"L'oubli est la ruse du diable" de Max Gallo chez XO (Paris, France)
en partenariat avec 20minutes.fr
- Auteur : Max Gallo
- Genre : Biographies, mémoires, correspondances...
- Editeur : XO, Paris, France
- Prix : 21.90 €
- Date de sortie : 04/10/2012
- GENCOD : 9782845635494
Résumé
«Ma machine à écrire était posée sur une caisse. Je m'asseyais à même le sol, jambes écartées, serrant la caisse entre mes cuisses. Dans le cône de la lumière que diffusait l'abat-jour d'opaline verte, je ne voyais plus que le clavier, mes doigts et ces phrases qui, alignées, régulières, me semblaient dictées par une voix qui naissait dans ma poitrine et emplissait ma bouche d'une salive acre.
Ces mots, collés l'un à l'autre, allaient devenir des essais, des livres. Je le savais, je le voulais, c'était ça mon vrai destin.
Ma "première vie" n'était qu'une apparence. Un jour, je n'aurais plus à donner le change, à apprendre à faire fonctionner une fraiseuse, à ajuster une queue d'aronde, à subir les sarcasmes d'un professeur d'atelier qui m'accusait de n'être qu'un "bon à rien", un "flemmard", un "prétentieux" qui avec ses grands airs n'était même pas capable de limer en tenant son outil à quarante-cinq degrés.
Je serais libre.»
Pour la première fois, le célèbre historien se livre au travers d'une autobiographie exceptionnelle. Elle se lit comme un roman, un roman d'initiation.
Livre d'histoire, témoignage d'un destin, Max Gallo nous dévoile ici sa vie, ses drames et cette conviction que «Ne meurent et ne vont en enfer que ceux dont on ne se souvient plus. L'oubli est la ruse du diable.»
Max Gallo a toujours conduit de front une oeuvre de romancier, d'essayiste et d'historien. Agrégé d'histoire, docteur ès lettres, longtemps enseignant, il est l'auteur de nombreux romans, de biographies comme Jaurès, Robespierre, Garibaldi, Napoléon, De Gaulle..., d'études d'ensemble ainsi Les Clés de l'histoire contemporaine, et d'essais, Fier d'être Français. Il a été éditorialiste à L'Express, a dirigé la rédaction du Matin de Paris. Un temps député de sa ville natale, Nice, puis parlementaire européen, il fut aussi secrétaire d'état et porte-parole du gouvernement (1983-1984). Il n'exerce plus de fonction politique depuis plusieurs années et se consacre tout entier à l'écriture. Il a été élu à l'Académie française en 2007.
Il a publié aux éditions XO Bleu Blanc Rouge, Révolution française, les biographies de Victor Hugo, César et Louis XIV, et dernièrement Jésus, l'homme qui était dieu, 1940-1945, une histoire de la deuxième guerre mondiale en cinq tomes, et Jeanne d'Arc, jeune fille de France brûlée vive, qui ont tous connu un très grand succès.
Résumé
«Ma machine à écrire était posée sur une caisse. Je m'asseyais à même le sol, jambes écartées, serrant la caisse entre mes cuisses. Dans le cône de la lumière que diffusait l'abat-jour d'opaline verte, je ne voyais plus que le clavier, mes doigts et ces phrases qui, alignées, régulières, me semblaient dictées par une voix qui naissait dans ma poitrine et emplissait ma bouche d'une salive acre.
Ces mots, collés l'un à l'autre, allaient devenir des essais, des livres. Je le savais, je le voulais, c'était ça mon vrai destin.
Ma "première vie" n'était qu'une apparence. Un jour, je n'aurais plus à donner le change, à apprendre à faire fonctionner une fraiseuse, à ajuster une queue d'aronde, à subir les sarcasmes d'un professeur d'atelier qui m'accusait de n'être qu'un "bon à rien", un "flemmard", un "prétentieux" qui avec ses grands airs n'était même pas capable de limer en tenant son outil à quarante-cinq degrés.
Je serais libre.»
Pour la première fois, le célèbre historien se livre au travers d'une autobiographie exceptionnelle. Elle se lit comme un roman, un roman d'initiation.
Livre d'histoire, témoignage d'un destin, Max Gallo nous dévoile ici sa vie, ses drames et cette conviction que «Ne meurent et ne vont en enfer que ceux dont on ne se souvient plus. L'oubli est la ruse du diable.»
