Deux ans plus tard, Libra (Babel, 2001) l'impose au grand public. En 1991, le PEN/Faulkner Award for Fiction lui est remis pour Mao II (Actes Sud, 1992). Don DeLillo est l'un des chefs défile incontestés de la littérature américaine. Actes Sud a publié onze de ses romans et une précédente pièce, Valparaiso (2001, traduction de Dominique Hollier).

Courrier des auteurs le 27/03/2013

"L'Ange Esmeralda" est un recueil de nouvelles de Don DeLillo. Chaque nouvelle devrait requérir une musique différente, et une citation différente. Le chaos du monde et le chaos intérieur de l'homme se répondent. L'espoir n'est pas à l'ordre du jour, même si des illusions d'optique en donnent parfois l'impression fallacieuse.

Marianne Véron, traductrice de l'ouvrage


Courrier des auteurs le 27/03/2013

"L'Ange Esmeralda" est un recueil de nouvelles de Don DeLillo. Chaque nouvelle devrait requérir une musique différente, et une citation différente. Le chaos du monde et le chaos intérieur de l'homme se répondent. L'espoir n'est pas à l'ordre du jour, même si des illusions d'optique en donnent parfois l'impression fallacieuse.

Marianne Véron, traductrice de l'ouvrage


Courrier des auteurs le 27/03/2013

"L'Ange Esmeralda" est un recueil de nouvelles de Don DeLillo. Chaque nouvelle devrait requérir une musique différente, et une citation différente. Le chaos du monde et le chaos intérieur de l'homme se répondent. L'espoir n'est pas à l'ordre du jour, même si des illusions d'optique en donnent parfois l'impression fallacieuse.

Marianne Véron, traductrice de l'ouvrage


Courrier des auteurs le 27/03/2013

"L'Ange Esmeralda" est un recueil de nouvelles de Don DeLillo. Chaque nouvelle devrait requérir une musique différente, et une citation différente. Le chaos du monde et le chaos intérieur de l'homme se répondent. L'espoir n'est pas à l'ordre du jour, même si des illusions d'optique en donnent parfois l'impression fallacieuse.

Marianne Véron, traductrice de l'ouvrage


Courrier des auteurs le 27/03/2013

"L'Ange Esmeralda" est un recueil de nouvelles de Don DeLillo. Chaque nouvelle devrait requérir une musique différente, et une citation différente. Le chaos du monde et le chaos intérieur de l'homme se répondent. L'espoir n'est pas à l'ordre du jour, même si des illusions d'optique en donnent parfois l'impression fallacieuse.

Marianne Véron, traductrice de l'ouvrage

La revue de presse : Florence Noiville - Le Monde du 14 mars 2013

Parues entre 1979 et 2011 dans des magazines tels que Granta, Esquire ou The New Yorker, ces nouvelles montrent aussi, si tant est que cela soit encore nécessaire, l'infinie virtuosité d'un auteur qui - avec Philip Roth et Toni Morrison -, est sans doute l'un des plus grands écrivains américains vivants.

La revue de presse : Marine Landrot - Télérama du 27 février 2013

Faire un voyage dans le temps de Don DeLillo, c'est léviter entre la queue de comète de l'utopie des années 1970 et le trou noir de l'asphyxie économique des années 2000. Ecrites entre 1979 et 2011, les nouvelles qui paraissent aujourd'hui renouent avec tous les thèmes de cette oeuvre unique, où domine le mot «oscillation»...
Seuls au monde, et pourtant sous le regard de tous, les personnages font l'expérience de la violence, intérieure et extérieure, sourde et insidieuse, qui révèle leur propre identité, comme dans les films de Martin Scorsese, qui, enfant, fréquenta la même école que Don DeLillo.

La revue de presse : Jean-Maurice de Montremy - Le Journal du Dimanche du 24 février 2013

Manifestement, Don DeLillo - tout en respectant sa propre évolution - donne à cet ensemble une progression dramatique, analogue à celle du roman. Le lecteur qui hésiterait à se lancer dans les grands livres de l'écrivain trouvera ici un excellent moyen de faire connaissance. Quant aux familiers de Don DeLillo, ils découvriront dans les nouvelles les plus récentes - Baader- Meinhof (2002) et La Famélique (2011) - des femmes énigmatiques et imprévisibles qui sont, comme Esmeralda, le meilleur de l'inspiration de l'écrivain.

La revue de presse : Mathieu Lindon - Libération du 14 février 2013

Dans les neuf nouvelles écrites entre 1979 et 2011 qui composent l'Ange Esmeralda, Don DeLillo, né à New York en 1936, raconte des histoires de mots. C'est le propre d'un écrivain, à cela près que ses personnages, ses décors sont ici également pris dans ce genre d'affaires...
A sa manière, l'auteur d'Outremonde et des Noms montre toujours l'envers du paradis (et même de l'enfer). Dans «Création», le premier texte du recueil, tout commence et s'achève dans une île idyllique pour les touristes. Si ce n'est que la quitter se révèle une aventure. Une simple histoire d'avions retardés, annulés. Mais, à chaque fois, il faut aller jusqu'à l'aéroport, retourner à l'hôtel, et puis le couple à qui ça arrive n'est pas seul à subir ça. Très vite, c'est une angoisse, que le séjour dure indéfiniment - le penser suffit pour que le paradis devienne infernal.

La revue de presse : Bruno Juffin - Les Inrocks, février 2013

Fruit de trente années d'écriture, le premier recueil de nouvelles de Don DeLillo radiographie le malaise middle-class et les improbables miracles de l'Amérique moderne...
En auscultant ainsi une culture de l'isolement solipsiste et de l'illusion, DeLillo inscrit le doute au coeur même de la civilisation du millénaire naissant, mais offre simultanément à ses laissés-pour-compte l'hypothèse d'un miracle - un domaine dans lequel il est lui-même expert, sa malice, sa maîtrise des rythmes et des rites langagiers et son intransigeant sens du mystère se conjuguant pour faire de cet éternel censeur de l'Amérique l'un de ses plus notoires enchanteurs littéraires.

La revue de presse : - Le Figaro du 7 février 2013

DeLillo, lui, est intense, oraculaire, dans l'acoustique, la sismographie des perceptions : «Les émotions ont changé.» Sur fond de violences, de solitudes chroniques, de foules paniquées, dans les effluves de mélancolie, d'ironie et de mysticisme, il interroge le fond de l'oeil. «Dites-moi ce que vous voyez. Honnêtement. Je veux savoir.» C'est la littérature même.


La revue de presse : Florence Noiville - Le Monde du 14 mars 2013

Parues entre 1979 et 2011 dans des magazines tels que Granta, Esquire ou The New Yorker, ces nouvelles montrent aussi, si tant est que cela soit encore nécessaire, l'infinie virtuosité d'un auteur qui - avec Philip Roth et Toni Morrison -, est sans doute l'un des plus grands écrivains américains vivants.

La revue de presse : Marine Landrot - Télérama du 27 février 2013

Faire un voyage dans le temps de Don DeLillo, c'est léviter entre la queue de comète de l'utopie des années 1970 et le trou noir de l'asphyxie économique des années 2000. Ecrites entre 1979 et 2011, les nouvelles qui paraissent aujourd'hui renouent avec tous les thèmes de cette oeuvre unique, où domine le mot «oscillation»...
Seuls au monde, et pourtant sous le regard de tous, les personnages font l'expérience de la violence, intérieure et extérieure, sourde et insidieuse, qui révèle leur propre identité, comme dans les films de Martin Scorsese, qui, enfant, fréquenta la même école que Don DeLillo.

La revue de presse : Jean-Maurice de Montremy - Le Journal du Dimanche du 24 février 2013

Manifestement, Don DeLillo - tout en respectant sa propre évolution - donne à cet ensemble une progression dramatique, analogue à celle du roman. Le lecteur qui hésiterait à se lancer dans les grands livres de l'écrivain trouvera ici un excellent moyen de faire connaissance. Quant aux familiers de Don DeLillo, ils découvriront dans les nouvelles les plus récentes - Baader- Meinhof (2002) et La Famélique (2011) - des femmes énigmatiques et imprévisibles qui sont, comme Esmeralda, le meilleur de l'inspiration de l'écrivain.

