"L'assassin à la pomme verte" de Christophe Carlier chez Serge Safran éditeur (Paris)
en partenariat avec 20minutes.fr
- Auteur : Christophe Carlier
- Genre : Policiers
- Editeur : Serge Safran éditeur, Paris
- Prix : 15.00 €
- Date de sortie : 23/08/2012
- GENCOD : 9791090175051
Résumé
«J'éprouvais pour Elena une tendre reconnaissance. J'avais toujours voulu tuer quelqu'un. Pour y parvenir, il me manquait simplement de l'avoir rencontrée» songe Craig, fraîchement débarqué des États-Unis comme Elena d'Italie. Tous deux se trouvent pour une semaine au Paradise : un palace, vrai monde en soi, où l'on croise parfois au bar d'étranges clients. Par exemple cet homme de Parme, mari volage et volubile, découvert assassiné au lendemain de leur arrivée. Entre Craig et Elena naît un sentiment obsédant, fait d'agacement et d'attirance, sous l'oeil impitoyable de Sébastien, le réceptionniste, auquel rien n'échappe. Ou presque.
Dans cette envoûtante et spirituelle fiction à plusieurs voix, chacun prenant à son tour la parole, chacun observant l'autre, épiant son voisin, amour et meurtre tendent à se confondre. En émule d'Agatha Christie et de Marivaux, Christophe Carlier prouve avec maestria que l'accidentel, dans le shaker du grand hôtel, a partie liée avec l'imaginaire. Et qu'un assassin peut être aussi discret que l'homme à chapeau melon de Magritte, au visage dissimulé à jamais derrière une pomme verte.
Christophe Carlier, né en 1960, a publié Lettres à l'Académie française (Arènes 2010) et divers autres essais dont plusieurs consacrés aux contes et aux mythes.
L'Assassin à la pomme verte est son premier roman.
Résumé
«J'éprouvais pour Elena une tendre reconnaissance. J'avais toujours voulu tuer quelqu'un. Pour y parvenir, il me manquait simplement de l'avoir rencontrée» songe Craig, fraîchement débarqué des États-Unis comme Elena d'Italie. Tous deux se trouvent pour une semaine au Paradise : un palace, vrai monde en soi, où l'on croise parfois au bar d'étranges clients. Par exemple cet homme de Parme, mari volage et volubile, découvert assassiné au lendemain de leur arrivée. Entre Craig et Elena naît un sentiment obsédant, fait d'agacement et d'attirance, sous l'oeil impitoyable de Sébastien, le réceptionniste, auquel rien n'échappe. Ou presque.
Dans cette envoûtante et spirituelle fiction à plusieurs voix, chacun prenant à son tour la parole, chacun observant l'autre, épiant son voisin, amour et meurtre tendent à se confondre. En émule d'Agatha Christie et de Marivaux, Christophe Carlier prouve avec maestria que l'accidentel, dans le shaker du grand hôtel, a partie liée avec l'imaginaire. Et qu'un assassin peut être aussi discret que l'homme à chapeau melon de Magritte, au visage dissimulé à jamais derrière une pomme verte.
Christophe Carlier, né en 1960, a publié Lettres à l'Académie française (Arènes 2010) et divers autres essais dont plusieurs consacrés aux contes et aux mythes.
L'Assassin à la pomme verte est son premier roman.
Résumé
«J'éprouvais pour Elena une tendre reconnaissance. J'avais toujours voulu tuer quelqu'un. Pour y parvenir, il me manquait simplement de l'avoir rencontrée» songe Craig, fraîchement débarqué des États-Unis comme Elena d'Italie. Tous deux se trouvent pour une semaine au Paradise : un palace, vrai monde en soi, où l'on croise parfois au bar d'étranges clients. Par exemple cet homme de Parme, mari volage et volubile, découvert assassiné au lendemain de leur arrivée. Entre Craig et Elena naît un sentiment obsédant, fait d'agacement et d'attirance, sous l'oeil impitoyable de Sébastien, le réceptionniste, auquel rien n'échappe. Ou presque.
