Chine: les employés d'un fournisseur d'Apple doivent s'engager par écrit à ne pas se suicider
HIGH-TECH•Il y a déjà eu douze tentatives depuis le début de l’année dont dix réussies...C.C. avec agence
Tout comme France Telecom, le groupe Foxconn Technology, principal manufacturier des produits Apple, est confronté à une inquiétante vague de suicides dans son usine du sud de la Chine. Mais pour y remédier, cette entreprise taïwanaise a pris des mesures radicales, demandant notamment à ses employés de s'engager par écrit à ne pas se suicider.
Dans cette lettre, chaque employé promet de ne pas attenter à ses jours, «de se blesser ou de blesser autrui d'une façon extrême», selon le texte. La missive demande également aux employés de faire état auprès de leur superviseur de toute difficulté. Un paragraphe prévoit également que les employés autorisent l'entreprise à les envoyer suivre un traitement médical s'ils présentent un «état physique ou mental anormal».
Encore un suicide mardi
Cette réaction intervient alors qu’un employé du groupe s'est tué mardi en se jetant d'un immeuble de Foxconn à Shenzhen. Il s’agit du dixième suicide en Chine depuis janvier au sein du premier fabricant de composants électroniques au monde et le neuvième à Shenzhen même, une ville aux portes de Hong Kong.
Au total, ce sont douze employés chinois de Hon Hai Precision Industry, connu sous le nom commercial de Foxconn, qui se sont jetés dans le vide depuis le début de l'année. Deux ont été grièvement blessés. L’entreprise s’est également employée à tendre des filets autour des bâtiments pour dissuader les sauts dans le vide.
Les syndicats appellent au boycott
Les syndicats de l’entreprise ont ainsi appelé à boycotter la nouvelle génération de l'iPhone, assemblé par Foxconn. Pour les groupes de défense des travailleurs, la série dramatique dans les usines chinoises de l'entreprise taïwanaise reflète les difficiles conditions de vie de millions d'ouvriers en Chine, astreints à de longs horaires et d'intenses pressions, vivant souvent dans des dortoirs et loin de leurs familles.
Ce n’est pas l’avis du président et fondateur du groupe, Terry Gou, qui est sorti de son silence lundi à Taiwan, en niant que les morts soient liées aux conditions de travail et de vie dans ses usines: «Je souhaite dire que nous ne dirigeons pas des usines de sueur et de sang».
Premier suicide en juillet dernier
En juillet dernier, un premier suicide chez Foxconn avait fait grand bruit en Chine, celui d'un employé qui avait été tenu pour responsable de la disparition d'un exemplaire de l'iPhone d'Apple, produit par son entreprise, et avait fait l'objet d'une enquête interne «humiliante», selon ses confidences à un ami juste avant sa mort.
Hon Hai Precision Industry, qui emploie plus de 300.000 personnes à Shenzhen, et 800.000 au total dans le monde, fournit notamment des composants pour l'iPhone d'Apple ou des ordinateurs Dell et Hewlett-Packard.
Tout comme France Telecom, le groupe Foxconn Technology, principal manufacturier des produits Apple, est confronté à une inquiétante vague de suicides dans son usine du sud de la Chine. Mais pour y remédier, cette entreprise taïwanaise a pris des mesures radicales, demandant notamment à ses employés de s'engager par écrit à ne pas se suicider.
Dans cette lettre, chaque employé promet de ne pas attenter à ses jours, «de se blesser ou de blesser autrui d'une façon extrême», selon le texte. La missive demande également aux employés de faire état auprès de leur superviseur de toute difficulté. Un paragraphe prévoit également que les employés autorisent l'entreprise à les envoyer suivre un traitement médical s'ils présentent un «état physique ou mental anormal».
Encore un suicide mardi
Cette réaction intervient alors qu’un employé du groupe s'est tué mardi en se jetant d'un immeuble de Foxconn à Shenzhen. Il s’agit du dixième suicide en Chine depuis janvier au sein du premier fabricant de composants électroniques au monde et le neuvième à Shenzhen même, une ville aux portes de Hong Kong.
Au total, ce sont douze employés chinois de Hon Hai Precision Industry, connu sous le nom commercial de Foxconn, qui se sont jetés dans le vide depuis le début de l'année. Deux ont été grièvement blessés. L’entreprise s’est également employée à tendre des filets autour des bâtiments pour dissuader les sauts dans le vide.
Les syndicats appellent au boycott
Les syndicats de l’entreprise ont ainsi appelé à boycotter la nouvelle génération de l'iPhone, assemblé par Foxconn. Pour les groupes de défense des travailleurs, la série dramatique dans les usines chinoises de l'entreprise taïwanaise reflète les difficiles conditions de vie de millions d'ouvriers en Chine, astreints à de longs horaires et d'intenses pressions, vivant souvent dans des dortoirs et loin de leurs familles.
Ce n’est pas l’avis du président et fondateur du groupe, Terry Gou, qui est sorti de son silence lundi à Taiwan, en niant que les morts soient liées aux conditions de travail et de vie dans ses usines: «Je souhaite dire que nous ne dirigeons pas des usines de sueur et de sang».
Premier suicide en juillet dernier
En juillet dernier, un premier suicide chez Foxconn avait fait grand bruit en Chine, celui d'un employé qui avait été tenu pour responsable de la disparition d'un exemplaire de l'iPhone d'Apple, produit par son entreprise, et avait fait l'objet d'une enquête interne «humiliante», selon ses confidences à un ami juste avant sa mort.
Hon Hai Precision Industry, qui emploie plus de 300.000 personnes à Shenzhen, et 800.000 au total dans le monde, fournit notamment des composants pour l'iPhone d'Apple ou des ordinateurs Dell et Hewlett-Packard.
Tout comme France Telecom, le groupe Foxconn Technology, principal manufacturier des produits Apple, est confronté à une inquiétante vague de suicides dans son usine du sud de la Chine. Mais pour y remédier, cette entreprise taïwanaise a pris des mesures radicales, demandant notamment à ses employés de s'engager par écrit à ne pas se suicider.
Dans cette lettre, chaque employé promet de ne pas attenter à ses jours, «de se blesser ou de blesser autrui d'une façon extrême», selon le texte. La missive demande également aux employés de faire état auprès de leur superviseur de toute difficulté. Un paragraphe prévoit également que les employés autorisent l'entreprise à les envoyer suivre un traitement médical s'ils présentent un «état physique ou mental anormal».
Encore un suicide mardi
Cette réaction intervient alors qu’un employé du groupe s'est tué mardi en se jetant d'un immeuble de Foxconn à Shenzhen. Il s’agit du dixième suicide en Chine depuis janvier au sein du premier fabricant de composants électroniques au monde et le neuvième à Shenzhen même, une ville aux portes de Hong Kong.
Au total, ce sont douze employés chinois de Hon Hai Precision Industry, connu sous le nom commercial de Foxconn, qui se sont jetés dans le vide depuis le début de l'année. Deux ont été grièvement blessés. L’entreprise s’est également employée à tendre des filets autour des bâtiments pour dissuader les sauts dans le vide.
