Dalongeville vise haut
JUSTICE•Le procès de l’ancien maire de Hénin-Beaumont s’est ouvert lundi à Béthune...Olivier Aballain
Gérard Dalongeville ne veut pas tomber tout seul. L’ancien maire de Hénin-Beaumont, jugé avec vingt co-accusés depuis ce lundi pour diverses accusations de détournement de fonds public, usage de faux et favoritisme, a tenté en vain d’obtenir un renvoi de l’affaire. Son défenseur, Me Francis Terquem, estime que le procès n’est pas dissociable des enquêtes en cours sur le financement du Parti socialiste dans le Pas-de-Calais. «En refusant de joindre ces affaires, vous marchez à tâtons dans la pénombre», explique l’avocat.
Nouvelles enquêtes
Me Terquem avait d’ailleurs demandé sans succès l’audition de François Hollande, en sa qualité de patron du PS de 1997 à 2008. «Est-il raisonnable d’examiner des faits de détournement de fonds sans vouloir connaître leur des- tination?», s’interroge encore l’avocat. En arrivant à l’audience, Gérard Dalongeville avait lui-même rapproché son affaire des dossiers en cours «dans les Bouches-du-Rhône et le Pas-de- Calais». Une tactique qui a fait bondir Frank Berton, avocat de l’un des co- accusés... mais aussi de Jean-Pierre Kucheida, l’ancien député-maire de Liévin condamné le 21 mai pour abus de biens sociaux. «C’est un écran de fumée. Il a été pris les doigts dans le pot de confiture, et dit que c’est les autres.» Le procureur Jean-Pierre Roy commente: «Gérard Dalongeville prétend avoir suscité de nouvelles enquêtes avec ses révélations. Mais ces enquêtes étaient déjà lancées quand il a parlé en décembre 2010. Il a pris le train en marche pour s’exonérer de sa responsabilité.» Le procès doit durer trois semaines. Il est parti sur les chapeaux de roues.
Gérard Dalongeville ne veut pas tomber tout seul. L’ancien maire de Hénin-Beaumont, jugé avec vingt co-accusés depuis ce lundi pour diverses accusations de détournement de fonds public, usage de faux et favoritisme, a tenté en vain d’obtenir un renvoi de l’affaire. Son défenseur, Me Francis Terquem, estime que le procès n’est pas dissociable des enquêtes en cours sur le financement du Parti socialiste dans le Pas-de-Calais. «En refusant de joindre ces affaires, vous marchez à tâtons dans la pénombre», explique l’avocat.
Nouvelles enquêtes
Me Terquem avait d’ailleurs demandé sans succès l’audition de François Hollande, en sa qualité de patron du PS de 1997 à 2008. «Est-il raisonnable d’examiner des faits de détournement de fonds sans vouloir connaître leur des- tination?», s’interroge encore l’avocat. En arrivant à l’audience, Gérard Dalongeville avait lui-même rapproché son affaire des dossiers en cours «dans les Bouches-du-Rhône et le Pas-de- Calais». Une tactique qui a fait bondir Frank Berton, avocat de l’un des co- accusés... mais aussi de Jean-Pierre Kucheida, l’ancien député-maire de Liévin condamné le 21 mai pour abus de biens sociaux. «C’est un écran de fumée. Il a été pris les doigts dans le pot de confiture, et dit que c’est les autres.» Le procureur Jean-Pierre Roy commente: «Gérard Dalongeville prétend avoir suscité de nouvelles enquêtes avec ses révélations. Mais ces enquêtes étaient déjà lancées quand il a parlé en décembre 2010. Il a pris le train en marche pour s’exonérer de sa responsabilité.» Le procès doit durer trois semaines. Il est parti sur les chapeaux de roues.
Gérard Dalongeville ne veut pas tomber tout seul. L’ancien maire de Hénin-Beaumont, jugé avec vingt co-accusés depuis ce lundi pour diverses accusations de détournement de fonds public, usage de faux et favoritisme, a tenté en vain d’obtenir un renvoi de l’affaire. Son défenseur, Me Francis Terquem, estime que le procès n’est pas dissociable des enquêtes en cours sur le financement du Parti socialiste dans le Pas-de-Calais. «En refusant de joindre ces affaires, vous marchez à tâtons dans la pénombre», explique l’avocat.
