"Oui, mais quelle est la question ?" de Bernard Pivot chez NIL (Paris, France)

"Oui, mais quelle est la question ?" de Bernard Pivot chez NIL (Paris, France)

en partenariat avec 20minutes.fr

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  • Auteur : Bernard Pivot
  • Genre : Romans et nouvelles - français
  • Editeur : NIL, Paris, France
  • Prix : 19.00 €
  • Date de sortie : 20/09/2012
  • GENCOD : 9782841116195

Résumé

«Pour mon malheur, le questionnement grâce auquel je me suis fait un nom dans la presse écrite, à la radio et à la télévision, s'est étendu à ma vie privée. Je souffre d'une maladie chronique que j'appelle la "questionnite". Son symptôme est évident, identifié de tous mes proches : je n'arrête pas de leur poser des questions. Je ne peux pas m'en empêcher. C'est plus fort que moi. C'est une seconde nature. Je suis en état de perpétuelle curiosité. Et de manque si je n'arrive pas à la satisfaire. Je ne suis pas le type qui se contente d'un machinal "Comment vas-tu ?". Je veux savoir. Quoi ? Peu importe, je veux savoir. Toute personne détient de grands et de petits secrets qu'elle n'entend pas divulguer, mais que mes questions peuvent l'amener à avouer. Il n'v a pas d'homme ou de femme sans double fond. Sans mystères, sans cachotteries, sans arrière-pensées. Moi, j'en ai. Beaucoup. Heureusement, je ne suis jamais tombé sur un loustic comme moi qui vous bombarde de questions et qui, à la longue, devient insupportable.»

Adam Hitch est un journaliste dont la vie sentimentale est ravagée par son addiction aux questions. En racontant son histoire, avec humour et élégance, Bernard Pivot a-t-il écrit un roman ou son autobiographie ?

Bernard Pivot est davantage que le plus célèbre journaliste littéraire : il est celui qui incarne à lui seul l'amour des livres et de la lecture. Son talent de plume - qui se révèle pleinement avec ce roman - lui a déjà permis de conquérir un public nombreux et fidèle, comme le montre le succès de son dernier ouvrage Les Mots de ma vie (Albin Michel, 2011).


Résumé

«Pour mon malheur, le questionnement grâce auquel je me suis fait un nom dans la presse écrite, à la radio et à la télévision, s'est étendu à ma vie privée. Je souffre d'une maladie chronique que j'appelle la "questionnite". Son symptôme est évident, identifié de tous mes proches : je n'arrête pas de leur poser des questions. Je ne peux pas m'en empêcher. C'est plus fort que moi. C'est une seconde nature. Je suis en état de perpétuelle curiosité. Et de manque si je n'arrive pas à la satisfaire. Je ne suis pas le type qui se contente d'un machinal "Comment vas-tu ?". Je veux savoir. Quoi ? Peu importe, je veux savoir. Toute personne détient de grands et de petits secrets qu'elle n'entend pas divulguer, mais que mes questions peuvent l'amener à avouer. Il n'v a pas d'homme ou de femme sans double fond. Sans mystères, sans cachotteries, sans arrière-pensées. Moi, j'en ai. Beaucoup. Heureusement, je ne suis jamais tombé sur un loustic comme moi qui vous bombarde de questions et qui, à la longue, devient insupportable.»

Adam Hitch est un journaliste dont la vie sentimentale est ravagée par son addiction aux questions. En racontant son histoire, avec humour et élégance, Bernard Pivot a-t-il écrit un roman ou son autobiographie ?

Bernard Pivot est davantage que le plus célèbre journaliste littéraire : il est celui qui incarne à lui seul l'amour des livres et de la lecture. Son talent de plume - qui se révèle pleinement avec ce roman - lui a déjà permis de conquérir un public nombreux et fidèle, comme le montre le succès de son dernier ouvrage Les Mots de ma vie (Albin Michel, 2011).


Résumé

«Pour mon malheur, le questionnement grâce auquel je me suis fait un nom dans la presse écrite, à la radio et à la télévision, s'est étendu à ma vie privée. Je souffre d'une maladie chronique que j'appelle la "questionnite". Son symptôme est évident, identifié de tous mes proches : je n'arrête pas de leur poser des questions. Je ne peux pas m'en empêcher. C'est plus fort que moi. C'est une seconde nature. Je suis en état de perpétuelle curiosité. Et de manque si je n'arrive pas à la satisfaire. Je ne suis pas le type qui se contente d'un machinal "Comment vas-tu ?". Je veux savoir. Quoi ? Peu importe, je veux savoir. Toute personne détient de grands et de petits secrets qu'elle n'entend pas divulguer, mais que mes questions peuvent l'amener à avouer. Il n'v a pas d'homme ou de femme sans double fond. Sans mystères, sans cachotteries, sans arrière-pensées. Moi, j'en ai. Beaucoup. Heureusement, je ne suis jamais tombé sur un loustic comme moi qui vous bombarde de questions et qui, à la longue, devient insupportable.»

Adam Hitch est un journaliste dont la vie sentimentale est ravagée par son addiction aux questions. En racontant son histoire, avec humour et élégance, Bernard Pivot a-t-il écrit un roman ou son autobiographie ?

Bernard Pivot est davantage que le plus célèbre journaliste littéraire : il est celui qui incarne à lui seul l'amour des livres et de la lecture. Son talent de plume - qui se révèle pleinement avec ce roman - lui a déjà permis de conquérir un public nombreux et fidèle, comme le montre le succès de son dernier ouvrage Les Mots de ma vie (Albin Michel, 2011).


Résumé

«Pour mon malheur, le questionnement grâce auquel je me suis fait un nom dans la presse écrite, à la radio et à la télévision, s'est étendu à ma vie privée. Je souffre d'une maladie chronique que j'appelle la "questionnite". Son symptôme est évident, identifié de tous mes proches : je n'arrête pas de leur poser des questions. Je ne peux pas m'en empêcher. C'est plus fort que moi. C'est une seconde nature. Je suis en état de perpétuelle curiosité. Et de manque si je n'arrive pas à la satisfaire. Je ne suis pas le type qui se contente d'un machinal "Comment vas-tu ?". Je veux savoir. Quoi ? Peu importe, je veux savoir. Toute personne détient de grands et de petits secrets qu'elle n'entend pas divulguer, mais que mes questions peuvent l'amener à avouer. Il n'v a pas d'homme ou de femme sans double fond. Sans mystères, sans cachotteries, sans arrière-pensées. Moi, j'en ai. Beaucoup. Heureusement, je ne suis jamais tombé sur un loustic comme moi qui vous bombarde de questions et qui, à la longue, devient insupportable.»

Adam Hitch est un journaliste dont la vie sentimentale est ravagée par son addiction aux questions. En racontant son histoire, avec humour et élégance, Bernard Pivot a-t-il écrit un roman ou son autobiographie ?

Bernard Pivot est davantage que le plus célèbre journaliste littéraire : il est celui qui incarne à lui seul l'amour des livres et de la lecture. Son talent de plume - qui se révèle pleinement avec ce roman - lui a déjà permis de conquérir un public nombreux et fidèle, comme le montre le succès de son dernier ouvrage Les Mots de ma vie (Albin Michel, 2011).


Résumé

«Pour mon malheur, le questionnement grâce auquel je me suis fait un nom dans la presse écrite, à la radio et à la télévision, s'est étendu à ma vie privée. Je souffre d'une maladie chronique que j'appelle la "questionnite". Son symptôme est évident, identifié de tous mes proches : je n'arrête pas de leur poser des questions. Je ne peux pas m'en empêcher. C'est plus fort que moi. C'est une seconde nature. Je suis en état de perpétuelle curiosité. Et de manque si je n'arrive pas à la satisfaire. Je ne suis pas le type qui se contente d'un machinal "Comment vas-tu ?". Je veux savoir. Quoi ? Peu importe, je veux savoir. Toute personne détient de grands et de petits secrets qu'elle n'entend pas divulguer, mais que mes questions peuvent l'amener à avouer. Il n'v a pas d'homme ou de femme sans double fond. Sans mystères, sans cachotteries, sans arrière-pensées. Moi, j'en ai. Beaucoup. Heureusement, je ne suis jamais tombé sur un loustic comme moi qui vous bombarde de questions et qui, à la longue, devient insupportable.»

Adam Hitch est un journaliste dont la vie sentimentale est ravagée par son addiction aux questions. En racontant son histoire, avec humour et élégance, Bernard Pivot a-t-il écrit un roman ou son autobiographie ?

Bernard Pivot est davantage que le plus célèbre journaliste littéraire : il est celui qui incarne à lui seul l'amour des livres et de la lecture. Son talent de plume - qui se révèle pleinement avec ce roman - lui a déjà permis de conquérir un public nombreux et fidèle, comme le montre le succès de son dernier ouvrage Les Mots de ma vie (Albin Michel, 2011).


Résumé

«Pour mon malheur, le questionnement grâce auquel je me suis fait un nom dans la presse écrite, à la radio et à la télévision, s'est étendu à ma vie privée. Je souffre d'une maladie chronique que j'appelle la "questionnite". Son symptôme est évident, identifié de tous mes proches : je n'arrête pas de leur poser des questions. Je ne peux pas m'en empêcher. C'est plus fort que moi. C'est une seconde nature. Je suis en état de perpétuelle curiosité. Et de manque si je n'arrive pas à la satisfaire. Je ne suis pas le type qui se contente d'un machinal "Comment vas-tu ?". Je veux savoir. Quoi ? Peu importe, je veux savoir. Toute personne détient de grands et de petits secrets qu'elle n'entend pas divulguer, mais que mes questions peuvent l'amener à avouer. Il n'v a pas d'homme ou de femme sans double fond. Sans mystères, sans cachotteries, sans arrière-pensées. Moi, j'en ai. Beaucoup. Heureusement, je ne suis jamais tombé sur un loustic comme moi qui vous bombarde de questions et qui, à la longue, devient insupportable.»

Adam Hitch est un journaliste dont la vie sentimentale est ravagée par son addiction aux questions. En racontant son histoire, avec humour et élégance, Bernard Pivot a-t-il écrit un roman ou son autobiographie ?

Bernard Pivot est davantage que le plus célèbre journaliste littéraire : il est celui qui incarne à lui seul l'amour des livres et de la lecture. Son talent de plume - qui se révèle pleinement avec ce roman - lui a déjà permis de conquérir un public nombreux et fidèle, comme le montre le succès de son dernier ouvrage Les Mots de ma vie (Albin Michel, 2011).


Résumé

«Pour mon malheur, le questionnement grâce auquel je me suis fait un nom dans la presse écrite, à la radio et à la télévision, s'est étendu à ma vie privée. Je souffre d'une maladie chronique que j'appelle la "questionnite". Son symptôme est évident, identifié de tous mes proches : je n'arrête pas de leur poser des questions. Je ne peux pas m'en empêcher. C'est plus fort que moi. C'est une seconde nature. Je suis en état de perpétuelle curiosité. Et de manque si je n'arrive pas à la satisfaire. Je ne suis pas le type qui se contente d'un machinal "Comment vas-tu ?". Je veux savoir. Quoi ? Peu importe, je veux savoir. Toute personne détient de grands et de petits secrets qu'elle n'entend pas divulguer, mais que mes questions peuvent l'amener à avouer. Il n'v a pas d'homme ou de femme sans double fond. Sans mystères, sans cachotteries, sans arrière-pensées. Moi, j'en ai. Beaucoup. Heureusement, je ne suis jamais tombé sur un loustic comme moi qui vous bombarde de questions et qui, à la longue, devient insupportable.»