La revue de presse : Mathieu Lindon - Libération du 14 février 2013

Dans les neuf nouvelles écrites entre 1979 et 2011 qui composent l'Ange Esmeralda, Don DeLillo, né à New York en 1936, raconte des histoires de mots. C'est le propre d'un écrivain, à cela près que ses personnages, ses décors sont ici également pris dans ce genre d'affaires...
A sa manière, l'auteur d'Outremonde et des Noms montre toujours l'envers du paradis (et même de l'enfer). Dans «Création», le premier texte du recueil, tout commence et s'achève dans une île idyllique pour les touristes. Si ce n'est que la quitter se révèle une aventure. Une simple histoire d'avions retardés, annulés. Mais, à chaque fois, il faut aller jusqu'à l'aéroport, retourner à l'hôtel, et puis le couple à qui ça arrive n'est pas seul à subir ça. Très vite, c'est une angoisse, que le séjour dure indéfiniment - le penser suffit pour que le paradis devienne infernal.

La revue de presse : Bruno Juffin - Les Inrocks, février 2013

Fruit de trente années d'écriture, le premier recueil de nouvelles de Don DeLillo radiographie le malaise middle-class et les improbables miracles de l'Amérique moderne...
En auscultant ainsi une culture de l'isolement solipsiste et de l'illusion, DeLillo inscrit le doute au coeur même de la civilisation du millénaire naissant, mais offre simultanément à ses laissés-pour-compte l'hypothèse d'un miracle - un domaine dans lequel il est lui-même expert, sa malice, sa maîtrise des rythmes et des rites langagiers et son intransigeant sens du mystère se conjuguant pour faire de cet éternel censeur de l'Amérique l'un de ses plus notoires enchanteurs littéraires.

La revue de presse : - Le Figaro du 7 février 2013

DeLillo, lui, est intense, oraculaire, dans l'acoustique, la sismographie des perceptions : «Les émotions ont changé.» Sur fond de violences, de solitudes chroniques, de foules paniquées, dans les effluves de mélancolie, d'ironie et de mysticisme, il interroge le fond de l'oeil. «Dites-moi ce que vous voyez. Honnêtement. Je veux savoir.» C'est la littérature même.


La revue de presse : Florence Noiville - Le Monde du 14 mars 2013

Parues entre 1979 et 2011 dans des magazines tels que Granta, Esquire ou The New Yorker, ces nouvelles montrent aussi, si tant est que cela soit encore nécessaire, l'infinie virtuosité d'un auteur qui - avec Philip Roth et Toni Morrison -, est sans doute l'un des plus grands écrivains américains vivants.

La revue de presse : Marine Landrot - Télérama du 27 février 2013

Faire un voyage dans le temps de Don DeLillo, c'est léviter entre la queue de comète de l'utopie des années 1970 et le trou noir de l'asphyxie économique des années 2000. Ecrites entre 1979 et 2011, les nouvelles qui paraissent aujourd'hui renouent avec tous les thèmes de cette oeuvre unique, où domine le mot «oscillation»...
Seuls au monde, et pourtant sous le regard de tous, les personnages font l'expérience de la violence, intérieure et extérieure, sourde et insidieuse, qui révèle leur propre identité, comme dans les films de Martin Scorsese, qui, enfant, fréquenta la même école que Don DeLillo.

La revue de presse : Jean-Maurice de Montremy - Le Journal du Dimanche du 24 février 2013

Manifestement, Don DeLillo - tout en respectant sa propre évolution - donne à cet ensemble une progression dramatique, analogue à celle du roman. Le lecteur qui hésiterait à se lancer dans les grands livres de l'écrivain trouvera ici un excellent moyen de faire connaissance. Quant aux familiers de Don DeLillo, ils découvriront dans les nouvelles les plus récentes - Baader- Meinhof (2002) et La Famélique (2011) - des femmes énigmatiques et imprévisibles qui sont, comme Esmeralda, le meilleur de l'inspiration de l'écrivain.

La revue de presse : Mathieu Lindon - Libération du 14 février 2013

Dans les neuf nouvelles écrites entre 1979 et 2011 qui composent l'Ange Esmeralda, Don DeLillo, né à New York en 1936, raconte des histoires de mots. C'est le propre d'un écrivain, à cela près que ses personnages, ses décors sont ici également pris dans ce genre d'affaires...
A sa manière, l'auteur d'Outremonde et des Noms montre toujours l'envers du paradis (et même de l'enfer). Dans «Création», le premier texte du recueil, tout commence et s'achève dans une île idyllique pour les touristes. Si ce n'est que la quitter se révèle une aventure. Une simple histoire d'avions retardés, annulés. Mais, à chaque fois, il faut aller jusqu'à l'aéroport, retourner à l'hôtel, et puis le couple à qui ça arrive n'est pas seul à subir ça. Très vite, c'est une angoisse, que le séjour dure indéfiniment - le penser suffit pour que le paradis devienne infernal.

La revue de presse : Bruno Juffin - Les Inrocks, février 2013

Fruit de trente années d'écriture, le premier recueil de nouvelles de Don DeLillo radiographie le malaise middle-class et les improbables miracles de l'Amérique moderne...
En auscultant ainsi une culture de l'isolement solipsiste et de l'illusion, DeLillo inscrit le doute au coeur même de la civilisation du millénaire naissant, mais offre simultanément à ses laissés-pour-compte l'hypothèse d'un miracle - un domaine dans lequel il est lui-même expert, sa malice, sa maîtrise des rythmes et des rites langagiers et son intransigeant sens du mystère se conjuguant pour faire de cet éternel censeur de l'Amérique l'un de ses plus notoires enchanteurs littéraires.

La revue de presse : - Le Figaro du 7 février 2013

DeLillo, lui, est intense, oraculaire, dans l'acoustique, la sismographie des perceptions : «Les émotions ont changé.» Sur fond de violences, de solitudes chroniques, de foules paniquées, dans les effluves de mélancolie, d'ironie et de mysticisme, il interroge le fond de l'oeil. «Dites-moi ce que vous voyez. Honnêtement. Je veux savoir.» C'est la littérature même.


La revue de presse : Florence Noiville - Le Monde du 14 mars 2013

Parues entre 1979 et 2011 dans des magazines tels que Granta, Esquire ou The New Yorker, ces nouvelles montrent aussi, si tant est que cela soit encore nécessaire, l'infinie virtuosité d'un auteur qui - avec Philip Roth et Toni Morrison -, est sans doute l'un des plus grands écrivains américains vivants.

La revue de presse : Marine Landrot - Télérama du 27 février 2013

Faire un voyage dans le temps de Don DeLillo, c'est léviter entre la queue de comète de l'utopie des années 1970 et le trou noir de l'asphyxie économique des années 2000. Ecrites entre 1979 et 2011, les nouvelles qui paraissent aujourd'hui renouent avec tous les thèmes de cette oeuvre unique, où domine le mot «oscillation»...
Seuls au monde, et pourtant sous le regard de tous, les personnages font l'expérience de la violence, intérieure et extérieure, sourde et insidieuse, qui révèle leur propre identité, comme dans les films de Martin Scorsese, qui, enfant, fréquenta la même école que Don DeLillo.

La revue de presse : Jean-Maurice de Montremy - Le Journal du Dimanche du 24 février 2013

Manifestement, Don DeLillo - tout en respectant sa propre évolution - donne à cet ensemble une progression dramatique, analogue à celle du roman. Le lecteur qui hésiterait à se lancer dans les grands livres de l'écrivain trouvera ici un excellent moyen de faire connaissance. Quant aux familiers de Don DeLillo, ils découvriront dans les nouvelles les plus récentes - Baader- Meinhof (2002) et La Famélique (2011) - des femmes énigmatiques et imprévisibles qui sont, comme Esmeralda, le meilleur de l'inspiration de l'écrivain.

La revue de presse : Mathieu Lindon - Libération du 14 février 2013

Dans les neuf nouvelles écrites entre 1979 et 2011 qui composent l'Ange Esmeralda, Don DeLillo, né à New York en 1936, raconte des histoires de mots. C'est le propre d'un écrivain, à cela près que ses personnages, ses décors sont ici également pris dans ce genre d'affaires...
A sa manière, l'auteur d'Outremonde et des Noms montre toujours l'envers du paradis (et même de l'enfer). Dans «Création», le premier texte du recueil, tout commence et s'achève dans une île idyllique pour les touristes. Si ce n'est que la quitter se révèle une aventure. Une simple histoire d'avions retardés, annulés. Mais, à chaque fois, il faut aller jusqu'à l'aéroport, retourner à l'hôtel, et puis le couple à qui ça arrive n'est pas seul à subir ça. Très vite, c'est une angoisse, que le séjour dure indéfiniment - le penser suffit pour que le paradis devienne infernal.