Nouvelles enquêtes
Me Terquem avait d’ailleurs demandé sans succès l’audition de François Hollande, en sa qualité de patron du PS de 1997 à 2008. «Est-il raisonnable d’examiner des faits de détournement de fonds sans vouloir connaître leur des- tination?», s’interroge encore l’avocat. En arrivant à l’audience, Gérard Dalongeville avait lui-même rapproché son affaire des dossiers en cours «dans les Bouches-du-Rhône et le Pas-de- Calais». Une tactique qui a fait bondir Frank Berton, avocat de l’un des co- accusés... mais aussi de Jean-Pierre Kucheida, l’ancien député-maire de Liévin condamné le 21 mai pour abus de biens sociaux. «C’est un écran de fumée. Il a été pris les doigts dans le pot de confiture, et dit que c’est les autres.» Le procureur Jean-Pierre Roy commente: «Gérard Dalongeville prétend avoir suscité de nouvelles enquêtes avec ses révélations. Mais ces enquêtes étaient déjà lancées quand il a parlé en décembre 2010. Il a pris le train en marche pour s’exonérer de sa responsabilité.» Le procès doit durer trois semaines. Il est parti sur les chapeaux de roues.
Gérard Dalongeville ne veut pas tomber tout seul. L’ancien maire de Hénin-Beaumont, jugé avec vingt co-accusés depuis ce lundi pour diverses accusations de détournement de fonds public, usage de faux et favoritisme, a tenté en vain d’obtenir un renvoi de l’affaire. Son défenseur, Me Francis Terquem, estime que le procès n’est pas dissociable des enquêtes en cours sur le financement du Parti socialiste dans le Pas-de-Calais. «En refusant de joindre ces affaires, vous marchez à tâtons dans la pénombre», explique l’avocat.
Nouvelles enquêtes
Me Terquem avait d’ailleurs demandé sans succès l’audition de François Hollande, en sa qualité de patron du PS de 1997 à 2008. «Est-il raisonnable d’examiner des faits de détournement de fonds sans vouloir connaître leur des- tination?», s’interroge encore l’avocat. En arrivant à l’audience, Gérard Dalongeville avait lui-même rapproché son affaire des dossiers en cours «dans les Bouches-du-Rhône et le Pas-de- Calais». Une tactique qui a fait bondir Frank Berton, avocat de l’un des co- accusés... mais aussi de Jean-Pierre Kucheida, l’ancien député-maire de Liévin condamné le 21 mai pour abus de biens sociaux. «C’est un écran de fumée. Il a été pris les doigts dans le pot de confiture, et dit que c’est les autres.» Le procureur Jean-Pierre Roy commente: «Gérard Dalongeville prétend avoir suscité de nouvelles enquêtes avec ses révélations. Mais ces enquêtes étaient déjà lancées quand il a parlé en décembre 2010. Il a pris le train en marche pour s’exonérer de sa responsabilité.» Le procès doit durer trois semaines. Il est parti sur les chapeaux de roues.
Gérard Dalongeville ne veut pas tomber tout seul. L’ancien maire de Hénin-Beaumont, jugé avec vingt co-accusés depuis ce lundi pour diverses accusations de détournement de fonds public, usage de faux et favoritisme, a tenté en vain d’obtenir un renvoi de l’affaire. Son défenseur, Me Francis Terquem, estime que le procès n’est pas dissociable des enquêtes en cours sur le financement du Parti socialiste dans le Pas-de-Calais. «En refusant de joindre ces affaires, vous marchez à tâtons dans la pénombre», explique l’avocat.
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Me Terquem avait d’ailleurs demandé sans succès l’audition de François Hollande, en sa qualité de patron du PS de 1997 à 2008. «Est-il raisonnable d’examiner des faits de détournement de fonds sans vouloir connaître leur des- tination?», s’interroge encore l’avocat. En arrivant à l’audience, Gérard Dalongeville avait lui-même rapproché son affaire des dossiers en cours «dans les Bouches-du-Rhône et le Pas-de- Calais». Une tactique qui a fait bondir Frank Berton, avocat de l’un des co- accusés... mais aussi de Jean-Pierre Kucheida, l’ancien député-maire de Liévin condamné le 21 mai pour abus de biens sociaux. «C’est un écran de fumée. Il a été pris les doigts dans le pot de confiture, et dit que c’est les autres.» Le procureur Jean-Pierre Roy commente: «Gérard Dalongeville prétend avoir suscité de nouvelles enquêtes avec ses révélations. Mais ces enquêtes étaient déjà lancées quand il a parlé en décembre 2010. Il a pris le train en marche pour s’exonérer de sa responsabilité.» Le procès doit durer trois semaines. Il est parti sur les chapeaux de roues.