Adam Hitch est un journaliste dont la vie sentimentale est ravagée par son addiction aux questions. En racontant son histoire, avec humour et élégance, Bernard Pivot a-t-il écrit un roman ou son autobiographie ?

Bernard Pivot est davantage que le plus célèbre journaliste littéraire : il est celui qui incarne à lui seul l'amour des livres et de la lecture. Son talent de plume - qui se révèle pleinement avec ce roman - lui a déjà permis de conquérir un public nombreux et fidèle, comme le montre le succès de son dernier ouvrage Les Mots de ma vie (Albin Michel, 2011).

Courier des auteurs le 23/01/2013

«Le choix des mots» par Jean Pruvost, grand amoureux des mots...

Cher Bernard Pivot,

Point d'interrogation ? Ou plutôt que des interrogations ? Puis-je vous questionner ? Oui, mais quelle est la question ? Est-ce bien le titre que vous avez choisi pour votre dernier livre 2012 : «Oui, mais quelle est la question ?» ? Y répondez-vous par le bandeau ? Roman ou autobiographie ? Est-ce vous qui avez choisi d'y faire figurer votre photographie, lunettes et sourire malicieusement interrogatif ? La questionnite, dont vous ou bien votre personnage Adam Hitch vous dites être chroniquement atteint, est-elle oralement transmissible ? Pourquoi Adam ? Parce que c'est le premier à poser des questions à Ève-Manon ? Hitch ? Est-ce le verbe anglais to hitch : remuer par saccades ? Des saccades de questions ? Hitch, n'est-ce pas aussi le nom anglais pour désigner le crochet d'attelage ? la cheville ? le pivot ? Pivot ?
M'auriez-vous contaminé ? Est-ce vrai que le paradis que vous évoquez serait celui où l'on répondrait à toutes les questions ? Et l'enfer, le lieu maudit où on ne répondrait à aucune ? Est-ce à dessein qu'après le chapitre, La confession, L'enfer et le paradis, le titre du troisième chapitre se limite à un seul point d'interrogation sans le point d'interrogation renversé, comme sur la couverture ? Serait-ce parce que dans le dernier chapitre Manon 2 fait naître le point d'exclamation ? Tout comme, dans le dialogue dernier avec Manon, délicieusement atteinte de questionnite, s'instillent ces trois sortes de tirets, du plus grand au plus petit ? Le dernier, serait-il un magnifique trait d'union ? La vraie réponse ?
M'en voudrez-vous (beaucoup ?) si je m'émerveille de votre ponctuation, depuis le second point d'interrogation, sur la première de couverture, bien renversé pour ouvrir sur le mode typographique espagnol votre livre questionnant, jusqu'à la dernière question des séries de questions sans réponse ? «Seigneur, le monde a-t-il eu un commencement et sera-t-il sans fin ?» Vouliez-vous rattraper ce point perdu lors de votre concours de journaliste (17 : 18-1 ?) parce que vous ne posiez pas une dernière question : «Pourquoi 18 ?» ? Donc ici : 20 / 20 ?
Me le reprocherez-vous si je prends plaisir à rappeler que les imprimeurs ont repris à leur compte les signes des humanistes italiens - un humaniste, c'est bien ce que vous êtes ? - tels que le point d'interrogation, issu du point interrogeant et du point suppliant en usage en Italie au XIVe siècle, et que le point d'exclamation a longtemps été appelé le point d'admiration ou le point admiratif, sans oublier, pour marquer la grande émotion, le point pathétique ?
Enfin, vous souvenez-vous que dans Les Copains, vers la fin du roman, à propos de «points de morale», ce sont justement «ces questions si particulières» qui «ont paru devenir le pivot...» ? Alors, nous offrirez-vous une suite à ces pensées pétillantes ? Pouvons-nous vous en prier ? Vous laisserez-nous en enfer ? Soumis à la question, sans réponse à nos remerciements du vif plaisir, philosophique, que vous nous avez donné ?

Jean Pruvost


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Courier des auteurs le 23/01/

2013

«Le choix des mots» par Jean Pruvost, grand amoureux des mots...

Cher Bernard Pivot,

Point d'interrogation ? Ou plutôt que des interrogations ? Puis-je vous questionner ? Oui, mais quelle est la question ? Est-ce bien le titre que vous avez choisi pour votre dernier livre 2012 : «Oui, mais quelle est la question ?» ? Y répondez-vous par le bandeau ? Roman ou autobiographie ? Est-ce vous qui avez choisi d'y faire figurer votre photographie, lunettes et sourire malicieusement interrogatif ? La questionnite, dont vous ou bien votre personnage Adam Hitch vous dites être chroniquement atteint, est-elle oralement transmissible ? Pourquoi Adam ? Parce que c'est le premier à poser des questions à Ève-Manon ? Hitch ? Est-ce le verbe anglais to hitch : remuer par saccades ? Des saccades de questions ? Hitch, n'est-ce pas aussi le nom anglais pour désigner le crochet d'attelage ? la cheville ? le pivot ? Pivot ?
M'auriez-vous contaminé ? Est-ce vrai que le paradis que vous évoquez serait celui où l'on répondrait à toutes les questions ? Et l'enfer, le lieu maudit où on ne répondrait à aucune ? Est-ce à dessein qu'après le chapitre, La confession, L'enfer et le paradis, le titre du troisième chapitre se limite à un seul point d'interrogation sans le point d'interrogation renversé, comme sur la couverture ? Serait-ce parce que dans le dernier chapitre Manon 2 fait naître le point d'exclamation ? Tout comme, dans le dialogue dernier avec Manon, délicieusement atteinte de questionnite, s'instillent ces trois sortes de tirets, du plus grand au plus petit ? Le dernier, serait-il un magnifique trait d'union ? La vraie réponse ?
M'en voudrez-vous (beaucoup ?) si je m'émerveille de votre ponctuation, depuis le second point d'interrogation, sur la première de couverture, bien renversé pour ouvrir sur le mode typographique espagnol votre livre questionnant, jusqu'à la dernière question des séries de questions sans réponse ? «Seigneur, le monde a-t-il eu un commencement et sera-t-il sans fin ?» Vouliez-vous rattraper ce point perdu lors de votre concours de journaliste (17 : 18-1 ?) parce que vous ne posiez pas une dernière question : «Pourquoi 18 ?» ? Donc ici : 20 / 20 ?
Me le reprocherez-vous si je prends plaisir à rappeler que les imprimeurs ont repris à leur compte les signes des humanistes italiens - un humaniste, c'est bien ce que vous êtes ? - tels que le point d'interrogation, issu du point interrogeant et du point suppliant en usage en Italie au XIVe siècle, et que le point d'exclamation a longtemps été appelé le point d'admiration ou le point admiratif, sans oublier, pour marquer la grande émotion, le point pathétique ?
Enfin, vous souvenez-vous que dans Les Copains, vers la fin du roman, à propos de «points de morale», ce sont justement «ces questions si particulières» qui «ont paru devenir le pivot...» ? Alors, nous offrirez-vous une suite à ces pensées pétillantes ? Pouvons-nous vous en prier ? Vous laisserez-nous en enfer ? Soumis à la question, sans réponse à nos remerciements du vif plaisir, philosophique, que vous nous avez donné ?

Jean Pruvost


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«Le choix des mots» par Jean Pruvost, grand amoureux des mots...

Cher Bernard Pivot,

Point d'interrogation ? Ou plutôt que des interrogations ? Puis-je vous questionner ? Oui, mais quelle est la question ? Est-ce bien le titre que vous avez choisi pour votre dernier livre 2012 : «Oui, mais quelle est la question ?» ? Y répondez-vous par le bandeau ? Roman ou autobiographie ? Est-ce vous qui avez choisi d'y faire figurer votre photographie, lunettes et sourire malicieusement interrogatif ? La questionnite, dont vous ou bien votre personnage Adam Hitch vous dites être chroniquement atteint, est-elle oralement transmissible ? Pourquoi Adam ? Parce que c'est le premier à poser des questions à Ève-Manon ? Hitch ? Est-ce le verbe anglais to hitch : remuer par saccades ? Des saccades de questions ? Hitch, n'est-ce pas aussi le nom anglais pour désigner le crochet d'attelage ? la cheville ? le pivot ? Pivot ?
M'auriez-vous contaminé ? Est-ce vrai que le paradis que vous évoquez serait celui où l'on répondrait à toutes les questions ? Et l'enfer, le lieu maudit où on ne répondrait à aucune ? Est-ce à dessein qu'après le chapitre, La confession, L'enfer et le paradis, le titre du troisième chapitre se limite à un seul point d'interrogation sans le point d'interrogation renversé, comme sur la couverture ? Serait-ce parce que dans le dernier chapitre Manon 2 fait naître le point d'exclamation ? Tout comme, dans le dialogue dernier avec Manon, délicieusement atteinte de questionnite, s'instillent ces trois sortes de tirets, du plus grand au plus petit ? Le dernier, serait-il un magnifique trait d'union ? La vraie réponse ?
M'en voudrez-vous (beaucoup ?) si je m'émerveille de votre ponctuation, depuis le second point d'interrogation, sur la première de couverture, bien renversé pour ouvrir sur le mode typographique espagnol votre livre questionnant, jusqu'à la dernière question des séries de questions sans réponse ? «Seigneur, le monde a-t-il eu un commencement et sera-t-il sans fin ?» Vouliez-vous rattraper ce point perdu lors de votre concours de journaliste (17 : 18-1 ?) parce que vous ne posiez pas une dernière question : «Pourquoi 18 ?» ? Donc ici : 20 / 20 ?
Me le reprocherez-vous si je prends plaisir à rappeler que les imprimeurs ont repris à leur compte les signes des humanistes italiens - un humaniste, c'est bien ce que vous êtes ? - tels que le point d'interrogation, issu du point interrogeant et du point suppliant en usage en Italie au XIVe siècle, et que le point d'exclamation a longtemps été appelé le point d'admiration ou le point admiratif, sans oublier, pour marquer la grande émotion, le point pathétique ?
Enfin, vous souvenez-vous que dans Les Copains, vers la fin du roman, à propos de «points de morale», ce sont justement «ces questions si particulières» qui «ont paru devenir le pivot...» ? Alors, nous offrirez-vous une suite à ces pensées pétillantes ? Pouvons-nous vous en prier ? Vous laisserez-nous en enfer ? Soumis à la question, sans réponse à nos remerciements du vif plaisir, philosophique, que vous nous avez donné ?

Jean Pruvost


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«Le choix des mots» par Jean Pruvost, grand amoureux des mots...

