Aperçu dans un reportage de France 2 torse nu, Tomy le pêcheur de coquilles Saint-Jacques affole les internautes
CHALEUR•Un reportage diffusé par France 2 a suscité de nombreux commentaires sur les réseaux sociauxCamille Allain
Il est devenu l’ambassadeur de la coquille Saint-Jacques en quelques minutes. Sur Twitter, un homme à la plastique avantageuse s’est glissé parmi les sujets les plus tendances ce mercredi sur le réseau social. Tomy, qui pêche les coquilles Saint-Jacques en plongée au large de Saint-Malo (Ille-et-Vilaine), a généré un torrent de réactions après la publication d’un reportage consacré à cette technique de pêche décrite comme « écolo » par France 2. A 17 heures, le sujet de trois minutes avait déjà été vu plus de 360.000 fois sur le compte de la chaîne d’info. La raison ? La carrure du fameux Tomy, qui a visiblement réveillé la passion de certains et certaines pour la pêche durable.
« Il est huit heures du matin, il fait huit degrés dehors et vous êtes torse nu, vous ? », interroge le journaliste, avec une petite musique classique en fond. « Ah oui, mais les bras dans l’eau jusqu’aux épaules, on n’a pas trop le choix ». On avoue, on n’a pas trop compris pourquoi Tomy n’avait pas gardé sa combinaison intégrale sur le torse pour accueillir le reporter. La déferlante de messages pour vanter ses qualités athlétiques lui a pourtant donné raison. La suite du reportage nous apprendra que le retour en bateau sous une pluie glaciale « donne une certaine immunité au froid ». Les quelques images du jeune moustachu torse nu ont réveillé l’appétit de nombreux internautes pour la coquille Saint-Jacques.
Une pêche durable qui préserve la ressource
Nous allons profiter de cette actualité brûlante pour vanter les vertus de cette pêche, qui évite de capturer les plus petites coquilles et de draguer les fonds. Il y a quelques années, 20 Minutes avait rencontré un autre binôme de pêcheurs plongeurs. Ces derniers avaient usé des mêmes arguments pour justifier leur technique. « C’est avant tout une question d’éthique. Je ne pense pas que la pêche à la drague soit la plus adaptée pour l’environnement, même si la profession a fait beaucoup d’efforts », expliquait alors le patron de la petite société Philippe Orveillon. Notre reportage n’avait pourtant pas soulevé autant de ferveur.