ANIMAUXElle photographie des animaux de laboratoires dans des décors féériques

VIDEO. Elle photographie d'anciens animaux de laboratoires dans des décors féeriques

ANIMAUXUne photographe italienne a fait de la protection animale son mantra. Pour réconforter d’anciens animaux de laboratoire, elle les photographie dans des décors de contes de fées…
Marie Lombard

Marie Lombard

Un peu d’amour dans ce monde de brutes. La photographe italienne , très impliquée dans le combat pour la protection des , a décidé d’offrir aux cobayes de laboratoires une fin plus digne que celle qui leur est habituellement réservée.

L’accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement

En cliquant sur« J’accepte », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires.

Plus d’informations sur la pagePolitique de gestion des cookies

L’accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement

En cliquant sur« J’accepte », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires.

Plus d’informations sur la pagePolitique de gestion des cookies

Selon le site , des animaux de laboratoires, sauvés du bistouri par l’association de protection des animaux (la colline des lapins, référence au ), ont ainsi été immortalisés par l’artiste dans des décors qui rappellent les contes de fées. Mais pourquoi avoir choisi l’univers du Petit Chaperon rouge ou de La Petite ? Parce que, a expliqué Rachele Totaro sur le site , les contes « nous apprennent que nous pouvons tous connaître une fin heureuse ». En tout cas, rats, lapins et cochons d’Inde sont maintenant en sûreté.

L’accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement

En cliquant sur« J’accepte », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires.

Plus d’informations sur la pagePolitique de gestion des cookies

1,76 million d’animaux utilisés expérimentalement en 2014

Dans une de 2014, , de l’Enseignement supérieur et de la Recherche a recensé plus de 1,76 million d’animaux encore utilisés dans les laboratoires à des fins expérimentales en France. La souris, qui compose ce groupe à 48,2 %, précède dans la liste les poissons, les rats et les lapins. Ces pratiques ne sont pas toutes condamnées par l’Union Européenne qui, par une « affirme la nécessité de recours à l’expérimentation animale pour le progrès médical ». Toutefois, la cour de justice de l’Union a en septembre dernier publié qui interdit l’importation dans le territoire de l’UE de produits cosmétiques testés sur des animaux. Work in progress…