Cher Bernard Pivot,

Point d'interrogation ? Ou plutôt que des interrogations ? Puis-je vous questionner ? Oui, mais quelle est la question ? Est-ce bien le titre que vous avez choisi pour votre dernier livre 2012 : «Oui, mais quelle est la question ?» ? Y répondez-vous par le bandeau ? Roman ou autobiographie ? Est-ce vous qui avez choisi d'y faire figurer votre photographie, lunettes et sourire malicieusement interrogatif ? La questionnite, dont vous ou bien votre personnage Adam Hitch vous dites être chroniquement atteint, est-elle oralement transmissible ? Pourquoi Adam ? Parce que c'est le premier à poser des questions à Ève-Manon ? Hitch ? Est-ce le verbe anglais to hitch : remuer par saccades ? Des saccades de questions ? Hitch, n'est-ce pas aussi le nom anglais pour désigner le crochet d'attelage ? la cheville ? le pivot ? Pivot ?
M'auriez-vous contaminé ? Est-ce vrai que le paradis que vous évoquez serait celui où l'on répondrait à toutes les questions ? Et l'enfer, le lieu maudit où on ne répondrait à aucune ? Est-ce à dessein qu'après le chapitre, La confession, L'enfer et le paradis, le titre du troisième chapitre se limite à un seul point d'interrogation sans le point d'interrogation renversé, comme sur la couverture ? Serait-ce parce que dans le dernier chapitre Manon 2 fait naître le point d'exclamation ? Tout comme, dans le dialogue dernier avec Manon, délicieusement atteinte de questionnite, s'instillent ces trois sortes de tirets, du plus grand au plus petit ? Le dernier, serait-il un magnifique trait d'union ? La vraie réponse ?
M'en voudrez-vous (beaucoup ?) si je m'émerveille de votre ponctuation, depuis le second point d'interrogation, sur la première de couverture, bien renversé pour ouvrir sur le mode typographique espagnol votre livre questionnant, jusqu'à la dernière question des séries de questions sans réponse ? «Seigneur, le monde a-t-il eu un commencement et sera-t-il sans fin ?» Vouliez-vous rattraper ce point perdu lors de votre concours de journaliste (17 : 18-1 ?) parce que vous ne posiez pas une dernière question : «Pourquoi 18 ?» ? Donc ici : 20 / 20 ?
Me le reprocherez-vous si je prends plaisir à rappeler que les imprimeurs ont repris à leur compte les signes des humanistes italiens - un humaniste, c'est bien ce que vous êtes ? - tels que le point d'interrogation, issu du point interrogeant et du point suppliant en usage en Italie au XIVe siècle, et que le point d'exclamation a longtemps été appelé le point d'admiration ou le point admiratif, sans oublier, pour marquer la grande émotion, le point pathétique ?
Enfin, vous souvenez-vous que dans Les Copains, vers la fin du roman, à propos de «points de morale», ce sont justement «ces questions si particulières» qui «ont paru devenir le pivot...» ? Alors, nous offrirez-vous une suite à ces pensées pétillantes ? Pouvons-nous vous en prier ? Vous laisserez-nous en enfer ? Soumis à la question, sans réponse à nos remerciements du vif plaisir, philosophique, que vous nous avez donné ?

Jean Pruvost


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«Le choix des mots» par Jean Pruvost, grand amoureux des mots...

Cher Bernard Pivot,

Point d'interrogation ? Ou plutôt que des interrogations ? Puis-je vous questionner ? Oui, mais quelle est la question ? Est-ce bien le titre que vous avez choisi pour votre dernier livre 2012 : «Oui, mais quelle est la question ?» ? Y répondez-vous par le bandeau ? Roman ou autobiographie ? Est-ce vous qui avez choisi d'y faire figurer votre photographie, lunettes et sourire malicieusement interrogatif ? La questionnite, dont vous ou bien votre personnage Adam Hitch vous dites être chroniquement atteint, est-elle oralement transmissible ? Pourquoi Adam ? Parce que c'est le premier à poser des questions à Ève-Manon ? Hitch ? Est-ce le verbe anglais to hitch : remuer par saccades ? Des saccades de questions ? Hitch, n'est-ce pas aussi le nom anglais pour désigner le crochet d'attelage ? la cheville ? le pivot ? Pivot ?
M'auriez-vous contaminé ? Est-ce vrai que le paradis que vous évoquez serait celui où l'on répondrait à toutes les questions ? Et l'enfer, le lieu maudit où on ne répondrait à aucune ? Est-ce à dessein qu'après le chapitre, La confession, L'enfer et le paradis, le titre du troisième chapitre se limite à un seul point d'interrogation sans le point d'interrogation renversé, comme sur la couverture ? Serait-ce parce que dans le dernier chapitre Manon 2 fait naître le point d'exclamation ? Tout comme, dans le dialogue dernier avec Manon, délicieusement atteinte de questionnite, s'instillent ces trois sortes de tirets, du plus grand au plus petit ? Le dernier, serait-il un magnifique trait d'union ? La vraie réponse ?
M'en voudrez-vous (beaucoup ?) si je m'émerveille de votre ponctuation, depuis le second point d'interrogation, sur la première de couverture, bien renversé pour ouvrir sur le mode typographique espagnol votre livre questionnant, jusqu'à la dernière question des séries de questions sans réponse ? «Seigneur, le monde a-t-il eu un commencement et sera-t-il sans fin ?» Vouliez-vous rattraper ce point perdu lors de votre concours de journaliste (17 : 18-1 ?) parce que vous ne posiez pas une dernière question : «Pourquoi 18 ?» ? Donc ici : 20 / 20 ?
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Jean Pruvost


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Cher Bernard Pivot,

Point d'interrogation ? Ou plutôt que des interrogations ? Puis-je vous questionner ? Oui, mais quelle est la question ? Est-ce bien le titre que vous avez choisi pour votre dernier livre 2012 : «Oui, mais quelle est la question ?» ? Y répondez-vous par le bandeau ? Roman ou autobiographie ? Est-ce vous qui avez choisi d'y faire figurer votre photographie, lunettes et sourire malicieusement interrogatif ? La questionnite, dont vous ou bien votre personnage Adam Hitch vous dites être chroniquement atteint, est-elle oralement transmissible ? Pourquoi Adam ? Parce que c'est le premier à poser des questions à Ève-Manon ? Hitch ? Est-ce le verbe anglais to hitch : remuer par saccades ? Des saccades de questions ? Hitch, n'est-ce pas aussi le nom anglais pour désigner le crochet d'attelage ? la cheville ? le pivot ? Pivot ?
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M'en voudrez-vous (beaucoup ?) si je m'émerveille de votre ponctuation, depuis le second point d'interrogation, sur la première de couverture, bien renversé pour ouvrir sur le mode typographique espagnol votre livre questionnant, jusqu'à la dernière question des séries de questions sans réponse ? «Seigneur, le monde a-t-il eu un commencement et sera-t-il sans fin ?» Vouliez-vous rattraper ce point perdu lors de votre concours de journaliste (17 : 18-1 ?) parce que vous ne posiez pas une dernière question : «Pourquoi 18 ?» ? Donc ici : 20 / 20 ?
Me le reprocherez-vous si je prends plaisir à rappeler que les imprimeurs ont repris à leur compte les signes des humanistes italiens - un humaniste, c'est bien ce que vous êtes ? - tels que le point d'interrogation, issu du point interrogeant et du point suppliant en usage en Italie au XIVe siècle, et que le point d'exclamation a longtemps été appelé le point d'admiration ou le point admiratif, sans oublier, pour marquer la grande émotion, le point pathétique ?
Enfin, vous souvenez-vous que dans Les Copains, vers la fin du roman, à propos de «points de morale», ce sont justement «ces questions si particulières» qui «ont paru devenir le pivot...» ? Alors, nous offrirez-vous une suite à ces pensées pétillantes ? Pouvons-nous vous en prier ? Vous laisserez-nous en enfer ? Soumis à la question, sans réponse à nos remerciements du vif plaisir, philosophique, que vous nous avez donné ?

Jean Pruvost


Courier des auteurs le 23/01/2013

«Le choix des mots» par Jean Pruvost, grand amoureux des mots...

Cher Bernard Pivot,

Point d'interrogation ? Ou plutôt que des interrogations ? Puis-je vous questionner ? Oui, mais quelle est la question ? Est-ce bien le titre que vous avez choisi pour votre dernier livre 2012 : «Oui, mais quelle est la question ?» ? Y répondez-vous par le bandeau ? Roman ou autobiographie ? Est-ce vous qui avez choisi d'y faire figurer votre photographie, lunettes et sourire malicieusement interrogatif ? La questionnite, dont vous ou bien votre personnage Adam Hitch vous dites être chroniquement atteint, est-elle oralement transmissible ? Pourquoi Adam ? Parce que c'est le premier à poser des questions à Ève-Manon ? Hitch ? Est-ce le verbe anglais to hitch : remuer par saccades ? Des saccades de questions ? Hitch, n'est-ce pas aussi le nom anglais pour désigner le crochet d'attelage ? la cheville ? le pivot ? Pivot ?
M'auriez-vous contaminé ? Est-ce vrai que le paradis que vous évoquez serait celui où l'on répondrait à toutes les questions ? Et l'enfer, le lieu maudit où on ne répondrait à aucune ? Est-ce à dessein qu'après le chapitre, La confession, L'enfer et le paradis, le titre du troisième chapitre se limite à un seul point d'interrogation sans le point d'interrogation renversé, comme sur la couverture ? Serait-ce parce que dans le dernier chapitre Manon 2 fait naître le point d'exclamation ? Tout comme, dans le dialogue dernier avec Manon, délicieusement atteinte de questionnite, s'instillent ces trois sortes de tirets, du plus grand au plus petit ? Le dernier, serait-il un magnifique trait d'union ? La vraie réponse ?
M'en voudrez-vous (beaucoup ?) si je m'émerveille de votre ponctuation, depuis le second point d'interrogation, sur la première de couverture, bien renversé pour ouvrir sur le mode typographique espagnol votre livre questionnant, jusqu'à la dernière question des séries de questions sans réponse ? «Seigneur, le monde a-t-il eu un commencement et sera-t-il sans fin ?» Vouliez-vous rattraper ce point perdu lors de votre concours de journaliste (17 : 18-1 ?) parce que vous ne posiez pas une dernière question : «Pourquoi 18 ?» ? Donc ici : 20 / 20 ?
Me le reprocherez-vous si je prends plaisir à rappeler que les imprimeurs ont repris à leur compte les signes des humanistes italiens - un humaniste, c'est bien ce que vous êtes ? - tels que le point d'interrogation, issu du point interrogeant et du point suppliant en usage en Italie au XIVe siècle, et que le point d'exclamation a longtemps été appelé le point d'admiration ou le point admiratif, sans oublier, pour marquer la grande émotion, le point pathétique ?
Enfin, vous souvenez-vous que dans Les Copains, vers la fin du roman, à propos de «points de morale», ce sont justement «ces questions si particulières» qui «ont paru devenir le pivot...» ? Alors, nous offrirez-vous une suite à ces pensées pétillantes ? Pouvons-nous vous en prier ? Vous laisserez-nous en enfer ? Soumis à la question, sans réponse à nos remerciements du vif plaisir, philosophique, que vous nous avez donné ?