Max Gallo a toujours conduit de front une oeuvre de romancier, d'essayiste et d'historien. Agrégé d'histoire, docteur ès lettres, longtemps enseignant, il est l'auteur de nombreux romans, de biographies comme Jaurès, Robespierre, Garibaldi, Napoléon, De Gaulle..., d'études d'ensemble ainsi Les Clés de l'histoire contemporaine, et d'essais, Fier d'être Français. Il a été éditorialiste à L'Express, a dirigé la rédaction du Matin de Paris. Un temps député de sa ville natale, Nice, puis parlementaire européen, il fut aussi secrétaire d'état et porte-parole du gouvernement (1983-1984). Il n'exerce plus de fonction politique depuis plusieurs années et se consacre tout entier à l'écriture. Il a été élu à l'Académie française en 2007.
Il a publié aux éditions XO Bleu Blanc Rouge, Révolution française, les biographies de Victor Hugo, César et Louis XIV, et dernièrement Jésus, l'homme qui était dieu, 1940-1945, une histoire de la deuxième guerre mondiale en cinq tomes, et Jeanne d'Arc, jeune fille de France brûlée vive, qui ont tous connu un très grand succès.
Résumé
«Ma machine à écrire était posée sur une caisse. Je m'asseyais à même le sol, jambes écartées, serrant la caisse entre mes cuisses. Dans le cône de la lumière que diffusait l'abat-jour d'opaline verte, je ne voyais plus que le clavier, mes doigts et ces phrases qui, alignées, régulières, me semblaient dictées par une voix qui naissait dans ma poitrine et emplissait ma bouche d'une salive acre.
Ces mots, collés l'un à l'autre, allaient devenir des essais, des livres. Je le savais, je le voulais, c'était ça mon vrai destin.
Ma "première vie" n'était qu'une apparence. Un jour, je n'aurais plus à donner le change, à apprendre à faire fonctionner une fraiseuse, à ajuster une queue d'aronde, à subir les sarcasmes d'un professeur d'atelier qui m'accusait de n'être qu'un "bon à rien", un "flemmard", un "prétentieux" qui avec ses grands airs n'était même pas capable de limer en tenant son outil à quarante-cinq degrés.
Je serais libre.»
Pour la première fois, le célèbre historien se livre au travers d'une autobiographie exceptionnelle. Elle se lit comme un roman, un roman d'initiation.
Livre d'histoire, témoignage d'un destin, Max Gallo nous dévoile ici sa vie, ses drames et cette conviction que «Ne meurent et ne vont en enfer que ceux dont on ne se souvient plus. L'oubli est la ruse du diable.»
Max Gallo a toujours conduit de front une oeuvre de romancier, d'essayiste et d'historien. Agrégé d'histoire, docteur ès lettres, longtemps enseignant, il est l'auteur de nombreux romans, de biographies comme Jaurès, Robespierre, Garibaldi, Napoléon, De Gaulle..., d'études d'ensemble ainsi Les Clés de l'histoire contemporaine, et d'essais, Fier d'être Français. Il a été éditorialiste à L'Express, a dirigé la rédaction du Matin de Paris. Un temps député de sa ville natale, Nice, puis parlementaire européen, il fut aussi secrétaire d'état et porte-parole du gouvernement (1983-1984). Il n'exerce plus de fonction politique depuis plusieurs années et se consacre tout entier à l'écriture. Il a été élu à l'Académie française en 2007.
Il a publié aux éditions XO Bleu Blanc Rouge, Révolution française, les biographies de Victor Hugo, César et Louis XIV, et dernièrement Jésus, l'homme qui était dieu, 1940-1945, une histoire de la deuxième guerre mondiale en cinq tomes, et Jeanne d'Arc, jeune fille de France brûlée vive, qui ont tous connu un très grand succès.
Résumé
«Ma machine à écrire était posée sur une caisse. Je m'asseyais à même le sol, jambes écartées, serrant la caisse entre mes cuisses. Dans le cône de la lumière que diffusait l'abat-jour d'opaline verte, je ne voyais plus que le clavier, mes doigts et ces phrases qui, alignées, régulières, me semblaient dictées par une voix qui naissait dans ma poitrine et emplissait ma bouche d'une salive acre.
Ces mots, collés l'un à l'autre, allaient devenir des essais, des livres. Je le savais, je le voulais, c'était ça mon vrai destin.
Ma "première vie" n'était qu'une apparence. Un jour, je n'aurais plus à donner le change, à apprendre à faire fonctionner une fraiseuse, à ajuster une queue d'aronde, à subir les sarcasmes d'un professeur d'atelier qui m'accusait de n'être qu'un "bon à rien", un "flemmard", un "prétentieux" qui avec ses grands airs n'était même pas capable de limer en tenant son outil à quarante-cinq degrés.
Je serais libre.»
Pour la première fois, le célèbre historien se livre au travers d'une autobiographie exceptionnelle. Elle se lit comme un roman, un roman d'initiation.