Les syndicats appellent au boycott
Les syndicats de l’entreprise ont ainsi appelé à boycotter la nouvelle génération de l'iPhone, assemblé par Foxconn. Pour les groupes de défense des travailleurs, la série dramatique dans les usines chinoises de l'entreprise taïwanaise reflète les difficiles conditions de vie de millions d'ouvriers en Chine, astreints à de longs horaires et d'intenses pressions, vivant souvent dans des dortoirs et loin de leurs familles.
Ce n’est pas l’avis du président et fondateur du groupe, Terry Gou, qui est sorti de son silence lundi à Taiwan, en niant que les morts soient liées aux conditions de travail et de vie dans ses usines: «Je souhaite dire que nous ne dirigeons pas des usines de sueur et de sang».
Premier suicide en juillet dernier
En juillet dernier, un premier suicide chez Foxconn avait fait grand bruit en Chine, celui d'un employé qui avait été tenu pour responsable de la disparition d'un exemplaire de l'iPhone d'Apple, produit par son entreprise, et avait fait l'objet d'une enquête interne «humiliante», selon ses confidences à un ami juste avant sa mort.
Hon Hai Precision Industry, qui emploie plus de 300.000 personnes à Shenzhen, et 800.000 au total dans le monde, fournit notamment des composants pour l'iPhone d'Apple ou des ordinateurs Dell et Hewlett-Packard.
Tout comme France Telecom, le groupe Foxconn Technology, principal manufacturier des produits Apple, est confronté à une inquiétante vague de suicides dans son usine du sud de la Chine. Mais pour y remédier, cette entreprise taïwanaise a pris des mesures radicales, demandant notamment à ses employés de s'engager par écrit à ne pas se suicider.
Dans cette lettre, chaque employé promet de ne pas attenter à ses jours, «de se blesser ou de blesser autrui d'une façon extrême», selon le texte. La missive demande également aux employés de faire état auprès de leur superviseur de toute difficulté. Un paragraphe prévoit également que les employés autorisent l'entreprise à les envoyer suivre un traitement médical s'ils présentent un «état physique ou mental anormal».
Encore un suicide mardi
Cette réaction intervient alors qu’un employé du groupe s'est tué mardi en se jetant d'un immeuble de Foxconn à Shenzhen. Il s’agit du dixième suicide en Chine depuis janvier au sein du premier fabricant de composants électroniques au monde et le neuvième à Shenzhen même, une ville aux portes de Hong Kong.
Au total, ce sont douze employés chinois de Hon Hai Precision Industry, connu sous le nom commercial de Foxconn, qui se sont jetés dans le vide depuis le début de l'année. Deux ont été grièvement blessés. L’entreprise s’est également employée à tendre des filets autour des bâtiments pour dissuader les sauts dans le vide.
Les syndicats appellent au boycott
Les syndicats de l’entreprise ont ainsi appelé à boycotter la nouvelle génération de l'iPhone, assemblé par Foxconn. Pour les groupes de défense des travailleurs, la série dramatique dans les usines chinoises de l'entreprise taïwanaise reflète les difficiles conditions de vie de millions d'ouvriers en Chine, astreints à de longs horaires et d'intenses pressions, vivant souvent dans des dortoirs et loin de leurs familles.
Ce n’est pas l’avis du président et fondateur du groupe, Terry Gou, qui est sorti de son silence lundi à Taiwan, en niant que les morts soient liées aux conditions de travail et de vie dans ses usines: «Je souhaite dire que nous ne dirigeons pas des usines de sueur et de sang».
Premier suicide en juillet dernier
En juillet dernier, un premier suicide chez Foxconn avait fait grand bruit en Chine, celui d'un employé qui avait été tenu pour responsable de la disparition d'un exemplaire de l'iPhone d'Apple, produit par son entreprise, et avait fait l'objet d'une enquête interne «humiliante», selon ses confidences à un ami juste avant sa mort.
Hon Hai Precision Industry, qui emploie plus de 300.000 personnes à Shenzhen, et 800.000 au total dans le monde, fournit notamment des composants pour l'iPhone d'Apple ou des ordinateurs Dell et Hewlett-Packard.
Tout comme France Telecom, le groupe Foxconn Technology, principal manufacturier des produits Apple, est confronté à une inquiétante vague de suicides dans son usine du sud de la Chine. Mais pour y remédier, cette entreprise taïwanaise a pris des mesures radicales, demandant notamment à ses employés de s'engager par écrit à ne pas se suicider.
Dans cette lettre, chaque employé promet de ne pas attenter à ses jours, «de se blesser ou de blesser autrui d'une façon extrême», selon le texte. La missive demande également aux employés de faire état auprès de leur superviseur de toute difficulté. Un paragraphe prévoit également que les employés autorisent l'entreprise à les envoyer suivre un traitement médical s'ils présentent un «état physique ou mental anormal».
Encore un suicide mardi
Cette réaction intervient alors qu’un employé du groupe s'est tué mardi en se jetant d'un immeuble de Foxconn à Shenzhen. Il s’agit du dixième suicide en Chine depuis janvier au sein du premier fabricant de composants électroniques au monde et le neuvième à Shenzhen même, une ville aux portes de Hong Kong.
Au total, ce sont douze employés chinois de Hon Hai Precision Industry, connu sous le nom commercial de Foxconn, qui se sont jetés dans le vide depuis le début de l'année. Deux ont été grièvement blessés. L’entreprise s’est également employée à tendre des filets autour des bâtiments pour dissuader les sauts dans le vide.
Les syndicats appellent au boycott
Les syndicats de l’entreprise ont ainsi appelé à boycotter la nouvelle génération de l'iPhone, assemblé par Foxconn. Pour les groupes de défense des travailleurs, la série dramatique dans les usines chinoises de l'entreprise taïwanaise reflète les difficiles conditions de vie de millions d'ouvriers en Chine, astreints à de longs horaires et d'intenses pressions, vivant souvent dans des dortoirs et loin de leurs familles.
Ce n’est pas l’avis du président et fondateur du groupe, Terry Gou, qui est sorti de son silence lundi à Taiwan, en niant que les morts soient liées aux conditions de travail et de vie dans ses usines: «Je souhaite dire que nous ne dirigeons pas des usines de sueur et de sang».
Premier suicide en juillet dernier
En juillet dernier, un premier suicide chez Foxconn avait fait grand bruit en Chine, celui d'un employé qui avait été tenu pour responsable de la disparition d'un exemplaire de l'iPhone d'Apple, produit par son entreprise, et avait fait l'objet d'une enquête interne «humiliante», selon ses confidences à un ami juste avant sa mort.
Hon Hai Precision Industry, qui emploie plus de 300.000 personnes à Shenzhen, et 800.000 au total dans le monde, fournit notamment des composants pour l'iPhone d'Apple ou des ordinateurs Dell et Hewlett-Packard.