Jean Pruvost


Courier des auteurs le 23/01/2013

«Le choix des mots» par Jean Pruvost, grand amoureux des mots...

Cher Bernard Pivot,

Point d'interrogation ? Ou plutôt que des interrogations ? Puis-je vous questionner ? Oui, mais quelle est la question ? Est-ce bien le titre que vous avez choisi pour votre dernier livre 2012 : «Oui, mais quelle est la question ?» ? Y répondez-vous par le bandeau ? Roman ou autobiographie ? Est-ce vous qui avez choisi d'y faire figurer votre photographie, lunettes et sourire malicieusement interrogatif ? La questionnite, dont vous ou bien votre personnage Adam Hitch vous dites être chroniquement atteint, est-elle oralement transmissible ? Pourquoi Adam ? Parce que c'est le premier à poser des questions à Ève-Manon ? Hitch ? Est-ce le verbe anglais to hitch : remuer par saccades ? Des saccades de questions ? Hitch, n'est-ce pas aussi le nom anglais pour désigner le crochet d'attelage ? la cheville ? le pivot ? Pivot ?
M'auriez-vous contaminé ? Est-ce vrai que le paradis que vous évoquez serait celui où l'on répondrait à toutes les questions ? Et l'enfer, le lieu maudit où on ne répondrait à aucune ? Est-ce à dessein qu'après le chapitre, La confession, L'enfer et le paradis, le titre du troisième chapitre se limite à un seul point d'interrogation sans le point d'interrogation renversé, comme sur la couverture ? Serait-ce parce que dans le dernier chapitre Manon 2 fait naître le point d'exclamation ? Tout comme, dans le dialogue dernier avec Manon, délicieusement atteinte de questionnite, s'instillent ces trois sortes de tirets, du plus grand au plus petit ? Le dernier, serait-il un magnifique trait d'union ? La vraie réponse ?
M'en voudrez-vous (beaucoup ?) si je m'émerveille de votre ponctuation, depuis le second point d'interrogation, sur la première de couverture, bien renversé pour ouvrir sur le mode typographique espagnol votre livre questionnant, jusqu'à la dernière question des séries de questions sans réponse ? «Seigneur, le monde a-t-il eu un commencement et sera-t-il sans fin ?» Vouliez-vous rattraper ce point perdu lors de votre concours de journaliste (17 : 18-1 ?) parce que vous ne posiez pas une dernière question : «Pourquoi 18 ?» ? Donc ici : 20 / 20 ?
Me le reprocherez-vous si je prends plaisir à rappeler que les imprimeurs ont repris à leur compte les signes des humanistes italiens - un humaniste, c'est bien ce que vous êtes ? - tels que le point d'interrogation, issu du point interrogeant et du point suppliant en usage en Italie au XIVe siècle, et que le point d'exclamation a longtemps été appelé le point d'admiration ou le point admiratif, sans oublier, pour marquer la grande émotion, le point pathétique ?
Enfin, vous souvenez-vous que dans Les Copains, vers la fin du roman, à propos de «points de morale», ce sont justement «ces questions si particulières» qui «ont paru devenir le pivot...» ? Alors, nous offrirez-vous une suite à ces pensées pétillantes ? Pouvons-nous vous en prier ? Vous laisserez-nous en enfer ? Soumis à la question, sans réponse à nos remerciements du vif plaisir, philosophique, que vous nous avez donné ?

Jean Pruvost


Courier des auteurs le 23/01/2013

«Le choix des mots» par Jean Pruvost, grand amoureux des mots...

Cher Bernard Pivot,

Point d'interrogation ? Ou plutôt que des interrogations ? Puis-je vous questionner ? Oui, mais quelle est la question ? Est-ce bien le titre que vous avez choisi pour votre dernier livre 2012 : «Oui, mais quelle est la question ?» ? Y répondez-vous par le bandeau ? Roman ou autobiographie ? Est-ce vous qui avez choisi d'y faire figurer votre photographie, lunettes et sourire malicieusement interrogatif ? La questionnite, dont vous ou bien votre personnage Adam Hitch vous dites être chroniquement atteint, est-elle oralement transmissible ? Pourquoi Adam ? Parce que c'est le premier à poser des questions à Ève-Manon ? Hitch ? Est-ce le verbe anglais to hitch : remuer par saccades ? Des saccades de questions ? Hitch, n'est-ce pas aussi le nom anglais pour désigner le crochet d'attelage ? la cheville ? le pivot ? Pivot ?
M'auriez-vous contaminé ? Est-ce vrai que le paradis que vous évoquez serait celui où l'on répondrait à toutes les questions ? Et l'enfer, le lieu maudit où on ne répondrait à aucune ? Est-ce à dessein qu'après le chapitre, La confession, L'enfer et le paradis, le titre du troisième chapitre se limite à un seul point d'interrogation sans le point d'interrogation renversé, comme sur la couverture ? Serait-ce parce que dans le dernier chapitre Manon 2 fait naître le point d'exclamation ? Tout comme, dans le dialogue dernier avec Manon, délicieusement atteinte de questionnite, s'instillent ces trois sortes de tirets, du plus grand au plus petit ? Le dernier, serait-il un magnifique trait d'union ? La vraie réponse ?
M'en voudrez-vous (beaucoup ?) si je m'émerveille de votre ponctuation, depuis le second point d'interrogation, sur la première de couverture, bien renversé pour ouvrir sur le mode typographique espagnol votre livre questionnant, jusqu'à la dernière question des séries de questions sans réponse ? «Seigneur, le monde a-t-il eu un commencement et sera-t-il sans fin ?» Vouliez-vous rattraper ce point perdu lors de votre concours de journaliste (17 : 18-1 ?) parce que vous ne posiez pas une dernière question : «Pourquoi 18 ?» ? Donc ici : 20 / 20 ?
Me le reprocherez-vous si je prends plaisir à rappeler que les imprimeurs ont repris à leur compte les signes des humanistes italiens - un humaniste, c'est bien ce que vous êtes ? - tels que le point d'interrogation, issu du point interrogeant et du point suppliant en usage en Italie au XIVe siècle, et que le point d'exclamation a longtemps été appelé le point d'admiration ou le point admiratif, sans oublier, pour marquer la grande émotion, le point pathétique ?
Enfin, vous souvenez-vous que dans Les Copains, vers la fin du roman, à propos de «points de morale», ce sont justement «ces questions si particulières» qui «ont paru devenir le pivot...» ? Alors, nous offrirez-vous une suite à ces pensées pétillantes ? Pouvons-nous vous en prier ? Vous laisserez-nous en enfer ? Soumis à la question, sans réponse à nos remerciements du vif plaisir, philosophique, que vous nous avez donné ?

Jean Pruvost


Courier des auteurs le 23/01/2013

«Le choix des mots» par Jean Pruvost, grand amoureux des mots...

Cher Bernard Pivot,

Point d'interrogation ? Ou plutôt que des interrogations ? Puis-je vous questionner ? Oui, mais quelle est la question ? Est-ce bien le titre que vous avez choisi pour votre dernier livre 2012 : «Oui, mais quelle est la question ?» ? Y répondez-vous par le bandeau ? Roman ou autobiographie ? Est-ce vous qui avez choisi d'y faire figurer votre photographie, lunettes et sourire malicieusement interrogatif ? La questionnite, dont vous ou bien votre personnage Adam Hitch vous dites être chroniquement atteint, est-elle oralement transmissible ? Pourquoi Adam ? Parce que c'est le premier à poser des questions à Ève-Manon ? Hitch ? Est-ce le verbe anglais to hitch : remuer par saccades ? Des saccades de questions ? Hitch, n'est-ce pas aussi le nom anglais pour désigner le crochet d'attelage ? la cheville ? le pivot ? Pivot ?
M'auriez-vous contaminé ? Est-ce vrai que le paradis que vous évoquez serait celui où l'on répondrait à toutes les questions ? Et l'enfer, le lieu maudit où on ne répondrait à aucune ? Est-ce à dessein qu'après le chapitre, La confession, L'enfer et le paradis, le titre du troisième chapitre se limite à un seul point d'interrogation sans le point d'interrogation renversé, comme sur la couverture ? Serait-ce parce que dans le dernier chapitre Manon 2 fait naître le point d'exclamation ? Tout comme, dans le dialogue dernier avec Manon, délicieusement atteinte de questionnite, s'instillent ces trois sortes de tirets, du plus grand au plus petit ? Le dernier, serait-il un magnifique trait d'union ? La vraie réponse ?
M'en voudrez-vous (beaucoup ?) si je m'émerveille de votre ponctuation, depuis le second point d'interrogation, sur la première de couverture, bien renversé pour ouvrir sur le mode typographique espagnol votre livre questionnant, jusqu'à la dernière question des séries de questions sans réponse ? «Seigneur, le monde a-t-il eu un commencement et sera-t-il sans fin ?» Vouliez-vous rattraper ce point perdu lors de votre concours de journaliste (17 : 18-1 ?) parce que vous ne posiez pas une dernière question : «Pourquoi 18 ?» ? Donc ici : 20 / 20 ?
Me le reprocherez-vous si je prends plaisir à rappeler que les imprimeurs ont repris à leur compte les signes des humanistes italiens - un humaniste, c'est bien ce que vous êtes ? - tels que le point d'interrogation, issu du point interrogeant et du point suppliant en usage en Italie au XIVe siècle, et que le point d'exclamation a longtemps été appelé le point d'admiration ou le point admiratif, sans oublier, pour marquer la grande émotion, le point pathétique ?
Enfin, vous souvenez-vous que dans Les Copains, vers la fin du roman, à propos de «points de morale», ce sont justement «ces questions si particulières» qui «ont paru devenir le pivot...» ? Alors, nous offrirez-vous une suite à ces pensées pétillantes ? Pouvons-nous vous en prier ? Vous laisserez-nous en enfer ? Soumis à la question, sans réponse à nos remerciements du vif plaisir, philosophique, que vous nous avez donné ?

Jean Pruvost


Courier des auteurs le 23/01/2013

«Le choix des mots» par Jean Pruvost, grand amoureux des mots...