Livre d'histoire, témoignage d'un destin, Max Gallo nous dévoile ici sa vie, ses drames et cette conviction que «Ne meurent et ne vont en enfer que ceux dont on ne se souvient plus. L'oubli est la ruse du diable.»
Max Gallo a toujours conduit de front une oeuvre de romancier, d'essayiste et d'historien. Agrégé d'histoire, docteur ès lettres, longtemps enseignant, il est l'auteur de nombreux romans, de biographies comme Jaurès, Robespierre, Garibaldi, Napoléon, De Gaulle..., d'études d'ensemble ainsi Les Clés de l'histoire contemporaine, et d'essais, Fier d'être Français. Il a été éditorialiste à L'Express, a dirigé la rédaction du Matin de Paris. Un temps député de sa ville natale, Nice, puis parlementaire européen, il fut aussi secrétaire d'état et porte-parole du gouvernement (1983-1984). Il n'exerce plus de fonction politique depuis plusieurs années et se consacre tout entier à l'écriture. Il a été élu à l'Académie française en 2007.
Il a publié aux éditions XO Bleu Blanc Rouge, Révolution française, les biographies de Victor Hugo, César et Louis XIV, et dernièrement Jésus, l'homme qui était dieu, 1940-1945, une histoire de la deuxième guerre mondiale en cinq tomes, et Jeanne d'Arc, jeune fille de France brûlée vive, qui ont tous connu un très grand succès.
Résumé
«Ma machine à écrire était posée sur une caisse. Je m'asseyais à même le sol, jambes écartées, serrant la caisse entre mes cuisses. Dans le cône de la lumière que diffusait l'abat-jour d'opaline verte, je ne voyais plus que le clavier, mes doigts et ces phrases qui, alignées, régulières, me semblaient dictées par une voix qui naissait dans ma poitrine et emplissait ma bouche d'une salive acre.
Ces mots, collés l'un à l'autre, allaient devenir des essais, des livres. Je le savais, je le voulais, c'était ça mon vrai destin.
Ma "première vie" n'était qu'une apparence. Un jour, je n'aurais plus à donner le change, à apprendre à faire fonctionner une fraiseuse, à ajuster une queue d'aronde, à subir les sarcasmes d'un professeur d'atelier qui m'accusait de n'être qu'un "bon à rien", un "flemmard", un "prétentieux" qui avec ses grands airs n'était même pas capable de limer en tenant son outil à quarante-cinq degrés.
Je serais libre.»
Pour la première fois, le célèbre historien se livre au travers d'une autobiographie exceptionnelle. Elle se lit comme un roman, un roman d'initiation.
Livre d'histoire, témoignage d'un destin, Max Gallo nous dévoile ici sa vie, ses drames et cette conviction que «Ne meurent et ne vont en enfer que ceux dont on ne se souvient plus. L'oubli est la ruse du diable.»
Max Gallo a toujours conduit de front une oeuvre de romancier, d'essayiste et d'historien. Agrégé d'histoire, docteur ès lettres, longtemps enseignant, il est l'auteur de nombreux romans, de biographies comme Jaurès, Robespierre, Garibaldi, Napoléon, De Gaulle..., d'études d'ensemble ainsi Les Clés de l'histoire contemporaine, et d'essais, Fier d'être Français. Il a été éditorialiste à L'Express, a dirigé la rédaction du Matin de Paris. Un temps député de sa ville natale, Nice, puis parlementaire européen, il fut aussi secrétaire d'état et porte-parole du gouvernement (1983-1984). Il n'exerce plus de fonction politique depuis plusieurs années et se consacre tout entier à l'écriture. Il a été élu à l'Académie française en 2007.
Il a publié aux éditions XO Bleu Blanc Rouge, Révolution française, les biographies de Victor Hugo, César et Louis XIV, et dernièrement Jésus, l'homme qui était dieu, 1940-1945, une histoire de la deuxième guerre mondiale en cinq tomes, et Jeanne d'Arc, jeune fille de France brûlée vive, qui ont tous connu un très grand succès.
Résumé
«Ma machine à écrire était posée sur une caisse. Je m'asseyais à même le sol, jambes écartées, serrant la caisse entre mes cuisses. Dans le cône de la lumière que diffusait l'abat-jour d'opaline verte, je ne voyais plus que le clavier, mes doigts et ces phrases qui, alignées, régulières, me semblaient dictées par une voix qui naissait dans ma poitrine et emplissait ma bouche d'une salive acre.
Ces mots, collés l'un à l'autre, allaient devenir des essais, des livres. Je le savais, je le voulais, c'était ça mon vrai destin.