La revue de presse : Bruno Juffin - Les Inrocks, février 2013

Fruit de trente années d'écriture, le premier recueil de nouvelles de Don DeLillo radiographie le malaise middle-class et les improbables miracles de l'Amérique moderne...
En auscultant ainsi une culture de l'isolement solipsiste et de l'illusion, DeLillo inscrit le doute au coeur même de la civilisation du millénaire naissant, mais offre simultanément à ses laissés-pour-compte l'hypothèse d'un miracle - un domaine dans lequel il est lui-même expert, sa malice, sa maîtrise des rythmes et des rites langagiers et son intransigeant sens du mystère se conjuguant pour faire de cet éternel censeur de l'Amérique l'un de ses plus notoires enchanteurs littéraires.

La revue de presse : - Le Figaro du 7 février 2013

DeLillo, lui, est intense, oraculaire, dans l'acoustique, la sismographie des perceptions : «Les émotions ont changé.» Sur fond de violences, de solitudes chroniques, de foules paniquées, dans les effluves de mélancolie, d'ironie et de mysticisme, il interroge le fond de l'oeil. «Dites-moi ce que vous voyez. Honnêtement. Je veux savoir.» C'est la littérature même.


La revue de presse : Florence Noiville - Le Monde du 14 mars 2013

Parues entre 1979 et 2011 dans des magazines tels que Granta, Esquire ou The New Yorker, ces nouvelles montrent aussi, si tant est que cela soit encore nécessaire, l'infinie virtuosité d'un auteur qui - avec Philip Roth et Toni Morrison -, est sans doute l'un des plus grands écrivains américains vivants.

La revue de presse : Marine Landrot - Télérama du 27 février 2013

Faire un voyage dans le temps de Don DeLillo, c'est léviter entre la queue de comète de l'utopie des années 1970 et le trou noir de l'asphyxie économique des années 2000. Ecrites entre 1979 et 2011, les nouvelles qui paraissent aujourd'hui renouent avec tous les thèmes de cette oeuvre unique, où domine le mot «oscillation»...
Seuls au monde, et pourtant sous le regard de tous, les personnages font l'expérience de la violence, intérieure et extérieure, sourde et insidieuse, qui révèle leur propre identité, comme dans les films de Martin Scorsese, qui, enfant, fréquenta la même école que Don DeLillo.

La revue de presse : Jean-Maurice de Montremy - Le Journal du Dimanche du 24 février 2013

Manifestement, Don DeLillo - tout en respectant sa propre évolution - donne à cet ensemble une progression dramatique, analogue à celle du roman. Le lecteur qui hésiterait à se lancer dans les grands livres de l'écrivain trouvera ici un excellent moyen de faire connaissance. Quant aux familiers de Don DeLillo, ils découvriront dans les nouvelles les plus récentes - Baader- Meinhof (2002) et La Famélique (2011) - des femmes énigmatiques et imprévisibles qui sont, comme Esmeralda, le meilleur de l'inspiration de l'écrivain.

La revue de presse : Mathieu Lindon - Libération du 14 février 2013

Dans les neuf nouvelles écrites entre 1979 et 2011 qui composent l'Ange Esmeralda, Don DeLillo, né à New York en 1936, raconte des histoires de mots. C'est le propre d'un écrivain, à cela près que ses personnages, ses décors sont ici également pris dans ce genre d'affaires...
A sa manière, l'auteur d'Outremonde et des Noms montre toujours l'envers du paradis (et même de l'enfer). Dans «Création», le premier texte du recueil, tout commence et s'achève dans une île idyllique pour les touristes. Si ce n'est que la quitter se révèle une aventure. Une simple histoire d'avions retardés, annulés. Mais, à chaque fois, il faut aller jusqu'à l'aéroport, retourner à l'hôtel, et puis le couple à qui ça arrive n'est pas seul à subir ça. Très vite, c'est une angoisse, que le séjour dure indéfiniment - le penser suffit pour que le paradis devienne infernal.

La revue de presse : Bruno Juffin - Les Inrocks, février 2013

Fruit de trente années d'écriture, le premier recueil de nouvelles de Don DeLillo radiographie le malaise middle-class et les improbables miracles de l'Amérique moderne...
En auscultant ainsi une culture de l'isolement solipsiste et de l'illusion, DeLillo inscrit le doute au coeur même de la civilisation du millénaire naissant, mais offre simultanément à ses laissés-pour-compte l'hypothèse d'un miracle - un domaine dans lequel il est lui-même expert, sa malice, sa maîtrise des rythmes et des rites langagiers et son intransigeant sens du mystère se conjuguant pour faire de cet éternel censeur de l'Amérique l'un de ses plus notoires enchanteurs littéraires.

La revue de presse : - Le Figaro du 7 février 2013

DeLillo, lui, est intense, oraculaire, dans l'acoustique, la sismographie des perceptions : «Les émotions ont changé.» Sur fond de violences, de solitudes chroniques, de foules paniquées, dans les effluves de mélancolie, d'ironie et de mysticisme, il interroge le fond de l'oeil. «Dites-moi ce que vous voyez. Honnêtement. Je veux savoir.» C'est la littérature même.

Martin Scorsese

La revue de presse : Florence Noiville - Le Monde du 14 mars 2013

Parues entre 1979 et 2011 dans des magazines tels que Granta, Esquire ou The New Yorker, ces nouvelles montrent aussi, si tant est que cela soit encore nécessaire, l'infinie virtuosité d'un auteur qui - avec Philip Roth et Toni Morrison -, est sans doute l'un des plus grands écrivains américains vivants.

La revue de presse : Marine Landrot - Télérama du 27 février 2013

Faire un voyage dans le temps de Don DeLillo, c'est léviter entre la queue de comète de l'utopie des années 1970 et le trou noir de l'asphyxie économique des années 2000. Ecrites entre 1979 et 2011, les nouvelles qui paraissent aujourd'hui renouent avec tous les thèmes de cette oeuvre unique, où domine le mot «oscillation»...
Seuls au monde, et pourtant sous le regard de tous, les personnages font l'expérience de la violence, intérieure et extérieure, sourde et insidieuse, qui révèle leur propre identité, comme dans les films de Martin Scorsese, qui, enfant, fréquenta la même école que Don DeLillo.

La revue de presse : Jean-Maurice de Montremy - Le Journal du Dimanche du 24 février 2013

Manifestement, Don DeLillo - tout en respectant sa propre évolution - donne à cet ensemble une progression dramatique, analogue à celle du roman. Le lecteur qui hésiterait à se lancer dans les grands livres de l'écrivain trouvera ici un excellent moyen de faire connaissance. Quant aux familiers de Don DeLillo, ils découvriront dans les nouvelles les plus récentes - Baader- Meinhof (2002) et La Famélique (2011) - des femmes énigmatiques et imprévisibles qui sont, comme Esmeralda, le meilleur de l'inspiration de l'écrivain.

La revue de presse : Mathieu Lindon - Libération du 14 février 2013

Dans les neuf nouvelles écrites entre 1979 et 2011 qui composent l'Ange Esmeralda, Don DeLillo, né à New York en 1936, raconte des histoires de mots. C'est le propre d'un écrivain, à cela près que ses personnages, ses décors sont ici également pris dans ce genre d'affaires...
A sa manière, l'auteur d'Outremonde et des Noms montre toujours l'envers du paradis (et même de l'enfer). Dans «Création», le premier texte du recueil, tout commence et s'achève dans une île idyllique pour les touristes. Si ce n'est que la quitter se révèle une aventure. Une simple histoire d'avions retardés, annulés. Mais, à chaque fois, il faut aller jusqu'à l'aéroport, retourner à l'hôtel, et puis le couple à qui ça arrive n'est pas seul à subir ça. Très vite, c'est une angoisse, que le séjour dure indéfiniment - le penser suffit pour que le paradis devienne infernal.

La revue de presse : Bruno Juffin - Les Inrocks, février 2013

Fruit de trente années d'écriture, le premier recueil de nouvelles de Don DeLillo radiographie le malaise middle-class et les improbables miracles de l'Amérique moderne...
En auscultant ainsi une culture de l'isolement solipsiste et de l'illusion, DeLillo inscrit le doute au coeur même de la civilisation du millénaire naissant, mais offre simultanément à ses laissés-pour-compte l'hypothèse d'un miracle - un domaine dans lequel il est lui-même expert, sa malice, sa maîtrise des rythmes et des rites langagiers et son intransigeant sens du mystère se conjuguant pour faire de cet éternel censeur de l'Amérique l'un de ses plus notoires enchanteurs littéraires.