Cher Bernard Pivot,

Point d'interrogation ? Ou plutôt que des interrogations ? Puis-je vous questionner ? Oui, mais quelle est la question ? Est-ce bien le titre que vous avez choisi pour votre dernier livre 2012 : «Oui, mais quelle est la question ?» ? Y répondez-vous par le bandeau ? Roman ou autobiographie ? Est-ce vous qui avez choisi d'y faire figurer votre photographie, lunettes et sourire malicieusement interrogatif ? La questionnite, dont vous ou bien votre personnage Adam Hitch vous dites être chroniquement atteint, est-elle oralement transmissible ? Pourquoi Adam ? Parce que c'est le premier à poser des questions à Ève-Manon ? Hitch ? Est-ce le verbe anglais to hitch : remuer par saccades ? Des saccades de questions ? Hitch, n'est-ce pas aussi le nom anglais pour désigner le crochet d'attelage ? la cheville ? le pivot ? Pivot ?
M'auriez-vous contaminé ? Est-ce vrai que le paradis que vous évoquez serait celui où l'on répondrait à toutes les questions ? Et l'enfer, le lieu maudit où on ne répondrait à aucune ? Est-ce à dessein qu'après le chapitre, La confession, L'enfer et le paradis, le titre du troisième chapitre se limite à un seul point d'interrogation sans le point d'interrogation renversé, comme sur la couverture ? Serait-ce parce que dans le dernier chapitre Manon 2 fait naître le point d'exclamation ? Tout comme, dans le dialogue dernier avec Manon, délicieusement atteinte de questionnite, s'instillent ces trois sortes de tirets, du plus grand au plus petit ? Le dernier, serait-il un magnifique trait d'union ? La vraie réponse ?
M'en voudrez-vous (beaucoup ?) si je m'émerveille de votre ponctuation, depuis le second point d'interrogation, sur la première de couverture, bien renversé pour ouvrir sur le mode typographique espagnol votre livre questionnant, jusqu'à la dernière question des séries de questions sans réponse ? «Seigneur, le monde a-t-il eu un commencement et sera-t-il sans fin ?» Vouliez-vous rattraper ce point perdu lors de votre concours de journaliste (17 : 18-1 ?) parce que vous ne posiez pas une dernière question : «Pourquoi 18 ?» ? Donc ici : 20 / 20 ?
Me le reprocherez-vous si je prends plaisir à rappeler que les imprimeurs ont repris à leur compte les signes des humanistes italiens - un humaniste, c'est bien ce que vous êtes ? - tels que le point d'interrogation, issu du point interrogeant et du point suppliant en usage en Italie au XIVe siècle, et que le point d'exclamation a longtemps été appelé le point d'admiration ou le point admiratif, sans oublier, pour marquer la grande émotion, le point pathétique ?
Enfin, vous souvenez-vous que dans Les Copains, vers la fin du roman, à propos de «points de morale», ce sont justement «ces questions si particulières» qui «ont paru devenir le pivot...» ? Alors, nous offrirez-vous une suite à ces pensées pétillantes ? Pouvons-nous vous en prier ? Vous laisserez-nous en enfer ? Soumis à la question, sans réponse à nos remerciements du vif plaisir, philosophique, que vous nous avez donné ?

Jean Pruvost


Courier des auteurs le 23/01/2013

«Le choix des mots» par Jean Pruvost, grand amoureux des mots...

Cher Bernard Pivot,

Point d'interrogation ? Ou plutôt que des interrogations ? Puis-je vous questionner ? Oui, mais quelle est la question ? Est-ce bien le titre que vous avez choisi pour votre dernier livre 2012 : «Oui, mais quelle est la question ?» ? Y répondez-vous par le bandeau ? Roman ou autobiographie ? Est-ce vous qui avez choisi d'y faire figurer votre photographie, lunettes et sourire malicieusement interrogatif ? La questionnite, dont vous ou bien votre personnage Adam Hitch vous dites être chroniquement atteint, est-elle oralement transmissible ? Pourquoi Adam ? Parce que c'est le premier à poser des questions à Ève-Manon ? Hitch ? Est-ce le verbe anglais to hitch : remuer par saccades ? Des saccades de questions ? Hitch, n'est-ce pas aussi le nom anglais pour désigner le crochet d'attelage ? la cheville ? le pivot ? Pivot ?
M'auriez-vous contaminé ? Est-ce vrai que le paradis que vous évoquez serait celui où l'on répondrait à toutes les questions ? Et l'enfer, le lieu maudit où on ne répondrait à aucune ? Est-ce à dessein qu'après le chapitre, La confession, L'enfer et le paradis, le titre du troisième chapitre se limite à un seul point d'interrogation sans le point d'interrogation renversé, comme sur la couverture ? Serait-ce parce que dans le dernier chapitre Manon 2 fait naître le point d'exclamation ? Tout comme, dans le dialogue dernier avec Manon, délicieusement atteinte de questionnite, s'instillent ces trois sortes de tirets, du plus grand au plus petit ? Le dernier, serait-il un magnifique trait d'union ? La vraie réponse ?
M'en voudrez-vous (beaucoup ?) si je m'émerveille de votre ponctuation, depuis le second point d'interrogation, sur la première de couverture, bien renversé pour ouvrir sur le mode typographique espagnol votre livre questionnant, jusqu'à la dernière question des séries de questions sans réponse ? «Seigneur, le monde a-t-il eu un commencement et sera-t-il sans fin ?» Vouliez-vous rattraper ce point perdu lors de votre concours de journaliste (17 : 18-1 ?) parce que vous ne posiez pas une dernière question : «Pourquoi 18 ?» ? Donc ici : 20 / 20 ?
Me le reprocherez-vous si je prends plaisir à rappeler que les imprimeurs ont repris à leur compte les signes des humanistes italiens - un humaniste, c'est bien ce que vous êtes ? - tels que le point d'interrogation, issu du point interrogeant et du point suppliant en usage en Italie au XIVe siècle, et que le point d'exclamation a longtemps été appelé le point d'admiration ou le point admiratif, sans oublier, pour marquer la grande émotion, le point pathétique ?
Enfin, vous souvenez-vous que dans Les Copains, vers la fin du roman, à propos de «points de morale», ce sont justement «ces questions si particulières» qui «ont paru devenir le pivot...» ? Alors, nous offrirez-vous une suite à ces pensées pétillantes ? Pouvons-nous vous en prier ? Vous laisserez-nous en enfer ? Soumis à la question, sans réponse à nos remerciements du vif plaisir, philosophique, que vous nous avez donné ?

Jean Pruvost


Courier des auteurs le 23/01/2013

«Le choix des mots» par Jean Pruvost, grand amoureux des mots...

Cher Bernard Pivot,

Point d'interrogation ? Ou plutôt que des interrogations ? Puis-je vous questionner ? Oui, mais quelle est la question ? Est-ce bien le titre que vous avez choisi pour votre dernier livre 2012 : «Oui, mais quelle est la question ?» ? Y répondez-vous par le bandeau ? Roman ou autobiographie ? Est-ce vous qui avez choisi d'y faire figurer votre photographie, lunettes et sourire malicieusement interrogatif ? La questionnite, dont vous ou bien votre personnage Adam Hitch vous dites être chroniquement atteint, est-elle oralement transmissible ? Pourquoi Adam ? Parce que c'est le premier à poser des questions à Ève-Manon ? Hitch ? Est-ce le verbe anglais to hitch : remuer par saccades ? Des saccades de questions ? Hitch, n'est-ce pas aussi le nom anglais pour désigner le crochet d'attelage ? la cheville ? le pivot ? Pivot ?
M'auriez-vous contaminé ? Est-ce vrai que le paradis que vous évoquez serait celui où l'on répondrait à toutes les questions ? Et l'enfer, le lieu maudit où on ne répondrait à aucune ? Est-ce à dessein qu'après le chapitre, La confession, L'enfer et le paradis, le titre du troisième chapitre se limite à un seul point d'interrogation sans le point d'interrogation renversé, comme sur la couverture ? Serait-ce parce que dans le dernier chapitre Manon 2 fait naître le point d'exclamation ? Tout comme, dans le dialogue dernier avec Manon, délicieusement atteinte de questionnite, s'instillent ces trois sortes de tirets, du plus grand au plus petit ? Le dernier, serait-il un magnifique trait d'union ? La vraie réponse ?
M'en voudrez-vous (beaucoup ?) si je m'émerveille de votre ponctuation, depuis le second point d'interrogation, sur la première de couverture, bien renversé pour ouvrir sur le mode typographique espagnol votre livre questionnant, jusqu'à la dernière question des séries de questions sans réponse ? «Seigneur, le monde a-t-il eu un commencement et sera-t-il sans fin ?» Vouliez-vous rattraper ce point perdu lors de votre concours de journaliste (17 : 18-1 ?) parce que vous ne posiez pas une dernière question : «Pourquoi 18 ?» ? Donc ici : 20 / 20 ?
Me le reprocherez-vous si je prends plaisir à rappeler que les imprimeurs ont repris à leur compte les signes des humanistes italiens - un humaniste, c'est bien ce que vous êtes ? - tels que le point d'interrogation, issu du point interrogeant et du point suppliant en usage en Italie au XIVe siècle, et que le point d'exclamation a longtemps été appelé le point d'admiration ou le point admiratif, sans oublier, pour marquer la grande émotion, le point pathétique ?
Enfin, vous souvenez-vous que dans Les Copains, vers la fin du roman, à propos de «points de morale», ce sont justement «ces questions si particulières» qui «ont paru devenir le pivot...» ? Alors, nous offrirez-vous une suite à ces pensées pétillantes ? Pouvons-nous vous en prier ? Vous laisserez-nous en enfer ? Soumis à la question, sans réponse à nos remerciements du vif plaisir, philosophique, que vous nous avez donné ?

Jean Pruvost

La revue de presse : Jean Birnbaum - Le Monde du 4 octobre 2012

Voilà un homme qui a tout l'air d'un point d'interrogation. Rien d'étonnant quand on sait que, depuis toujours, ce signe de ponctuation rythme son quotidien. Petit, déjà, Bernard Pivot en dessinait à profusion, certains en forme de crochet, d'autres en forme d'hameçon, avant de les lancer à ses proches (à ses parents, ses copains, et jusqu'à son confesseur) pour les piquer de sa curiosité...
Et pourtant, à la lecture de son nouveau livre, Oui, mais quelle est la question ? (Nil, 280 p., 19 €), on comprend que, chez lui, l'amour du point d'interrogation relève autant d'un style d'existence que de l'étonnement philosophique.

La revue de presse : Françoise Dargent - Le Figaro du 4 octobre 2012

Après Les Mots de ma vie, en 2011, qui dévoilait l'homme sous la forme d'un abécédaire, son tout dernier ouvrage Oui, mais quelle est la question ? a également des accents intimes. Pivot intronise le journaliste Adam Hitch, que l'on peut voir comme un avatar de l'auteur, qui ne cesse de se poser des questions, aux dépens de sa vie privée. En préambule figurent quatre citations, un joyeux fourre-tout où l'on retrouve Woody Allen, Cioran, Frédéric Dard et Patrick Besson.

La revue de presse : François Busnel - L'Express, octobre 2012

Qu'y a-t-il dans la tête d'un intervieweur ? Des questions. Toujours des questions. Encore des questions. Bernard Pivot, avec la malice et l'énergie qui le caractérisent, nous offre un livre réjouissant, dont on se demande, d'emblée, s'il est un roman ou une autobiographie. L'intéressé lui-même doit se poser la question. Disons, pour faire court, qu'il s'agit d'une sotie, et que c'est très réussi...
Avec cette fable virevoltante, Bernard Pivot rappelle que bien vivre consiste à poser des questions plus qu'à asséner des réponses. On ne peut que suivre son exemple, non ?