Ma "première vie" n'était qu'une apparence. Un jour, je n'aurais plus à donner le change, à apprendre à faire fonctionner une fraiseuse, à ajuster une queue d'aronde, à subir les sarcasmes d'un professeur d'atelier qui m'accusait de n'être qu'un "bon à rien", un "flemmard", un "prétentieux" qui avec ses grands airs n'était même pas capable de limer en tenant son outil à quarante-cinq degrés.
Je serais libre.»
Pour la première fois, le célèbre historien se livre au travers d'une autobiographie exceptionnelle. Elle se lit comme un roman, un roman d'initiation.
Livre d'histoire, témoignage d'un destin, Max Gallo nous dévoile ici sa vie, ses drames et cette conviction que «Ne meurent et ne vont en enfer que ceux dont on ne se souvient plus. L'oubli est la ruse du diable.»
Max Gallo a toujours conduit de front une oeuvre de romancier, d'essayiste et d'historien. Agrégé d'histoire, docteur ès lettres, longtemps enseignant, il est l'auteur de nombreux romans, de biographies comme Jaurès, Robespierre, Garibaldi, Napoléon, De Gaulle..., d'études d'ensemble ainsi Les Clés de l'histoire contemporaine, et d'essais, Fier d'être Français. Il a été éditorialiste à L'Express, a dirigé la rédaction du Matin de Paris. Un temps député de sa ville natale, Nice, puis parlementaire européen, il fut aussi secrétaire d'état et porte-parole du gouvernement (1983-1984). Il n'exerce plus de fonction politique depuis plusieurs années et se consacre tout entier à l'écriture. Il a été élu à l'Académie française en 2007.
Il a publié aux éditions XO Bleu Blanc Rouge, Révolution française, les biographies de Victor Hugo, César et Louis XIV, et dernièrement Jésus, l'homme qui était dieu, 1940-1945, une histoire de la deuxième guerre mondiale en cinq tomes, et Jeanne d'Arc, jeune fille de France brûlée vive, qui ont tous connu un très grand succès.
Résumé
«Ma machine à écrire était posée sur une caisse. Je m'asseyais à même le sol, jambes écartées, serrant la caisse entre mes cuisses. Dans le cône de la lumière que diffusait l'abat-jour d'opaline verte, je ne voyais plus que le clavier, mes doigts et ces phrases qui, alignées, régulières, me semblaient dictées par une voix qui naissait dans ma poitrine et emplissait ma bouche d'une salive acre.
Ces mots, collés l'un à l'autre, allaient devenir des essais, des livres. Je le savais, je le voulais, c'était ça mon vrai destin.
Ma "première vie" n'était qu'une apparence. Un jour, je n'aurais plus à donner le change, à apprendre à faire fonctionner une fraiseuse, à ajuster une queue d'aronde, à subir les sarcasmes d'un professeur d'atelier qui m'accusait de n'être qu'un "bon à rien", un "flemmard", un "prétentieux" qui avec ses grands airs n'était même pas capable de limer en tenant son outil à quarante-cinq degrés.
Je serais libre.»
Pour la première fois, le célèbre historien se livre au travers d'une autobiographie exceptionnelle. Elle se lit comme un roman, un roman d'initiation.
Livre d'histoire, témoignage d'un destin, Max Gallo nous dévoile ici sa vie, ses drames et cette conviction que «Ne meurent et ne vont en enfer que ceux dont on ne se souvient plus. L'oubli est la ruse du diable.»
Max Gallo a toujours conduit de front une oeuvre de romancier, d'essayiste et d'historien. Agrégé d'histoire, docteur ès lettres, longtemps enseignant, il est l'auteur de nombreux romans, de biographies comme Jaurès, Robespierre, Garibaldi, Napoléon, De Gaulle..., d'études d'ensemble ainsi Les Clés de l'histoire contemporaine, et d'essais, Fier d'être Français. Il a été éditorialiste à L'Express, a dirigé la rédaction du Matin de Paris. Un temps député de sa ville natale, Nice, puis parlementaire européen, il fut aussi secrétaire d'état et porte-parole du gouvernement (1983-1984). Il n'exerce plus de fonction politique depuis plusieurs années et se consacre tout entier à l'écriture. Il a été élu à l'Académie française en 2007.
Il a publié aux éditions XO Bleu Blanc Rouge, Révolution française, les biographies de Victor Hugo, César et Louis XIV, et dernièrement Jésus, l'homme qui était dieu, 1940-1945, une histoire de la deuxième guerre mondiale en cinq tomes, et Jeanne d'Arc, jeune fille de France brûlée vive, qui ont tous connu un très grand succès.