Tout comme France Telecom, le groupe Foxconn Technology, principal manufacturier des produits Apple, est confronté à une inquiétante vague de suicides dans son usine du sud de la Chine. Mais pour y remédier, cette entreprise taïwanaise a pris des mesures radicales, demandant notamment à ses employés de s'engager par écrit à ne pas se suicider.
Dans cette lettre, chaque employé promet de ne pas attenter à ses jours, «de se blesser ou de blesser autrui d'une façon extrême», selon le texte. La missive demande également aux employés de faire état auprès de leur superviseur de toute difficulté. Un paragraphe prévoit également que les employés autorisent l'entreprise à les envoyer suivre un traitement médical s'ils présentent un «état physique ou mental anormal».
Encore un suicide mardi
Cette réaction intervient alors qu’un employé du groupe s'est tué mardi en se jetant d'un immeuble de Foxconn à Shenzhen. Il s’agit du dixième suicide en Chine depuis janvier au sein du premier fabricant de composants électroniques au monde et le neuvième à Shenzhen même, une ville aux portes de Hong Kong.
Au total, ce sont douze employés chinois de Hon Hai Precision Industry, connu sous le nom commercial de Foxconn, qui se sont jetés dans le vide depuis le début de l'année. Deux ont été grièvement blessés. L’entreprise s’est également employée à tendre des filets autour des bâtiments pour dissuader les sauts dans le vide.
Les syndicats appellent au boycott
Les syndicats de l’entreprise ont ainsi appelé à boycotter la nouvelle génération de l'iPhone, assemblé par Foxconn. Pour les groupes de défense des travailleurs, la série dramatique dans les usines chinoises de l'entreprise taïwanaise reflète les difficiles conditions de vie de millions d'ouvriers en Chine, astreints à de longs horaires et d'intenses pressions, vivant souvent dans des dortoirs et loin de leurs familles.
Ce n’est pas l’avis du président et fondateur du groupe, Terry Gou, qui est sorti de son silence lundi à Taiwan, en niant que les morts soient liées aux conditions de travail et de vie dans ses usines: «Je souhaite dire que nous ne dirigeons pas des usines de sueur et de sang».
Premier suicide en juillet dernier
En juillet dernier, un premier suicide chez Foxconn avait fait grand bruit en Chine, celui d'un employé qui avait été tenu pour responsable de la disparition d'un exemplaire de l'iPhone d'Apple, produit par son entreprise, et avait fait l'objet d'une enquête interne «humiliante», selon ses confidences à un ami juste avant sa mort.
Hon Hai Precision Industry, qui emploie plus de 300.000 personnes à Shenzhen, et 800.000 au total dans le monde, fournit notamment des composants pour l'iPhone d'Apple ou des ordinateurs Dell et Hewlett-Packard.
Tout comme France Telecom, le groupe Foxconn Technology, principal manufacturier des produits Apple, est confronté à une inquiétante vague de suicides dans son usine du sud de la Chine. Mais pour y remédier, cette entreprise taïwanaise a pris des mesures radicales, demandant notamment à ses employés de s'engager par écrit à ne pas se suicider.
Dans cette lettre, chaque employé promet de ne pas attenter à ses jours, «de se blesser ou de blesser autrui d'une façon extrême», selon le texte. La missive demande également aux employés de faire état auprès de leur superviseur de toute difficulté. Un paragraphe prévoit également que les employés autorisent l'entreprise à les envoyer suivre un traitement médical s'ils présentent un «état physique ou mental anormal».
Encore un suicide mardi
Cette réaction intervient alors qu’un employé du groupe s'est tué mardi en se jetant d'un immeuble de Foxconn à Shenzhen. Il s’agit du dixième suicide en Chine depuis janvier au sein du premier fabricant de composants électroniques au monde et le neuvième à Shenzhen même, une ville aux portes de Hong Kong.
Au total, ce sont douze employés chinois de Hon Hai Precision Industry, connu sous le nom commercial de Foxconn, qui se sont jetés dans le vide depuis le début de l'année. Deux ont été grièvement blessés. L’entreprise s’est également employée à tendre des filets autour des bâtiments pour dissuader les sauts dans le vide.
Les syndicats appellent au boycott
Les syndicats de l’entreprise ont ainsi appelé à boycotter la nouvelle génération de l'iPhone, assemblé par Foxconn. Pour les groupes de défense des travailleurs, la série dramatique dans les usines chinoises de l'entreprise taïwanaise reflète les difficiles conditions de vie de millions d'ouvriers en Chine, astreints à de longs horaires et d'intenses pressions, vivant souvent dans des dortoirs et loin de leurs familles.
Ce n’est pas l’avis du président et fondateur du groupe, Terry Gou, qui est sorti de son silence lundi à Taiwan, en niant que les morts soient liées aux conditions de travail et de vie dans ses usines: «Je souhaite dire que nous ne dirigeons pas des usines de sueur et de sang».
Premier suicide en juillet dernier
En juillet dernier, un premier suicide chez Foxconn avait fait grand bruit en Chine, celui d'un employé qui avait été tenu pour responsable de la disparition d'un exemplaire de l'iPhone d'Apple, produit par son entreprise, et avait fait l'objet d'une enquête interne «humiliante», selon ses confidences à un ami juste avant sa mort.
Hon Hai Precision Industry, qui emploie plus de 300.000 personnes à Shenzhen, et 800.000 au total dans le monde, fournit notamment des composants pour l'iPhone d'Apple ou des ordinateurs Dell et Hewlett-Packard.
Tout comme France Telecom, le groupe Foxconn Technology, principal manufacturier des produits Apple, est confronté à une inquiétante vague de suicides dans son usine du sud de la Chine. Mais pour y remédier, cette entreprise taïwanaise a pris des mesures radicales, demandant notamment à ses employés de s'engager par écrit à ne pas se suicider.
Dans cette lettre, chaque employé promet de ne pas attenter à ses jours, «de se blesser ou de blesser autrui d'une façon extrême», selon le texte. La missive demande également aux employés de faire état auprès de leur superviseur de toute difficulté. Un paragraphe prévoit également que les employés autorisent l'entreprise à les envoyer suivre un traitement médical s'ils présentent un «état physique ou mental anormal».
Encore un suicide mardi
Cette réaction intervient alors qu’un employé du groupe s'est tué mardi en se jetant d'un immeuble de Foxconn à Shenzhen. Il s’agit du dixième suicide en Chine depuis janvier au sein du premier fabricant de composants électroniques au monde et le neuvième à Shenzhen même, une ville aux portes de Hong Kong.
Au total, ce sont douze employés chinois de Hon Hai Precision Industry, connu sous le nom commercial de Foxconn, qui se sont jetés dans le vide depuis le début de l'année. Deux ont été grièvement blessés. L’entreprise s’est également employée à tendre des filets autour des bâtiments pour dissuader les sauts dans le vide.