Dans cette envoûtante et spirituelle fiction à plusieurs voix, chacun prenant à son tour la parole, chacun observant l'autre, épiant son voisin, amour et meurtre tendent à se confondre. En émule d'Agatha Christie et de Marivaux, Christophe Carlier prouve avec maestria que l'accidentel, dans le shaker du grand hôtel, a partie liée avec l'imaginaire. Et qu'un assassin peut être aussi discret que l'homme à chapeau melon de Magritte, au visage dissimulé à jamais derrière une pomme verte.
Christophe Carlier, né en 1960, a publié Lettres à l'Académie française (Arènes 2010) et divers autres essais dont plusieurs consacrés aux contes et aux mythes.
L'Assassin à la pomme verte est son premier roman.
Résumé
«J'éprouvais pour Elena une tendre reconnaissance. J'avais toujours voulu tuer quelqu'un. Pour y parvenir, il me manquait simplement de l'avoir rencontrée» songe Craig, fraîchement débarqué des États-Unis comme Elena d'Italie. Tous deux se trouvent pour une semaine au Paradise : un palace, vrai monde en soi, où l'on croise parfois au bar d'étranges clients. Par exemple cet homme de Parme, mari volage et volubile, découvert assassiné au lendemain de leur arrivée. Entre Craig et Elena naît un sentiment obsédant, fait d'agacement et d'attirance, sous l'oeil impitoyable de Sébastien, le réceptionniste, auquel rien n'échappe. Ou presque.
Dans cette envoûtante et spirituelle fiction à plusieurs voix, chacun prenant à son tour la parole, chacun observant l'autre, épiant son voisin, amour et meurtre tendent à se confondre. En émule d'Agatha Christie et de Marivaux, Christophe Carlier prouve avec maestria que l'accidentel, dans le shaker du grand hôtel, a partie liée avec l'imaginaire. Et qu'un assassin peut être aussi discret que l'homme à chapeau melon de Magritte, au visage dissimulé à jamais derrière une pomme verte.
Christophe Carlier, né en 1960, a publié Lettres à l'Académie française (Arènes 2010) et divers autres essais dont plusieurs consacrés aux contes et aux mythes.
L'Assassin à la pomme verte est son premier roman.
Résumé
«J'éprouvais pour Elena une tendre reconnaissance. J'avais toujours voulu tuer quelqu'un. Pour y parvenir, il me manquait simplement de l'avoir rencontrée» songe Craig, fraîchement débarqué des États-Unis comme Elena d'Italie. Tous deux se trouvent pour une semaine au Paradise : un palace, vrai monde en soi, où l'on croise parfois au bar d'étranges clients. Par exemple cet homme de Parme, mari volage et volubile, découvert assassiné au lendemain de leur arrivée. Entre Craig et Elena naît un sentiment obsédant, fait d'agacement et d'attirance, sous l'oeil impitoyable de Sébastien, le réceptionniste, auquel rien n'échappe. Ou presque.
Dans cette envoûtante et spirituelle fiction à plusieurs voix, chacun prenant à son tour la parole, chacun observant l'autre, épiant son voisin, amour et meurtre tendent à se confondre. En émule d'Agatha Christie et de Marivaux, Christophe Carlier prouve avec maestria que l'accidentel, dans le shaker du grand hôtel, a partie liée avec l'imaginaire. Et qu'un assassin peut être aussi discret que l'homme à chapeau melon de Magritte, au visage dissimulé à jamais derrière une pomme verte.
Christophe Carlier, né en 1960, a publié Lettres à l'Académie française (Arènes 2010) et divers autres essais dont plusieurs consacrés aux contes et aux mythes.
L'Assassin à la pomme verte est son premier roman.
Résumé
«J'éprouvais pour Elena une tendre reconnaissance. J'avais toujours voulu tuer quelqu'un. Pour y parvenir, il me manquait simplement de l'avoir rencontrée» songe Craig, fraîchement débarqué des États-Unis comme Elena d'Italie. Tous deux se trouvent pour une semaine au Paradise : un palace, vrai monde en soi, où l'on croise parfois au bar d'étranges clients. Par exemple cet homme de Parme, mari volage et volubile, découvert assassiné au lendemain de leur arrivée. Entre Craig et Elena naît un sentiment obsédant, fait d'agacement et d'attirance, sous l'oeil impitoyable de Sébastien, le réceptionniste, auquel rien n'échappe. Ou presque.
