"Bon petit soldat" de Mazarine Pingeot chez Julliard (Paris, France)

"Bon petit soldat" de Mazarine Pingeot chez Julliard (Paris, France)

en partenariat avec 20minutes.fr

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  • Auteur : Mazarine Pingeot
  • Genre : Biographies, mémoires, correspondances...
  • Editeur : Julliard, Paris, France
  • Prix : 19.00 €
  • Date de sortie : 18/10/2012
  • GENCOD : 9782260020356

Résumé

Être ou ne pas être. Être un secret inavouable, affublé d'un prénom impossible, une vie entre les lignes : une enfant cachée. Être la fille du président Mitterrand ou ne pas être du tout. Être la progéniture adorée à la maison, au sein d'un trio aussi idéal que mythique, mais n'être rien ailleurs - rien, nada, personne. Être la soeur, la belle-fille, la nièce, la cousine, et la tante, d'une ribambelle de frères, belle-mère, oncles, cousins et neveux qui, eux, ne savent pas qui vous êtes.
Et puis soudain la lumière, pleins feux ; les flashs, le scandale. Être sa fille, enfin, officiellement. Un objet de curiosité, de suppositions, de préjugés, de rancoeur - ne vit-elle pas aux crochets de la République ? De harcèlement aussi, quand les paparazzi campent devant chez elle. Et puis devenir l'héritière morale. Le portrait craché. La représentante. Devenir lui, un peu. Mais jamais soi-même.
Comment échapper à ce sortilège originel qui l'empêche d'être autre chose qu'un «bon petit soldat» ? Comment protéger ses propres enfants, comment leur transmettre un héritage à la fois si prestigieux et si tortueux, sans qu'ils en souffrent à leur tour ? C'est sous forme de journal que Mazarine Pingeot a choisi de transcrire ces réflexions, au fil des mois de la campagne présidentielle durant lesquels le combat personnel est sournoisement venu se mêler au combat politique.
Reprenant le fil là où elle l'avait laissé il y a sept ans, concluant Bouche cousue sur l'espoir d'un lendemain meilleur, elle fait de son écriture, vibrante et exutoire, le lieu d'une étonnante introspection collective.

Normalienne, agrégée et professeure de philosophie, Mazarine Pingeot a déjà publié huit livres, dont, chez Julliard, Bouche cousue, Le Cimetière des poupées, Mara, Pour mémoire et, chez Plon, Entretien avec Descartes.


Résumé

Être ou ne pas être. Être un secret inavouable, affublé d'un prénom impossible, une vie entre les lignes : une enfant cachée. Être la fille du président Mitterrand ou ne pas être du tout. Être la progéniture adorée à la maison, au sein d'un trio aussi idéal que mythique, mais n'être rien ailleurs - rien, nada, personne. Être la soeur, la belle-fille, la nièce, la cousine, et la tante, d'une ribambelle de frères, belle-mère, oncles, cousins et neveux qui, eux, ne savent pas qui vous êtes.
Et puis soudain la lumière, pleins feux ; les flashs, le scandale. Être sa fille, enfin, officiellement. Un objet de curiosité, de suppositions, de préjugés, de rancoeur - ne vit-elle pas aux crochets de la République ? De harcèlement aussi, quand les paparazzi campent devant chez elle. Et puis devenir l'héritière morale. Le portrait craché. La représentante. Devenir lui, un peu. Mais jamais soi-même.
Comment échapper à ce sortilège originel qui l'empêche d'être autre chose qu'un «bon petit soldat» ? Comment protéger ses propres enfants, comment leur transmettre un héritage à la fois si prestigieux et si tortueux, sans qu'ils en souffrent à leur tour ? C'est sous forme de journal que Mazarine Pingeot a choisi de transcrire ces réflexions, au fil des mois de la campagne présidentielle durant lesquels le combat personnel est sournoisement venu se mêler au combat politique.
Reprenant le fil là où elle l'avait laissé il y a sept ans, concluant Bouche cousue sur l'espoir d'un lendemain meilleur, elle fait de son écriture, vibrante et exutoire, le lieu d'une étonnante introspection collective.

Normalienne, agrégée et professeure de philosophie, Mazarine Pingeot a déjà publié huit livres, dont, chez Julliard, Bouche cousue, Le Cimetière des poupées, Mara, Pour mémoire et, chez Plon, Entretien avec Descartes.