Les syndicats appellent au boycott
Les syndicats de l’entreprise ont ainsi appelé à boycotter la nouvelle génération de l'iPhone, assemblé par Foxconn. Pour les groupes de défense des travailleurs, la série dramatique dans les usines chinoises de l'entreprise taïwanaise reflète les difficiles conditions de vie de millions d'ouvriers en Chine, astreints à de longs horaires et d'intenses pressions, vivant souvent dans des dortoirs et loin de leurs familles.
Ce n’est pas l’avis du président et fondateur du groupe, Terry Gou, qui est sorti de son silence lundi à Taiwan, en niant que les morts soient liées aux conditions de travail et de vie dans ses usines: «Je souhaite dire que nous ne dirigeons pas des usines de sueur et de sang».
Premier suicide en juillet dernier
En juillet dernier, un premier suicide chez Foxconn avait fait grand bruit en Chine, celui d'un employé qui avait été tenu pour responsable de la disparition d'un exemplaire de l'iPhone d'Apple, produit par son entreprise, et avait fait l'objet d'une enquête interne «humiliante», selon ses confidences à un ami juste avant sa mort.
Hon Hai Precision Industry, qui emploie plus de 300.000 personnes à Shenzhen, et 800.000 au total dans le monde, fournit notamment des composants pour l'iPhone d'Apple ou des ordinateurs Dell et Hewlett-Packard.
Tout comme France Telecom, le groupe Foxconn Technology, principal manufacturier des produits Apple, est confronté à une inquiétante vague de suicides dans son usine du sud de la Chine. Mais pour y remédier, cette entreprise taïwanaise a pris des mesures radicales, demandant notamment à ses employés de s'engager par écrit à ne pas se suicider.
Dans cette lettre, chaque employé promet de ne pas attenter à ses jours, «de se blesser ou de blesser autrui d'une façon extrême», selon le texte. La missive demande également aux employés de faire état auprès de leur superviseur de toute difficulté. Un paragraphe prévoit également que les employés autorisent l'entreprise à les envoyer suivre un traitement médical s'ils présentent un «état physique ou mental anormal».
Encore un suicide mardi
Cette réaction intervient alors qu’un employé du groupe s'est tué mardi en se jetant d'un immeuble de Foxconn à Shenzhen. Il s’agit du dixième suicide en Chine depuis janvier au sein du premier fabricant de composants électroniques au monde et le neuvième à Shenzhen même, une ville aux portes de Hong Kong.
Au total, ce sont douze employés chinois de Hon Hai Precision Industry, connu sous le nom commercial de Foxconn, qui se sont jetés dans le vide depuis le début de l'année. Deux ont été grièvement blessés. L’entreprise s’est également employée à tendre des filets autour des bâtiments pour dissuader les sauts dans le vide.
Les syndicats appellent au boycott
Les syndicats de l’entreprise ont ainsi appelé à boycotter la nouvelle génération de l'iPhone, assemblé par Foxconn. Pour les groupes de défense des travailleurs, la série dramatique dans les usines chinoises de l'entreprise taïwanaise reflète les difficiles conditions de vie de millions d'ouvriers en Chine, astreints à de longs horaires et d'intenses pressions, vivant souvent dans des dortoirs et loin de leurs familles.
Ce n’est pas l’avis du président et fondateur du groupe, Terry Gou, qui est sorti de son silence lundi à Taiwan, en niant que les morts soient liées aux conditions de travail et de vie dans ses usines: «Je souhaite dire que nous ne dirigeons pas des usines de sueur et de sang».
Premier suicide en juillet dernier
En juillet dernier, un premier suicide chez Foxconn avait fait grand bruit en Chine, celui d'un employé qui avait été tenu pour responsable de la disparition d'un exemplaire de l'iPhone d'Apple, produit par son entreprise, et avait fait l'objet d'une enquête interne «humiliante», selon ses confidences à un ami juste avant sa mort.
Hon Hai Precision Industry, qui emploie plus de 300.000 personnes à Shenzhen, et 800.000 au total dans le monde, fournit notamment des composants pour l'iPhone d'Apple ou des ordinateurs Dell et Hewlett-Packard.
Tout comme France Telecom, le groupe Foxconn Technology, principal manufacturier des produits Apple, est confronté à une inquiétante vague de suicides dans son usine du sud de la Chine. Mais pour y remédier, cette entreprise taïwanaise a pris des mesures radicales, demandant notamment à ses employés de s'engager par écrit à ne pas se suicider.
Dans cette lettre, chaque employé promet de ne pas attenter à ses jours, «de se blesser ou de blesser autrui d'une façon extrême», selon le texte. La missive demande également aux employés de faire état auprès de leur superviseur de toute difficulté. Un paragraphe prévoit également que les employés autorisent l'entreprise à les envoyer suivre un traitement médical s'ils présentent un «état physique ou mental anormal».
Encore un suicide mardi
Cette réaction intervient alors qu’un employé du groupe s'est tué mardi en se jetant d'un immeuble de Foxconn à Shenzhen. Il s’agit du dixième suicide en Chine depuis janvier au sein du premier fabricant de composants électroniques au monde et le neuvième à Shenzhen même, une ville aux portes de Hong Kong.
Au total, ce sont douze employés chinois de Hon Hai Precision Industry, connu sous le nom commercial de Foxconn, qui se sont jetés dans le vide depuis le début de l'année. Deux ont été grièvement blessés. L’entreprise s’est également employée à tendre des filets autour des bâtiments pour dissuader les sauts dans le vide.
Les syndicats appellent au boycott
Les syndicats de l’entreprise ont ainsi appelé à boycotter la nouvelle génération de l'iPhone, assemblé par Foxconn. Pour les groupes de défense des travailleurs, la série dramatique dans les usines chinoises de l'entreprise taïwanaise reflète les difficiles conditions de vie de millions d'ouvriers en Chine, astreints à de longs horaires et d'intenses pressions, vivant souvent dans des dortoirs et loin de leurs familles.
Ce n’est pas l’avis du président et fondateur du groupe, Terry Gou, qui est sorti de son silence lundi à Taiwan, en niant que les morts soient liées aux conditions de travail et de vie dans ses usines: «Je souhaite dire que nous ne dirigeons pas des usines de sueur et de sang».
Premier suicide en juillet dernier
En juillet dernier, un premier suicide chez Foxconn avait fait grand bruit en Chine, celui d'un employé qui avait été tenu pour responsable de la disparition d'un exemplaire de l'iPhone d'Apple, produit par son entreprise, et avait fait l'objet d'une enquête interne «humiliante», selon ses confidences à un ami juste avant sa mort.
Hon Hai Precision Industry, qui emploie plus de 300.000 personnes à Shenzhen, et 800.000 au total dans le monde, fournit notamment des composants pour l'iPhone d'Apple ou des ordinateurs Dell et Hewlett-Packard.
Tout comme France Telecom, le groupe Foxconn Technology, principal manufacturier des produits Apple, est confronté à une inquiétante vague de suicides dans son usine du sud de la Chine. Mais pour y remédier, cette entreprise taïwanaise a pris des mesures radicales, demandant notamment à ses employés de s'engager par écrit à ne pas se suicider.