Dans cette envoûtante et spirituelle fiction à plusieurs voix, chacun prenant à son tour la parole, chacun observant l'autre, épiant son voisin, amour et meurtre tendent à se confondre. En émule d'Agatha Christie et de Marivaux, Christophe Carlier prouve avec maestria que l'accidentel, dans le shaker du grand hôtel, a partie liée avec l'imaginaire. Et qu'un assassin peut être aussi discret que l'homme à chapeau melon de Magritte, au visage dissimulé à jamais derrière une pomme verte.
Christophe Carlier, né en 1960, a publié Lettres à l'Académie française (Arènes 2010) et divers autres essais dont plusieurs consacrés aux contes et aux mythes.
L'Assassin à la pomme verte est son premier roman.
Résumé
«J'éprouvais pour Elena une tendre reconnaissance. J'avais toujours voulu tuer quelqu'un. Pour y parvenir, il me manquait simplement de l'avoir rencontrée» songe Craig, fraîchement débarqué des États-Unis comme Elena d'Italie. Tous deux se trouvent pour une semaine au Paradise : un palace, vrai monde en soi, où l'on croise parfois au bar d'étranges clients. Par exemple cet homme de Parme, mari volage et volubile, découvert assassiné au lendemain de leur arrivée. Entre Craig et Elena naît un sentiment obsédant, fait d'agacement et d'attirance, sous l'oeil impitoyable de Sébastien, le réceptionniste, auquel rien n'échappe. Ou presque.
Dans cette envoûtante et spirituelle fiction à plusieurs voix, chacun prenant à son tour la parole, chacun observant l'autre, épiant son voisin, amour et meurtre tendent à se confondre. En émule d'Agatha Christie et de Marivaux, Christophe Carlier prouve avec maestria que l'accidentel, dans le shaker du grand hôtel, a partie liée avec l'imaginaire. Et qu'un assassin peut être aussi discret que l'homme à chapeau melon de Magritte, au visage dissimulé à jamais derrière une pomme verte.
Christophe Carlier, né en 1960, a publié Lettres à l'Académie française (Arènes 2010) et divers autres essais dont plusieurs consacrés aux contes et aux mythes.
L'Assassin à la pomme verte est son premier roman.
Résumé
«J'éprouvais pour Elena une tendre reconnaissance. J'avais toujours voulu tuer quelqu'un. Pour y parvenir, il me manquait simplement de l'avoir rencontrée» songe Craig, fraîchement débarqué des États-Unis comme Elena d'Italie. Tous deux se trouvent pour une semaine au Paradise : un palace, vrai monde en soi, où l'on croise parfois au bar d'étranges clients. Par exemple cet homme de Parme, mari volage et volubile, découvert assassiné au lendemain de leur arrivée. Entre Craig et Elena naît un sentiment obsédant, fait d'agacement et d'attirance, sous l'oeil impitoyable de Sébastien, le réceptionniste, auquel rien n'échappe. Ou presque.
Dans cette envoûtante et spirituelle fiction à plusieurs voix, chacun prenant à son tour la parole, chacun observant l'autre, épiant son voisin, amour et meurtre tendent à se confondre. En émule d'Agatha Christie et de Marivaux, Christophe Carlier prouve avec maestria que l'accidentel, dans le shaker du grand hôtel, a partie liée avec l'imaginaire. Et qu'un assassin peut être aussi discret que l'homme à chapeau melon de Magritte, au visage dissimulé à jamais derrière une pomme verte.
Christophe Carlier, né en 1960, a publié Lettres à l'Académie française (Arènes 2010) et divers autres essais dont plusieurs consacrés aux contes et aux mythes.
L'Assassin à la pomme verte est son premier roman.
