VIDEO. Inde: Ils escaladent un centre d'examen pour aider les étudiants à tricher
FRAUDE•Des vidéos montrent amis et de parents escaladant les murs...T.L.G. avec AFP
La police indienne a annoncé dimanche un millier d'arrestations après la diffusion à la télévision d'images d'amis et de parents escaladant les murs d'un centre d'examen scolaire pour aider les candidats.
Ces images, qui se sont répandues comme une traînée de poudre sur les réseaux sociaux, montrent des dizaines de personnes armées de téléphones portables et d'antisèches accrochées aux fenêtres d'un immeuble de quatre étages, dans l'Etat du Bihar.
Sur d'autres images on peut voir du personnel scolaire et des policiers observer sans réagir les mêmes scènes dans plusieurs centres d'examen qui organisent actuellement les épreuves de fin d'études secondaires, équivalent du baccalauréat.
Placés en détention provisoire, les tricheurs et leurs complices doivent s'acquitter d'une caution de 2.000 roupies (30 euros) au minimum pour recouvrer la liberté, a indiqué un haut responsable de la police du Bihar, Gupteshwar Pandey.
«La moitié d'entre eux sont des parents et des enseignants, les autres des amis et des membres de la famille», a-t-il déclaré à l'AFP.
La police indienne a annoncé dimanche un millier d'arrestations après la diffusion à la télévision d'images d'amis et de parents escaladant les murs d'un centre d'examen scolaire pour aider les candidats.
Ces images, qui se sont répandues comme une traînée de poudre sur les réseaux sociaux, montrent des dizaines de personnes armées de téléphones portables et d'antisèches accrochées aux fenêtres d'un immeuble de quatre étages, dans l'Etat du Bihar.
Sur d'autres images on peut voir du personnel scolaire et des policiers observer sans réagir les mêmes scènes dans plusieurs centres d'examen qui organisent actuellement les épreuves de fin d'études secondaires, équivalent du baccalauréat.
Placés en détention provisoire, les tricheurs et leurs complices doivent s'acquitter d'une caution de 2.000 roupies (30 euros) au minimum pour recouvrer la liberté, a indiqué un haut responsable de la police du Bihar, Gupteshwar Pandey.
«La moitié d'entre eux sont des parents et des enseignants, les autres des amis et des membres de la famille», a-t-il déclaré à l'AFP.
La police indienne a annoncé dimanche un millier d'arrestations après la diffusion à la télévision d'images d'amis et de parents escaladant les murs d'un centre d'examen scolaire pour aider les candidats.
Ces images, qui se sont répandues comme une traînée de poudre sur les réseaux sociaux, montrent des dizaines de personnes armées de téléphones portables et d'antisèches accrochées aux fenêtres d'un immeuble de quatre étages, dans l'Etat du Bihar.
Sur d'autres images on peut voir du personnel scolaire et des policiers observer sans réagir les mêmes scènes dans plusieurs centres d'examen qui organisent actuellement les épreuves de fin d'études secondaires, équivalent du baccalauréat.
Placés en détention provisoire, les tricheurs et leurs complices doivent s'acquitter d'une caution de 2.000 roupies (30 euros) au minimum pour recouvrer la liberté, a indiqué un haut responsable de la police du Bihar, Gupteshwar Pandey.
«La moitié d'entre eux sont des parents et des enseignants, les autres des amis et des membres de la famille», a-t-il déclaré à l'AFP.
La police indienne a annoncé dimanche un millier d'arrestations après la diffusion à la télévision d'images d'amis et de parents escaladant les murs d'un centre d'examen scolaire pour aider les candidats.
Ces images, qui se sont répandues comme une traînée de poudre sur les réseaux sociaux, montrent des dizaines de personnes armées de téléphones portables et d'antisèches accrochées aux fenêtres d'un immeuble de quatre étages, dans l'Etat du Bihar.
Sur d'autres images on peut voir du personnel scolaire et des policiers observer sans réagir les mêmes scènes dans plusieurs centres d'examen qui organisent actuellement les épreuves de fin d'études secondaires, équivalent du baccalauréat.
Placés en détention provisoire, les tricheurs et leurs complices doivent s'acquitter d'une caution de 2.000 roupies (30 euros) au minimum pour recouvrer la liberté, a indiqué un haut responsable de la police du Bihar, Gupteshwar Pandey.
