ANIMAUXAltaï, Baïkal ou Ienisseï? Les internautesvotent pour baptiser trois tigres

Altaï, Baïkal ou Ienisseï? Les internautes peuvent voter pour baptiser trois tigres nés à Besançon

ANIMAUXLes trois bébés tigres vont avoir des noms qui rappellent leur origine sibérienne…
Un des bébés tigres de Sibérie nés au zoo de la Citadelle de Besançon.
Un des bébés tigres de Sibérie nés au zoo de la Citadelle de Besançon. - Facebook
Audrey Chauvet

A.Ch.

Besançon, ce n’est pas tout à fait la Sibérie mais c’est là que trois bébés tigres de Sibérie ont vu le jour en septembre 2015. Ce vendredi, le zoo de la Citadelle de Besançon a lancé un appel aux internautes pour donner un nom aux trois bébés. Plusieurs noms, rappelant leurs origines sibériennes, sont proposés : Yamal, Taïmyr, Kara, Altaï, Baïkal, Iana, Ienisseï, Saïan, Angara, Novaïa, Taïga. Le vote est ouvert jusqu’au 2 novembre.



Ce n’est pas la première fois que les internautes sont appelés à choisir les noms de bébés animaux nés dans des zoos. Ainsi, le zoo de Vienne, en Autriche, a lancé un appel pour baptiser un des bébés pandas nés en août dernier. La petite oursonne du zoo de Columbus, aux Etats-Unis a été baptisée « Nora » à la suite d’un vote en ligne de 88.061 personnes. Le zoo de Zurich, en Allemagne, avait laissé ses visiteurs baptiser un éléphanteau et un zoo japonais avait nommé « Charlotte » un petit singe né en 2015 car les internautes avaient voulu rendre hommage à la naissance du bébé royal britannique… ce qui avait causé un léger incident diplomatique pour le zoo.

Ours, bouquetins, bateaux…

En France, l’association Pays de l’Ours-Adet a lancé une grande consultation pour baptiser quatre bébés ours des Pyrénées nés en 2014 et 2015 et le Parc National des Pyrénées lui a emboîté le pas pour nommer sept bouquetins qui seront relâchés le 2 novembre prochain à Gavarnie.

Mais il n’y a pas que les animaux que les internautes peuvent baptiser : un institut de recherche britannique avait ainsi fait appel aux internautes pour nommer un bateau, ce qui avait fait apparaître tout un tas d’idées farfelues. Encore plus farfelu, il y a cette jeune femme américaine qui, en 2013, avait accepté de laisser les internautes baptiser son enfant… en échange de 5.000 dollars offerts par un site internet.