Résumé
«Ma machine à écrire était posée sur une caisse. Je m'asseyais à même le sol, jambes écartées, serrant la caisse entre mes cuisses. Dans le cône de la lumière que diffusait l'abat-jour d'opaline verte, je ne voyais plus que le clavier, mes doigts et ces phrases qui, alignées, régulières, me semblaient dictées par une voix qui naissait dans ma poitrine et emplissait ma bouche d'une salive acre.
Ces mots, collés l'un à l'autre, allaient devenir des essais, des livres. Je le savais, je le voulais, c'était ça mon vrai destin.
Ma "première vie" n'était qu'une apparence. Un jour, je n'aurais plus à donner le change, à apprendre à faire fonctionner une fraiseuse, à ajuster une queue d'aronde, à subir les sarcasmes d'un professeur d'atelier qui m'accusait de n'être qu'un "bon à rien", un "flemmard", un "prétentieux" qui avec ses grands airs n'était même pas capable de limer en tenant son outil à quarante-cinq degrés.
Je serais libre.»
Pour la première fois, le célèbre historien se livre au travers d'une autobiographie exceptionnelle. Elle se lit comme un roman, un roman d'initiation.
Livre d'histoire, témoignage d'un destin, Max Gallo nous dévoile ici sa vie, ses drames et cette conviction que «Ne meurent et ne vont en enfer que ceux dont on ne se souvient plus. L'oubli est la ruse du diable.»
Max Gallo a toujours conduit de front une oeuvre de romancier, d'essayiste et d'historien. Agrégé d'histoire, docteur ès lettres, longtemps enseignant, il est l'auteur de nombreux romans, de biographies comme Jaurès, Robespierre, Garibaldi, Napoléon, De Gaulle..., d'études d'ensemble ainsi Les Clés de l'histoire contemporaine, et d'essais, Fier d'être Français. Il a été éditorialiste à L'Express, a dirigé la rédaction du Matin de Paris. Un temps député de sa ville natale, Nice, puis parlementaire européen, il fut aussi secrétaire d'état et porte-parole du gouvernement (1983-1984). Il n'exerce plus de fonction politique depuis plusieurs années et se consacre tout entier à l'écriture. Il a été élu à l'Académie française en 2007.
Il a publié aux éditions XO Bleu Blanc Rouge, Révolution française, les biographies de Victor Hugo, César et Louis XIV, et dernièrement Jésus, l'homme qui était dieu, 1940-1945, une histoire de la deuxième guerre mondiale en cinq tomes, et Jeanne d'Arc, jeune fille de France brûlée vive, qui ont tous connu un très grand succès.
Résumé
«Ma machine à écrire était posée sur une caisse. Je m'asseyais à même le sol, jambes écartées, serrant la caisse entre mes cuisses. Dans le cône de la lumière que diffusait l'abat-jour d'opaline verte, je ne voyais plus que le clavier, mes doigts et ces phrases qui, alignées, régulières, me semblaient dictées par une voix qui naissait dans ma poitrine et emplissait ma bouche d'une salive acre.
Ces mots, collés l'un à l'autre, allaient devenir des essais, des livres. Je le savais, je le voulais, c'était ça mon vrai destin.
Ma "première vie" n'était qu'une apparence. Un jour, je n'aurais plus à donner le change, à apprendre à faire fonctionner une fraiseuse, à ajuster une queue d'aronde, à subir les sarcasmes d'un professeur d'atelier qui m'accusait de n'être qu'un "bon à rien", un "flemmard", un "prétentieux" qui avec ses grands airs n'était même pas capable de limer en tenant son outil à quarante-cinq degrés.
Je serais libre.»
Pour la première fois, le célèbre historien se livre au travers d'une autobiographie exceptionnelle. Elle se lit comme un roman, un roman d'initiation.
Livre d'histoire, témoignage d'un destin, Max Gallo nous dévoile ici sa vie, ses drames et cette conviction que «Ne meurent et ne vont en enfer que ceux dont on ne se souvient plus. L'oubli est la ruse du diable.»
Max Gallo a toujours conduit de front une oeuvre de romancier, d'essayiste et d'historien. Agrégé d'histoire, docteur ès lettres, longtemps enseignant, il est l'auteur de nombreux romans, de biographies comme Jaurès, Robespierre, Garibaldi, Napoléon, De Gaulle..., d'études d'ensemble ainsi Les Clés de l'histoire contemporaine, et d'essais, Fier d'être Français. Il a été éditorialiste à L'Express, a dirigé la rédaction du Matin de Paris. Un temps député de sa ville natale, Nice, puis parlementaire européen, il fut aussi secrétaire d'état et porte-parole du gouvernement (1983-1984). Il n'exerce plus de fonction politique depuis plusieurs années et se consacre tout entier à l'écriture. Il a été élu à l'Académie française en 2007.
