Ce qu’il faut retenir du Galaxy S4 de Samsung
TELEPHONIE – Samsung lance ce samedi 27 avril son Galaxy S4. Pour faire la différence avec ses concurrents, la marque booste technique et fonctionnalités…Christophe Séfrin
Quadrilogie. Le Galaxy S4, le nouveau smartphone haut de gamme de Samsung, investit les linéaires ce samedi 27 avril. Quatrième «S» dans une dynastie née en juin 2010, l’appareil sous Android Jelly Bean se démarque visuellement peu de son aîné, le S III. L’aspect plastique et le contour imitant l’aluminium font d’emblée assez cheap. Plus fin que son prédécesseur, bénéficiant d’un écran élargit à 5 pouces, il voit sa fiche technique dopée.
L’écran devient Full HD, l’appareil photo passe de 8 à 13 mégapixels et le processeur Quad Core monte en puissance pour atteindre 1,9 Ghz. De quoi gagner en réactivité. Bon point: sa batterie de 2600 mAh est amovible avec une autonomie annoncée à 14h en communication, une durée que nous n’avons pu vérifier. L’appareil est évidemment 4G et NFC.
Coffre aux trésors pour geeks
Pour se différencier des concurrents, tels l’iPhone 5 d’Apple, le Xperia Z de Sony ou le One de HTC, la marque coréenne y est allée au bulldozer côté innovations. Véritable coffre aux trésors pour les geeks, le S4 empile des fonctionnalités plus ou moins pertinentes: la reconnaissance faciale lui permet de mettre en pause la lecture d’une vidéo dès que notre regard se détourne de l’écran.
Elle fait aussi défiler les documents (textes, pages web) grâce à une simple inclinaison de la main. La fonction Air View autorise la prévisualisation du contenu d’un dossier lorsque l’on approche le doigt de l’écran (pratique pour un album photo), celle baptisée Air Gesture de décrocher un appel en passant la main au-dessus du téléphone… Sacré joujou. En blanc ou noir, le S4 vaut néanmoins la bagatelle de 679 euros (16 Go). Il faudra peut-être attendre l’annonce du futur iPhone 5S, sans doute d’ici l’été, pour se précipiter. Ou pas.