De notre correspondant à Los Angeles
De Twitter à Facebook, en passant par Flickr ou Friendsfeed, nous sommes de plus en plus connectés. Connectés «socialement», en jargon post web 2.0. On crée du contenu, le commente, partage des liens, classe ce qu'on aime etc. Mais tout reste éparpillé, coincé entre les murs de chaque réseau auquel nous appartenons. Depuis lundi, Google tente de centraliser toute cette mine d'informations avec l'expérience Social Search.
Pour en profiter, il faut
l'activer dans Google Labs. Puis, lors d'une recherche, cliquer sur
l'onglet à gauche «montrer options», et «social». Le moteur puise alors dans les contenus générés par le cercle social constitué par les contacts de son compte Google (Gmail, Gchat) et par ses flux RSS de Google Reader. Mais surtout, via Google Profiles, dans les nombreux liens que l'on y a associés (Twitter, FriendsFeed, Flickr, Digg etc). Pas de Facebook pour l'instant. Google explique que le matériel n'est pas public –
ce qui n'est pas complétement vrai.
l'activer dans Google LabsPour en profiter, il faut
l'activer dans Google Labs. Puis, lors d'une recherche, cliquer sur
l'onglet à gauche «montrer options», et «social». Le moteur puise alors dans les contenus générés par le cercle social constitué par les contacts de son compte Google (Gmail, Gchat) et par ses flux RSS de Google Reader. Mais surtout, via Google Profiles, dans les nombreux liens que l'on y a associés (Twitter, FriendsFeed, Flickr, Digg etc). Pas de Facebook pour l'instant. Google explique que le matériel n'est pas public –
ce qui n'est pas complétement vrai.
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l'onglet à gauche «montrer options», et «social». Le moteur puise alors dans les contenus générés par le cercle social constitué par les contacts de son compte Google (Gmail, Gchat) et par ses flux RSS de Google Reader. Mais surtout, via Google Profiles, dans les nombreux liens que l'on y a associés (Twitter, FriendsFeed, Flickr, Digg etc). Pas de Facebook pour l'instant. Google explique que le matériel n'est pas public –
ce qui n'est pas complétement vrai.
ce qui n'est pas complétement vraiPour en profiter, il faut
l'activer dans Google Labs. Puis, lors d'une recherche, cliquer sur
l'onglet à gauche «montrer options», et «social». Le moteur puise alors dans les contenus générés par le cercle social constitué par les contacts de son compte Google (Gmail, Gchat) et par ses flux RSS de Google Reader. Mais surtout, via Google Profiles, dans les nombreux liens que l'on y a associés (Twitter, FriendsFeed, Flickr, Digg etc). Pas de Facebook pour l'instant. Google explique que le matériel n'est pas public –
ce qui n'est pas complétement vrai.
Dans l'état actuel, l'expérience n'est pas totalement bluffante. Une recherche sur «Halloween» ou «balloon boy» par exemple retourne quelques tweets de mes contacts francophones mais aucun parmi les Anglophones. Soit l'indexation de Google n'est pas encore totale, soit l'algorithme a besoin d'être amélioré.
Autre point noir: Google ne donne aucun accès à notre «graphe social», qui reste caché. Google connaît de nombreux détails sur notre réseau (à qui l'on écrit le plus sur Gmail ou encore les liens Friendsfeed pour lesquels on a votés). Tous nos contacts constituent donc non seulement un graphe, mais un graphe pondéré, chaque branche ayant un poids plus ou moins important. Il serait souhaitable que Google donne une dose de contrôle, pour ajouter ou supprimer des nœuds, par exemple.
favoris partagés sur Del.icio.uspremiers répertoires YahooDiggl'intégration de Twitter à son moteur BingConcernant les questions du respect de la vie privée, Google se défend et explique que tout le contenu ici recensé est déjà public. Est-ce un problème, selon vous?