Dans cette lettre, chaque employé promet de ne pas attenter à ses jours, «de se blesser ou de blesser autrui d'une façon extrême», selon le texte. La missive demande également aux employés de faire état auprès de leur superviseur de toute difficulté. Un paragraphe prévoit également que les employés autorisent l'entreprise à les envoyer suivre un traitement médical s'ils présentent un «état physique ou mental anormal».
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Cette réaction intervient alors qu’un employé du groupe s'est tué mardi en se jetant d'un immeuble de Foxconn à Shenzhen. Il s’agit du dixième suicide en Chine depuis janvier au sein du premier fabricant de composants électroniques au monde et le neuvième à Shenzhen même, une ville aux portes de Hong Kong.
Au total, ce sont douze employés chinois de Hon Hai Precision Industry, connu sous le nom commercial de Foxconn, qui se sont jetés dans le vide depuis le début de l'année. Deux ont été grièvement blessés. L’entreprise s’est également employée à tendre des filets autour des bâtiments pour dissuader les sauts dans le vide.
Les syndicats appellent au boycott
Les syndicats de l’entreprise ont ainsi appelé à boycotter la nouvelle génération de l'iPhone, assemblé par Foxconn. Pour les groupes de défense des travailleurs, la série dramatique dans les usines chinoises de l'entreprise taïwanaise reflète les difficiles conditions de vie de millions d'ouvriers en Chine, astreints à de longs horaires et d'intenses pressions, vivant souvent dans des dortoirs et loin de leurs familles.
Ce n’est pas l’avis du président et fondateur du groupe, Terry Gou, qui est sorti de son silence lundi à Taiwan, en niant que les morts soient liées aux conditions de travail et de vie dans ses usines: «Je souhaite dire que nous ne dirigeons pas des usines de sueur et de sang».
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En juillet dernier, un premier suicide chez Foxconn avait fait grand bruit en Chine, celui d'un employé qui avait été tenu pour responsable de la disparition d'un exemplaire de l'iPhone d'Apple, produit par son entreprise, et avait fait l'objet d'une enquête interne «humiliante», selon ses confidences à un ami juste avant sa mort.
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Dans cette lettre, chaque employé promet de ne pas attenter à ses jours, «de se blesser ou de blesser autrui d'une façon extrême», selon le texte. La missive demande également aux employés de faire état auprès de leur superviseur de toute difficulté. Un paragraphe prévoit également que les employés autorisent l'entreprise à les envoyer suivre un traitement médical s'ils présentent un «état physique ou mental anormal».
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Au total, ce sont douze employés chinois de Hon Hai Precision Industry, connu sous le nom commercial de Foxconn, qui se sont jetés dans le vide depuis le début de l'année. Deux ont été grièvement blessés. L’entreprise s’est également employée à tendre des filets autour des bâtiments pour dissuader les sauts dans le vide.
Les syndicats appellent au boycott
Les syndicats de l’entreprise ont ainsi appelé à boycotter la nouvelle génération de l'iPhone, assemblé par Foxconn. Pour les groupes de défense des travailleurs, la série dramatique dans les usines chinoises de l'entreprise taïwanaise reflète les difficiles conditions de vie de millions d'ouvriers en Chine, astreints à de longs horaires et d'intenses pressions, vivant souvent dans des dortoirs et loin de leurs familles.
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Hon Hai Precision Industry, qui emploie plus de 300.000 personnes à Shenzhen, et 800.000 au total dans le monde, fournit notamment des composants pour l'iPhone d'Apple ou des ordinateurs Dell et Hewlett-Packard.
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Dans cette lettre, chaque employé promet de ne pas attenter à ses jours, «de se blesser ou de blesser autrui d'une façon extrême», selon le texte. La missive demande également aux employés de faire état auprès de leur superviseur de toute difficulté. Un paragraphe prévoit également que les employés autorisent l'entreprise à les envoyer suivre un traitement médical s'ils présentent un «état physique ou mental anormal».
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Cette réaction intervient alors qu’un employé du groupe s'est tué mardi en se jetant d'un immeuble de Foxconn à Shenzhen. Il s’agit du dixième suicide en Chine depuis janvier au sein du premier fabricant de composants électroniques au monde et le neuvième à Shenzhen même, une ville aux portes de Hong Kong.
Au total, ce sont douze employés chinois de Hon Hai Precision Industry, connu sous le nom commercial de Foxconn, qui se sont jetés dans le vide depuis le début de l'année. Deux ont été grièvement blessés. L’entreprise s’est également employée à tendre des filets autour des bâtiments pour dissuader les sauts dans le vide.
Les syndicats appellent au boycott
Les syndicats de l’entreprise ont ainsi appelé à boycotter la nouvelle génération de l'iPhone, assemblé par Foxconn. Pour les groupes de défense des travailleurs, la série dramatique dans les usines chinoises de l'entreprise taïwanaise reflète les difficiles conditions de vie de millions d'ouvriers en Chine, astreints à de longs horaires et d'intenses pressions, vivant souvent dans des dortoirs et loin de leurs familles.
Ce n’est pas l’avis du président et fondateur du groupe, Terry Gou, qui est sorti de son silence lundi à Taiwan, en niant que les morts soient liées aux conditions de travail et de vie dans ses usines: «Je souhaite dire que nous ne dirigeons pas des usines de sueur et de sang».
Premier suicide en juillet dernier
En juillet dernier, un premier suicide chez Foxconn avait fait grand bruit en Chine, celui d'un employé qui avait été tenu pour responsable de la disparition d'un exemplaire de l'iPhone d'Apple, produit par son entreprise, et avait fait l'objet d'une enquête interne «humiliante», selon ses confidences à un ami juste avant sa mort.
Hon Hai Precision Industry, qui emploie plus de 300.000 personnes à Shenzhen, et 800.000 au total dans le monde, fournit notamment des composants pour l'iPhone d'Apple ou des ordinateurs Dell et Hewlett-Packard.
Tout comme France Telecom, le groupe Foxconn Technology, principal manufacturier des produits Apple, est confronté à une inquiétante vague de suicides dans son usine du sud de la Chine. Mais pour y remédier, cette entreprise taïwanaise a pris des mesures radicales, demandant notamment à ses employés de s'engager par écrit à ne pas se suicider.
Dans cette lettre, chaque employé promet de ne pas attenter à ses jours, «de se blesser ou de blesser autrui d'une façon extrême», selon le texte. La missive demande également aux employés de faire état auprès de leur superviseur de toute difficulté. Un paragraphe prévoit également que les employés autorisent l'entreprise à les envoyer suivre un traitement médical s'ils présentent un «état physique ou mental anormal».
Encore un suicide mardi
Cette réaction intervient alors qu’un employé du groupe s'est tué mardi en se jetant d'un immeuble de Foxconn à Shenzhen. Il s’agit du dixième suicide en Chine depuis janvier au sein du premier fabricant de composants électroniques au monde et le neuvième à Shenzhen même, une ville aux portes de Hong Kong.