Il a publié aux éditions XO Bleu Blanc Rouge, Révolution française, les biographies de Victor Hugo, César et Louis XIV, et dernièrement Jésus, l'homme qui était dieu, 1940-1945, une histoire de la deuxième guerre mondiale en cinq tomes, et Jeanne d'Arc, jeune fille de France brûlée vive, qui ont tous connu un très grand succès.
Résumé
«Ma machine à écrire était posée sur une caisse. Je m'asseyais à même le sol, jambes écartées, serrant la caisse entre mes cuisses. Dans le cône de la lumière que diffusait l'abat-jour d'opaline verte, je ne voyais plus que le clavier, mes doigts et ces phrases qui, alignées, régulières, me semblaient dictées par une voix qui naissait dans ma poitrine et emplissait ma bouche d'une salive acre.
Ces mots, collés l'un à l'autre, allaient devenir des essais, des livres. Je le savais, je le voulais, c'était ça mon vrai destin.
Ma "première vie" n'était qu'une apparence. Un jour, je n'aurais plus à donner le change, à apprendre à faire fonctionner une fraiseuse, à ajuster une queue d'aronde, à subir les sarcasmes d'un professeur d'atelier qui m'accusait de n'être qu'un "bon à rien", un "flemmard", un "prétentieux" qui avec ses grands airs n'était même pas capable de limer en tenant son outil à quarante-cinq degrés.
Je serais libre.»
Pour la première fois, le célèbre historien se livre au travers d'une autobiographie exceptionnelle. Elle se lit comme un roman, un roman d'initiation.
Livre d'histoire, témoignage d'un destin, Max Gallo nous dévoile ici sa vie, ses drames et cette conviction que «Ne meurent et ne vont en enfer que ceux dont on ne se souvient plus. L'oubli est la ruse du diable.»
Max Gallo a toujours conduit de front une oeuvre de romancier, d'essayiste et d'historien. Agrégé d'histoire, docteur ès lettres, longtemps enseignant, il est l'auteur de nombreux romans, de biographies comme Jaurès, Robespierre, Garibaldi, Napoléon, De Gaulle..., d'études d'ensemble ainsi Les Clés de l'histoire contemporaine, et d'essais, Fier d'être Français. Il a été éditorialiste à L'Express, a dirigé la rédaction du Matin de Paris. Un temps député de sa ville natale, Nice, puis parlementaire européen, il fut aussi secrétaire d'état et porte-parole du gouvernement (1983-1984). Il n'exerce plus de fonction politique depuis plusieurs années et se consacre tout entier à l'écriture. Il a été élu à l'Académie française en 2007.
Il a publié aux éditions XO Bleu Blanc Rouge, Révolution française, les biographies de Victor Hugo, César et Louis XIV, et dernièrement Jésus, l'homme qui était dieu, 1940-1945, une histoire de la deuxième guerre mondiale en cinq tomes, et Jeanne d'Arc, jeune fille de France brûlée vive, qui ont tous connu un très grand succès.
Résumé
«Ma machine à écrire était posée sur une caisse. Je m'asseyais à même le sol, jambes écartées, serrant la caisse entre mes cuisses. Dans le cône de la lumière que diffusait l'abat-jour d'opaline verte, je ne voyais plus que le clavier, mes doigts et ces phrases qui, alignées, régulières, me semblaient dictées par une voix qui naissait dans ma poitrine et emplissait ma bouche d'une salive acre.
Ces mots, collés l'un à l'autre, allaient devenir des essais, des livres. Je le savais, je le voulais, c'était ça mon vrai destin.
Ma "première vie" n'était qu'une apparence. Un jour, je n'aurais plus à donner le change, à apprendre à faire fonctionner une fraiseuse, à ajuster une queue d'aronde, à subir les sarcasmes d'un professeur d'atelier qui m'accusait de n'être qu'un "bon à rien", un "flemmard", un "prétentieux" qui avec ses grands airs n'était même pas capable de limer en tenant son outil à quarante-cinq degrés.
Je serais libre.»
Pour la première fois, le célèbre historien se livre au travers d'une autobiographie exceptionnelle. Elle se lit comme un roman, un roman d'initiation.
Livre d'histoire, témoignage d'un destin, Max Gallo nous dévoile ici sa vie, ses drames et cette conviction que «Ne meurent et ne vont en enfer que ceux dont on ne se souvient plus. L'oubli est la ruse du diable.»