Le choix des libraires : choisi le 12/10/2012 par Max Buvry de la librairie VAUX LIVRES à VAUX-LE-PÉNIL, France
Dans un grand hôtel parisien, le Paradise, un trio se forme, autour d'un verre, d'une discussion, les liens se tissent entre Craig un américain désorienté, Elena une belle italienne esseulée et l'Italien volubile et vantard de la suite 205 sous les yeux attentifs de Sébastien le réceptionniste consciencieux. La relation aurait pu durer le temps de leur séjour, mais un grain de sable vient tout bousculer ! L'Italien est retrouvé assassiné dans sa chambre, assassiné trois fois («L'annonce d'un crime est toujours salutaire, puisqu'elle nous rappelle à nous-mêmes que nous sommes vivants.»). L'enquête est décrite en pointillés, les réflexions, activités de Craig, Elena et Sébastien suggèrent, démontrent, infirment toutes les hypothèses possibles. Craig et Elena sont immédiatement complices et se sentent attirés l'un par l'autre, mais cette mort brutale et ce lieu les inhibent sensiblement : «Face à Craig, je me répète que les amours d'hôtel sont le lot des désoeuvrés du coeur.». L'ombre imposante du défunt continue de s'imposer à l'enquête qui louvoie et aux tentatives de Craig et Elena pour nouer une vraie relation. Roman à trois voix, chacun raconte, observe, épie, interprète, suppose, le meurtre devenant presque anodin. Le va-et-vient permanent du récit entre les trois personnages le fluidifie et le rythme. Une vraie originalité dans ce premier roman !
Le choix des libraires : choisi le 12/10/2012 par Max Buvry de la librairie VAUX LIVRES à VAUX-LE-PÉNIL, France
Dans un grand hôtel parisien, le Paradise, un trio se forme, autour d'un verre, d'une discussion, les liens se tissent entre Craig un américain désorienté, Elena une belle italienne esseulée et l'Italien volubile et vantard de la suite 205 sous les yeux attentifs de Sébastien le réceptionniste consciencieux. La relation aurait pu durer le temps de leur séjour, mais un grain de sable vient tout bousculer ! L'Italien est retrouvé assassiné dans sa chambre, assassiné trois fois («L'annonce d'un crime est toujours salutaire, puisqu'elle nous rappelle à nous-mêmes que nous sommes vivants.»). L'enquête est décrite en pointillés, les réflexions, activités de Craig, Elena et Sébastien suggèrent, démontrent, infirment toutes les hypothèses possibles. Craig et Elena sont immédiatement complices et se sentent attirés l'un par l'autre, mais cette mort brutale et ce lieu les inhibent sensiblement : «Face à Craig, je me répète que les amours d'hôtel sont le lot des désoeuvrés du coeur.». L'ombre imposante du défunt continue de s'imposer à l'enquête qui louvoie et aux tentatives de Craig et Elena pour nouer une vraie relation. Roman à trois voix, chacun raconte, observe, épie, interprète, suppose, le meurtre devenant presque anodin. Le va-et-vient permanent du récit entre les trois personnages le fluidifie et le rythme. Une vraie originalité dans ce premier roman !
Le choix des libraires : choisi le 12/10/2012 par Max Buvry de la librairie VAUX LIVRES à VAUX-LE-PÉNIL, France
Dans un grand hôtel parisien, le Paradise, un trio se forme, autour d'un verre, d'une discussion, les liens se tissent entre Craig un américain désorienté, Elena une belle italienne esseulée et l'Italien volubile et vantard de la suite 205 sous les yeux attentifs de Sébastien le réceptionniste consciencieux. La relation aurait pu durer le temps de leur séjour, mais un grain de sable vient tout bousculer ! L'Italien est retrouvé assassiné dans sa chambre, assassiné trois fois («L'annonce d'un crime est toujours salutaire, puisqu'elle nous rappelle à nous-mêmes que nous sommes vivants.»). L'enquête est décrite en pointillés, les réflexions, activités de Craig, Elena et Sébastien suggèrent, démontrent, infirment toutes les hypothèses possibles. Craig et Elena sont immédiatement complices et se sentent attirés l'un par l'autre, mais cette mort brutale et ce lieu les inhibent sensiblement : «Face à Craig, je me répète que les amours d'hôtel sont le lot des désoeuvrés du coeur.». L'ombre imposante du défunt continue de s'imposer à l'enquête qui louvoie et aux tentatives de Craig et Elena pour nouer une vraie relation. Roman à trois voix, chacun raconte, observe, épie, interprète, suppose, le meurtre devenant presque anodin. Le va-et-vient permanent du récit entre les trois personnages le fluidifie et le rythme. Une vraie originalité dans ce premier roman !
