À lire aussi
Sony Pictures: La coprésidente Amy Pascal démissionne après le piratage massif
ENTREPRISE•Elle démissionne de ses fonctions deux mois et demi après l'attaque informatique et se lance dans de nouvelles «activités de production» dans le groupe...
20 Minutes avec AFP
Avec 20 ans de carrière chez Sony, Amy Pascal est l’une des femmes les plus puissantes d’Hollywood, une femme fragilisée par la cyber attaque menée contre le studio il y a deux mois et demi. La co-présidente de Sony Pictures Entertainment, dont des courriels embarrassants ont été révélés au grand public lors du piratage du studio de cinéma, démissionne de ses fonctions mais va lancer de nouvelles «activités de production» dans le groupe.
Des emails douteux, certains racistes
Cette spécialiste de l'industrie du divertissement est entrée en 1988 chez Columbia Pictures, absorbé par le conglomérat japonais Sony depuis. Elle a vu sa réputation entachée lorsque des emails douteux qu'elle a écrits se sont retrouvés étalés dans la presse du monde entier dans la foulée du piratage massif du groupe fin 2014. Certains avaient un caractère raciste, impliquant notamment le président américain Barack Obama, d'autres étaient désobligeants envers des vedettes et des pointures du secteur.
La vice-présidente avait été également critiquée pour avoir accepté le film, à la source de la cyberattaque, The Interview avec Seth Rogen et James Franco.
Chez Sony, Michael Lynton a affirmé à Reuters que la démission d’Amy Pascal n’avait rien à voir avec la cyberattaque. «La créativité, la volonté et l'audace d'Amy ont aidé à définir SPE en tant que studio», a ajouté dans un communiqué, le patron du studio de cinéma. «Je suis ravi qu'Amy continue son association avec SPE à travers cette nouvelle entreprise».
Elle a décidé de lancer sa propre société
Amy Pascal réalisera «sa transition vers le nouveau poste en mai 2015», précise le communiqué de Sony Pictures. Elle a décidé de «lancer sa propre société qui se concentrera sur le cinéma, la télévision et le théâtre», précise le texte.«J'ai passé presque toute ma vie professionnelle chez Sony Pictures et je suis enthousiasmée à l'idée de commencer ce nouveau chapitre dans une société qui est comme ma maison» car «j'ai toujours voulu être productrice», a commenté Amy Pascal. La maison de production de Amy Pascal, l'une des figures les plus influentes du secteur, sera financée entièrement par Sony Pictures Entertainment qui détiendra aussi tous les droits de distribution.
Le 24 novembre dernier, un groupe de pirates informatiques, le GOP, a pénétré dans le système informatique de Sony, volant les données personnelles de 47.000 employés et tiers, dont des vedettes, des documents financiers, scripts, courriels etc., dont beaucoup ont été mis en ligne illégalement, tout comme cinq films du studio. Les pirates exigeaient notamment que le studio renonce à diffuser la comédie parodique sur le leader nord-coréen Kim Jong-Un, L'interview qui tue!. Washington a attribué à Pyongyang l'attaque informatique massive, l'une des plus graves et spectaculaires jamais subies par une entreprise.
Cette spécialiste de l'industrie du divertissement est entrée en 1988 chez Columbia Pictures, absorbé par le conglomérat japonais Sony depuis. Elle a vu sa réputation entachée lorsque des emails douteux qu'elle a écrits se sont retrouvés étalés dans la presse du monde entier dans la foulée du piratage massif du groupe fin 2014. Certains avaient un caractère raciste, impliquant notamment le président américain Barack Obama, d'autres étaient désobligeants envers des vedettes et des pointures du secteur.
La vice-présidente avait été également critiquée pour avoir accepté le film, à la source de la cyberattaque, The Interview avec Seth Rogen et James Franco.
Chez Sony, Michael Lynton a affirmé à Reuters que la démission d’Amy Pascal n’avait rien à voir avec la cyberattaque. «La créativité, la volonté et l'audace d'Amy ont aidé à définir SPE en tant que studio», a ajouté dans un communiqué, le patron du studio de cinéma. «Je suis ravi qu'Amy continue son association avec SPE à travers cette nouvelle entreprise».