Résumé

Être ou ne pas être. Être un secret inavouable, affublé d'un prénom impossible, une vie entre les lignes : une enfant cachée. Être la fille du président Mitterrand ou ne pas être du tout. Être la progéniture adorée à la maison, au sein d'un trio aussi idéal que mythique, mais n'être rien ailleurs - rien, nada, personne. Être la soeur, la belle-fille, la nièce, la cousine, et la tante, d'une ribambelle de frères, belle-mère, oncles, cousins et neveux qui, eux, ne savent pas qui vous êtes.
Et puis soudain la lumière, pleins feux ; les flashs, le scandale. Être sa fille, enfin, officiellement. Un objet de curiosité, de suppositions, de préjugés, de rancoeur - ne vit-elle pas aux crochets de la République ? De harcèlement aussi, quand les paparazzi campent devant chez elle. Et puis devenir l'héritière morale. Le portrait craché. La représentante. Devenir lui, un peu. Mais jamais soi-même.
Comment échapper à ce sortilège originel qui l'empêche d'être autre chose qu'un «bon petit soldat» ? Comment protéger ses propres enfants, comment leur transmettre un héritage à la fois si prestigieux et si tortueux, sans qu'ils en souffrent à leur tour ? C'est sous forme de journal que Mazarine Pingeot a choisi de transcrire ces réflexions, au fil des mois de la campagne présidentielle durant lesquels le combat personnel est sournoisement venu se mêler au combat politique.
Reprenant le fil là où elle l'avait laissé il y a sept ans, concluant Bouche cousue sur l'espoir d'un lendemain meilleur, elle fait de son écriture, vibrante et exutoire, le lieu d'une étonnante introspection collective.

Normalienne, agrégée et professeure de philosophie, Mazarine Pingeot a déjà publié huit livres, dont, chez Julliard, Bouche cousue, Le Cimetière des poupées, Mara, Pour mémoire et, chez Plon, Entretien avec Descartes.


Résumé

Être ou ne pas être. Être un secret inavouable, affublé d'un prénom impossible, une vie entre les lignes : une enfant cachée. Être la fille du président Mitterrand ou ne pas être du tout. Être la progéniture adorée à la maison, au sein d'un trio aussi idéal que mythique, mais n'être rien ailleurs - rien, nada, personne. Être la soeur, la belle-fille, la nièce, la cousine, et la tante, d'une ribambelle de frères, belle-mère, oncles, cousins et neveux qui, eux, ne savent pas qui vous êtes.
Et puis soudain la lumière, pleins feux ; les flashs, le scandale. Être sa fille, enfin, officiellement. Un objet de curiosité, de suppositions, de préjugés, de rancoeur - ne vit-elle pas aux crochets de la République ? De harcèlement aussi, quand les paparazzi campent devant chez elle. Et puis devenir l'héritière morale. Le portrait craché. La représentante. Devenir lui, un peu. Mais jamais soi-même.
Comment échapper à ce sortilège originel qui l'empêche d'être autre chose qu'un «bon petit soldat» ? Comment protéger ses propres enfants, comment leur transmettre un héritage à la fois si prestigieux et si tortueux, sans qu'ils en souffrent à leur tour ? C'est sous forme de journal que Mazarine Pingeot a choisi de transcrire ces réflexions, au fil des mois de la campagne présidentielle durant lesquels le combat personnel est sournoisement venu se mêler au combat politique.
Reprenant le fil là où elle l'avait laissé il y a sept ans, concluant Bouche cousue sur l'espoir d'un lendemain meilleur, elle fait de son écriture, vibrante et exutoire, le lieu d'une étonnante introspection collective.

Normalienne, agrégée et professeure de philosophie, Mazarine Pingeot a déjà publié huit livres, dont, chez Julliard, Bouche cousue, Le Cimetière des poupées, Mara, Pour mémoire et, chez Plon, Entretien avec Descartes.