Au total, ce sont douze employés chinois de Hon Hai Precision Industry, connu sous le nom commercial de Foxconn, qui se sont jetés dans le vide depuis le début de l'année. Deux ont été grièvement blessés. L’entreprise s’est également employée à tendre des filets autour des bâtiments pour dissuader les sauts dans le vide.
Les syndicats appellent au boycott
Les syndicats de l’entreprise ont ainsi appelé à boycotter la nouvelle génération de l'iPhone, assemblé par Foxconn. Pour les groupes de défense des travailleurs, la série dramatique dans les usines chinoises de l'entreprise taïwanaise reflète les difficiles conditions de vie de millions d'ouvriers en Chine, astreints à de longs horaires et d'intenses pressions, vivant souvent dans des dortoirs et loin de leurs familles.
Ce n’est pas l’avis du président et fondateur du groupe, Terry Gou, qui est sorti de son silence lundi à Taiwan, en niant que les morts soient liées aux conditions de travail et de vie dans ses usines: «Je souhaite dire que nous ne dirigeons pas des usines de sueur et de sang».
Premier suicide en juillet dernier
En juillet dernier, un premier suicide chez Foxconn avait fait grand bruit en Chine, celui d'un employé qui avait été tenu pour responsable de la disparition d'un exemplaire de l'iPhone d'Apple, produit par son entreprise, et avait fait l'objet d'une enquête interne «humiliante», selon ses confidences à un ami juste avant sa mort.
Hon Hai Precision Industry, qui emploie plus de 300.000 personnes à Shenzhen, et 800.000 au total dans le monde, fournit notamment des composants pour l'iPhone d'Apple ou des ordinateurs Dell et Hewlett-Packard.
Tout comme France Telecom, le groupe Foxconn Technology, principal manufacturier des produits Apple, est confronté à une inquiétante vague de suicides dans son usine du sud de la Chine. Mais pour y remédier, cette entreprise taïwanaise a pris des mesures radicales, demandant notamment à ses employés de s'engager par écrit à ne pas se suicider.
Dans cette lettre, chaque employé promet de ne pas attenter à ses jours, «de se blesser ou de blesser autrui d'une façon extrême», selon le texte. La missive demande également aux employés de faire état auprès de leur superviseur de toute difficulté. Un paragraphe prévoit également que les employés autorisent l'entreprise à les envoyer suivre un traitement médical s'ils présentent un «état physique ou mental anormal».
Encore un suicide mardi
Cette réaction intervient alors qu’un employé du groupe s'est tué mardi en se jetant d'un immeuble de Foxconn à Shenzhen. Il s’agit du dixième suicide en Chine depuis janvier au sein du premier fabricant de composants électroniques au monde et le neuvième à Shenzhen même, une ville aux portes de Hong Kong.
Au total, ce sont douze employés chinois de Hon Hai Precision Industry, connu sous le nom commercial de Foxconn, qui se sont jetés dans le vide depuis le début de l'année. Deux ont été grièvement blessés. L’entreprise s’est également employée à tendre des filets autour des bâtiments pour dissuader les sauts dans le vide.
Les syndicats appellent au boycott
Les syndicats de l’entreprise ont ainsi appelé à boycotter la nouvelle génération de l'iPhone, assemblé par Foxconn. Pour les groupes de défense des travailleurs, la série dramatique dans les usines chinoises de l'entreprise taïwanaise reflète les difficiles conditions de vie de millions d'ouvriers en Chine, astreints à de longs horaires et d'intenses pressions, vivant souvent dans des dortoirs et loin de leurs familles.
Ce n’est pas l’avis du président et fondateur du groupe, Terry Gou, qui est sorti de son silence lundi à Taiwan, en niant que les morts soient liées aux conditions de travail et de vie dans ses usines: «Je souhaite dire que nous ne dirigeons pas des usines de sueur et de sang».
Premier suicide en juillet dernier
En juillet dernier, un premier suicide chez Foxconn avait fait grand bruit en Chine, celui d'un employé qui avait été tenu pour responsable de la disparition d'un exemplaire de l'iPhone d'Apple, produit par son entreprise, et avait fait l'objet d'une enquête interne «humiliante», selon ses confidences à un ami juste avant sa mort.
Hon Hai Precision Industry, qui emploie plus de 300.000 personnes à Shenzhen, et 800.000 au total dans le monde, fournit notamment des composants pour l'iPhone d'Apple ou des ordinateurs Dell et Hewlett-Packard.
Tout comme France Telecom, le groupe Foxconn Technology, principal manufacturier des produits Apple, est confronté à une inquiétante vague de suicides dans son usine du sud de la Chine. Mais pour y remédier, cette entreprise taïwanaise a pris des mesures radicales, demandant notamment à ses employés de s'engager par écrit à ne pas se suicider.
Dans cette lettre, chaque employé promet de ne pas attenter à ses jours, «de se blesser ou de blesser autrui d'une façon extrême», selon le texte. La missive demande également aux employés de faire état auprès de leur superviseur de toute difficulté. Un paragraphe prévoit également que les employés autorisent l'entreprise à les envoyer suivre un traitement médical s'ils présentent un «état physique ou mental anormal».
Encore un suicide mardi
Cette réaction intervient alors qu’un employé du groupe s'est tué mardi en se jetant d'un immeuble de Foxconn à Shenzhen. Il s’agit du dixième suicide en Chine depuis janvier au sein du premier fabricant de composants électroniques au monde et le neuvième à Shenzhen même, une ville aux portes de Hong Kong.
Au total, ce sont douze employés chinois de Hon Hai Precision Industry, connu sous le nom commercial de Foxconn, qui se sont jetés dans le vide depuis le début de l'année. Deux ont été grièvement blessés. L’entreprise s’est également employée à tendre des filets autour des bâtiments pour dissuader les sauts dans le vide.
Les syndicats appellent au boycott
Les syndicats de l’entreprise ont ainsi appelé à boycotter la nouvelle génération de l'iPhone, assemblé par Foxconn. Pour les groupes de défense des travailleurs, la série dramatique dans les usines chinoises de l'entreprise taïwanaise reflète les difficiles conditions de vie de millions d'ouvriers en Chine, astreints à de longs horaires et d'intenses pressions, vivant souvent dans des dortoirs et loin de leurs familles.
Ce n’est pas l’avis du président et fondateur du groupe, Terry Gou, qui est sorti de son silence lundi à Taiwan, en niant que les morts soient liées aux conditions de travail et de vie dans ses usines: «Je souhaite dire que nous ne dirigeons pas des usines de sueur et de sang».
Premier suicide en juillet dernier
En juillet dernier, un premier suicide chez Foxconn avait fait grand bruit en Chine, celui d'un employé qui avait été tenu pour responsable de la disparition d'un exemplaire de l'iPhone d'Apple, produit par son entreprise, et avait fait l'objet d'une enquête interne «humiliante», selon ses confidences à un ami juste avant sa mort.