Elle a décidé de lancer sa propre société
Amy Pascal réalisera «sa transition vers le nouveau poste en mai 2015», précise le communiqué de Sony Pictures. Elle a décidé de «lancer sa propre société qui se concentrera sur le cinéma, la télévision et le théâtre», précise le texte.«J'ai passé presque toute ma vie professionnelle chez Sony Pictures et je suis enthousiasmée à l'idée de commencer ce nouveau chapitre dans une société qui est comme ma maison» car «j'ai toujours voulu être productrice», a commenté Amy Pascal. La maison de production de Amy Pascal, l'une des figures les plus influentes du secteur, sera financée entièrement par Sony Pictures Entertainment qui détiendra aussi tous les droits de distribution.
Le 24 novembre dernier, un groupe de pirates informatiques, le GOP, a pénétré dans le système informatique de Sony, volant les données personnelles de 47.000 employés et tiers, dont des vedettes, des documents financiers, scripts, courriels etc., dont beaucoup ont été mis en ligne illégalement, tout comme cinq films du studio. Les pirates exigeaient notamment que le studio renonce à diffuser la comédie parodique sur le leader nord-coréen Kim Jong-Un, L'interview qui tue!. Washington a attribué à Pyongyang l'attaque informatique massive, l'une des plus graves et spectaculaires jamais subies par une entreprise.
Cette spécialiste de l'industrie du divertissement est entrée en 1988 chez Columbia Pictures, absorbé par le conglomérat japonais Sony depuis. Elle a vu sa réputation entachée lorsque des emails douteux qu'elle a écrits se sont retrouvés étalés dans la presse du monde entier dans la foulée du piratage massif du groupe fin 2014. Certains avaient un caractère raciste, impliquant notamment le président américain Barack Obama, d'autres étaient désobligeants envers des vedettes et des pointures du secteur.
La vice-présidente avait été également critiquée pour avoir accepté le film, à la source de la cyberattaque, The Interview avec Seth Rogen et James Franco.
Chez Sony, Michael Lynton a affirmé à Reuters que la démission d’Amy Pascal n’avait rien à voir avec la cyberattaque. «La créativité, la volonté et l'audace d'Amy ont aidé à définir SPE en tant que studio», a ajouté dans un communiqué, le patron du studio de cinéma. «Je suis ravi qu'Amy continue son association avec SPE à travers cette nouvelle entreprise».
Elle a décidé de lancer sa propre société
Amy Pascal réalisera «sa transition vers le nouveau poste en mai 2015», précise le communiqué de Sony Pictures. Elle a décidé de «lancer sa propre société qui se concentrera sur le cinéma, la télévision et le théâtre», précise le texte.«J'ai passé presque toute ma vie professionnelle chez Sony Pictures et je suis enthousiasmée à l'idée de commencer ce nouveau chapitre dans une société qui est comme ma maison» car «j'ai toujours voulu être productrice», a commenté Amy Pascal. La maison de production de Amy Pascal, l'une des figures les plus influentes du secteur, sera financée entièrement par Sony Pictures Entertainment qui détiendra aussi tous les droits de distribution.
Le 24 novembre dernier, un groupe de pirates informatiques, le GOP, a pénétré dans le système informatique de Sony, volant les données personnelles de 47.000 employés et tiers, dont des vedettes, des documents financiers, scripts, courriels etc., dont beaucoup ont été mis en ligne illégalement, tout comme cinq films du studio. Les pirates exigeaient notamment que le studio renonce à diffuser la comédie parodique sur le leader nord-coréen Kim Jong-Un, L'interview qui tue!. Washington a attribué à Pyongyang l'attaque informatique massive, l'une des plus graves et spectaculaires jamais subies par une entreprise.
Cette spécialiste de l'industrie du divertissement est entrée en 1988 chez Columbia Pictures, absorbé par le conglomérat japonais Sony depuis. Elle a vu sa réputation entachée lorsque w.20minutes.fr/people/1498971-20141211-ego-demesure-angelina-jolie-penis-michael-fassbender-ur-emails-pirates-sony">des emails douteux qu'elle a écrits se sont retrouvés étalés dans la presse du monde entier dans la foulée du piratage massif du groupe fin 2014. Certains avaient un caractère raciste, impliquant notamment le président américain Barack Obama, d'autres étaient désobligeants envers des vedettes et des pointures du secteur.
La vice-présidente avait été également critiquée pour avoir accepté le film, à la source de la cyberattaque, The Interview avec Seth Rogen et James Franco.
Chez Sony, Michael Lynton a affirmé à Reuters que la démission d’Amy Pascal n’avait rien à voir avec la cyberattaque. «La créativité, la volonté et l'audace d'Amy ont aidé à définir SPE en tant que studio», a ajouté dans un communiqué, le patron du studio de cinéma. «Je suis ravi qu'Amy continue son association avec SPE à travers cette nouvelle entreprise».