La revue de presse : Jérôme Garcin - Le Nouvel Observateur du 20 septembre 2012

Dans un livre qui tient de la fable et de la sotie, où tout est faux, où tout est vrai, l'ex-animateur de «Ah, vous écrivez ?» donne la parole à son double, Adam Hitch. Ce personnage qu'on croirait sorti d'une nouvelle de Vialatte ou d'un dessin de Sempé est sujet, depuis son enfance, à une épuisante et incurable maladie : la questionnite...
Un homme qui, à 77 ans, se demande encore pourquoi le ciel et la mer sont bleus a mérité de garder son âme d'enfant. Ce que Bernard Pivot dit des mots - «de jolis appâts qui cachent des hameçons» vaut pour ce livre en trompe-l'oeil où les vraies réponses sont dans les questions comme les perles dans les huîtres.


La revue de presse : Jean Birnbaum - Le Monde du 4 octobre 2012

Voilà un homme qui a tout l'air d'un point d'interrogation. Rien d'étonnant quand on sait que, depuis toujours, ce signe de ponctuation rythme son quotidien. Petit, déjà, Bernard Pivot en dessinait à profusion, certains en forme de crochet, d'autres en forme d'hameçon, avant de les lancer à ses proches (à ses parents, ses copains, et jusqu'à son confesseur) pour les piquer de sa curiosité...
Et pourtant, à la lecture de son nouveau livre, Oui, mais quelle est la question ? (Nil, 280 p., 19 €), on comprend que, chez lui, l'amour du point d'interrogation relève autant d'un style d'existence que de l'étonnement philosophique.

La revue de presse : Françoise Dargent - Le Figaro du 4 octobre 2012

Après Les Mots de ma vie, en 2011, qui dévoilait l'homme sous la forme d'un abécédaire, son tout dernier ouvrage Oui, mais quelle est la question ? a également des accents intimes. Pivot intronise le journaliste Adam Hitch, que l'on peut voir comme un avatar de l'auteur, qui ne cesse de se poser des questions, aux dépens de sa vie privée. En préambule figurent quatre citations, un joyeux fourre-tout où l'on retrouve Woody Allen, Cioran, Frédéric Dard et Patrick Besson.

La revue de presse : François Busnel - L'Express, octobre 2012

Qu'y a-t-il dans la tête d'un intervieweur ? Des questions. Toujours des questions. Encore des questions. Bernard Pivot, avec la malice et l'énergie qui le caractérisent, nous offre un livre réjouissant, dont on se demande, d'emblée, s'il est un roman ou une autobiographie. L'intéressé lui-même doit se poser la question. Disons, pour faire court, qu'il s'agit d'une sotie, et que c'est très réussi...
Avec cette fable virevoltante, Bernard Pivot rappelle que bien vivre consiste à poser des questions plus qu'à asséner des réponses. On ne peut que suivre son exemple, non ?

La revue de presse : Jérôme Garcin - Le Nouvel Observateur du 20 septembre 2012

Dans un livre qui tient de la fable et de la sotie, où tout est faux, où tout est vrai, l'ex-animateur de «Ah, vous écrivez ?» donne la parole à son double, Adam Hitch. Ce personnage qu'on croirait sorti d'une nouvelle de Vialatte ou d'un dessin de Sempé est sujet, depuis son enfance, à une épuisante et incurable maladie : la questionnite...
Un homme qui, à 77 ans, se demande encore pourquoi le ciel et la mer sont bleus a mérité de garder son âme d'enfant. Ce que Bernard Pivot dit des mots - «de jolis appâts qui cachent des hameçons» vaut pour ce livre en trompe-l'oeil où les vraies réponses sont dans les questions comme les perles dans les huîtres.


La revue de presse : Jean Birnbaum - Le Monde du 4 octobre 2012

Voilà un homme qui a tout l'air d'un point d'interrogation. Rien d'étonnant quand on sait que, depuis toujours, ce signe de ponctuation rythme son quotidien. Petit, déjà, Bernard Pivot en dessinait à profusion, certains en forme de crochet, d'autres en forme d'hameçon, avant de les lancer à ses proches (à ses parents, ses copains, et jusqu'à son confesseur) pour les piquer de sa curiosité...
Et pourtant, à la lecture de son nouveau livre, Oui, mais quelle est la question ? (Nil, 280 p., 19 €), on comprend que, chez lui, l'amour du point d'interrogation relève autant d'un style d'existence que de l'étonnement philosophique.

La revue de presse : Françoise Dargent - Le Figaro du 4 octobre 2012

Après Les Mots de ma vie, en 2011, qui dévoilait l'homme sous la forme d'un abécédaire, son tout dernier ouvrage Oui, mais quelle est la question ? a également des accents intimes. Pivot intronise le journaliste Adam Hitch, que l'on peut voir comme un avatar de l'auteur, qui ne cesse de se poser des questions, aux dépens de sa vie privée. En préambule figurent quatre citations, un joyeux fourre-tout où l'on retrouve Woody Allen, Cioran, Frédéric Dard et Patrick Besson.

La revue de presse : François Busnel - L'Express, octobre 2012

Qu'y a-t-il dans la tête d'un intervieweur ? Des questions. Toujours des questions. Encore des questions. Bernard Pivot, avec la malice et l'énergie qui le caractérisent, nous offre un livre réjouissant, dont on se demande, d'emblée, s'il est un roman ou une autobiographie. L'intéressé lui-même doit se poser la question. Disons, pour faire court, qu'il s'agit d'une sotie, et que c'est très réussi...
Avec cette fable virevoltante, Bernard Pivot rappelle que bien vivre consiste à poser des questions plus qu'à asséner des réponses. On ne peut que suivre son exemple, non ?

La revue de presse : Jérôme Garcin - Le Nouvel Observateur du 20 septembre 2012

Dans un livre qui tient de la fable et de la sotie, où tout est faux, où tout est vrai, l'ex-animateur de «Ah, vous écrivez ?» donne la parole à son double, Adam Hitch. Ce personnage qu'on croirait sorti d'une nouvelle de Vialatte ou d'un dessin de Sempé est sujet, depuis son enfance, à une épuisante et incurable maladie : la questionnite...
Un homme qui, à 77 ans, se demande encore pourquoi le ciel et la mer sont bleus a mérité de garder son âme d'enfant. Ce que Bernard Pivot dit des mots - «de jolis appâts qui cachent des hameçons» vaut pour ce livre en trompe-l'oeil où les vraies réponses sont dans les questions comme les perles dans les huîtres.


La revue de presse : Jean Birnbaum - Le Monde du 4 octobre 2012

Voilà un homme qui a tout l'air d'un point d'interrogation. Rien d'étonnant quand on sait que, depuis toujours, ce signe de ponctuation rythme son quotidien. Petit, déjà, Bernard Pivot en dessinait à profusion, certains en forme de crochet, d'autres en forme d'hameçon, avant de les lancer à ses proches (à ses parents, ses copains, et jusqu'à son confesseur) pour les piquer de sa curiosité...
Et pourtant, à la lecture de son nouveau livre, Oui, mais quelle est la question ? (Nil, 280 p., 19 €), on comprend que, chez lui, l'amour du point d'interrogation relève autant d'un style d'existence que de l'étonnement philosophique.

La revue de presse : Françoise Dargent - Le Figaro du 4 octobre 2012

Après Les Mots de ma vie, en 2011, qui dévoilait l'homme sous la forme d'un abécédaire, son tout dernier ouvrage Oui, mais quelle est la question ? a également des accents intimes. Pivot intronise le journaliste Adam Hitch, que l'on peut voir comme un avatar de l'auteur, qui ne cesse de se poser des questions, aux dépens de sa vie privée. En préambule figurent quatre citations, un joyeux fourre-tout où l'on retrouve Woody Allen, Cioran, Frédéric Dard et Patrick Besson.

La revue de presse : François Busnel - L'Express, octobre 2012

Qu'y a-t-il dans la tête d'un intervieweur ? Des questions. Toujours des questions. Encore des questions. Bernard Pivot, avec la malice et l'énergie qui le caractérisent, nous offre un livre réjouissant, dont on se demande, d'emblée, s'il est un roman ou une autobiographie. L'intéressé lui-même doit se poser la question. Disons, pour faire court, qu'il s'agit d'une sotie, et que c'est très réussi...
Avec cette fable virevoltante, Bernard Pivot rappelle que bien vivre consiste à poser des questions plus qu'à asséner des réponses. On ne peut que suivre son exemple, non ?

La revue de presse : Jérôme Garcin - Le Nouvel Observateur du 20 septembre 2012

Dans un livre qui tient de la fable et de la sotie, où tout est faux, où tout est vrai, l'ex-animateur de «Ah, vous écrivez ?» donne la parole à son double, Adam Hitch. Ce personnage qu'on croirait sorti d'une nouvelle de Vialatte ou d'un dessin de Sempé est sujet, depuis son enfance, à une épuisante et incurable maladie : la questionnite...
Un homme qui, à 77 ans, se demande encore pourquoi le ciel et la mer sont bleus a mérité de garder son âme d'enfant. Ce que Bernard Pivot dit des mots - «de jolis appâts qui cachent des hameçons» vaut pour ce livre en trompe-l'oeil où les vraies réponses sont dans les questions comme les perles dans les huîtres.


La revue de presse : Jean Birnbaum - Le Monde du 4 octobre 2012

Voilà un homme qui a tout l'air d'un point d'interrogation. Rien d'étonnant quand on sait que, depuis toujours, ce signe de ponctuation rythme son quotidien. Petit, déjà, Bernard Pivot en dessinait à profusion, certains en forme de crochet, d'autres en forme d'hameçon, avant de les lancer à ses proches (à ses parents, ses copains, et jusqu'à son confesseur) pour les piquer de sa curiosité...
Et pourtant, à la lecture de son nouveau livre, Oui, mais quelle est la question ? (Nil, 280 p., 19 €), on comprend que, chez lui, l'amour du point d'interrogation relève autant d'un style d'existence que de l'étonnement philosophique.

La revue de presse : Françoise Dargent - Le Figaro du 4 octobre 2012

Après Les Mots de ma vie, en 2011, qui dévoilait l'homme sous la forme d'un abécédaire, son tout dernier ouvrage Oui, mais quelle est la question ? a également des accents intimes. Pivot intronise le journaliste Adam Hitch, que l'on peut voir comme un avatar de l'auteur, qui ne cesse de se poser des questions, aux dépens de sa vie privée. En préambule figurent quatre citations, un joyeux fourre-tout où l'on retrouve Woody Allen, Cioran, Frédéric Dard et Patrick Besson.

La revue de presse : François Busnel - L'Express, octobre 2012

Qu'y a-t-il dans la tête d'un intervieweur ? Des questions. Toujours des questions. Encore des questions. Bernard Pivot, avec la malice et l'énergie qui le caractérisent, nous offre un livre réjouissant, dont on se demande, d'emblée, s'il est un roman ou une autobiographie. L'intéressé lui-même doit se poser la question. Disons, pour faire court, qu'il s'agit d'une sotie, et que c'est très réussi...
Avec cette fable virevoltante, Bernard Pivot rappelle que bien vivre consiste à poser des questions plus qu'à asséner des réponses. On ne peut que suivre son exemple, non ?