La revue de presse : - Le Figaro du 7 février 2013

DeLillo, lui, est intense, oraculaire, dans l'acoustique, la sismographie des perceptions : «Les émotions ont changé.» Sur fond de violences, de solitudes chroniques, de foules paniquées, dans les effluves de mélancolie, d'ironie et de mysticisme, il interroge le fond de l'oeil. «Dites-moi ce que vous voyez. Honnêtement. Je veux savoir.» C'est la littérature même.


La revue de presse : Florence Noiville - Le Monde du 14 mars 2013

Parues entre 1979 et 2011 dans des magazines tels que Granta, Esquire ou The New Yorker, ces nouvelles montrent aussi, si tant est que cela soit encore nécessaire, l'infinie virtuosité d'un auteur qui - avec Philip Roth et Toni Morrison -, est sans doute l'un des plus grands écrivains américains vivants.

La revue de presse : Marine Landrot - Télérama du 27 février 2013

Faire un voyage dans le temps de Don DeLillo, c'est léviter entre la queue de comète de l'utopie des années 1970 et le trou noir de l'asphyxie économique des années 2000. Ecrites entre 1979 et 2011, les nouvelles qui paraissent aujourd'hui renouent avec tous les thèmes de cette oeuvre unique, où domine le mot «oscillation»...
Seuls au monde, et pourtant sous le regard de tous, les personnages font l'expérience de la violence, intérieure et extérieure, sourde et insidieuse, qui révèle leur propre identité, comme dans les films de Martin Scorsese, qui, enfant, fréquenta la même école que Don DeLillo.

La revue de presse : Jean-Maurice de Montremy - Le Journal du Dimanche du 24 février 2013

Manifestement, Don DeLillo - tout en respectant sa propre évolution - donne à cet ensemble une progression dramatique, analogue à celle du roman. Le lecteur qui hésiterait à se lancer dans les grands livres de l'écrivain trouvera ici un excellent moyen de faire connaissance. Quant aux familiers de Don DeLillo, ils découvriront dans les nouvelles les plus récentes - Baader- Meinhof (2002) et La Famélique (2011) - des femmes énigmatiques et imprévisibles qui sont, comme Esmeralda, le meilleur de l'inspiration de l'écrivain.

La revue de presse : Mathieu Lindon - Libération du 14 février 2013

Dans les neuf nouvelles écrites entre 1979 et 2011 qui composent l'Ange Esmeralda, Don DeLillo, né à New York en 1936, raconte des histoires de mots. C'est le propre d'un écrivain, à cela près que ses personnages, ses décors sont ici également pris dans ce genre d'affaires...
A sa manière, l'auteur d'Outremonde et des Noms montre toujours l'envers du paradis (et même de l'enfer). Dans «Création», le premier texte du recueil, tout commence et s'achève dans une île idyllique pour les touristes. Si ce n'est que la quitter se révèle une aventure. Une simple histoire d'avions retardés, annulés. Mais, à chaque fois, il faut aller jusqu'à l'aéroport, retourner à l'hôtel, et puis le couple à qui ça arrive n'est pas seul à subir ça. Très vite, c'est une angoisse, que le séjour dure indéfiniment - le penser suffit pour que le paradis devienne infernal.

La revue de presse : Bruno Juffin - Les Inrocks, février 2013

Fruit de trente années d'écriture, le premier recueil de nouvelles de Don DeLillo radiographie le malaise middle-class et les improbables miracles de l'Amérique moderne...
En auscultant ainsi une culture de l'isolement solipsiste et de l'illusion, DeLillo inscrit le doute au coeur même de la civilisation du millénaire naissant, mais offre simultanément à ses laissés-pour-compte l'hypothèse d'un miracle - un domaine dans lequel il est lui-même expert, sa malice, sa maîtrise des rythmes et des rites langagiers et son intransigeant sens du mystère se conjuguant pour faire de cet éternel censeur de l'Amérique l'un de ses plus notoires enchanteurs littéraires.

La revue de presse : - Le Figaro du 7 février 2013

DeLillo, lui, est intense, oraculaire, dans l'acoustique, la sismographie des perceptions : «Les émotions ont changé.» Sur fond de violences, de solitudes chroniques, de foules paniquées, dans les effluves de mélancolie, d'ironie et de mysticisme, il interroge le fond de l'oeil. «Dites-moi ce que vous voyez. Honnêtement. Je veux savoir.» C'est la littérature même.


La revue de presse : Florence Noiville - Le Monde du 14 mars 2013

Parues entre 1979 et 2011 dans des magazines tels que Granta, Esquire ou The New Yorker, ces nouvelles montrent aussi, si tant est que cela soit encore nécessaire, l'infinie virtuosité d'un auteur qui - avec Philip Roth et Toni Morrison -, est sans doute l'un des plus grands écrivains américains vivants.

La revue de presse : Marine Landrot - Télérama du 27 février 2013

Faire un voyage dans le temps de Don DeLillo, c'est léviter entre la queue de comète de l'utopie des années 1970 et le trou noir de l'asphyxie économique des années 2000. Ecrites entre 1979 et 2011, les nouvelles qui paraissent aujourd'hui renouent avec tous les thèmes de cette oeuvre unique, où domine le mot «oscillation»...
Seuls au monde, et pourtant sous le regard de tous, les personnages font l'expérience de la violence, intérieure et extérieure, sourde et insidieuse, qui révèle leur propre identité, comme dans les films de Martin Scorsese, qui, enfant, fréquenta la même école que Don DeLillo.

La revue de presse : Jean-Maurice de Montremy - Le Journal du Dimanche du 24 février 2013

Manifestement, Don DeLillo - tout en respectant sa propre évolution - donne à cet ensemble une progression dramatique, analogue à celle du roman. Le lecteur qui hésiterait à se lancer dans les grands livres de l'écrivain trouvera ici un excellent moyen de faire connaissance. Quant aux familiers de Don DeLillo, ils découvriront dans les nouvelles les plus récentes - Baader- Meinhof (2002) et La Famélique (2011) - des femmes énigmatiques et imprévisibles qui sont, comme Esmeralda, le meilleur de l'inspiration de l'écrivain.

La revue de presse : Mathieu Lindon - Libération du 14 février 2013

Dans les neuf nouvelles écrites entre 1979 et 2011 qui composent l'Ange Esmeralda, Don DeLillo, né à New York en 1936, raconte des histoires de mots. C'est le propre d'un écrivain, à cela près que ses personnages, ses décors sont ici également pris dans ce genre d'affaires...
A sa manière, l'auteur d'Outremonde et des Noms montre toujours l'envers du paradis (et même de l'enfer). Dans «Création», le premier texte du recueil, tout commence et s'achève dans une île idyllique pour les touristes. Si ce n'est que la quitter se révèle une aventure. Une simple histoire d'avions retardés, annulés. Mais, à chaque fois, il faut aller jusqu'à l'aéroport, retourner à l'hôtel, et puis le couple à qui ça arrive n'est pas seul à subir ça. Très vite, c'est une angoisse, que le séjour dure indéfiniment - le penser suffit pour que le paradis devienne infernal.

La revue de presse : Bruno Juffin - Les Inrocks, février 2013

Fruit de trente années d'écriture, le premier recueil de nouvelles de Don DeLillo radiographie le malaise middle-class et les improbables miracles de l'Amérique moderne...
En auscultant ainsi une culture de l'isolement solipsiste et de l'illusion, DeLillo inscrit le doute au coeur même de la civilisation du millénaire naissant, mais offre simultanément à ses laissés-pour-compte l'hypothèse d'un miracle - un domaine dans lequel il est lui-même expert, sa malice, sa maîtrise des rythmes et des rites langagiers et son intransigeant sens du mystère se conjuguant pour faire de cet éternel censeur de l'Amérique l'un de ses plus notoires enchanteurs littéraires.

La revue de presse : - Le Figaro du 7 février 2013

DeLillo, lui, est intense, oraculaire, dans l'acoustique, la sismographie des perceptions : «Les émotions ont changé.» Sur fond de violences, de solitudes chroniques, de foules paniquées, dans les effluves de mélancolie, d'ironie et de mysticisme, il interroge le fond de l'oeil. «Dites-moi ce que vous voyez. Honnêtement. Je veux savoir.» C'est la littérature même.