Elle a décidé de lancer sa propre société
Amy Pascal réalisera «sa transition vers le nouveau poste en mai 2015», précise le communiqué de Sony Pictures. Elle a décidé de «lancer sa propre société qui se concentrera sur le cinéma, la télévision et le théâtre», précise le texte.«J'ai passé presque toute ma vie professionnelle chez Sony Pictures et je suis enthousiasmée à l'idée de commencer ce nouveau chapitre dans une société qui est comme ma maison» car «j'ai toujours voulu être productrice», a commenté Amy Pascal. La maison de production de Amy Pascal, l'une des figures les plus influentes du secteur, sera financée entièrement par Sony Pictures Entertainment qui détiendra aussi tous les droits de distribution.
Le 24 novembre dernier, un groupe de pirates informatiques, le GOP, a pénétré dans le système informatique de Sony, volant les données personnelles de 47.000 employés et tiers, dont des vedettes, des documents financiers, scripts, courriels etc., dont beaucoup ont été mis en ligne illégalement, tout comme cinq films du studio. Les pirates exigeaient notamment que le studio renonce à diffuser la comédie parodique sur le leader nord-coréen Kim Jong-Un, L'interview qui tue!. Washington a attribué à Pyongyang l'attaque informatique massive, l'une des plus graves et spectaculaires jamais subies par une entreprise.
Cette spécialiste de l'industrie du divertissement est entrée en 1988 chez Columbia Pictures, absorbé par le conglomérat japonais Sony depuis. Elle a vu sa réputation entachée lorsque des emails douteux qu'elle a écrits se sont retrouvés étalés dans la presse du monde entier dans la foulée du piratage massif du groupe fin 2014. Certains avaient un caractère raciste, impliquant notamment le président américain Barack Obama, d'autres étaient désobligeants envers des vedettes et des pointures du secteur.
La vice-présidente avait été également critiquée pour avoir accepté le film, à la source de la cyberattaque, The Interview avec Seth Rogen et James Franco.
Chez Sony, Michael Lynton a affirmé à Reuters que la démission d’Amy Pascal n’avait rien à voir avec la cyberattaque. «La créativité, la volonté et l'audace d'Amy ont aidé à définir SPE en tant que studio», a ajouté dans un communiqué, le patron du studio de cinéma. «Je suis ravi qu'Amy continue son association avec SPE à travers cette nouvelle entreprise».
Elle a décidé de lancer sa propre société
Amy Pascal réalisera «sa transition vers le nouveau poste en mai 2015», précise le communiqué de Sony Pictures. Elle a décidé de «lancer sa propre société qui se concentrera sur le cinéma, la télévision et le théâtre», précise le texte.«J'ai passé presque toute ma vie professionnelle chez Sony Pictures et je suis enthousiasmée à l'idée de commencer ce nouveau chapitre dans une société qui est comme ma maison» car «j'ai toujours voulu être productrice», a commenté Amy Pascal. La maison de production de Amy Pascal, l'une des figures les plus influentes du secteur, sera financée entièrement par Sony Pictures Entertainment qui détiendra aussi tous les droits de distribution.
Le 24 novembre dernier, un groupe de pirates informatiques, le GOP, a pénétré dans le système informatique de Sony, volant les données personnelles de 47.000 employés et tiers, dont des vedettes, des documents financiers, scripts, courriels etc., dont beaucoup ont été mis en ligne illégalement, tout comme cinq films du studio. Les pirates exigeaient notamment que le studio renonce à diffuser la comédie parodique sur le leader nord-coréen Kim Jong-Un, L'interview qui tue!. Washington a attribué à Pyongyang l'attaque informatique massive, l'une des plus graves et spectaculaires jamais subies par une entreprise.
Cette spécialiste de l'industrie du divertissement est entrée en 1988 chez Columbia Pictures, absorbé par le conglomérat japonais Sony depuis. Elle a vu sa réputation entachée lorsque des emails douteux qu'elle a écrits se sont retrouvés étalés dans la presse du monde entier dans la foulée du piratage massif du groupe fin 2014. Certains avaient un caractère raciste, impliquant notamment le président américain Barack Obama, d'autres étaient désobligeants envers des vedettes et des pointures du secteur.
La vice-présidente avait été également critiquée pour avoir accepté le film, à la source de la cyberattaque, The Interview avec Seth Rogen et James Franco.
