ENQUETETreiber a refusé de s'expliquer devant le juge

Treiber a refusé de s'expliquer devant le juge

ENQUETEIl était entendu sur les conditions de son évasion...
C. F. avec agence

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Jean-Pierre Treiber, principal suspect dans l'affaire Giraud/Lherbier, a été entendu ce mercredi après-midi par un juge d'instruction sur les conditions de son évasion. Mais il a refusé de s'expliquer en l'absence de son avocat, a le procureur de la République François Pérain.

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dans l'affaire Giraud/Lherbier
Jean-Pierre Treiber, principal suspect dans l'affaire Giraud/Lherbier, a été entendu ce mercredi après-midi par un juge d'instruction sur les conditions de son évasion. Mais il a refusé de s'expliquer en l'absence de son avocat, a le procureur de la République François Pérain.

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Jean-Pierre Treiber, principal suspect dans l'affaire Giraud/Lherbier, a été entendu ce mercredi après-midi par un juge d'instruction sur les conditions de son évasion. Mais il a refusé de s'expliquer en l'absence de son avocat, a le procureur de la République François Pérain.

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Selon le magistrat, Jean-Pierre Treiber «a indiqué avoir désigné Eric Dupond-Moretti pour le défendre et qu'en conséquence il ne souhaitait pas s'exprimer en son absence».

Selon le magistrat, Jean-Pierre Treiber «a indiqué avoir désigné Eric Dupond-Moretti pour le défendre et qu'en conséquence il ne souhaitait pas s'exprimer en son absence».
«Nouvelle convocation»

Il «n'est resté que 20 minutes» dans le bureau de la juge d'instruction Aurélia Schaff, puis est retourné à Fleury-Mérogis. Il «fera l'objet d'une nouvelle convocation, avec son avocat» dans les jours prochains, a ajouté François Pérain.


«Nouvelle convocation»

Il «n'est resté que 20 minutes» dans le bureau de la juge d'instruction Aurélia Schaff, puis est retourné à Fleury-Mérogis. Il «fera l'objet d'une nouvelle convocation, avec son avocat» dans les jours prochains, a ajouté François Pérain.

«Nouvelle convocation»

Il «n'est resté que 20 minutes» dans le bureau de la juge d'instruction Aurélia Schaff, puis est retourné à Fleury-Mérogis. Il «fera l'objet d'une nouvelle convocation, avec son avocat» dans les jours prochains, a ajouté François Pérain.
Après une cavale de plus de dix semaines, Jean-Pierre Treiber, principal suspect dans le double assassinat de Géraldine Giraud et de son amie Katia Lherbier en 2004, avait été interpellé le 20 novembre dernier à Melun.

45 policiers mobilisés quotidiennement

Les recherches ont ont mobilisé pas moins de «quarante-cinq policiers» quotidiennement, pendant les dix semaines de sa cavale. Tous, ainsi que ceux du Raid (Recherche, assistance, intervention, dissuasion, l'unité d'élite de la police nationale) qui ont procédé à l'arrestation du fugitif vendredi à Melun, ont été reçus mercredi au ministère de l'Intérieur par Brice Hortefeux, qui les a remerciés pour leur «très bon travail».
une cavale de plus de dix semaines
Après une cavale de plus de dix semaines, Jean-Pierre Treiber, principal suspect dans le double assassinat de Géraldine Giraud et de son amie Katia Lherbier en 2004, avait été interpellé le 20 novembre dernier à Melun.

45 policiers mobilisés quotidiennement

Les recherches ont ont mobilisé pas moins de «quarante-cinq policiers» quotidiennement, pendant les dix semaines de sa cavale. Tous, ainsi que ceux du Raid (Recherche, assistance, intervention, dissuasion, l'unité d'élite de la police nationale) qui ont procédé à l'arrestation du fugitif vendredi à Melun, ont été reçus mercredi au ministère de l'Intérieur par Brice Hortefeux, qui les a remerciés pour leur «très bon travail».
avait été interpellé
Après une cavale de plus de dix semaines, Jean-Pierre Treiber, principal suspect dans le double assassinat de Géraldine Giraud et de son amie Katia Lherbier en 2004, avait été interpellé le 20 novembre dernier à Melun.

45 policiers mobilisés quotidiennement

Les recherches ont ont mobilisé pas moins de «quarante-cinq policiers» quotidiennement, pendant les dix semaines de sa cavale. Tous, ainsi que ceux du Raid (Recherche, assistance, intervention, dissuasion, l'unité d'élite de la police nationale) qui ont procédé à l'arrestation du fugitif vendredi à Melun, ont été reçus mercredi au ministère de l'Intérieur par Brice Hortefeux, qui les a remerciés pour leur «très bon travail».


Après f="http://www.20minutes.fr/article/365088/France-Les-grandes-dates-de-l-affaire-Treiber.php" target="_blank">une cavale de plus de dix semaines, Jean-Pierre Treiber, principal suspect dans le double assassinat de Géraldine Giraud et de son amie Katia Lherbier en 2004, avait été interpellé le 20 novembre dernier à Melun.

45 policiers mobilisés quotidiennement

Les recherches ont ont mobilisé pas moins de «quarante-cinq policiers» quotidiennement, pendant les dix semaines de sa cavale. Tous, ainsi que ceux du Raid (Recherche, assistance, intervention, dissuasion, l'unité d'élite de la police nationale) qui ont procédé à l'arrestation du fugitif vendredi à Melun, ont été reçus mercredi au ministère de l'Intérieur par Brice Hortefeux, qui les a remerciés pour leur «très bon travail».


Après une cavale de plus de dix semaines, Jean-Pierre Treiber, principal suspect dans le double assassinat de Géraldine Giraud et de son amie Katia Lherbier en 2004, avait été interpellé le 20 novembre dernier à Melun.

45 policiers mobilisés quotidiennement

Les recherches ont ont mobilisé pas moins de «quarante-cinq policiers» quotidiennement, pendant les dix semaines de sa cavale. Tous, ainsi que ceux du Raid (Recherche, assistance, intervention, dissuasion, l'unité d'élite de la police nationale) qui ont procédé à l'arrestation du fugitif vendredi à Melun, ont été reçus mercredi au ministère de l'Intérieur par Brice Hortefeux, qui les a remerciés pour leur «très bon travail».


Il y a eu «une grande mobilisation de l'ensemble de la direction centrale de la police judiciaire (DCPJ), et dans les heures qui ont suivi l'évasion, nous étions en contact avec Philippe Véroni», a souligné Christophe Allain, chef de la division interrégionale de police judiciaire de Dijon. Si ce dernier n'a fait aucune allusion à la presse, Brice Hortefeux, en revanche, ne l'a pas ménagée, dans son allocution en déclarant, «oui, elle a gêné l'enquête».