La revue de presse : Florence Noiville - Le Monde du 14 mars 2013

Parues entre 1979 et 2011 dans des magazines tels que Granta, Esquire ou The New Yorker, ces nouvelles montrent aussi, si tant est que cela soit encore nécessaire, l'infinie virtuosité d'un auteur qui - avec Philip Roth et Toni Morrison -, est sans doute l'un des plus grands écrivains américains vivants.

La revue de presse : Marine Landrot - Télérama du 27 février 2013

Faire un voyage dans le temps de Don DeLillo, c'est léviter entre la queue de comète de l'utopie des années 1970 et le trou noir de l'asphyxie économique des années 2000. Ecrites entre 1979 et 2011, les nouvelles qui paraissent aujourd'hui renouent avec tous les thèmes de cette oeuvre unique, où domine le mot «oscillation»...
Seuls au monde, et pourtant sous le regard de tous, les personnages font l'expérience de la violence, intérieure et extérieure, sourde et insidieuse, qui révèle leur propre identité, comme dans les films de Martin Scorsese, qui, enfant, fréquenta la même école que Don DeLillo.

La revue de presse : Jean-Maurice de Montremy - Le Journal du Dimanche du 24 février 2013

Manifestement, Don DeLillo - tout en respectant sa propre évolution - donne à cet ensemble une progression dramatique, analogue à celle du roman. Le lecteur qui hésiterait à se lancer dans les grands livres de l'écrivain trouvera ici un excellent moyen de faire connaissance. Quant aux familiers de Don DeLillo, ils découvriront dans les nouvelles les plus récentes - Baader- Meinhof (2002) et La Famélique (2011) - des femmes énigmatiques et imprévisibles qui sont, comme Esmeralda, le meilleur de l'inspiration de l'écrivain.

La revue de presse : Mathieu Lindon - Libération du 14 février 2013

Dans les neuf nouvelles écrites entre 1979 et 2011 qui composent l'Ange Esmeralda, Don DeLillo, né à New York en 1936, raconte des histoires de mots. C'est le propre d'un écrivain, à cela près que ses personnages, ses décors sont ici également pris dans ce genre d'affaires...
A sa manière, l'auteur d'Outremonde et des Noms montre toujours l'envers du paradis (et même de l'enfer). Dans «Création», le premier texte du recueil, tout commence et s'achève dans une île idyllique pour les touristes. Si ce n'est que la quitter se révèle une aventure. Une simple histoire d'avions retardés, annulés. Mais, à chaque fois, il faut aller jusqu'à l'aéroport, retourner à l'hôtel, et puis le couple à qui ça arrive n'est pas seul à subir ça. Très vite, c'est une angoisse, que le séjour dure indéfiniment - le penser suffit pour que le paradis devienne infernal.

La revue de presse : Bruno Juffin - Les Inrocks, février 2013

Fruit de trente années d'écriture, le premier recueil de nouvelles de Don DeLillo radiographie le malaise middle-class et les improbables miracles de l'Amérique moderne...
En auscultant ainsi une culture de l'isolement solipsiste et de l'illusion, DeLillo inscrit le doute au coeur même de la civilisation du millénaire naissant, mais offre simultanément à ses laissés-pour-compte l'hypothèse d'un miracle - un domaine dans lequel il est lui-même expert, sa malice, sa maîtrise des rythmes et des rites langagiers et son intransigeant sens du mystère se conjuguant pour faire de cet éternel censeur de l'Amérique l'un de ses plus notoires enchanteurs littéraires.

La revue de presse : - Le Figaro du 7 février 2013

DeLillo, lui, est intense, oraculaire, dans l'acoustique, la sismographie des perceptions : «Les émotions ont changé.» Sur fond de violences, de solitudes chroniques, de foules paniquées, dans les effluves de mélancolie, d'ironie et de mysticisme, il interroge le fond de l'oeil. «Dites-moi ce que vous voyez. Honnêtement. Je veux savoir.» C'est la littérature même.


La revue de presse : Florence Noiville - Le Monde du 14 mars 2013

Parues entre 1979 et 2011 dans des magazines tels que Granta, Esquire ou The New Yorker, ces nouvelles montrent aussi, si tant est que cela soit encore nécessaire, l'infinie virtuosité d'un auteur qui - avec Philip Roth et Toni Morrison -, est sans doute l'un des plus grands écrivains américains vivants.

La revue de presse : Marine Landrot - Télérama du 27 février 2013

Faire un voyage dans le temps de Don DeLillo, c'est léviter entre la queue de comète de l'utopie des années 1970 et le trou noir de l'asphyxie économique des années 2000. Ecrites entre 1979 et 2011, les nouvelles qui paraissent aujourd'hui renouent avec tous les thèmes de cette oeuvre unique, où domine le mot «oscillation»...
Seuls au monde, et pourtant sous le regard de tous, les personnages font l'expérience de la violence, intérieure et extérieure, sourde et insidieuse, qui révèle leur propre identité, comme dans les films de Martin Scorsese, qui, enfant, fréquenta la même école que Don DeLillo.

La revue de presse : Jean-Maurice de Montremy - Le Journal du Dimanche du 24 février 2013

Manifestement, Don DeLillo - tout en respectant sa propre évolution - donne à cet ensemble une progression dramatique, analogue à celle du roman. Le lecteur qui hésiterait à se lancer dans les grands livres de l'écrivain trouvera ici un excellent moyen de faire connaissance. Quant aux familiers de Don DeLillo, ils découvriront dans les nouvelles les plus récentes - Baader- Meinhof (2002) et La Famélique (2011) - des femmes énigmatiques et imprévisibles qui sont, comme Esmeralda, le meilleur de l'inspiration de l'écrivain.

La revue de presse : Mathieu Lindon - Libération du 14 février 2013

Dans les neuf nouvelles écrites entre 1979 et 2011 qui composent l'Ange Esmeralda, Don DeLillo, né à New York en 1936, raconte des histoires de mots. C'est le propre d'un écrivain, à cela près que ses personnages, ses décors sont ici également pris dans ce genre d'affaires...
A sa manière, l'auteur d'Outremonde et des Noms montre toujours l'envers du paradis (et même de l'enfer). Dans «Création», le premier texte du recueil, tout commence et s'achève dans une île idyllique pour les touristes. Si ce n'est que la quitter se révèle une aventure. Une simple histoire d'avions retardés, annulés. Mais, à chaque fois, il faut aller jusqu'à l'aéroport, retourner à l'hôtel, et puis le couple à qui ça arrive n'est pas seul à subir ça. Très vite, c'est une angoisse, que le séjour dure indéfiniment - le penser suffit pour que le paradis devienne infernal.

La revue de presse : Bruno Juffin - Les Inrocks, février 2013

Fruit de trente années d'écriture, le premier recueil de nouvelles de Don DeLillo radiographie le malaise middle-class et les improbables miracles de l'Amérique moderne...
En auscultant ainsi une culture de l'isolement solipsiste et de l'illusion, DeLillo inscrit le doute au coeur même de la civilisation du millénaire naissant, mais offre simultanément à ses laissés-pour-compte l'hypothèse d'un miracle - un domaine dans lequel il est lui-même expert, sa malice, sa maîtrise des rythmes et des rites langagiers et son intransigeant sens du mystère se conjuguant pour faire de cet éternel censeur de l'Amérique l'un de ses plus notoires enchanteurs littéraires.

La revue de presse : - Le Figaro du 7 février 2013

DeLillo, lui, est intense, oraculaire, dans l'acoustique, la sismographie des perceptions : «Les émotions ont changé.» Sur fond de violences, de solitudes chroniques, de foules paniquées, dans les effluves de mélancolie, d'ironie et de mysticisme, il interroge le fond de l'oeil. «Dites-moi ce que vous voyez. Honnêtement. Je veux savoir.» C'est la littérature même.


La revue de presse : Florence Noiville - Le Monde du 14 mars 2013

Parues entre 1979 et 2011 dans des magazines tels que Granta, Esquire ou The New Yorker, ces nouvelles montrent aussi, si tant est que cela soit encore nécessaire, l'infinie virtuosité d'un auteur qui - avec Philip Roth et Toni Morrison -, est sans doute l'un des plus grands écrivains américains vivants.