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Être ou ne pas être. Être un secret inavouable, affublé d'un prénom impossible, une vie entre les lignes : une enfant cachée. Être la fille du président Mitterrand ou ne pas être du tout. Être la progéniture adorée à la maison, au sein d'un trio aussi idéal que mythique, mais n'être rien ailleurs - rien, nada, personne. Être la soeur, la belle-fille, la nièce, la cousine, et la tante, d'une ribambelle de frères, belle-mère, oncles, cousins et neveux qui, eux, ne savent pas qui vous êtes.
Et puis soudain la lumière, pleins feux ; les flashs, le scandale. Être sa fille, enfin, officiellement. Un objet de curiosité, de suppositions, de préjugés, de rancoeur - ne vit-elle pas aux crochets de la République ? De harcèlement aussi, quand les paparazzi campent devant chez elle. Et puis devenir l'héritière morale. Le portrait craché. La représentante. Devenir lui, un peu. Mais jamais soi-même.
Comment échapper à ce sortilège originel qui l'empêche d'être autre chose qu'un «bon petit soldat» ? Comment protéger ses propres enfants, comment leur transmettre un héritage à la fois si prestigieux et si tortueux, sans qu'ils en souffrent à leur tour ? C'est sous forme de journal que Mazarine Pingeot a choisi de transcrire ces réflexions, au fil des mois de la campagne présidentielle durant lesquels le combat personnel est sournoisement venu se mêler au combat politique.
Reprenant le fil là où elle l'avait laissé il y a sept ans, concluant Bouche cousue sur l'espoir d'un lendemain meilleur, elle fait de son écriture, vibrante et exutoire, le lieu d'une étonnante introspection collective.

Normalienne, agrégée et professeure de philosophie, Mazarine Pingeot a déjà publié huit livres, dont, chez Julliard, Bouche cousue, Le Cimetière des poupées, Mara, Pour mémoire et, chez Plon, Entretien avec Descartes.


Résumé

Être ou ne pas être. Être un secret inavouable, affublé d'un prénom impossible, une vie entre les lignes : une enfant cachée. Être la fille du président Mitterrand ou ne pas être du tout. Être la progéniture adorée à la maison, au sein d'un trio aussi idéal que mythique, mais n'être rien ailleurs - rien, nada, personne. Être la soeur, la belle-fille, la nièce, la cousine, et la tante, d'une ribambelle de frères, belle-mère, oncles, cousins et neveux qui, eux, ne savent pas qui vous êtes.
Et puis soudain la lumière, pleins feux ; les flashs, le scandale. Être sa fille, enfin, officiellement. Un objet de curiosité, de suppositions, de préjugés, de rancoeur - ne vit-elle pas aux crochets de la République ? De harcèlement aussi, quand les paparazzi campent devant chez elle. Et puis devenir l'héritière morale. Le portrait craché. La représentante. Devenir lui, un peu. Mais jamais soi-même.
Comment échapper à ce sortilège originel qui l'empêche d'être autre chose qu'un «bon petit soldat» ? Comment protéger ses propres enfants, comment leur transmettre un héritage à la fois si prestigieux et si tortueux, sans qu'ils en souffrent à leur tour ? C'est sous forme de journal que Mazarine Pingeot a choisi de transcrire ces réflexions, au fil des mois de la campagne présidentielle durant lesquels le combat personnel est sournoisement venu se mêler au combat politique.
Reprenant le fil là où elle l'avait laissé il y a sept ans, concluant Bouche cousue sur l'espoir d'un lendemain meilleur, elle fait de son écriture, vibrante et exutoire, le lieu d'une étonnante introspection collective.

Normalienne, agrégée et professeure de philosophie, Mazarine Pingeot a déjà publié huit livres, dont, chez Julliard, Bouche cousue, Le Cimetière des poupées, Mara, Pour mémoire et, chez Plon, Entretien avec Descartes.


Résumé

Être ou ne pas être. Être un secret inavouable, affublé d'un prénom impossible, une vie entre les lignes : une enfant cachée. Être la fille du président Mitterrand ou ne pas être du tout. Être la progéniture adorée à la maison, au sein d'un trio aussi idéal que mythique, mais n'être rien ailleurs - rien, nada, personne. Être la soeur, la belle-fille, la nièce, la cousine, et la tante, d'une ribambelle de frères, belle-mère, oncles, cousins et neveux qui, eux, ne savent pas qui vous êtes.
Et puis soudain la lumière, pleins feux ; les flashs, le scandale. Être sa fille, enfin, officiellement. Un objet de curiosité, de suppositions, de préjugés, de rancoeur - ne vit-elle pas aux crochets de la République ? De harcèlement aussi, quand les paparazzi campent devant chez elle. Et puis devenir l'héritière morale. Le portrait craché. La représentante. Devenir lui, un peu. Mais jamais soi-même.
Comment échapper à ce sortilège originel qui l'empêche d'être autre chose qu'un «bon petit soldat» ? Comment protéger ses propres enfants, comment leur transmettre un héritage à la fois si prestigieux et si tortueux, sans qu'ils en souffrent à leur tour ? C'est sous forme de journal que Mazarine Pingeot a choisi de transcrire ces réflexions, au fil des mois de la campagne présidentielle durant lesquels le combat personnel est sournoisement venu se mêler au combat politique.
Reprenant le fil là où elle l'avait laissé il y a sept ans, concluant Bouche cousue sur l'espoir d'un lendemain meilleur, elle fait de son écriture, vibrante et exutoire, le lieu d'une étonnante introspection collective.