Le choix des libraires : choisi le 12/10/2012 par Max Buvry de la librairie VAUX LIVRES à VAUX-LE-PÉNIL, France
Dans un grand hôtel parisien, le Paradise, un trio se forme, autour d'un verre, d'une discussion, les liens se tissent entre Craig un américain désorienté, Elena une belle italienne esseulée et l'Italien volubile et vantard de la suite 205 sous les yeux attentifs de Sébastien le réceptionniste consciencieux. La relation aurait pu durer le temps de leur séjour, mais un grain de sable vient tout bousculer ! L'Italien est retrouvé assassiné dans sa chambre, assassiné trois fois («L'annonce d'un crime est toujours salutaire, puisqu'elle nous rappelle à nous-mêmes que nous sommes vivants.»). L'enquête est décrite en pointillés, les réflexions, activités de Craig, Elena et Sébastien suggèrent, démontrent, infirment toutes les hypothèses possibles. Craig et Elena sont immédiatement complices et se sentent attirés l'un par l'autre, mais cette mort brutale et ce lieu les inhibent sensiblement : «Face à Craig, je me répète que les amours d'hôtel sont le lot des désoeuvrés du coeur.». L'ombre imposante du défunt continue de s'imposer à l'enquête qui louvoie et aux tentatives de Craig et Elena pour nouer une vraie relation. Roman à trois voix, chacun raconte, observe, épie, interprète, suppose, le meurtre devenant presque anodin. Le va-et-vient permanent du récit entre les trois personnages le fluidifie et le rythme. Une vraie originalité dans ce premier roman !
La revue de presse : Stéphanie Dupays - Le Monde du 22 novembre 2012
Christophe Carlier a frappé fort avec son premier texte de fiction. L'Assassin à la pomme verte vient de recevoir le prix du Premier roman, figure dans la liste de nombreux autres prix et a été défendu avec enthousiasme par Amélie Nothomb. On comprend que ce livre drôle et déconcertant ait séduit la romancière, qui cultive le goût de la fantaisie et du bizarre. Le titre, emprunté au tableau de Magritte montrant un homme au visage masqué par une pomme verte, donne le ton, légèrement surréaliste. Comme chez le peintre, rien n'est à sa place, ni les objets, ni les gens, ni la logique ; et le récit mène le lecteur là où il ne s'attend pas à aller...
Mi-polar à l'Agatha Christie pour l'habileté de l'intrigue, mi-roman psychologique pour la précision dans l'analyse des sentiments, cette fantaisie réjouissante se joue des genres et des frontières...
Remercions Serge Safran, écrivain et cofondateur de Zulma qui, dans une rentrée littéraire malthusienne avec les primo-romanciers, a osé publier ce manuscrit envoyé par la poste à la maison d'édition qu'il venait juste de lancer.
La revue de presse : Stéphanie Dupays - Le Monde du 22 novembre 2012
Christophe Carlier a frappé fort avec son premier texte de fiction. L'Assassin à la pomme verte vient de recevoir le prix du Premier roman, figure dans la liste de nombreux autres prix et a été défendu avec enthousiasme par Amélie Nothomb. On comprend que ce livre drôle et déconcertant ait séduit la romancière, qui cultive le goût de la fantaisie et du bizarre. Le titre, emprunté au tableau de Magritte montrant un homme au visage masqué par une pomme verte, donne le ton, légèrement surréaliste. Comme chez le peintre, rien n'est à sa place, ni les objets, ni les gens, ni la logique ; et le récit mène le lecteur là où il ne s'attend pas à aller...