La revue de presse : Marine Landrot - Télérama du 27 février 2013

Faire un voyage dans le temps de Don DeLillo, c'est léviter entre la queue de comète de l'utopie des années 1970 et le trou noir de l'asphyxie économique des années 2000. Ecrites entre 1979 et 2011, les nouvelles qui paraissent aujourd'hui renouent avec tous les thèmes de cette oeuvre unique, où domine le mot «oscillation»...
Seuls au monde, et pourtant sous le regard de tous, les personnages font l'expérience de la violence, intérieure et extérieure, sourde et insidieuse, qui révèle leur propre identité, comme dans les films de Martin Scorsese, qui, enfant, fréquenta la même école que Don DeLillo.

La revue de presse : Jean-Maurice de Montremy - Le Journal du Dimanche du 24 février 2013

Manifestement, Don DeLillo - tout en respectant sa propre évolution - donne à cet ensemble une progression dramatique, analogue à celle du roman. Le lecteur qui hésiterait à se lancer dans les grands livres de l'écrivain trouvera ici un excellent moyen de faire connaissance. Quant aux familiers de Don DeLillo, ils découvriront dans les nouvelles les plus récentes - Baader- Meinhof (2002) et La Famélique (2011) - des femmes énigmatiques et imprévisibles qui sont, comme Esmeralda, le meilleur de l'inspiration de l'écrivain.

La revue de presse : Mathieu Lindon - Libération du 14 février 2013

Dans les neuf nouvelles écrites entre 1979 et 2011 qui composent l'Ange Esmeralda, Don DeLillo, né à New York en 1936, raconte des histoires de mots. C'est le propre d'un écrivain, à cela près que ses personnages, ses décors sont ici également pris dans ce genre d'affaires...
A sa manière, l'auteur d'Outremonde et des Noms montre toujours l'envers du paradis (et même de l'enfer). Dans «Création», le premier texte du recueil, tout commence et s'achève dans une île idyllique pour les touristes. Si ce n'est que la quitter se révèle une aventure. Une simple histoire d'avions retardés, annulés. Mais, à chaque fois, il faut aller jusqu'à l'aéroport, retourner à l'hôtel, et puis le couple à qui ça arrive n'est pas seul à subir ça. Très vite, c'est une angoisse, que le séjour dure indéfiniment - le penser suffit pour que le paradis devienne infernal.

La revue de presse : Bruno Juffin - Les Inrocks, février 2013

Fruit de trente années d'écriture, le premier recueil de nouvelles de Don DeLillo radiographie le malaise middle-class et les improbables miracles de l'Amérique moderne...
En auscultant ainsi une culture de l'isolement solipsiste et de l'illusion, DeLillo inscrit le doute au coeur même de la civilisation du millénaire naissant, mais offre simultanément à ses laissés-pour-compte l'hypothèse d'un miracle - un domaine dans lequel il est lui-même expert, sa malice, sa maîtrise des rythmes et des rites langagiers et son intransigeant sens du mystère se conjuguant pour faire de cet éternel censeur de l'Amérique l'un de ses plus notoires enchanteurs littéraires.

La revue de presse : - Le Figaro du 7 février 2013

DeLillo, lui, est intense, oraculaire, dans l'acoustique, la sismographie des perceptions : «Les émotions ont changé.» Sur fond de violences, de solitudes chroniques, de foules paniquées, dans les effluves de mélancolie, d'ironie et de mysticisme, il interroge le fond de l'oeil. «Dites-moi ce que vous voyez. Honnêtement. Je veux savoir.» C'est la littérature même.


La revue de presse : Florence Noiville - Le Monde du 14 mars 2013

Parues entre 1979 et 2011 dans des magazines tels que Granta, Esquire ou The New Yorker, ces nouvelles montrent aussi, si tant est que cela soit encore nécessaire, l'infinie virtuosité d'un auteur qui - avec Philip Roth et Toni Morrison -, est sans doute l'un des plus grands écrivains américains vivants.

La revue de presse : Marine Landrot - Télérama du 27 février 2013

Faire un voyage dans le temps de Don DeLillo, c'est léviter entre la queue de comète de l'utopie des années 1970 et le trou noir de l'asphyxie économique des années 2000. Ecrites entre 1979 et 2011, les nouvelles qui paraissent aujourd'hui renouent avec tous les thèmes de cette oeuvre unique, où domine le mot «oscillation»...
Seuls au monde, et pourtant sous le regard de tous, les personnages font l'expérience de la violence, intérieure et extérieure, sourde et insidieuse, qui révèle leur propre identité, comme dans les films de Martin Scorsese, qui, enfant, fréquenta la même école que Don DeLillo.

La revue de presse : Jean-Maurice de Montremy - Le Journal du Dimanche du 24 février 2013

Manifestement, Don DeLillo - tout en respectant sa propre évolution - donne à cet ensemble une progression dramatique, analogue à celle du roman. Le lecteur qui hésiterait à se lancer dans les grands livres de l'écrivain trouvera ici un excellent moyen de faire connaissance. Quant aux familiers de Don DeLillo, ils découvriront dans les nouvelles les plus récentes - Baader- Meinhof (2002) et La Famélique (2011) - des femmes énigmatiques et imprévisibles qui sont, comme Esmeralda, le meilleur de l'inspiration de l'écrivain.

La revue de presse : Mathieu Lindon - Libération du 14 février 2013

Dans les neuf nouvelles écrites entre 1979 et 2011 qui composent l'Ange Esmeralda, Don DeLillo, né à New York en 1936, raconte des histoires de mots. C'est le propre d'un écrivain, à cela près que ses personnages, ses décors sont ici également pris dans ce genre d'affaires...
A sa manière, l'auteur d'Outremonde et des Noms montre toujours l'envers du paradis (et même de l'enfer). Dans «Création», le premier texte du recueil, tout commence et s'achève dans une île idyllique pour les touristes. Si ce n'est que la quitter se révèle une aventure. Une simple histoire d'avions retardés, annulés. Mais, à chaque fois, il faut aller jusqu'à l'aéroport, retourner à l'hôtel, et puis le couple à qui ça arrive n'est pas seul à subir ça. Très vite, c'est une angoisse, que le séjour dure indéfiniment - le penser suffit pour que le paradis devienne infernal.

La revue de presse : Bruno Juffin - Les Inrocks, février 2013

Fruit de trente années d'écriture, le premier recueil de nouvelles de Don DeLillo radiographie le malaise middle-class et les improbables miracles de l'Amérique moderne...
En auscultant ainsi une culture de l'isolement solipsiste et de l'illusion, DeLillo inscrit le doute au coeur même de la civilisation du millénaire naissant, mais offre simultanément à ses laissés-pour-compte l'hypothèse d'un miracle - un domaine dans lequel il est lui-même expert, sa malice, sa maîtrise des rythmes et des rites langagiers et son intransigeant sens du mystère se conjuguant pour faire de cet éternel censeur de l'Amérique l'un de ses plus notoires enchanteurs littéraires.

La revue de presse : - Le Figaro du 7 février 2013

DeLillo, lui, est intense, oraculaire, dans l'acoustique, la sismographie des perceptions : «Les émotions ont changé.» Sur fond de violences, de solitudes chroniques, de foules paniquées, dans les effluves de mélancolie, d'ironie et de mysticisme, il interroge le fond de l'oeil. «Dites-moi ce que vous voyez. Honnêtement. Je veux savoir.» C'est la littérature même.


La revue de presse : Florence Noiville - Le Monde du 14 mars 2013

Parues entre 1979 et 2011 dans des magazines tels que Granta, Esquire ou The New Yorker, ces nouvelles montrent aussi, si tant est que cela soit encore nécessaire, l'infinie virtuosité d'un auteur qui - avec Philip Roth et Toni Morrison -, est sans doute l'un des plus grands écrivains américains vivants.

La revue de presse : Marine Landrot - Télérama du 27 février 2013

Faire un voyage dans le temps de Don DeLillo, c'est léviter entre la queue de comète de l'utopie des années 1970 et le trou noir de l'asphyxie économique des années 2000. Ecrites entre 1979 et 2011, les nouvelles qui paraissent aujourd'hui renouent avec tous les thèmes de cette oeuvre unique, où domine le mot «oscillation»...
Seuls au monde, et pourtant sous le regard de tous, les personnages font l'expérience de la violence, intérieure et extérieure, sourde et insidieuse, qui révèle leur propre identité, comme dans les films de Martin Scorsese, qui, enfant, fréquenta la même école que Don DeLillo.