La revue de presse : Jérôme Garcin - Le Nouvel Observateur du 20 septembre 2012

Dans un livre qui tient de la fable et de la sotie, où tout est faux, où tout est vrai, l'ex-animateur de «Ah, vous écrivez ?» donne la parole à son double, Adam Hitch. Ce personnage qu'on croirait sorti d'une nouvelle de Vialatte ou d'un dessin de Sempé est sujet, depuis son enfance, à une épuisante et incurable maladie : la questionnite...
Un homme qui, à 77 ans, se demande encore pourquoi le ciel et la mer sont bleus a mérité de garder son âme d'enfant. Ce que Bernard Pivot dit des mots - «de jolis appâts qui cachent des hameçons» vaut pour ce livre en trompe-l'oeil où les vraies réponses sont dans les questions comme les perles dans les huîtres.

Woody Allen

La revue de presse : Jean Birnbaum - Le Monde du 4 octobre 2012

Voilà un homme qui a tout l'air d'un point d'interrogation. Rien d'étonnant quand on sait que, depuis toujours, ce signe de ponctuation rythme son quotidien. Petit, déjà, Bernard Pivot en dessinait à profusion, certains en forme de crochet, d'autres en forme d'hameçon, avant de les lancer à ses proches (à ses parents, ses copains, et jusqu'à son confesseur) pour les piquer de sa curiosité...
Et pourtant, à la lecture de son nouveau livre, Oui, mais quelle est la question ? (Nil, 280 p., 19 €), on comprend que, chez lui, l'amour du point d'interrogation relève autant d'un style d'existence que de l'étonnement philosophique.

La revue de presse : Françoise Dargent - Le Figaro du 4 octobre 2012

Après Les Mots de ma vie, en 2011, qui dévoilait l'homme sous la forme d'un abécédaire, son tout dernier ouvrage Oui, mais quelle est la question ? a également des accents intimes. Pivot intronise le journaliste Adam Hitch, que l'on peut voir comme un avatar de l'auteur, qui ne cesse de se poser des questions, aux dépens de sa vie privée. En préambule figurent quatre citations, un joyeux fourre-tout où l'on retrouve Woody Allen, Cioran, Frédéric Dard et Patrick Besson.

La revue de presse : François Busnel - L'Express, octobre 2012

Qu'y a-t-il dans la tête d'un intervieweur ? Des questions. Toujours des questions. Encore des questions. Bernard Pivot, avec la malice et l'énergie qui le caractérisent, nous offre un livre réjouissant, dont on se demande, d'emblée, s'il est un roman ou une autobiographie. L'intéressé lui-même doit se poser la question. Disons, pour faire court, qu'il s'agit d'une sotie, et que c'est très réussi...
Avec cette fable virevoltante, Bernard Pivot rappelle que bien vivre consiste à poser des questions plus qu'à asséner des réponses. On ne peut que suivre son exemple, non ?

La revue de presse : Jérôme Garcin - Le Nouvel Observateur du 20 septembre 2012

Dans un livre qui tient de la fable et de la sotie, où tout est faux, où tout est vrai, l'ex-animateur de «Ah, vous écrivez ?» donne la parole à son double, Adam Hitch. Ce personnage qu'on croirait sorti d'une nouvelle de Vialatte ou d'un dessin de Sempé est sujet, depuis son enfance, à une épuisante et incurable maladie : la questionnite...
Un homme qui, à 77 ans, se demande encore pourquoi le ciel et la mer sont bleus a mérité de garder son âme d'enfant. Ce que Bernard Pivot dit des mots - «de jolis appâts qui cachent des hameçons» vaut pour ce livre en trompe-l'oeil où les vraies réponses sont dans les questions comme les perles dans les huîtres.


La revue de presse : Jean Birnbaum - Le Monde du 4 octobre 2012

Voilà un homme qui a tout l'air d'un point d'interrogation. Rien d'étonnant quand on sait que, depuis toujours, ce signe de ponctuation rythme son quotidien. Petit, déjà, Bernard Pivot en dessinait à profusion, certains en forme de crochet, d'autres en forme d'hameçon, avant de les lancer à ses proches (à ses parents, ses copains, et jusqu'à son confesseur) pour les piquer de sa curiosité...
Et pourtant, à la lecture de son nouveau livre, Oui, mais quelle est la question ? (Nil, 280 p., 19 €), on comprend que, chez lui, l'amour du point d'interrogation relève autant d'un style d'existence que de l'étonnement philosophique.

La revue de presse : Françoise Dargent - Le Figaro du 4 octobre 2012

Après Les Mots de ma vie, en 2011, qui dévoilait l'homme sous la forme d'un abécédaire, son tout dernier ouvrage Oui, mais quelle est la question ? a également des accents intimes. Pivot intronise le journaliste Adam Hitch, que l'on peut voir comme un avatar de l'auteur, qui ne cesse de se poser des questions, aux dépens de sa vie privée. En préambule figurent quatre citations, un joyeux fourre-tout où l'on retrouve Woody Allen, Cioran, Frédéric Dard et Patrick Besson.

La revue de presse : François Busnel - L'Express, octobre 2012

Qu'y a-t-il dans la tête d'un intervieweur ? Des questions. Toujours des questions. Encore des questions. Bernard Pivot, avec la malice et l'énergie qui le caractérisent, nous offre un livre réjouissant, dont on se demande, d'emblée, s'il est un roman ou une autobiographie. L'intéressé lui-même doit se poser la question. Disons, pour faire court, qu'il s'agit d'une sotie, et que c'est très réussi...
Avec cette fable virevoltante, Bernard Pivot rappelle que bien vivre consiste à poser des questions plus qu'à asséner des réponses. On ne peut que suivre son exemple, non ?

La revue de presse : Jérôme Garcin - Le Nouvel Observateur du 20 septembre 2012

Dans un livre qui tient de la fable et de la sotie, où tout est faux, où tout est vrai, l'ex-animateur de «Ah, vous écrivez ?» donne la parole à son double, Adam Hitch. Ce personnage qu'on croirait sorti d'une nouvelle de Vialatte ou d'un dessin de Sempé est sujet, depuis son enfance, à une épuisante et incurable maladie : la questionnite...
Un homme qui, à 77 ans, se demande encore pourquoi le ciel et la mer sont bleus a mérité de garder son âme d'enfant. Ce que Bernard Pivot dit des mots - «de jolis appâts qui cachent des hameçons» vaut pour ce livre en trompe-l'oeil où les vraies réponses sont dans les questions comme les perles dans les huîtres.


La revue de presse : Jean Birnbaum - Le Monde du 4 octobre 2012

Voilà un homme qui a tout l'air d'un point d'interrogation. Rien d'étonnant quand on sait que, depuis toujours, ce signe de ponctuation rythme son quotidien. Petit, déjà, Bernard Pivot en dessinait à profusion, certains en forme de crochet, d'autres en forme d'hameçon, avant de les lancer à ses proches (à ses parents, ses copains, et jusqu'à son confesseur) pour les piquer de sa curiosité...
Et pourtant, à la lecture de son nouveau livre, Oui, mais quelle est la question ? (Nil, 280 p., 19 €), on comprend que, chez lui, l'amour du point d'interrogation relève autant d'un style d'existence que de l'étonnement philosophique.

La revue de presse : Françoise Dargent - Le Figaro du 4 octobre 2012

Après Les Mots de ma vie, en 2011, qui dévoilait l'homme sous la forme d'un abécédaire, son tout dernier ouvrage Oui, mais quelle est la question ? a également des accents intimes. Pivot intronise le journaliste Adam Hitch, que l'on peut voir comme un avatar de l'auteur, qui ne cesse de se poser des questions, aux dépens de sa vie privée. En préambule figurent quatre citations, un joyeux fourre-tout où l'on retrouve Woody Allen, Cioran, Frédéric Dard et Patrick Besson.

La revue de presse : François Busnel - L'Express, octobre 2012

Qu'y a-t-il dans la tête d'un intervieweur ? Des questions. Toujours des questions. Encore des questions. Bernard Pivot, avec la malice et l'énergie qui le caractérisent, nous offre un livre réjouissant, dont on se demande, d'emblée, s'il est un roman ou une autobiographie. L'intéressé lui-même doit se poser la question. Disons, pour faire court, qu'il s'agit d'une sotie, et que c'est très réussi...
Avec cette fable virevoltante, Bernard Pivot rappelle que bien vivre consiste à poser des questions plus qu'à asséner des réponses. On ne peut que suivre son exemple, non ?

La revue de presse : Jérôme Garcin - Le Nouvel Observateur du 20 septembre 2012

Dans un livre qui tient de la fable et de la sotie, où tout est faux, où tout est vrai, l'ex-animateur de «Ah, vous écrivez ?» donne la parole à son double, Adam Hitch. Ce personnage qu'on croirait sorti d'une nouvelle de Vialatte ou d'un dessin de Sempé est sujet, depuis son enfance, à une épuisante et incurable maladie : la questionnite...
Un homme qui, à 77 ans, se demande encore pourquoi le ciel et la mer sont bleus a mérité de garder son âme d'enfant. Ce que Bernard Pivot dit des mots - «de jolis appâts qui cachent des hameçons» vaut pour ce livre en trompe-l'oeil où les vraies réponses sont dans les questions comme les perles dans les huîtres.


La revue de presse : Jean Birnbaum - Le Monde du 4 octobre 2012

Voilà un homme qui a tout l'air d'un point d'interrogation. Rien d'étonnant quand on sait que, depuis toujours, ce signe de ponctuation rythme son quotidien. Petit, déjà, Bernard Pivot en dessinait à profusion, certains en forme de crochet, d'autres en forme d'hameçon, avant de les lancer à ses proches (à ses parents, ses copains, et jusqu'à son confesseur) pour les piquer de sa curiosité...
Et pourtant, à la lecture de son nouveau livre, Oui, mais quelle est la question ? (Nil, 280 p., 19 €), on comprend que, chez lui, l'amour du point d'interrogation relève autant d'un style d'existence que de l'étonnement philosophique.

La revue de presse : Françoise Dargent - Le Figaro du 4 octobre 2012

Après Les Mots de ma vie, en 2011, qui dévoilait l'homme sous la forme d'un abécédaire, son tout dernier ouvrage Oui, mais quelle est la question ? a également des accents intimes. Pivot intronise le journaliste Adam Hitch, que l'on peut voir comme un avatar de l'auteur, qui ne cesse de se poser des questions, aux dépens de sa vie privée. En préambule figurent quatre citations, un joyeux fourre-tout où l'on retrouve Woody Allen, Cioran, Frédéric Dard et Patrick Besson.

La revue de presse : François Busnel - L'Express, octobre 2012

Qu'y a-t-il dans la tête d'un intervieweur ? Des questions. Toujours des questions. Encore des questions. Bernard Pivot, avec la malice et l'énergie qui le caractérisent, nous offre un livre réjouissant, dont on se demande, d'emblée, s'il est un roman ou une autobiographie. L'intéressé lui-même doit se poser la question. Disons, pour faire court, qu'il s'agit d'une sotie, et que c'est très réussi...
Avec cette fable virevoltante, Bernard Pivot rappelle que bien vivre consiste à poser des questions plus qu'à asséner des réponses. On ne peut que suivre son exemple, non ?