Normalienne, agrégée et professeure de philosophie, Mazarine Pingeot a déjà publié huit livres, dont, chez Julliard, Bouche cousue, Le Cimetière des poupées, Mara, Pour mémoire et, chez Plon, Entretien avec Descartes.


Résumé

Être ou ne pas être. Être un secret inavouable, affublé d'un prénom impossible, une vie entre les lignes : une enfant cachée. Être la fille du président Mitterrand ou ne pas être du tout. Être la progéniture adorée à la maison, au sein d'un trio aussi idéal que mythique, mais n'être rien ailleurs - rien, nada, personne. Être la soeur, la belle-fille, la nièce, la cousine, et la tante, d'une ribambelle de frères, belle-mère, oncles, cousins et neveux qui, eux, ne savent pas qui vous êtes.
Et puis soudain la lumière, pleins feux ; les flashs, le scandale. Être sa fille, enfin, officiellement. Un objet de curiosité, de suppositions, de préjugés, de rancoeur - ne vit-elle pas aux crochets de la République ? De harcèlement aussi, quand les paparazzi campent devant chez elle. Et puis devenir l'héritière morale. Le portrait craché. La représentante. Devenir lui, un peu. Mais jamais soi-même.
Comment échapper à ce sortilège originel qui l'empêche d'être autre chose qu'un «bon petit soldat» ? Comment protéger ses propres enfants, comment leur transmettre un héritage à la fois si prestigieux et si tortueux, sans qu'ils en souffrent à leur tour ? C'est sous forme de journal que Mazarine Pingeot a choisi de transcrire ces réflexions, au fil des mois de la campagne présidentielle durant lesquels le combat personnel est sournoisement venu se mêler au combat politique.
Reprenant le fil là où elle l'avait laissé il y a sept ans, concluant Bouche cousue sur l'espoir d'un lendemain meilleur, elle fait de son écriture, vibrante et exutoire, le lieu d'une étonnante introspection collective.

Normalienne, agrégée et professeure de philosophie, Mazarine Pingeot a déjà publié huit livres, dont, chez Julliard, Bouche cousue, Le Cimetière des poupées, Mara, Pour mémoire et, chez Plon, Entretien avec Descartes.

La revue de presse : Bernard Pivot - Le Journal du Dimanche du 4 novembre 2012

Mais Bon petit soldat est plus un retour sur elle-même et sa fascinante destinée qu'une vraie recension de ce qu'elle a vu et entendu du 8 janvier au 15 mai 2012. La victoire de François Hollande, c'est encore la victoire de François Mitterrand. Elle revit, ou plutôt vit un peu celle-ci à travers celle-là, d'autant que le nouveau président a beaucoup emprunté à la gestuelle oratoire de l'ancien. Elle ne fait pas de transfert de sentiments. Mais, maintenant, à 37 ans, trois enfants - qui, eux, ont le droit de se vanter de leur grand-père -, elle peut afficher publiquement ses opinions et ses préférences...
Elle analyse et décortique tout cela d'une écriture rapide, incisive, nouée fort, qui n'est pas le moindre plaisir dispensé par cette ardente confession. "Le Passage" aurait pu en être le titre. Passage de l'obscurité à la lumière - par une photo volée alors qu'elle a 19 ans -, d'une famille à une autre, du silence à la littérature, de la parole confisquée à la parole libre et combative.

La revue de presse : Marine Landrot - Télérama du 14 novembre 2012

Ecrit sous forme de journal, tenu pendant six mois jusqu'à l'élection de François Hollande, Bon petit soldat passe le doigt sur les cicatrices que chacun dissimule. C'est le miracle de ce livre en spirale, recroquevillé sur lui-même, et résolument ouvert sur les autres. Confiante en la littérature, Mazarine Pingeot interroge la langue. Capable d'en épuiser les ressources dans un ressassement incantatoire, d'en goûter la force humoristique dans des petites notes du quotidien, elle chante le secours infaillible des mots.