La revue de presse : Jean-Maurice de Montremy - Le Journal du Dimanche du 24 février 2013

Manifestement, Don DeLillo - tout en respectant sa propre évolution - donne à cet ensemble une progression dramatique, analogue à celle du roman. Le lecteur qui hésiterait à se lancer dans les grands livres de l'écrivain trouvera ici un excellent moyen de faire connaissance. Quant aux familiers de Don DeLillo, ils découvriront dans les nouvelles les plus récentes - Baader- Meinhof (2002) et La Famélique (2011) - des femmes énigmatiques et imprévisibles qui sont, comme Esmeralda, le meilleur de l'inspiration de l'écrivain.

La revue de presse : Mathieu Lindon - Libération du 14 février 2013

Dans les neuf nouvelles écrites entre 1979 et 2011 qui composent l'Ange Esmeralda, Don DeLillo, né à New York en 1936, raconte des histoires de mots. C'est le propre d'un écrivain, à cela près que ses personnages, ses décors sont ici également pris dans ce genre d'affaires...
A sa manière, l'auteur d'Outremonde et des Noms montre toujours l'envers du paradis (et même de l'enfer). Dans «Création», le premier texte du recueil, tout commence et s'achève dans une île idyllique pour les touristes. Si ce n'est que la quitter se révèle une aventure. Une simple histoire d'avions retardés, annulés. Mais, à chaque fois, il faut aller jusqu'à l'aéroport, retourner à l'hôtel, et puis le couple à qui ça arrive n'est pas seul à subir ça. Très vite, c'est une angoisse, que le séjour dure indéfiniment - le penser suffit pour que le paradis devienne infernal.

La revue de presse : Bruno Juffin - Les Inrocks, février 2013

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La revue de presse : - Le Figaro du 7 février 2013

DeLillo, lui, est intense, oraculaire, dans l'acoustique, la sismographie des perceptions : «Les émotions ont changé.» Sur fond de violences, de solitudes chroniques, de foules paniquées, dans les effluves de mélancolie, d'ironie et de mysticisme, il interroge le fond de l'oeil. «Dites-moi ce que vous voyez. Honnêtement. Je veux savoir.» C'est la littérature même.


La revue de presse : Florence Noiville - Le Monde du 14 mars 2013

Parues entre 1979 et 2011 dans des magazines tels que Granta, Esquire ou The New Yorker, ces nouvelles montrent aussi, si tant est que cela soit encore nécessaire, l'infinie virtuosité d'un auteur qui - avec Philip Roth et Toni Morrison -, est sans doute l'un des plus grands écrivains américains vivants.

La revue de presse : Marine Landrot - Télérama du 27 février 2013

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Seuls au monde, et pourtant sous le regard de tous, les personnages font l'expérience de la violence, intérieure et extérieure, sourde et insidieuse, qui révèle leur propre identité, comme dans les films de Martin Scorsese, qui, enfant, fréquenta la même école que Don DeLillo.

La revue de presse : Jean-Maurice de Montremy - Le Journal du Dimanche du 24 février 2013

Manifestement, Don DeLillo - tout en respectant sa propre évolution - donne à cet ensemble une progression dramatique, analogue à celle du roman. Le lecteur qui hésiterait à se lancer dans les grands livres de l'écrivain trouvera ici un excellent moyen de faire connaissance. Quant aux familiers de Don DeLillo, ils découvriront dans les nouvelles les plus récentes - Baader- Meinhof (2002) et La Famélique (2011) - des femmes énigmatiques et imprévisibles qui sont, comme Esmeralda, le meilleur de l'inspiration de l'écrivain.

La revue de presse : Mathieu Lindon - Libération du 14 février 2013

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A sa manière, l'auteur d'Outremonde et des Noms montre toujours l'envers du paradis (et même de l'enfer). Dans «Création», le premier texte du recueil, tout commence et s'achève dans une île idyllique pour les touristes. Si ce n'est que la quitter se révèle une aventure. Une simple histoire d'avions retardés, annulés. Mais, à chaque fois, il faut aller jusqu'à l'aéroport, retourner à l'hôtel, et puis le couple à qui ça arrive n'est pas seul à subir ça. Très vite, c'est une angoisse, que le séjour dure indéfiniment - le penser suffit pour que le paradis devienne infernal.

La revue de presse : Bruno Juffin - Les Inrocks, février 2013

Fruit de trente années d'écriture, le premier recueil de nouvelles de Don DeLillo radiographie le malaise middle-class et les improbables miracles de l'Amérique moderne...
En auscultant ainsi une culture de l'isolement solipsiste et de l'illusion, DeLillo inscrit le doute au coeur même de la civilisation du millénaire naissant, mais offre simultanément à ses laissés-pour-compte l'hypothèse d'un miracle - un domaine dans lequel il est lui-même expert, sa malice, sa maîtrise des rythmes et des rites langagiers et son intransigeant sens du mystère se conjuguant pour faire de cet éternel censeur de l'Amérique l'un de ses plus notoires enchanteurs littéraires.

La revue de presse : - Le Figaro du 7 février 2013

DeLillo, lui, est intense, oraculaire, dans l'acoustique, la sismographie des perceptions : «Les émotions ont changé.» Sur fond de violences, de solitudes chroniques, de foules paniquées, dans les effluves de mélancolie, d'ironie et de mysticisme, il interroge le fond de l'oeil. «Dites-moi ce que vous voyez. Honnêtement. Je veux savoir.» C'est la littérature même.


La revue de presse : Florence Noiville - Le Monde du 14 mars 2013

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La revue de presse : Marine Landrot - Télérama du 27 février 2013

Faire un voyage dans le temps de Don DeLillo, c'est léviter entre la queue de comète de l'utopie des années 1970 et le trou noir de l'asphyxie économique des années 2000. Ecrites entre 1979 et 2011, les nouvelles qui paraissent aujourd'hui renouent avec tous les thèmes de cette oeuvre unique, où domine le mot «oscillation»...
Seuls au monde, et pourtant sous le regard de tous, les personnages font l'expérience de la violence, intérieure et extérieure, sourde et insidieuse, qui révèle leur propre identité, comme dans les films de Martin Scorsese, qui, enfant, fréquenta la même école que Don DeLillo.

La revue de presse : Jean-Maurice de Montremy - Le Journal du Dimanche du 24 février 2013

Manifestement, Don DeLillo - tout en respectant sa propre évolution - donne à cet ensemble une progression dramatique, analogue à celle du roman. Le lecteur qui hésiterait à se lancer dans les grands livres de l'écrivain trouvera ici un excellent moyen de faire connaissance. Quant aux familiers de Don DeLillo, ils découvriront dans les nouvelles les plus récentes - Baader- Meinhof (2002) et La Famélique (2011) - des femmes énigmatiques et imprévisibles qui sont, comme Esmeralda, le meilleur de l'inspiration de l'écrivain.

La revue de presse : Mathieu Lindon - Libération du 14 février 2013

Dans les neuf nouvelles écrites entre 1979 et 2011 qui composent l'Ange Esmeralda, Don DeLillo, né à New York en 1936, raconte des histoires de mots. C'est le propre d'un écrivain, à cela près que ses personnages, ses décors sont ici également pris dans ce genre d'affaires...
A sa manière, l'auteur d'Outremonde et des Noms montre toujours l'envers du paradis (et même de l'enfer). Dans «Création», le premier texte du recueil, tout commence et s'achève dans une île idyllique pour les touristes. Si ce n'est que la quitter se révèle une aventure. Une simple histoire d'avions retardés, annulés. Mais, à chaque fois, il faut aller jusqu'à l'aéroport, retourner à l'hôtel, et puis le couple à qui ça arrive n'est pas seul à subir ça. Très vite, c'est une angoisse, que le séjour dure indéfiniment - le penser suffit pour que le paradis devienne infernal.

La revue de presse : Bruno Juffin - Les Inrocks, février 2013

Fruit de trente années d'écriture, le premier recueil de nouvelles de Don DeLillo radiographie le malaise middle-class et les improbables miracles de l'Amérique moderne...
En auscultant ainsi une culture de l'isolement solipsiste et de l'illusion, DeLillo inscrit le doute au coeur même de la civilisation du millénaire naissant, mais offre simultanément à ses laissés-pour-compte l'hypothèse d'un miracle - un domaine dans lequel il est lui-même expert, sa malice, sa maîtrise des rythmes et des rites langagiers et son intransigeant sens du mystère se conjuguant pour faire de cet éternel censeur de l'Amérique l'un de ses plus notoires enchanteurs littéraires.

