INSOLITEPollution: Et si on s'en remettait à nos poils de nez?

Pollution: Et si on s'en remettait à nos poils de nez?

INSOLITEUne campagne de l'organisme asiatique Clean Air Asia a flairé le bon concept...
Romain Lescurieux

Romain Lescurieux

Alors que l’épisode de pollution aux particules se poursuit, comment se protéger? Ou du moins comment limiter les risques? Et si finalement il n’y avait rien à faire car l’être humain peut s’adapter grâce à ses poils de nez? «Cette impensable évolution darwinienne est le fruit de l'imagination fertile de Clean Air Asia, un organisme asiatique, auteur de la campagne Hairynose, littéralement "nez poilu"», lit-on sur le blog d'Olivier Razemon, journaliste au Monde.

Poil long obligatoire

Ainsi, sur une carte, l’internaute choisit sa ville et une infographie lui indique, en fonction de l’état de l’air, la longueur des poils de narine qu’il devra avoir s’il se rend sur place. A Shanghai, la qualité de l’air, «mauvaise», oblige à porter le poil long. A Calcutta, c’est pire, l’atmosphère est dans un état «critique», et le nez doit être extrêmement touffu. Enfin, en Malaisie, pas de poils au nez nécessaires car la qualité de l’air est «bonne» voire «excellente».

Une vidéo est également disponible pour démontrer à quel point les poils de nez peuvent être stylisés.



En réalité, l’humain ne s’adaptera pas à la pollution, mais Clean Air Asia à l’origine de cette campagne, donne de réelles solutions.