Chez Sony, Michael Lynton a affirmé à Reuters que la démission d’Amy Pascal n’avait rien à voir avec la cyberattaque. «La créativité, la volonté et l'audace d'Amy ont aidé à définir SPE en tant que studio», a ajouté dans un communiqué, le patron du studio de cinéma. «Je suis ravi qu'Amy continue son association avec SPE à travers cette nouvelle entreprise».
Elle a décidé de lancer sa propre société
Amy Pascal réalisera «sa transition vers le nouveau poste en mai 2015», précise le communiqué de Sony Pictures. Elle a décidé de «lancer sa propre société qui se concentrera sur le cinéma, la télévision et le théâtre», précise le texte.«J'ai passé presque toute ma vie professionnelle chez Sony Pictures et je suis enthousiasmée à l'idée de commencer ce nouveau chapitre dans une société qui est comme ma maison» car «j'ai toujours voulu être productrice», a commenté Amy Pascal. La maison de production de Amy Pascal, l'une des figures les plus influentes du secteur, sera financée entièrement par Sony Pictures Entertainment qui détiendra aussi tous les droits de distribution.
Le 24 novembre dernier, un groupe de pirates informatiques, le GOP, a pénétré dans le système informatique de Sony, volant les données personnelles de 47.000 employés et tiers, dont des vedettes, des documents financiers, scripts, courriels etc., dont beaucoup ont été mis en ligne illégalement, tout comme cinq films du studio. Les pirates exigeaient notamment que le studio renonce à diffuser la comédie parodique sur le leader nord-coréen Kim Jong-Un, L'interview qui tue!. Washington a attribué à Pyongyang l'attaque informatique massive, l'une des plus graves et spectaculaires jamais subies par une entreprise.
Cette spécialiste de l'industrie du divertissement est entrée en 1988 chez Columbia Pictures, absorbé par le conglomérat japonais Sony depuis. Elle a vu sa réputation entachée lorsque des emails douteux qu'elle a écrits se sont retrouvés étalés dans la presse du monde entier dans la foulée du piratage massif du groupe fin 2014. Certains avaient un caractère raciste, impliquant notamment le président américain Barack Obama, d'autres étaient désobligeants envers des vedettes et des pointures du secteur.
La vice-présidente avait été également critiquée pour avoir accepté le film, à la source de la cyberattaque, The Interview avec Seth Rogen et James Franco.
Chez Sony, Michael Lynton a affirmé à Reuters que la démission d’Amy Pascal n’avait rien à voir avec la cyberattaque. «La créativité, la volonté et l'audace d'Amy ont aidé à définir SPE en tant que studio», a ajouté dans un communiqué, le patron du studio de cinéma. «Je suis ravi qu'Amy continue son association avec SPE à travers cette nouvelle entreprise».
Elle a décidé de lancer sa propre société
Amy Pascal réalisera «sa transition vers le nouveau poste en mai 2015», précise le communiqué de Sony Pictures. Elle a décidé de «lancer sa propre société qui se concentrera sur le cinéma, la télévision et le théâtre», précise le texte.«J'ai passé presque toute ma vie professionnelle chez Sony Pictures et je suis enthousiasmée à l'idée de commencer ce nouveau chapitre dans une société qui est comme ma maison» car «j'ai toujours voulu être productrice», a commenté Amy Pascal. La maison de production de Amy Pascal, l'une des figures les plus influentes du secteur, sera financée entièrement par Sony Pictures Entertainment qui détiendra aussi tous les droits de distribution.
Le 24 novembre dernier, un groupe de pirates informatiques, le GOP, a pénétré dans le système informatique de Sony, volant les données personnelles de 47.000 employés et tiers, dont des vedettes, des documents financiers, scripts, courriels etc., dont beaucoup ont été mis en ligne illégalement, tout comme cinq films du studio. Les pirates exigeaient notamment que le studio renonce à diffuser la comédie parodique sur le leader nord-coréen Kim Jong-Un, L'interview qui tue!. Washington a attribué à Pyongyang l'attaque informatique massive, l'une des plus graves et spectaculaires jamais subies par une entreprise.
Cette spécialiste de l'industrie du divertissement est entrée en 1988 chez Columbia Pictures, absorbé par le conglomérat japonais Sony depuis. Elle a vu sa réputation entachée lorsque des emails douteux qu'elle a écrits se sont retrouvés étalés dans la presse du monde entier dans la foulée du piratage massif du groupe fin 2014. Certains avaient un caractère raciste, impliquant notamment le président américain Barack Obama, d'autres étaient désobligeants envers des vedettes et des pointures du secteur.