Hon Hai Precision Industry, qui emploie plus de 300.000 personnes à Shenzhen, et 800.000 au total dans le monde, fournit notamment des composants pour l'iPhone d'Apple ou des ordinateurs Dell et Hewlett-Packard.
Tout comme France Telecom, le groupe Foxconn Technology, principal manufacturier des produits Apple, est confronté à une inquiétante vague de suicides dans son usine du sud de la Chine. Mais pour y remédier, cette entreprise taïwanaise a pris des mesures radicales, demandant notamment à ses employés de s'engager par écrit à ne pas se suicider.
Dans cette lettre, chaque employé promet de ne pas attenter à ses jours, «de se blesser ou de blesser autrui d'une façon extrême», selon le texte. La missive demande également aux employés de faire état auprès de leur superviseur de toute difficulté. Un paragraphe prévoit également que les employés autorisent l'entreprise à les envoyer suivre un traitement médical s'ils présentent un «état physique ou mental anormal».
Encore un suicide mardi
Cette réaction intervient alors qu’un employé du groupe s'est tué mardi en se jetant d'un immeuble de Foxconn à Shenzhen. Il s’agit du dixième suicide en Chine depuis janvier au sein du premier fabricant de composants électroniques au monde et le neuvième à Shenzhen même, une ville aux portes de Hong Kong.
Au total, ce sont douze employés chinois de Hon Hai Precision Industry, connu sous le nom commercial de Foxconn, qui se sont jetés dans le vide depuis le début de l'année. Deux ont été grièvement blessés. L’entreprise s’est également employée à tendre des filets autour des bâtiments pour dissuader les sauts dans le vide.
Les syndicats appellent au boycott
Les syndicats de l’entreprise ont ainsi appelé à boycotter la nouvelle génération de l'iPhone, assemblé par Foxconn. Pour les groupes de défense des travailleurs, la série dramatique dans les usines chinoises de l'entreprise taïwanaise reflète les difficiles conditions de vie de millions d'ouvriers en Chine, astreints à de longs horaires et d'intenses pressions, vivant souvent dans des dortoirs et loin de leurs familles.
Ce n’est pas l’avis du président et fondateur du groupe, Terry Gou, qui est sorti de son silence lundi à Taiwan, en niant que les morts soient liées aux conditions de travail et de vie dans ses usines: «Je souhaite dire que nous ne dirigeons pas des usines de sueur et de sang».
Premier suicide en juillet dernier
En juillet dernier, un premier suicide chez Foxconn avait fait grand bruit en Chine, celui d'un employé qui avait été tenu pour responsable de la disparition d'un exemplaire de l'iPhone d'Apple, produit par son entreprise, et avait fait l'objet d'une enquête interne «humiliante», selon ses confidences à un ami juste avant sa mort.
Hon Hai Precision Industry, qui emploie plus de 300.000 personnes à Shenzhen, et 800.000 au total dans le monde, fournit notamment des composants pour l'iPhone d'Apple ou des ordinateurs Dell et Hewlett-Packard.
Tout comme France Telecom, le groupe Foxconn Technology, principal manufacturier des produits Apple, est confronté à une inquiétante vague de suicides dans son usine du sud de la Chine. Mais pour y remédier, cette entreprise taïwanaise a pris des mesures radicales, demandant notamment à ses employés de s'engager par écrit à ne pas se suicider.
Dans cette lettre, chaque employé promet de ne pas attenter à ses jours, «de se blesser ou de blesser autrui d'une façon extrême», selon le texte. La missive demande également aux employés de faire état auprès de leur superviseur de toute difficulté. Un paragraphe prévoit également que les employés autorisent l'entreprise à les envoyer suivre un traitement médical s'ils présentent un «état physique ou mental anormal».
Encore un suicide mardi
Cette réaction intervient alors qu’un employé du groupe s'est tué mardi en se jetant d'un immeuble de Foxconn à Shenzhen. Il s’agit du dixième suicide en Chine depuis janvier au sein du premier fabricant de composants électroniques au monde et le neuvième à Shenzhen même, une ville aux portes de Hong Kong.
Au total, ce sont douze employés chinois de Hon Hai Precision Industry, connu sous le nom commercial de Foxconn, qui se sont jetés dans le vide depuis le début de l'année. Deux ont été grièvement blessés. L’entreprise s’est également employée à tendre des filets autour des bâtiments pour dissuader les sauts dans le vide.
Les syndicats appellent au boycott
Les syndicats de l’entreprise ont ainsi appelé à boycotter la nouvelle génération de l'iPhone, assemblé par Foxconn. Pour les groupes de défense des travailleurs, la série dramatique dans les usines chinoises de l'entreprise taïwanaise reflète les difficiles conditions de vie de millions d'ouvriers en Chine, astreints à de longs horaires et d'intenses pressions, vivant souvent dans des dortoirs et loin de leurs familles.
Ce n’est pas l’avis du président et fondateur du groupe, Terry Gou, qui est sorti de son silence lundi à Taiwan, en niant que les morts soient liées aux conditions de travail et de vie dans ses usines: «Je souhaite dire que nous ne dirigeons pas des usines de sueur et de sang».
Premier suicide en juillet dernier
En juillet dernier, un premier suicide chez Foxconn avait fait grand bruit en Chine, celui d'un employé qui avait été tenu pour responsable de la disparition d'un exemplaire de l'iPhone d'Apple, produit par son entreprise, et avait fait l'objet d'une enquête interne «humiliante», selon ses confidences à un ami juste avant sa mort.
Hon Hai Precision Industry, qui emploie plus de 300.000 personnes à Shenzhen, et 800.000 au total dans le monde, fournit notamment des composants pour l'iPhone d'Apple ou des ordinateurs Dell et Hewlett-Packard.
Tout comme France Telecom, le groupe Foxconn Technology, principal manufacturier des produits Apple, est confronté à une inquiétante vague de suicides dans son usine du sud de la Chine. Mais pour y remédier, cette entreprise taïwanaise a pris des mesures radicales, demandant notamment à ses employés de s'engager par écrit à ne pas se suicider.
Dans cette lettre, chaque employé promet de ne pas attenter à ses jours, «de se blesser ou de blesser autrui d'une façon extrême», selon le texte. La missive demande également aux employés de faire état auprès de leur superviseur de toute difficulté. Un paragraphe prévoit également que les employés autorisent l'entreprise à les envoyer suivre un traitement médical s'ils présentent un «état physique ou mental anormal».
Encore un suicide mardi
Cette réaction intervient alors qu’un employé du groupe s'est tué mardi en se jetant d'un immeuble de Foxconn à Shenzhen. Il s’agit du dixième suicide en Chine depuis janvier au sein du premier fabricant de composants électroniques au monde et le neuvième à Shenzhen même, une ville aux portes de Hong Kong.
Au total, ce sont douze employés chinois de Hon Hai Precision Industry, connu sous le nom commercial de Foxconn, qui se sont jetés dans le vide depuis le début de l'année. Deux ont été grièvement blessés. L’entreprise s’est également employée à tendre des filets autour des bâtiments pour dissuader les sauts dans le vide.
