Quans il ne «tweete-clashe» pas Louis Sarkozy et Nadine Morano, Léonard Trierweiler a un autre passe-temps sur Tweeter: se moquer gentiment de François Hollande. Pendant l'intervention du Président, jeudi soir, le fils de Valérie Trierweiler, l'ancienne compagne du chef de l'Etat, a joué la carte du second degré pour commenter le discours.

Il a d'abord dégainé un savoureux: «Tout mon soutien à @FHollande qui se bat aux côtés des Français depuis tant d'années dans un engagement désintéressé #DirectPR». Une référence au tweet de sa mère, il y a deux ans, en faveur d'Olivier Falorni, alors opposé à Ségolène Royal dans la 1re circonscription de Charente-Maritime avant le second tour des législatives.

Rétropédalage

Content de son petit effet (plus de 700 retweets tout de même), il a récidivé en fin d'allocution avec le message suivant: «Et on dit quoi à @fhollande? Merci pour ce moment ;) #DirectPR », reprenant donc le titre du livre de sa mère sur sa relation avec Hollande. Mais bizarrement, il s'est rétracté quelques minutes plus tard, infirmant le caractère humoristique de ses messages.

«Mon Tweet @fhollande n'a pas pour intention de faire allusion à Olivier Falorni. J'exprimais un réel soutien. Sachez-le. #DirectPR » De quoi entretenir le flou autour de l'intention réelle de l'apprenti cuisinier, âgé de 17 ans.

« Mon Tweet @fhollande n'a pas pour intention de faire allusion à olivier Falorni .J'exprimai un réel soutien .Sachez le . #DirectPR — Léonard trierweiler (@trierweiler3) November 6, 2014 »

« Et on dit quoi à @fhollande ? Merci pour ce moment ;) #DirectPR — Léonard trierweiler (@trierweiler3) November 6, 2014 »

« Tout mon soutien à @FHollande qui se bat aux côtés des Français depuis tant d'années dans un engagement désintéressé #DirectPR — Léonard trierweiler (@trierweiler3) November 6, 2014 »