«La moitié d'entre eux sont des parents et des enseignants, les autres des amis et des membres de la famille», a-t-il déclaré à l'AFP.
La police indienne a annoncé dimanche un millier d'arrestations après la diffusion à la télévision d'images d'amis et de parents escaladant les murs d'un centre d'examen scolaire pour aider les candidats.
Ces images, qui se sont répandues comme une traînée de poudre sur les réseaux sociaux, montrent des dizaines de personnes armées de téléphones portables et d'antisèches accrochées aux fenêtres d'un immeuble de quatre étages, dans l'Etat du Bihar.
Sur d'autres images on peut voir du personnel scolaire et des policiers observer sans réagir les mêmes scènes dans plusieurs centres d'examen qui organisent actuellement les épreuves de fin d'études secondaires, équivalent du baccalauréat.
Placés en détention provisoire, les tricheurs et leurs complices doivent s'acquitter d'une caution de 2.000 roupies (30 euros) au minimum pour recouvrer la liberté, a indiqué un haut responsable de la police du Bihar, Gupteshwar Pandey.
«La moitié d'entre eux sont des parents et des enseignants, les autres des amis et des membres de la famille», a-t-il déclaré à l'AFP.
La police indienne a annoncé dimanche un millier d'arrestations après la diffusion à la télévision d'images d'amis et de parents escaladant les murs d'un centre d'examen scolaire pour aider les candidats.
Ces images, qui se sont répandues comme une traînée de poudre sur les réseaux sociaux, montrent des dizaines de personnes armées de téléphones portables et d'antisèches accrochées aux fenêtres d'un immeuble de quatre étages, dans l'Etat du Bihar.
Sur d'autres images on peut voir du personnel scolaire et des policiers observer sans réagir les mêmes scènes dans plusieurs centres d'examen qui organisent actuellement les épreuves de fin d'études secondaires, équivalent du baccalauréat.
Placés en détention provisoire, les tricheurs et leurs complices doivent s'acquitter d'une caution de 2.000 roupies (30 euros) au minimum pour recouvrer la liberté, a indiqué un haut responsable de la police du Bihar, Gupteshwar Pandey.
«La moitié d'entre eux sont des parents et des enseignants, les autres des amis et des membres de la famille», a-t-il déclaré à l'AFP.
La police indienne a annoncé dimanche un millier d'arrestations après la diffusion à la télévision d'images d'amis et de parents escaladant les murs d'un centre d'examen scolaire pour aider les candidats.
Ces images, qui se sont répandues comme une traînée de poudre sur les réseaux sociaux, montrent des dizaines de personnes armées de téléphones portables et d'antisèches accrochées aux fenêtres d'un immeuble de quatre étages, dans l'Etat du Bihar.
Sur d'autres images on peut voir du personnel scolaire et des policiers observer sans réagir les mêmes scènes dans plusieurs centres d'examen qui organisent actuellement les épreuves de fin d'études secondaires, équivalent du baccalauréat.
Placés en détention provisoire, les tricheurs et leurs complices doivent s'acquitter d'une caution de 2.000 roupies (30 euros) au minimum pour recouvrer la liberté, a indiqué un haut responsable de la police du Bihar, Gupteshwar Pandey.
«La moitié d'entre eux sont des parents et des enseignants, les autres des amis et des membres de la famille», a-t-il déclaré à l'AFP.
La police indienne a annoncé dimanche un millier d'arrestations après la diffusion à la télévision d'images d'amis et de parents escaladant les murs d'un centre d'examen scolaire pour aider les candidats.
Ces images, qui se sont répandues comme une traînée de poudre sur les réseaux sociaux, montrent des dizaines de personnes armées de téléphones portables et d'antisèches accrochées aux fenêtres d'un immeuble de quatre étages, dans l'Etat du Bihar.
Sur d'autres images on peut voir du personnel scolaire et des policiers observer sans réagir les mêmes scènes dans plusieurs centres d'examen qui organisent actuellement les épreuves de fin d'études secondaires, équivalent du baccalauréat.
Placés en détention provisoire, les tricheurs et leurs complices doivent s'acquitter d'une caution de 2.000 roupies (30 euros) au minimum pour recouvrer la liberté, a indiqué un haut responsable de la police du Bihar, Gupteshwar Pandey.
«La moitié d'entre eux sont des parents et des enseignants, les autres des amis et des membres de la famille», a-t-il déclaré à l'AFP.