Max Gallo a toujours conduit de front une oeuvre de romancier, d'essayiste et d'historien. Agrégé d'histoire, docteur ès lettres, longtemps enseignant, il est l'auteur de nombreux romans, de biographies comme Jaurès, Robespierre, Garibaldi, Napoléon, De Gaulle..., d'études d'ensemble ainsi Les Clés de l'histoire contemporaine, et d'essais, Fier d'être Français. Il a été éditorialiste à L'Express, a dirigé la rédaction du Matin de Paris. Un temps député de sa ville natale, Nice, puis parlementaire européen, il fut aussi secrétaire d'état et porte-parole du gouvernement (1983-1984). Il n'exerce plus de fonction politique depuis plusieurs années et se consacre tout entier à l'écriture. Il a été élu à l'Académie française en 2007.
Il a publié aux éditions XO Bleu Blanc Rouge, Révolution française, les biographies de Victor Hugo, César et Louis XIV, et dernièrement Jésus, l'homme qui était dieu, 1940-1945, une histoire de la deuxième guerre mondiale en cinq tomes, et Jeanne d'Arc, jeune fille de France brûlée vive, qui ont tous connu un très grand succès.
Résumé
«Ma machine à écrire était posée sur une caisse. Je m'asseyais à même le sol, jambes écartées, serrant la caisse entre mes cuisses. Dans le cône de la lumière que diffusait l'abat-jour d'opaline verte, je ne voyais plus que le clavier, mes doigts et ces phrases qui, alignées, régulières, me semblaient dictées par une voix qui naissait dans ma poitrine et emplissait ma bouche d'une salive acre.
Ces mots, collés l'un à l'autre, allaient devenir des essais, des livres. Je le savais, je le voulais, c'était ça mon vrai destin.
Ma "première vie" n'était qu'une apparence. Un jour, je n'aurais plus à donner le change, à apprendre à faire fonctionner une fraiseuse, à ajuster une queue d'aronde, à subir les sarcasmes d'un professeur d'atelier qui m'accusait de n'être qu'un "bon à rien", un "flemmard", un "prétentieux" qui avec ses grands airs n'était même pas capable de limer en tenant son outil à quarante-cinq degrés.
Je serais libre.»
Pour la première fois, le célèbre historien se livre au travers d'une autobiographie exceptionnelle. Elle se lit comme un roman, un roman d'initiation.
Livre d'histoire, témoignage d'un destin, Max Gallo nous dévoile ici sa vie, ses drames et cette conviction que «Ne meurent et ne vont en enfer que ceux dont on ne se souvient plus. L'oubli est la ruse du diable.»
Max Gallo a toujours conduit de front une oeuvre de romancier, d'essayiste et d'historien. Agrégé d'histoire, docteur ès lettres, longtemps enseignant, il est l'auteur de nombreux romans, de biographies comme Jaurès, Robespierre, Garibaldi, Napoléon, De Gaulle..., d'études d'ensemble ainsi Les Clés de l'histoire contemporaine, et d'essais, Fier d'être Français. Il a été éditorialiste à L'Express, a dirigé la rédaction du Matin de Paris. Un temps député de sa ville natale, Nice, puis parlementaire européen, il fut aussi secrétaire d'état et porte-parole du gouvernement (1983-1984). Il n'exerce plus de fonction politique depuis plusieurs années et se consacre tout entier à l'écriture. Il a été élu à l'Académie française en 2007.
Il a publié aux éditions XO Bleu Blanc Rouge, Révolution française, les biographies de Victor Hugo, César et Louis XIV, et dernièrement Jésus, l'homme qui était dieu, 1940-1945, une histoire de la deuxième guerre mondiale en cinq tomes, et Jeanne d'Arc, jeune fille de France brûlée vive, qui ont tous connu un très grand succès.
Résumé
«Ma machine à écrire était posée sur une caisse. Je m'asseyais à même le sol, jambes écartées, serrant la caisse entre mes cuisses. Dans le cône de la lumière que diffusait l'abat-jour d'opaline verte, je ne voyais plus que le clavier, mes doigts et ces phrases qui, alignées, régulières, me semblaient dictées par une voix qui naissait dans ma poitrine et emplissait ma bouche d'une salive acre.
Ces mots, collés l'un à l'autre, allaient devenir des essais, des livres. Je le savais, je le voulais, c'était ça mon vrai destin.
Ma "première vie" n'était qu'une apparence. Un jour, je n'aurais plus à donner le change, à apprendre à faire fonctionner une fraiseuse, à ajuster une queue d'aronde, à subir les sarcasmes d'un professeur d'atelier qui m'accusait de n'être qu'un "bon à rien", un "flemmard", un "prétentieux" qui avec ses grands airs n'était même pas capable de limer en tenant son outil à quarante-cinq degrés.