Mi-polar à l'Agatha Christie pour l'habileté de l'intrigue, mi-roman psychologique pour la précision dans l'analyse des sentiments, cette fantaisie réjouissante se joue des genres et des frontières...
Remercions Serge Safran, écrivain et cofondateur de Zulma qui, dans une rentrée littéraire malthusienne avec les primo-romanciers, a osé publier ce manuscrit envoyé par la poste à la maison d'édition qu'il venait juste de lancer.
La revue de presse : Stéphanie Dupays - Le Monde du 22 novembre 2012
Christophe Carlier a frappé fort avec son premier texte de fiction. L'Assassin à la pomme verte vient de recevoir le prix du Premier roman, figure dans la liste de nombreux autres prix et a été défendu avec enthousiasme par Amélie Nothomb. On comprend que ce livre drôle et déconcertant ait séduit la romancière, qui cultive le goût de la fantaisie et du bizarre. Le titre, emprunté au tableau de Magritte montrant un homme au visage masqué par une pomme verte, donne le ton, légèrement surréaliste. Comme chez le peintre, rien n'est à sa place, ni les objets, ni les gens, ni la logique ; et le récit mène le lecteur là où il ne s'attend pas à aller...
Mi-polar à l'Agatha Christie pour l'habileté de l'intrigue, mi-roman psychologique pour la précision dans l'analyse des sentiments, cette fantaisie réjouissante se joue des genres et des frontières...
Remercions Serge Safran, écrivain et cofondateur de Zulma qui, dans une rentrée littéraire malthusienne avec les primo-romanciers, a osé publier ce manuscrit envoyé par la poste à la maison d'édition qu'il venait juste de lancer.
La revue de presse : Stéphanie Dupays - Le Monde du 22 novembre 2012
Christophe Carlier a frappé fort avec son premier texte de fiction. L'Assassin à la pomme verte vient de recevoir le prix du Premier roman, figure dans la liste de nombreux autres prix et a été défendu avec enthousiasme par Amélie Nothomb. On comprend que ce livre drôle et déconcertant ait séduit la romancière, qui cultive le goût de la fantaisie et du bizarre. Le titre, emprunté au tableau de Magritte montrant un homme au visage masqué par une pomme verte, donne le ton, légèrement surréaliste. Comme chez le peintre, rien n'est à sa place, ni les objets, ni les gens, ni la logique ; et le récit mène le lecteur là où il ne s'attend pas à aller...
Mi-polar à l'Agatha Christie pour l'habileté de l'intrigue, mi-roman psychologique pour la précision dans l'analyse des sentiments, cette fantaisie réjouissante se joue des genres et des frontières...
Remercions Serge Safran, écrivain et cofondateur de Zulma qui, dans une rentrée littéraire malthusienne avec les primo-romanciers, a osé publier ce manuscrit envoyé par la poste à la maison d'édition qu'il venait juste de lancer.
La revue de presse : Stéphanie Dupays - Le Monde du 22 novembre 2012
Christophe Carlier a frappé fort avec son premier texte de fiction. L'Assassin à la pomme verte vient de recevoir le prix du Premier roman, figure dans la liste de nombreux autres prix et a été défendu avec enthousiasme par Amélie Nothomb. On comprend que ce livre drôle et déconcertant ait séduit la romancière, qui cultive le goût de la fantaisie et du bizarre. Le titre, emprunté au tableau de Magritte montrant un homme au visage masqué par une pomme verte, donne le ton, légèrement surréaliste. Comme chez le peintre, rien n'est à sa place, ni les objets, ni les gens, ni la logique ; et le récit mène le lecteur là où il ne s'attend pas à aller...
Mi-polar à l'Agatha Christie pour l'habileté de l'intrigue, mi-roman psychologique pour la précision dans l'analyse des sentiments, cette fantaisie réjouissante se joue des genres et des frontières...
Remercions Serge Safran, écrivain et cofondateur de Zulma qui, dans une rentrée littéraire malthusienne avec les primo-romanciers, a osé publier ce manuscrit envoyé par la poste à la maison d'édition qu'il venait juste de lancer.
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