La vice-présidente avait été également critiquée pour avoir accepté le film, à la source de la cyberattaque, The Interview avec Seth Rogen et James Franco.
Chez Sony, Michael Lynton a affirmé à Reuters que la démission d’Amy Pascal n’avait rien à voir avec la cyberattaque. «La créativité, la volonté et l'audace d'Amy ont aidé à définir SPE en tant que studio», a ajouté dans un communiqué, le patron du studio de cinéma. «Je suis ravi qu'Amy continue son association avec SPE à travers cette nouvelle entreprise».
Elle a décidé de lancer sa propre société
Amy Pascal réalisera «sa transition vers le nouveau poste en mai 2015», précise le communiqué de Sony Pictures. Elle a décidé de «lancer sa propre société qui se concentrera sur le cinéma, la télévision et le théâtre», précise le texte.«J'ai passé presque toute ma vie professionnelle chez Sony Pictures et je suis enthousiasmée à l'idée de commencer ce nouveau chapitre dans une société qui est comme ma maison» car «j'ai toujours voulu être productrice», a commenté Amy Pascal. La maison de production de Amy Pascal, l'une des figures les plus influentes du secteur, sera financée entièrement par Sony Pictures Entertainment qui détiendra aussi tous les droits de distribution.
Le 24 novembre dernier, un groupe de pirates informatiques, le GOP, a pénétré dans le système informatique de Sony, volant les données personnelles de 47.000 employés et tiers, dont des vedettes, des documents financiers, scripts, courriels etc., dont beaucoup ont été mis en ligne illégalement, tout comme cinq films du studio. Les pirates exigeaient notamment que le studio renonce à diffuser la comédie parodique sur le leader nord-coréen Kim Jong-Un, L'interview qui tue!. Washington a attribué à Pyongyang l'attaque informatique massive, l'une des plus graves et spectaculaires jamais subies par une entreprise.
Cette spécialiste de l'industrie du divertissement est entrée en 1988 chez Columbia Pictures, absorbé par le conglomérat japonais Sony depuis. Elle a vu sa réputation entachée lorsque des emails douteux qu'elle a écrits se sont retrouvés étalés dans la presse du monde entier dans la foulée du piratage massif du groupe fin 2014. Certains avaient un caractère raciste, impliquant notamment le président américain Barack Obama, d'autres étaient désobligeants envers des vedettes et des pointures du secteur.
La vice-présidente avait été également critiquée pour avoir accepté le film, à la source de la cyberattaque, The Interview avec Seth Rogen et James Franco.
Chez Sony, Michael Lynton a affirmé à Reuters que la démission d’Amy Pascal n’avait rien à voir avec la cyberattaque. «La créativité, la volonté et l'audace d'Amy ont aidé à définir SPE en tant que studio», a ajouté dans un communiqué, le patron du studio de cinéma. «Je suis ravi qu'Amy continue son association avec SPE à travers cette nouvelle entreprise».
Elle a décidé de lancer sa propre société
Amy Pascal réalisera «sa transition vers le nouveau poste en mai 2015», précise le communiqué de Sony Pictures. Elle a décidé de «lancer sa propre société qui se concentrera sur le cinéma, la télévision et le théâtre», précise le texte.«J'ai passé presque toute ma vie professionnelle chez Sony Pictures et je suis enthousiasmée à l'idée de commencer ce nouveau chapitre dans une société qui est comme ma maison» car «j'ai toujours voulu être productrice», a commenté Amy Pascal. La maison de production de Amy Pascal, l'une des figures les plus influentes du secteur, sera financée entièrement par Sony Pictures Entertainment qui détiendra aussi tous les droits de distribution.
Le 24 novembre dernier, un groupe de pirates informatiques, le GOP, a pénétré dans le système informatique de Sony, volant les données personnelles de 47.000 employés et tiers, dont des vedettes, des documents financiers, scripts, courriels etc., dont beaucoup ont été mis en ligne illégalement, tout comme cinq films du studio. Les pirates exigeaient notamment que le studio renonce à diffuser la comédie parodique sur le leader nord-coréen Kim Jong-Un, L'interview qui tue!. Washington a attribué à Pyongyang l'attaque informatique massive, l'une des plus graves et spectaculaires jamais subies par une entreprise.
