Le réchauffement climatique est au cœur des débats actuels, et de nombreux modèles traditionnels sont remis en cause comme le transport avec le remplacement progressif des voitures thermiques par des modèles électriques, la production d’emballages plastiques… Et on peut avoir tendance à penser que toutes les évolutions technologiques vont dans le bon sens, la digitalisation réduit, par certains côtés, les émissions de carbone. Pour autant, le recours au cloud comporte également son lot de nouveaux usages polluants qui nécessitent de reconsidérer ses solutions en faveur d’un acteur éthique qui porte ces préoccupations parmi ses piliers. C’est le cas d’Infomaniak. Le fournisseur cloud suisse se mobilise depuis 2007 pour l’environnement, le social et le respect de la vie privée, et offre une grande variété de services cloud et de productivité éthiques, pour le grand public comme pour les entreprises.

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Le coût écologique caché du cloud

Vu de l’extérieur, on pourrait penser que le cloud réduit l’impact de notre activité et de notre consommation sur l’environnement. Regarder un film en streaming plutôt que de produire des millions de disques en plastique, effectuer des réunions en visioconférence plutôt que de se réunir sur place, parfois à des centaines ou des milliers de km de distance, utiliser une plateforme de cloud gaming plutôt que de changer tous les 2 ans de PC ou de console. Tout cela est plutôt positif, non ? C’est vrai d’un certain point de vue, mais c’est refuser de voir la réalité qui se trouve derrière la magie apparente du cloud. Les datacenters sont remplis de serveurs qui consomment été comme hiver et de jour comme de nuit beaucoup d’énergie, et la situation va encore s’aggraver avec le recours de plus en plus fréquent à l’IA générative. Les datacenters doivent également être correctement refroidis, ce qui peut générer une pollution supplémentaire par une climatisation massive. Enfin, aucun serveur n’est éternel et il faut prendre en compte l’empreinte écologique de leur renouvellement et du recyclage des composants. Tout cela s’ajoute et génère aussi beaucoup de CO2.

Chez un prestataire cloud éthique comme Infomaniak qui utilise que de l’énergie renouvelable, l’achat de nouveaux serveurs est ce qui pollue le plus sur le plan des émissions de CO2.

Infomaniak est un pionnier du cloud éthique

« Cloud éthique ». Cette expression n'est-elle pas un oxymore ? Quand on pense au cloud, on a plutôt en tête les géants du web, les GAFAM dont le rendement et la croissance sont au cœur de leurs préoccupations. En Suisse, Infomaniak innove et milite depuis 30 ans pour un cloud plus éthique. Le fondateur et directeur stratégique, Boris Siegenthaler, affiche clairement les 3 piliers de l’entreprise : « Choisir infomaniak, c'est être engagé dans l'économie de demain. Vie privée, local et durable sont les valeurs d'infomaniak depuis 30 ans. » Infomaniak. Comment le fournisseur de serveurs cloud s’y prend ? Tout d’abord en prônant une souveraineté technologique et financière. L’entreprise appartient exclusivement à une part grandissante de ses salariés et elle autofinance son développement, sans dépendre d’investisseurs étrangers.

Des datacenters aux logiciels, Infomaniak maîtrise toute la couche technique de ses solutions cloud . Tout le personnel et les développements sont basés en Suisse, sans délocalisation. Cette maîtrise technologique totale permet à l’entreprise d’avoir des engagements élevés sur la sécurité des données et le respect de la vie privée, grâce aussi à un cadre légal aussi simple que strict, les lois suisses et européennes sur la protection des données, la LPD et le RGPD. Le respect de l’environnement, le dernier des 3 piliers, s’illustre lui aussi avec des actions concrètes.

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Des actions concrètes d'Infomaniak pour un impact réduit

Réduire l’impact de services cloud sur l’environnement nécessite plus que de beaux discours, et cela commence par la gestion du parc des serveurs et leur alimentation en énergie. Sur le plan énergétique, Infomaniak utilise exclusivement de l’énergie renouvelable locale et certifiée. Le nouveau centre de données d’Infomaniak, construit sous le parc d’un écoquartier, revalorisera intégralement l’énergie consommée afin de chauffer jusqu’à 6 000 ménages à l’année via le réseau de chauffage à distance de la ville de Genève. Infomaniak compense aussi 200% de la totalité de ses émissions de CO2.

Alimenter des serveurs consomme de l’énergie, et cela implique un deuxième vecteur de pollution, le refroidissement des serveurs. Depuis 2013, plus de climatisation dans les datacenters d’Infomaniak. L’entreprise a conçu des centres de données refroidis grâce à la filtration de l’air extérieur. Dans son nouveau data center, c’est le flux tiède que génère les pompes à chaleur pour élever la température de l’eau de 43°C à 67°C pour les besoins du réseau de chauffage à distance qui permet de maintenir les serveurs à une température de fonctionnement optimal. Enfin, pour réduire les émissions liées au remplacement des serveurs évoqué plus haut, Infomaniak les fait évoluer pour leur donner une seconde vie pour les utiliser jusqu’à 15 ans.

Infomaniak reverse enfin 1% de sa croissance à des organisations qui portent le combat de la défense de la biodiversité, et qui contribuent à faire évoluer la législation plus contraignante pour l’industrie. L’entreprise a aussi récemment investi dans des centrales de 520 kWc, utilisant des panneaux solaires Meyer Burger qui sont fabriqués en Allemagne avec l’objectif d’autoproduire 50% de sa consommation électrique annuelle d’ici à 2030 (source ici)

Pourquoi choisir un cloud éthique ?

Les bénéfices d’utiliser les services d’un cloud éthique comme Infomaniak se répercutent sur les utilisateurs. Sur le plan de la souveraineté technologique, tout d’abord, en évitant les services édités par des géants du web, on reprend la main sur ses données qui ne sont pas exposées aux lois extraterritoriales comme le Cloud Act. On connaît le mode de fonctionnement et le modèle économique de certains acteurs des “GAFAM”, avec des doutes qui subsistent sur la confidentialité des données et de leur usage à des fins commerciales. Choisir un cloud éthique, c’est s’assurer du respect des lois locales comme le RGPD en Europe ou la LPD en Suisse.

En privilégiant des acteurs comme Infomaniak, vous favorisez également le développement de technologies indépendantes et souveraines en Europe, sans dépendance d’investisseurs étrangers et avec une réelle maîtrise des données. Parmi ses actions en faveur de l’économie locale, Infomaniak crée en permanence de nouveaux emplois dans la région de Genève et soutient des formations locales comme 42 Lausanne. Cela permet de former les experts de demain et de créer un cercle vertueux.

Enfin, choisir un cloud éthique ne signifie en aucun cas faire l’impasse sur des technologies et des services innovants pour collaborer en ligne, diffuser des médias en streaming ou simplifier sa vie avec des intelligences artificielles souveraines n’exploitent pas les données. Infomaniak propose de nombreux services pour tous, du transfert de fichiers volumineux à des adresses mail gratuites à la fourniture d’infrastructures cloud pour les entreprises. Les outils de collaboration et de communication proposés par Infomaniak dans sa kSuite offrent des outils ergonomiques et performants aux fonctionnalités proches de celles des GAFAM, mais avec la garantie du respect de la confidentialité des données.

Protection de l’environnement, préservation d’un écosystème technologique européen et local et respect des droits des utilisateurs. En agissant sur ces 3 leviers, vous pouvez faire évoluer votre entreprise et profiter pleinement de la digitalisation tout en soutenant une croissance éthique.