Je serais libre.»
Pour la première fois, le célèbre historien se livre au travers d'une autobiographie exceptionnelle. Elle se lit comme un roman, un roman d'initiation.
Livre d'histoire, témoignage d'un destin, Max Gallo nous dévoile ici sa vie, ses drames et cette conviction que «Ne meurent et ne vont en enfer que ceux dont on ne se souvient plus. L'oubli est la ruse du diable.»
Max Gallo a toujours conduit de front une oeuvre de romancier, d'essayiste et d'historien. Agrégé d'histoire, docteur ès lettres, longtemps enseignant, il est l'auteur de nombreux romans, de biographies comme Jaurès, Robespierre, Garibaldi, Napoléon, De Gaulle..., d'études d'ensemble ainsi Les Clés de l'histoire contemporaine, et d'essais, Fier d'être Français. Il a été éditorialiste à L'Express, a dirigé la rédaction du Matin de Paris. Un temps député de sa ville natale, Nice, puis parlementaire européen, il fut aussi secrétaire d'état et porte-parole du gouvernement (1983-1984). Il n'exerce plus de fonction politique depuis plusieurs années et se consacre tout entier à l'écriture. Il a été élu à l'Académie française en 2007.
Il a publié aux éditions XO Bleu Blanc Rouge, Révolution française, les biographies de Victor Hugo, César et Louis XIV, et dernièrement Jésus, l'homme qui était dieu, 1940-1945, une histoire de la deuxième guerre mondiale en cinq tomes, et Jeanne d'Arc, jeune fille de France brûlée vive, qui ont tous connu un très grand succès.
La revue de presse : François Busnel - L'Express, novembre 2012
C'est le livre que l'on n'attendait plus et qui, pourtant, explique tous les autres. Max Gallo signe, à 80 ans, ses Mémoires. Il trouve le ton juste pour raconter ses failles et ses fêlures...
Aujourd'hui à la tête d'une bibliographie qui compte une centaine de titres, membre de l'Académie française, ancien porte-parole de François Mitterrand, ancien député de sa ville natale, ancien patron de presse, cet historien pourrait pontifier. Non. Ses Mémoires ne sont pas le récit d'une success story. Gallo a trop fréquenté les grands intellectuels de son temps (qui furent aussi de grands écrivains) : l'ombre de Jean-François Revel et de Raymond Aron plane sur ce beau livre.
La revue de presse : François Busnel - L'Express, novembre 2012
C'est le livre que l'on n'attendait plus et qui, pourtant, explique tous les autres. Max Gallo signe, à 80 ans, ses Mémoires. Il trouve le ton juste pour raconter ses failles et ses fêlures...
Aujourd'hui à la tête d'une bibliographie qui compte une centaine de titres, membre de l'Académie française, ancien porte-parole de François Mitterrand, ancien député de sa ville natale, ancien patron de presse, cet historien pourrait pontifier. Non. Ses Mémoires ne sont pas le récit d'une success story. Gallo a trop fréquenté les grands intellectuels de son temps (qui furent aussi de grands écrivains) : l'ombre de Jean-François Revel et de Raymond Aron plane sur ce beau livre.
La revue de presse : François Busnel - L'Express, novembre 2012
C'est le livre que l'on n'attendait plus et qui, pourtant, explique tous les autres. Max Gallo signe, à 80 ans, ses Mémoires. Il trouve le ton juste pour raconter ses failles et ses fêlures...
Aujourd'hui à la tête d'une bibliographie qui compte une centaine de titres, membre de l'Académie française, ancien porte-parole de François Mitterrand, ancien député de sa ville natale, ancien patron de presse, cet historien pourrait pontifier. Non. Ses Mémoires ne sont pas le récit d'une success story. Gallo a trop fréquenté les grands intellectuels de son temps (qui furent aussi de grands écrivains) : l'ombre de Jean-François Revel et de Raymond Aron plane sur ce beau livre.
La revue de presse : François Busnel - L'Express, novembre 2012
C'est le livre que l'on n'attendait plus et qui, pourtant, explique tous les autres. Max Gallo signe, à 80 ans, ses Mémoires. Il trouve le ton juste pour raconter ses failles et ses fêlures...
Aujourd'hui à la tête d'une bibliographie qui compte une centaine de titres, membre de l'Académie française, ancien porte-parole de François Mitterrand, ancien député de sa ville natale, ancien patron de presse, cet historien pourrait pontifier. Non. Ses Mémoires ne sont pas le récit d'une success story. Gallo a trop fréquenté les grands intellectuels de son temps (qui furent aussi de grands écrivains) : l'ombre de Jean-François Revel et de Raymond Aron plane sur ce beau livre.