La revue de presse : Jérôme Garcin - Le Nouvel Observateur du 20 septembre 2012

Dans un livre qui tient de la fable et de la sotie, où tout est faux, où tout est vrai, l'ex-animateur de «Ah, vous écrivez ?» donne la parole à son double, Adam Hitch. Ce personnage qu'on croirait sorti d'une nouvelle de Vialatte ou d'un dessin de Sempé est sujet, depuis son enfance, à une épuisante et incurable maladie : la questionnite...
Un homme qui, à 77 ans, se demande encore pourquoi le ciel et la mer sont bleus a mérité de garder son âme d'enfant. Ce que Bernard Pivot dit des mots - «de jolis appâts qui cachent des hameçons» vaut pour ce livre en trompe-l'oeil où les vraies réponses sont dans les questions comme les perles dans les huîtres.


La revue de presse : Jean Birnbaum - Le Monde du 4 octobre 2012

Voilà un homme qui a tout l'air d'un point d'interrogation. Rien d'étonnant quand on sait que, depuis toujours, ce signe de ponctuation rythme son quotidien. Petit, déjà, Bernard Pivot en dessinait à profusion, certains en forme de crochet, d'autres en forme d'hameçon, avant de les lancer à ses proches (à ses parents, ses copains, et jusqu'à son confesseur) pour les piquer de sa curiosité...
Et pourtant, à la lecture de son nouveau livre, Oui, mais quelle est la question ? (Nil, 280 p., 19 €), on comprend que, chez lui, l'amour du point d'interrogation relève autant d'un style d'existence que de l'étonnement philosophique.

La revue de presse : Françoise Dargent - Le Figaro du 4 octobre 2012

Après Les Mots de ma vie, en 2011, qui dévoilait l'homme sous la forme d'un abécédaire, son tout dernier ouvrage Oui, mais quelle est la question ? a également des accents intimes. Pivot intronise le journaliste Adam Hitch, que l'on peut voir comme un avatar de l'auteur, qui ne cesse de se poser des questions, aux dépens de sa vie privée. En préambule figurent quatre citations, un joyeux fourre-tout où l'on retrouve Woody Allen, Cioran, Frédéric Dard et Patrick Besson.

La revue de presse : François Busnel - L'Express, octobre 2012

Qu'y a-t-il dans la tête d'un intervieweur ? Des questions. Toujours des questions. Encore des questions. Bernard Pivot, avec la malice et l'énergie qui le caractérisent, nous offre un livre réjouissant, dont on se demande, d'emblée, s'il est un roman ou une autobiographie. L'intéressé lui-même doit se poser la question. Disons, pour faire court, qu'il s'agit d'une sotie, et que c'est très réussi...
Avec cette fable virevoltante, Bernard Pivot rappelle que bien vivre consiste à poser des questions plus qu'à asséner des réponses. On ne peut que suivre son exemple, non ?

La revue de presse : Jérôme Garcin - Le Nouvel Observateur du 20 septembre 2012

Dans un livre qui tient de la fable et de la sotie, où tout est faux, où tout est vrai, l'ex-animateur de «Ah, vous écrivez ?» donne la parole à son double, Adam Hitch. Ce personnage qu'on croirait sorti d'une nouvelle de Vialatte ou d'un dessin de Sempé est sujet, depuis son enfance, à une épuisante et incurable maladie : la questionnite...
Un homme qui, à 77 ans, se demande encore pourquoi le ciel et la mer sont bleus a mérité de garder son âme d'enfant. Ce que Bernard Pivot dit des mots - «de jolis appâts qui cachent des hameçons» vaut pour ce livre en trompe-l'oeil où les vraies réponses sont dans les questions comme les perles dans les huîtres.


La revue de presse : Jean Birnbaum - Le Monde du 4 octobre 2012

Voilà un homme qui a tout l'air d'un point d'interrogation. Rien d'étonnant quand on sait que, depuis toujours, ce signe de ponctuation rythme son quotidien. Petit, déjà, Bernard Pivot en dessinait à profusion, certains en forme de crochet, d'autres en forme d'hameçon, avant de les lancer à ses proches (à ses parents, ses copains, et jusqu'à son confesseur) pour les piquer de sa curiosité...
Et pourtant, à la lecture de son nouveau livre, Oui, mais quelle est la question ? (Nil, 280 p., 19 €), on comprend que, chez lui, l'amour du point d'interrogation relève autant d'un style d'existence que de l'étonnement philosophique.

La revue de presse : Françoise Dargent - Le Figaro du 4 octobre 2012

Après Les Mots de ma vie, en 2011, qui dévoilait l'homme sous la forme d'un abécédaire, son tout dernier ouvrage Oui, mais quelle est la question ? a également des accents intimes. Pivot intronise le journaliste Adam Hitch, que l'on peut voir comme un avatar de l'auteur, qui ne cesse de se poser des questions, aux dépens de sa vie privée. En préambule figurent quatre citations, un joyeux fourre-tout où l'on retrouve Woody Allen, Cioran, Frédéric Dard et Patrick Besson.

La revue de presse : François Busnel - L'Express, octobre 2012

Qu'y a-t-il dans la tête d'un intervieweur ? Des questions. Toujours des questions. Encore des questions. Bernard Pivot, avec la malice et l'énergie qui le caractérisent, nous offre un livre réjouissant, dont on se demande, d'emblée, s'il est un roman ou une autobiographie. L'intéressé lui-même doit se poser la question. Disons, pour faire court, qu'il s'agit d'une sotie, et que c'est très réussi...
Avec cette fable virevoltante, Bernard Pivot rappelle que bien vivre consiste à poser des questions plus qu'à asséner des réponses. On ne peut que suivre son exemple, non ?

La revue de presse : Jérôme Garcin - Le Nouvel Observateur du 20 septembre 2012

Dans un livre qui tient de la fable et de la sotie, où tout est faux, où tout est vrai, l'ex-animateur de «Ah, vous écrivez ?» donne la parole à son double, Adam Hitch. Ce personnage qu'on croirait sorti d'une nouvelle de Vialatte ou d'un dessin de Sempé est sujet, depuis son enfance, à une épuisante et incurable maladie : la questionnite...
Un homme qui, à 77 ans, se demande encore pourquoi le ciel et la mer sont bleus a mérité de garder son âme d'enfant. Ce que Bernard Pivot dit des mots - «de jolis appâts qui cachent des hameçons» vaut pour ce livre en trompe-l'oeil où les vraies réponses sont dans les questions comme les perles dans les huîtres.


La revue de presse : Jean Birnbaum - Le Monde du 4 octobre 2012

Voilà un homme qui a tout l'air d'un point d'interrogation. Rien d'étonnant quand on sait que, depuis toujours, ce signe de ponctuation rythme son quotidien. Petit, déjà, Bernard Pivot en dessinait à profusion, certains en forme de crochet, d'autres en forme d'hameçon, avant de les lancer à ses proches (à ses parents, ses copains, et jusqu'à son confesseur) pour les piquer de sa curiosité...
Et pourtant, à la lecture de son nouveau livre, Oui, mais quelle est la question ? (Nil, 280 p., 19 €), on comprend que, chez lui, l'amour du point d'interrogation relève autant d'un style d'existence que de l'étonnement philosophique.

La revue de presse : Françoise Dargent - Le Figaro du 4 octobre 2012

Après Les Mots de ma vie, en 2011, qui dévoilait l'homme sous la forme d'un abécédaire, son tout dernier ouvrage Oui, mais quelle est la question ? a également des accents intimes. Pivot intronise le journaliste Adam Hitch, que l'on peut voir comme un avatar de l'auteur, qui ne cesse de se poser des questions, aux dépens de sa vie privée. En préambule figurent quatre citations, un joyeux fourre-tout où l'on retrouve Woody Allen, Cioran, Frédéric Dard et Patrick Besson.

La revue de presse : François Busnel - L'Express, octobre 2012

Qu'y a-t-il dans la tête d'un intervieweur ? Des questions. Toujours des questions. Encore des questions. Bernard Pivot, avec la malice et l'énergie qui le caractérisent, nous offre un livre réjouissant, dont on se demande, d'emblée, s'il est un roman ou une autobiographie. L'intéressé lui-même doit se poser la question. Disons, pour faire court, qu'il s'agit d'une sotie, et que c'est très réussi...
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Dans un livre qui tient de la fable et de la sotie, où tout est faux, où tout est vrai, l'ex-animateur de «Ah, vous écrivez ?» donne la parole à son double, Adam Hitch. Ce personnage qu'on croirait sorti d'une nouvelle de Vialatte ou d'un dessin de Sempé est sujet, depuis son enfance, à une épuisante et incurable maladie : la questionnite...
Un homme qui, à 77 ans, se demande encore pourquoi le ciel et la mer sont bleus a mérité de garder son âme d'enfant. Ce que Bernard Pivot dit des mots - «de jolis appâts qui cachent des hameçons» vaut pour ce livre en trompe-l'oeil où les vraies réponses sont dans les questions comme les perles dans les huîtres.


La revue de presse : Jean Birnbaum - Le Monde du 4 octobre 2012

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Et pourtant, à la lecture de son nouveau livre, Oui, mais quelle est la question ? (Nil, 280 p., 19 €), on comprend que, chez lui, l'amour du point d'interrogation relève autant d'un style d'existence que de l'étonnement philosophique.

La revue de presse : Françoise Dargent - Le Figaro du 4 octobre 2012

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La revue de presse : François Busnel - L'Express, octobre 2012

Qu'y a-t-il dans la tête d'un intervieweur ? Des questions. Toujours des questions. Encore des questions. Bernard Pivot, avec la malice et l'énergie qui le caractérisent, nous offre un livre réjouissant, dont on se demande, d'emblée, s'il est un roman ou une autobiographie. L'intéressé lui-même doit se poser la question. Disons, pour faire court, qu'il s'agit d'une sotie, et que c'est très réussi...
Avec cette fable virevoltante, Bernard Pivot rappelle que bien vivre consiste à poser des questions plus qu'à asséner des réponses. On ne peut que suivre son exemple, non ?

La revue de presse : Jérôme Garcin - Le Nouvel Observateur du 20 septembre 2012

Dans un livre qui tient de la fable et de la sotie, où tout est faux, où tout est vrai, l'ex-animateur de «Ah, vous écrivez ?» donne la parole à son double, Adam Hitch. Ce personnage qu'on croirait sorti d'une nouvelle de Vialatte ou d'un dessin de Sempé est sujet, depuis son enfance, à une épuisante et incurable maladie : la questionnite...
Un homme qui, à 77 ans, se demande encore pourquoi le ciel et la mer sont bleus a mérité de garder son âme d'enfant. Ce que Bernard Pivot dit des mots - «de jolis appâts qui cachent des hameçons» vaut pour ce livre en trompe-l'oeil où les vraies réponses sont dans les questions comme les perles dans les huîtres.

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