La revue de presse : Bernard Pivot - Le Journal du Dimanche du 4 novembre 2012

Mais Bon petit soldat est plus un retour sur elle-même et sa fascinante destinée qu'une vraie recension de ce qu'elle a vu et entendu du 8 janvier au 15 mai 2012. La victoire de François Hollande, c'est encore la victoire de François Mitterrand. Elle revit, ou plutôt vit un peu celle-ci à travers celle-là, d'autant que le nouveau président a beaucoup emprunté à la gestuelle oratoire de l'ancien. Elle ne fait pas de transfert de sentiments. Mais, maintenant, à 37 ans, trois enfants - qui, eux, ont le droit de se vanter de leur grand-père -, elle peut afficher publiquement ses opinions et ses préférences...
Elle analyse et décortique tout cela d'une écriture rapide, incisive, nouée fort, qui n'est pas le moindre plaisir dispensé par cette ardente confession. "Le Passage" aurait pu en être le titre. Passage de l'obscurité à la lumière - par une photo volée alors qu'elle a 19 ans -, d'une famille à une autre, du silence à la littérature, de la parole confisquée à la parole libre et combative.

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Ecrit sous forme de journal, tenu pendant six mois jusqu'à l'élection de François Hollande, Bon petit soldat passe le doigt sur les cicatrices que chacun dissimule. C'est le miracle de ce livre en spirale, recroquevillé sur lui-même, et résolument ouvert sur les autres. Confiante en la littérature, Mazarine Pingeot interroge la langue. Capable d'en épuiser les ressources dans un ressassement incantatoire, d'en goûter la force humoristique dans des petites notes du quotidien, elle chante le secours infaillible des mots.

François Hollande

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Mais Bon petit soldat est plus un retour sur elle-même et sa fascinante destinée qu'une vraie recension de ce qu'elle a vu et entendu du 8 janvier au 15 mai 2012. La victoire de François Hollande, c'est encore la victoire de François Mitterrand. Elle revit, ou plutôt vit un peu celle-ci à travers celle-là, d'autant que le nouveau président a beaucoup emprunté à la gestuelle oratoire de l'ancien. Elle ne fait pas de transfert de sentiments. Mais, maintenant, à 37 ans, trois enfants - qui, eux, ont le droit de se vanter de leur grand-père -, elle peut afficher publiquement ses opinions et ses préférences...
Elle analyse et décortique tout cela d'une écriture rapide, incisive, nouée fort, qui n'est pas le moindre plaisir dispensé par cette ardente confession. "Le Passage" aurait pu en être le titre. Passage de l'obscurité à la lumière - par une photo volée alors qu'elle a 19 ans -, d'une famille à une autre, du silence à la littérature, de la parole confisquée à la parole libre et combative.

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Ecrit sous forme de journal, tenu pendant six mois jusqu'à l'élection de François Hollande, Bon petit soldat passe le doigt sur les cicatrices que chacun dissimule. C'est le miracle de ce livre en spirale, recroquevillé sur lui-même, et résolument ouvert sur les autres. Confiante en la littérature, Mazarine Pingeot interroge la langue. Capable d'en épuiser les ressources dans un ressassement incantatoire, d'en goûter la force humoristique dans des petites notes du quotidien, elle chante le secours infaillible des mots.


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Mais Bon petit soldat est plus un retour sur elle-même et sa fascinante destinée qu'une vraie recension de ce qu'elle a vu et entendu du 8 janvier au 15 mai 2012. La victoire de François Hollande, c'est encore la victoire de François Mitterrand. Elle revit, ou plutôt vit un peu celle-ci à travers celle-là, d'autant que le nouveau président a beaucoup emprunté à la gestuelle oratoire de l'ancien. Elle ne fait pas de transfert de sentiments. Mais, maintenant, à 37 ans, trois enfants - qui, eux, ont le droit de se vanter de leur grand-père -, elle peut afficher publiquement ses opinions et ses préférences...
Elle analyse et décortique tout cela d'une écriture rapide, incisive, nouée fort, qui n'est pas le moindre plaisir dispensé par cette ardente confession. "Le Passage" aurait pu en être le titre. Passage de l'obscurité à la lumière - par une photo volée alors qu'elle a 19 ans -, d'une famille à une autre, du silence à la littérature, de la parole confisquée à la parole libre et combative.

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Ecrit sous forme de journal, tenu pendant six mois jusqu'à l'élection de François Hollande, Bon petit soldat passe le doigt sur les cicatrices que chacun dissimule. C'est le miracle de ce livre en spirale, recroquevillé sur lui-même, et résolument ouvert sur les autres. Confiante en la littérature, Mazarine Pingeot interroge la langue. Capable d'en épuiser les ressources dans un ressassement incantatoire, d'en goûter la force humoristique dans des petites notes du quotidien, elle chante le secours infaillible des mots.