Les syndicats appellent au boycott
Les syndicats de l’entreprise ont ainsi appelé à boycotter la nouvelle génération de l'iPhone, assemblé par Foxconn. Pour les groupes de défense des travailleurs, la série dramatique dans les usines chinoises de l'entreprise taïwanaise reflète les difficiles conditions de vie de millions d'ouvriers en Chine, astreints à de longs horaires et d'intenses pressions, vivant souvent dans des dortoirs et loin de leurs familles.
Ce n’est pas l’avis du président et fondateur du groupe, Terry Gou, qui est sorti de son silence lundi à Taiwan, en niant que les morts soient liées aux conditions de travail et de vie dans ses usines: «Je souhaite dire que nous ne dirigeons pas des usines de sueur et de sang».
Premier suicide en juillet dernier
En juillet dernier, un premier suicide chez Foxconn avait fait grand bruit en Chine, celui d'un employé qui avait été tenu pour responsable de la disparition d'un exemplaire de l'iPhone d'Apple, produit par son entreprise, et avait fait l'objet d'une enquête interne «humiliante», selon ses confidences à un ami juste avant sa mort.
Hon Hai Precision Industry, qui emploie plus de 300.000 personnes à Shenzhen, et 800.000 au total dans le monde, fournit notamment des composants pour l'iPhone d'Apple ou des ordinateurs Dell et Hewlett-Packard.
Tout comme France Telecom, le groupe Foxconn Technology, principal manufacturier des produits Apple, est confronté à une inquiétante vague de suicides dans son usine du sud de la Chine. Mais pour y remédier, cette entreprise taïwanaise a pris des mesures radicales, demandant notamment à ses employés de s'engager par écrit à ne pas se suicider.
Dans cette lettre, chaque employé promet de ne pas attenter à ses jours, «de se blesser ou de blesser autrui d'une façon extrême», selon le texte. La missive demande également aux employés de faire état auprès de leur superviseur de toute difficulté. Un paragraphe prévoit également que les employés autorisent l'entreprise à les envoyer suivre un traitement médical s'ils présentent un «état physique ou mental anormal».
Encore un suicide mardi
Cette réaction intervient alors qu’un employé du groupe s'est tué mardi en se jetant d'un immeuble de Foxconn à Shenzhen. Il s’agit du dixième suicide en Chine depuis janvier au sein du premier fabricant de composants électroniques au monde et le neuvième à Shenzhen même, une ville aux portes de Hong Kong.
Au total, ce sont douze employés chinois de Hon Hai Precision Industry, connu sous le nom commercial de Foxconn, qui se sont jetés dans le vide depuis le début de l'année. Deux ont été grièvement blessés. L’entreprise s’est également employée à tendre des filets autour des bâtiments pour dissuader les sauts dans le vide.
Les syndicats appellent au boycott
Les syndicats de l’entreprise ont ainsi appelé à boycotter la nouvelle génération de l'iPhone, assemblé par Foxconn. Pour les groupes de défense des travailleurs, la série dramatique dans les usines chinoises de l'entreprise taïwanaise reflète les difficiles conditions de vie de millions d'ouvriers en Chine, astreints à de longs horaires et d'intenses pressions, vivant souvent dans des dortoirs et loin de leurs familles.
Ce n’est pas l’avis du président et fondateur du groupe, Terry Gou, qui est sorti de son silence lundi à Taiwan, en niant que les morts soient liées aux conditions de travail et de vie dans ses usines: «Je souhaite dire que nous ne dirigeons pas des usines de sueur et de sang».
Premier suicide en juillet dernier
En juillet dernier, un premier suicide chez Foxconn avait fait grand bruit en Chine, celui d'un employé qui avait été tenu pour responsable de la disparition d'un exemplaire de l'iPhone d'Apple, produit par son entreprise, et avait fait l'objet d'une enquête interne «humiliante», selon ses confidences à un ami juste avant sa mort.
Hon Hai Precision Industry, qui emploie plus de 300.000 personnes à Shenzhen, et 800.000 au total dans le monde, fournit notamment des composants pour l'iPhone d'Apple ou des ordinateurs Dell et Hewlett-Packard.
Tout comme France Telecom, le groupe Foxconn Technology, principal manufacturier des produits Apple, est confronté à une inquiétante vague de suicides dans son usine du sud de la Chine. Mais pour y remédier, cette entreprise taïwanaise a pris des mesures radicales, demandant notamment à ses employés de s'engager par écrit à ne pas se suicider.
Dans cette lettre, chaque employé promet de ne pas attenter à ses jours, «de se blesser ou de blesser autrui d'une façon extrême», selon le texte. La missive demande également aux employés de faire état auprès de leur superviseur de toute difficulté. Un paragraphe prévoit également que les employés autorisent l'entreprise à les envoyer suivre un traitement médical s'ils présentent un «état physique ou mental anormal».
Encore un suicide mardi
Cette réaction intervient alors qu’un employé du groupe s'est tué mardi en se jetant d'un immeuble de Foxconn à Shenzhen. Il s’agit du dixième suicide en Chine depuis janvier au sein du premier fabricant de composants électroniques au monde et le neuvième à Shenzhen même, une ville aux portes de Hong Kong.
Au total, ce sont douze employés chinois de Hon Hai Precision Industry, connu sous le nom commercial de Foxconn, qui se sont jetés dans le vide depuis le début de l'année. Deux ont été grièvement blessés. L’entreprise s’est également employée à tendre des filets autour des bâtiments pour dissuader les sauts dans le vide.
Les syndicats appellent au boycott
Les syndicats de l’entreprise ont ainsi appelé à boycotter la nouvelle génération de l'iPhone, assemblé par Foxconn. Pour les groupes de défense des travailleurs, la série dramatique dans les usines chinoises de l'entreprise taïwanaise reflète les difficiles conditions de vie de millions d'ouvriers en Chine, astreints à de longs horaires et d'intenses pressions, vivant souvent dans des dortoirs et loin de leurs familles.
Ce n’est pas l’avis du président et fondateur du groupe, Terry Gou, qui est sorti de son silence lundi à Taiwan, en niant que les morts soient liées aux conditions de travail et de vie dans ses usines: «Je souhaite dire que nous ne dirigeons pas des usines de sueur et de sang».
Premier suicide en juillet dernier
En juillet dernier, un premier suicide chez Foxconn avait fait grand bruit en Chine, celui d'un employé qui avait été tenu pour responsable de la disparition d'un exemplaire de l'iPhone d'Apple, produit par son entreprise, et avait fait l'objet d'une enquête interne «humiliante», selon ses confidences à un ami juste avant sa mort.
Hon Hai Precision Industry, qui emploie plus de 300.000 personnes à Shenzhen, et 800.000 au total dans le monde, fournit notamment des composants pour l'iPhone d'Apple ou des ordinateurs Dell et Hewlett-Packard.