"Tromper l'ennemi : l'invention du camouflage moderne durant la Grande Guerre" de Cécile Coutin chez Editions Pierre de Taillac (Paris)
en partenariat avec 20minutes.fr
- Auteur : Cécile Coutin
- Genre : Histoire
- Editeur : Editions Pierre de Taillac, Paris
- Prix : 35.00 €
- Date de sortie : 09/10/2012
- GENCOD : 9782364450158
Résumé
En août 1914, les soldats français partirent au combat dans des tenues voyantes - pantalon rouge, capote bleue - qui en firent des cibles faciles. Inadaptées à la guerre moderne, elles provoquèrent une hécatombe. Contre toute attente, ce sont des artistes, et non des ingénieurs militaires, qui trouveront des solutions et jetteront les bases d'une nouvelle arme : le camouflage. Le bouleversement est considérable : il ne s'agit plus de faire peur avec un uniforme impressionnant, mais de disparaître grâce à une tenue qui se fond dans le paysage. La guerre de position, qui maintient les troupes face à face, est pour beaucoup dans cette évolution : pour ne pas être repéré par l'ennemi, et survivre, il faut être invisible.
Officiellement créée le 4 août 1915, la section de camouflage de l'armée française regroupe des artistes de tous horizons, particulièrement des décorateurs de théâtre, rompus aux effets de trompe-l'oeil, et des peintres cubistes, aptes à la déformation de la réalité. Elle emploie des milliers d'hommes et de femmes. Son organisation et ses techniques inspirent celles des autres armées belligérantes qui les développent avec leur génie propre. Grâce à plus de 300 documents rares ou inédits, Tromper l'ennemi fait revivre l'histoire étonnante et méconnue de ces artistes français qui inventèrent le camouflage moderne et révolutionnèrent l'art de la guerre.
Cécile Coutin est conservateur en chef à la Bibliothèque nationale de France, département des Arts du spectacle, où, depuis 1990, elle est responsable du fonds de maquettes de décors et costumes. Auparavant, elle a été conservateur du musée d'Histoire contemporaine (BDIC, Universités de Paris) pendant dix-huit ans. Elle est l'auteur d'une thèse de doctorat en histoire de l'art sur le peintre et dessinateur Jean-Louis Forain et de plusieurs articles, brochures et conférences sur le camouflage en 1914-1918.
Résumé
En août 1914, les soldats français partirent au combat dans des tenues voyantes - pantalon rouge, capote bleue - qui en firent des cibles faciles. Inadaptées à la guerre moderne, elles provoquèrent une hécatombe. Contre toute attente, ce sont des artistes, et non des ingénieurs militaires, qui trouveront des solutions et jetteront les bases d'une nouvelle arme : le camouflage. Le bouleversement est considérable : il ne s'agit plus de faire peur avec un uniforme impressionnant, mais de disparaître grâce à une tenue qui se fond dans le paysage. La guerre de position, qui maintient les troupes face à face, est pour beaucoup dans cette évolution : pour ne pas être repéré par l'ennemi, et survivre, il faut être invisible.
Officiellement créée le 4 août 1915, la section de camouflage de l'armée française regroupe des artistes de tous horizons, particulièrement des décorateurs de théâtre, rompus aux effets de trompe-l'oeil, et des peintres cubistes, aptes à la déformation de la réalité. Elle emploie des milliers d'hommes et de femmes. Son organisation et ses techniques inspirent celles des autres armées belligérantes qui les développent avec leur génie propre. Grâce à plus de 300 documents rares ou inédits, Tromper l'ennemi fait revivre l'histoire étonnante et méconnue de ces artistes français qui inventèrent le camouflage moderne et révolutionnèrent l'art de la guerre.
Cécile Coutin est conservateur en chef à la Bibliothèque nationale de France, département des Arts du spectacle, où, depuis 1990, elle est responsable du fonds de maquettes de décors et costumes. Auparavant, elle a été conservateur du musée d'Histoire contemporaine (BDIC, Universités de Paris) pendant dix-huit ans. Elle est l'auteur d'une thèse de doctorat en histoire de l'art sur le peintre et dessinateur Jean-Louis Forain et de plusieurs articles, brochures et conférences sur le camouflage en 1914-1918.
Résumé
En août 1914, les soldats français partirent au combat dans des tenues voyantes - pantalon rouge, capote bleue - qui en firent des cibles faciles. Inadaptées à la guerre moderne, elles provoquèrent une hécatombe. Contre toute attente, ce sont des artistes, et non des ingénieurs militaires, qui trouveront des solutions et jetteront les bases d'une nouvelle arme : le camouflage. Le bouleversement est considérable : il ne s'agit plus de faire peur avec un uniforme impressionnant, mais de disparaître grâce à une tenue qui se fond dans le paysage. La guerre de position, qui maintient les troupes face à face, est pour beaucoup dans cette évolution : pour ne pas être repéré par l'ennemi, et survivre, il faut être invisible.