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Mais Bon petit soldat est plus un retour sur elle-même et sa fascinante destinée qu'une vraie recension de ce qu'elle a vu et entendu du 8 janvier au 15 mai 2012. La victoire de François Hollande, c'est encore la victoire de François Mitterrand. Elle revit, ou plutôt vit un peu celle-ci à travers celle-là, d'autant que le nouveau président a beaucoup emprunté à la gestuelle oratoire de l'ancien. Elle ne fait pas de transfert de sentiments. Mais, maintenant, à 37 ans, trois enfants - qui, eux, ont le droit de se vanter de leur grand-père -, elle peut afficher publiquement ses opinions et ses préférences...
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Ecrit sous forme de journal, tenu pendant six mois jusqu'à l'élection de François Hollande, Bon petit soldat passe le doigt sur les cicatrices que chacun dissimule. C'est le miracle de ce livre en spirale, recroquevillé sur lui-même, et résolument ouvert sur les autres. Confiante en la littérature, Mazarine Pingeot interroge la langue. Capable d'en épuiser les ressources dans un ressassement incantatoire, d'en goûter la force humoristique dans des petites notes du quotidien, elle chante le secours infaillible des mots.


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Mais Bon petit soldat est plus un retour sur elle-même et sa fascinante destinée qu'une vraie recension de ce qu'elle a vu et entendu du 8 janvier au 15 mai 2012. La victoire de François Hollande, c'est encore la victoire de François Mitterrand. Elle revit, ou plutôt vit un peu celle-ci à travers celle-là, d'autant que le nouveau président a beaucoup emprunté à la gestuelle oratoire de l'ancien. Elle ne fait pas de transfert de sentiments. Mais, maintenant, à 37 ans, trois enfants - qui, eux, ont le droit de se vanter de leur grand-père -, elle peut afficher publiquement ses opinions et ses préférences...
Elle analyse et décortique tout cela d'une écriture rapide, incisive, nouée fort, qui n'est pas le moindre plaisir dispensé par cette ardente confession. "Le Passage" aurait pu en être le titre. Passage de l'obscurité à la lumière - par une photo volée alors qu'elle a 19 ans -, d'une famille à une autre, du silence à la littérature, de la parole confisquée à la parole libre et combative.

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Ecrit sous forme de journal, tenu pendant six mois jusqu'à l'élection de François Hollande, Bon petit soldat passe le doigt sur les cicatrices que chacun dissimule. C'est le miracle de ce livre en spirale, recroquevillé sur lui-même, et résolument ouvert sur les autres. Confiante en la littérature, Mazarine Pingeot interroge la langue. Capable d'en épuiser les ressources dans un ressassement incantatoire, d'en goûter la force humoristique dans des petites notes du quotidien, elle chante le secours infaillible des mots.


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Mais Bon petit soldat est plus un retour sur elle-même et sa fascinante destinée qu'une vraie recension de ce qu'elle a vu et entendu du 8 janvier au 15 mai 2012. La victoire de François Hollande, c'est encore la victoire de François Mitterrand. Elle revit, ou plutôt vit un peu celle-ci à travers celle-là, d'autant que le nouveau président a beaucoup emprunté à la gestuelle oratoire de l'ancien. Elle ne fait pas de transfert de sentiments. Mais, maintenant, à 37 ans, trois enfants - qui, eux, ont le droit de se vanter de leur grand-père -, elle peut afficher publiquement ses opinions et ses préférences...
Elle analyse et décortique tout cela d'une écriture rapide, incisive, nouée fort, qui n'est pas le moindre plaisir dispensé par cette ardente confession. "Le Passage" aurait pu en être le titre. Passage de l'obscurité à la lumière - par une photo volée alors qu'elle a 19 ans -, d'une famille à une autre, du silence à la littérature, de la parole confisquée à la parole libre et combative.

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Ecrit sous forme de journal, tenu pendant six mois jusqu'à l'élection de François Hollande, Bon petit soldat passe le doigt sur les cicatrices que chacun dissimule. C'est le miracle de ce livre en spirale, recroquevillé sur lui-même, et résolument ouvert sur les autres. Confiante en la littérature, Mazarine Pingeot interroge la langue. Capable d'en épuiser les ressources dans un ressassement incantatoire, d'en goûter la force humoristique dans des petites notes du quotidien, elle chante le secours infaillible des mots.

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