La revue de presse : - Le Figaro du 7 février 2013

DeLillo, lui, est intense, oraculaire, dans l'acoustique, la sismographie des perceptions : «Les émotions ont changé.» Sur fond de violences, de solitudes chroniques, de foules paniquées, dans les effluves de mélancolie, d'ironie et de mysticisme, il interroge le fond de l'oeil. «Dites-moi ce que vous voyez. Honnêtement. Je veux savoir.» C'est la littérature même.


La revue de presse : Florence Noiville - Le Monde du 14 mars 2013

Parues entre 1979 et 2011 dans des magazines tels que Granta, Esquire ou The New Yorker, ces nouvelles montrent aussi, si tant est que cela soit encore nécessaire, l'infinie virtuosité d'un auteur qui - avec Philip Roth et Toni Morrison -, est sans doute l'un des plus grands écrivains américains vivants.

La revue de presse : Marine Landrot - Télérama du 27 février 2013

Faire un voyage dans le temps de Don DeLillo, c'est léviter entre la queue de comète de l'utopie des années 1970 et le trou noir de l'asphyxie économique des années 2000. Ecrites entre 1979 et 2011, les nouvelles qui paraissent aujourd'hui renouent avec tous les thèmes de cette oeuvre unique, où domine le mot «oscillation»...
Seuls au monde, et pourtant sous le regard de tous, les personnages font l'expérience de la violence, intérieure et extérieure, sourde et insidieuse, qui révèle leur propre identité, comme dans les films de Martin Scorsese, qui, enfant, fréquenta la même école que Don DeLillo.

La revue de presse : Jean-Maurice de Montremy - Le Journal du Dimanche du 24 février 2013

Manifestement, Don DeLillo - tout en respectant sa propre évolution - donne à cet ensemble une progression dramatique, analogue à celle du roman. Le lecteur qui hésiterait à se lancer dans les grands livres de l'écrivain trouvera ici un excellent moyen de faire connaissance. Quant aux familiers de Don DeLillo, ils découvriront dans les nouvelles les plus récentes - Baader- Meinhof (2002) et La Famélique (2011) - des femmes énigmatiques et imprévisibles qui sont, comme Esmeralda, le meilleur de l'inspiration de l'écrivain.

La revue de presse : Mathieu Lindon - Libération du 14 février 2013

Dans les neuf nouvelles écrites entre 1979 et 2011 qui composent l'Ange Esmeralda, Don DeLillo, né à New York en 1936, raconte des histoires de mots. C'est le propre d'un écrivain, à cela près que ses personnages, ses décors sont ici également pris dans ce genre d'affaires...
A sa manière, l'auteur d'Outremonde et des Noms montre toujours l'envers du paradis (et même de l'enfer). Dans «Création», le premier texte du recueil, tout commence et s'achève dans une île idyllique pour les touristes. Si ce n'est que la quitter se révèle une aventure. Une simple histoire d'avions retardés, annulés. Mais, à chaque fois, il faut aller jusqu'à l'aéroport, retourner à l'hôtel, et puis le couple à qui ça arrive n'est pas seul à subir ça. Très vite, c'est une angoisse, que le séjour dure indéfiniment - le penser suffit pour que le paradis devienne infernal.

La revue de presse : Bruno Juffin - Les Inrocks, février 2013

Fruit de trente années d'écriture, le premier recueil de nouvelles de Don DeLillo radiographie le malaise middle-class et les improbables miracles de l'Amérique moderne...
En auscultant ainsi une culture de l'isolement solipsiste et de l'illusion, DeLillo inscrit le doute au coeur même de la civilisation du millénaire naissant, mais offre simultanément à ses laissés-pour-compte l'hypothèse d'un miracle - un domaine dans lequel il est lui-même expert, sa malice, sa maîtrise des rythmes et des rites langagiers et son intransigeant sens du mystère se conjuguant pour faire de cet éternel censeur de l'Amérique l'un de ses plus notoires enchanteurs littéraires.

La revue de presse : - Le Figaro du 7 février 2013

DeLillo, lui, est intense, oraculaire, dans l'acoustique, la sismographie des perceptions : «Les émotions ont changé.» Sur fond de violences, de solitudes chroniques, de foules paniquées, dans les effluves de mélancolie, d'ironie et de mysticisme, il interroge le fond de l'oeil. «Dites-moi ce que vous voyez. Honnêtement. Je veux savoir.» C'est la littérature même.


La revue de presse : Florence Noiville - Le Monde du 14 mars 2013

Parues entre 1979 et 2011 dans des magazines tels que Granta, Esquire ou The New Yorker, ces nouvelles montrent aussi, si tant est que cela soit encore nécessaire, l'infinie virtuosité d'un auteur qui - avec Philip Roth et Toni Morrison -, est sans doute l'un des plus grands écrivains américains vivants.

La revue de presse : Marine Landrot - Télérama du 27 février 2013

Faire un voyage dans le temps de Don DeLillo, c'est léviter entre la queue de comète de l'utopie des années 1970 et le trou noir de l'asphyxie économique des années 2000. Ecrites entre 1979 et 2011, les nouvelles qui paraissent aujourd'hui renouent avec tous les thèmes de cette oeuvre unique, où domine le mot «oscillation»...
Seuls au monde, et pourtant sous le regard de tous, les personnages font l'expérience de la violence, intérieure et extérieure, sourde et insidieuse, qui révèle leur propre identité, comme dans les films de Martin Scorsese, qui, enfant, fréquenta la même école que Don DeLillo.

La revue de presse : Jean-Maurice de Montremy - Le Journal du Dimanche du 24 février 2013

Manifestement, Don DeLillo - tout en respectant sa propre évolution - donne à cet ensemble une progression dramatique, analogue à celle du roman. Le lecteur qui hésiterait à se lancer dans les grands livres de l'écrivain trouvera ici un excellent moyen de faire connaissance. Quant aux familiers de Don DeLillo, ils découvriront dans les nouvelles les plus récentes - Baader- Meinhof (2002) et La Famélique (2011) - des femmes énigmatiques et imprévisibles qui sont, comme Esmeralda, le meilleur de l'inspiration de l'écrivain.

La revue de presse : Mathieu Lindon - Libération du 14 février 2013

Dans les neuf nouvelles écrites entre 1979 et 2011 qui composent l'Ange Esmeralda, Don DeLillo, né à New York en 1936, raconte des histoires de mots. C'est le propre d'un écrivain, à cela près que ses personnages, ses décors sont ici également pris dans ce genre d'affaires...
A sa manière, l'auteur d'Outremonde et des Noms montre toujours l'envers du paradis (et même de l'enfer). Dans «Création», le premier texte du recueil, tout commence et s'achève dans une île idyllique pour les touristes. Si ce n'est que la quitter se révèle une aventure. Une simple histoire d'avions retardés, annulés. Mais, à chaque fois, il faut aller jusqu'à l'aéroport, retourner à l'hôtel, et puis le couple à qui ça arrive n'est pas seul à subir ça. Très vite, c'est une angoisse, que le séjour dure indéfiniment - le penser suffit pour que le paradis devienne infernal.

La revue de presse : Bruno Juffin - Les Inrocks, février 2013

Fruit de trente années d'écriture, le premier recueil de nouvelles de Don DeLillo radiographie le malaise middle-class et les improbables miracles de l'Amérique moderne...
En auscultant ainsi une culture de l'isolement solipsiste et de l'illusion, DeLillo inscrit le doute au coeur même de la civilisation du millénaire naissant, mais offre simultanément à ses laissés-pour-compte l'hypothèse d'un miracle - un domaine dans lequel il est lui-même expert, sa malice, sa maîtrise des rythmes et des rites langagiers et son intransigeant sens du mystère se conjuguant pour faire de cet éternel censeur de l'Amérique l'un de ses plus notoires enchanteurs littéraires.

La revue de presse : - Le Figaro du 7 février 2013

DeLillo, lui, est intense, oraculaire, dans l'acoustique, la sismographie des perceptions : «Les émotions ont changé.» Sur fond de violences, de solitudes chroniques, de foules paniquées, dans les effluves de mélancolie, d'ironie et de mysticisme, il interroge le fond de l'oeil. «Dites-moi ce que vous voyez. Honnêtement. Je veux savoir.» C'est la littérature même.

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