Officiellement créée le 4 août 1915, la section de camouflage de l'armée française regroupe des artistes de tous horizons, particulièrement des décorateurs de théâtre, rompus aux effets de trompe-l'oeil, et des peintres cubistes, aptes à la déformation de la réalité. Elle emploie des milliers d'hommes et de femmes. Son organisation et ses techniques inspirent celles des autres armées belligérantes qui les développent avec leur génie propre. Grâce à plus de 300 documents rares ou inédits, Tromper l'ennemi fait revivre l'histoire étonnante et méconnue de ces artistes français qui inventèrent le camouflage moderne et révolutionnèrent l'art de la guerre.
Cécile Coutin est conservateur en chef à la Bibliothèque nationale de France, département des Arts du spectacle, où, depuis 1990, elle est responsable du fonds de maquettes de décors et costumes. Auparavant, elle a été conservateur du musée d'Histoire contemporaine (BDIC, Universités de Paris) pendant dix-huit ans. Elle est l'auteur d'une thèse de doctorat en histoire de l'art sur le peintre et dessinateur Jean-Louis Forain et de plusieurs articles, brochures et conférences sur le camouflage en 1914-1918.
Résumé
En août 1914, les soldats français partirent au combat dans des tenues voyantes - pantalon rouge, capote bleue - qui en firent des cibles faciles. Inadaptées à la guerre moderne, elles provoquèrent une hécatombe. Contre toute attente, ce sont des artistes, et non des ingénieurs militaires, qui trouveront des solutions et jetteront les bases d'une nouvelle arme : le camouflage. Le bouleversement est considérable : il ne s'agit plus de faire peur avec un uniforme impressionnant, mais de disparaître grâce à une tenue qui se fond dans le paysage. La guerre de position, qui maintient les troupes face à face, est pour beaucoup dans cette évolution : pour ne pas être repéré par l'ennemi, et survivre, il faut être invisible.
Officiellement créée le 4 août 1915, la section de camouflage de l'armée française regroupe des artistes de tous horizons, particulièrement des décorateurs de théâtre, rompus aux effets de trompe-l'oeil, et des peintres cubistes, aptes à la déformation de la réalité. Elle emploie des milliers d'hommes et de femmes. Son organisation et ses techniques inspirent celles des autres armées belligérantes qui les développent avec leur génie propre. Grâce à plus de 300 documents rares ou inédits, Tromper l'ennemi fait revivre l'histoire étonnante et méconnue de ces artistes français qui inventèrent le camouflage moderne et révolutionnèrent l'art de la guerre.
Cécile Coutin est conservateur en chef à la Bibliothèque nationale de France, département des Arts du spectacle, où, depuis 1990, elle est responsable du fonds de maquettes de décors et costumes. Auparavant, elle a été conservateur du musée d'Histoire contemporaine (BDIC, Universités de Paris) pendant dix-huit ans. Elle est l'auteur d'une thèse de doctorat en histoire de l'art sur le peintre et dessinateur Jean-Louis Forain et de plusieurs articles, brochures et conférences sur le camouflage en 1914-1918.
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En août 1914, les soldats français partirent au combat dans des tenues voyantes - pantalon rouge, capote bleue - qui en firent des cibles faciles. Inadaptées à la guerre moderne, elles provoquèrent une hécatombe. Contre toute attente, ce sont des artistes, et non des ingénieurs militaires, qui trouveront des solutions et jetteront les bases d'une nouvelle arme : le camouflage. Le bouleversement est considérable : il ne s'agit plus de faire peur avec un uniforme impressionnant, mais de disparaître grâce à une tenue qui se fond dans le paysage. La guerre de position, qui maintient les troupes face à face, est pour beaucoup dans cette évolution : pour ne pas être repéré par l'ennemi, et survivre, il faut être invisible.
Officiellement créée le 4 août 1915, la section de camouflage de l'armée française regroupe des artistes de tous horizons, particulièrement des décorateurs de théâtre, rompus aux effets de trompe-l'oeil, et des peintres cubistes, aptes à la déformation de la réalité. Elle emploie des milliers d'hommes et de femmes. Son organisation et ses techniques inspirent celles des autres armées belligérantes qui les développent avec leur génie propre. Grâce à plus de 300 documents rares ou inédits, Tromper l'ennemi fait revivre l'histoire étonnante et méconnue de ces artistes français qui inventèrent le camouflage moderne et révolutionnèrent l'art de la guerre.
Cécile Coutin est conservateur en chef à la Bibliothèque nationale de France, département des Arts du spectacle, où, depuis 1990, elle est responsable du fonds de maquettes de décors et costumes. Auparavant, elle a été conservateur du musée d'Histoire contemporaine (BDIC, Universités de Paris) pendant dix-huit ans. Elle est l'auteur d'une thèse de doctorat en histoire de l'art sur le peintre et dessinateur Jean-Louis Forain et de plusieurs articles, brochures et conférences sur le camouflage en 1914-1918.
Résumé
En août 1914, les soldats français partirent au combat dans des tenues voyantes - pantalon rouge, capote bleue - qui en firent des cibles faciles. Inadaptées à la guerre moderne, elles provoquèrent une hécatombe. Contre toute attente, ce sont des artistes, et non des ingénieurs militaires, qui trouveront des solutions et jetteront les bases d'une nouvelle arme : le camouflage. Le bouleversement est considérable : il ne s'agit plus de faire peur avec un uniforme impressionnant, mais de disparaître grâce à une tenue qui se fond dans le paysage. La guerre de position, qui maintient les troupes face à face, est pour beaucoup dans cette évolution : pour ne pas être repéré par l'ennemi, et survivre, il faut être invisible.
Officiellement créée le 4 août 1915, la section de camouflage de l'armée française regroupe des artistes de tous horizons, particulièrement des décorateurs de théâtre, rompus aux effets de trompe-l'oeil, et des peintres cubistes, aptes à la déformation de la réalité. Elle emploie des milliers d'hommes et de femmes. Son organisation et ses techniques inspirent celles des autres armées belligérantes qui les développent avec leur génie propre. Grâce à plus de 300 documents rares ou inédits, Tromper l'ennemi fait revivre l'histoire étonnante et méconnue de ces artistes français qui inventèrent le camouflage moderne et révolutionnèrent l'art de la guerre.
Cécile Coutin est conservateur en chef à la Bibliothèque nationale de France, département des Arts du spectacle, où, depuis 1990, elle est responsable du fonds de maquettes de décors et costumes. Auparavant, elle a été conservateur du musée d'Histoire contemporaine (BDIC, Universités de Paris) pendant dix-huit ans. Elle est l'auteur d'une thèse de doctorat en histoire de l'art sur le peintre et dessinateur Jean-Louis Forain et de plusieurs articles, brochures et conférences sur le camouflage en 1914-1918.
La revue de presse : Fabrice Drouzy - Libération du 20 décembre 2012
Pendant des siècles, les batailles se faisaient en effet en ordre et au grand jour : tuniques rouges contre uniformes bleus, casques à plumes contre étendards sanglants, et panaches blancs pour rallier les troupes au plus fort des combats. Puis vinrent 14-18 et ses tranchées. La guerre s'enterre, les uniformes virent au kaki, au marron ou au bleu horizon. Le salut passe désormais par l'invisibilité pour éviter les tirs des snipers ou surprendre l'ennemi dans un conflit encore «artisanal» - il n'existe ni radars ni détecteurs d'aucune sorte. Dès 1915, les premières unités spécialisées dans le camouflage voient le jour avec des soldats... artistes dans le civil.
La revue de presse : Fabrice Drouzy - Libération du 20 décembre 2012
Pendant des siècles, les batailles se faisaient en effet en ordre et au grand jour : tuniques rouges contre uniformes bleus, casques à plumes contre étendards sanglants, et panaches blancs pour rallier les troupes au plus fort des combats. Puis vinrent 14-18 et ses tranchées. La guerre s'enterre, les uniformes virent au kaki, au marron ou au bleu horizon. Le salut passe désormais par l'invisibilité pour éviter les tirs des snipers ou surprendre l'ennemi dans un conflit encore «artisanal» - il n'existe ni radars ni détecteurs d'aucune sorte. Dès 1915, les premières unités spécialisées dans le camouflage voient le jour avec des soldats... artistes dans le civil.
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Pendant des siècles, les batailles se faisaient en effet en ordre et au grand jour : tuniques rouges contre uniformes bleus, casques à plumes contre étendards sanglants, et panaches blancs pour rallier les troupes au plus fort des combats. Puis vinrent 14-18 et ses tranchées. La guerre s'enterre, les uniformes virent au kaki, au marron ou au bleu horizon. Le salut passe désormais par l'invisibilité pour éviter les tirs des snipers ou surprendre l'ennemi dans un conflit encore «artisanal» - il n'existe ni radars ni détecteurs d'aucune sorte. Dès 1915, les premières unités spécialisées dans le camouflage voient le jour avec des soldats... artistes dans le civil.