Treiber a refusé de s'expliquer devant le juge
ENQUETE•Il était entendu sur les conditions de son évasion...C. F. avec agence
>> Pour retrouver tous nos articles sur Jean-Pierre Treiber, cliquez ici
>> Pour retrouver tous nos articles sur Jean-Pierre Treiber, cliquez ici
>> Pour retrouver tous nos articles sur Jean-Pierre Treiber, cliquez ici
>> Pour retrouver tous nos articles sur Jean-Pierre Treiber, cliquez ici
Il «n'est resté que 20 minutes» dans le bureau de la juge d'instruction Aurélia Schaff, puis est retourné à Fleury-Mérogis. Il «fera l'objet d'une nouvelle convocation, avec son avocat» dans les jours prochains, a ajouté François Pérain.
Il «n'est resté que 20 minutes» dans le bureau de la juge d'instruction Aurélia Schaff, puis est retourné à Fleury-Mérogis. Il «fera l'objet d'une nouvelle convocation, avec son avocat» dans les jours prochains, a ajouté François Pérain.
Il «n'est resté que 20 minutes» dans le bureau de la juge d'instruction Aurélia Schaff, puis est retourné à Fleury-Mérogis. Il «fera l'objet d'une nouvelle convocation, avec son avocat» dans les jours prochains, a ajouté François Pérain.
45 policiers mobilisés quotidiennement
Les recherches ont ont mobilisé pas moins de «quarante-cinq policiers» quotidiennement, pendant les dix semaines de sa cavale. Tous, ainsi que ceux du Raid (Recherche, assistance, intervention, dissuasion, l'unité d'élite de la police nationale) qui ont procédé à l'arrestation du fugitif vendredi à Melun, ont été reçus mercredi au ministère de l'Intérieur par Brice Hortefeux, qui les a remerciés pour leur «très bon travail».
45 policiers mobilisés quotidiennement
Les recherches ont ont mobilisé pas moins de «quarante-cinq policiers» quotidiennement, pendant les dix semaines de sa cavale. Tous, ainsi que ceux du Raid (Recherche, assistance, intervention, dissuasion, l'unité d'élite de la police nationale) qui ont procédé à l'arrestation du fugitif vendredi à Melun, ont été reçus mercredi au ministère de l'Intérieur par Brice Hortefeux, qui les a remerciés pour leur «très bon travail».
45 policiers mobilisés quotidiennement
Les recherches ont ont mobilisé pas moins de «quarante-cinq policiers» quotidiennement, pendant les dix semaines de sa cavale. Tous, ainsi que ceux du Raid (Recherche, assistance, intervention, dissuasion, l'unité d'élite de la police nationale) qui ont procédé à l'arrestation du fugitif vendredi à Melun, ont été reçus mercredi au ministère de l'Intérieur par Brice Hortefeux, qui les a remerciés pour leur «très bon travail».
45 policiers mobilisés quotidiennement
Les recherches ont ont mobilisé pas moins de «quarante-cinq policiers» quotidiennement, pendant les dix semaines de sa cavale. Tous, ainsi que ceux du Raid (Recherche, assistance, intervention, dissuasion, l'unité d'élite de la police nationale) qui ont procédé à l'arrestation du fugitif vendredi à Melun, ont été reçus mercredi au ministère de l'Intérieur par Brice Hortefeux, qui les a remerciés pour leur «très bon travail».
45 policiers mobilisés quotidiennement
Les recherches ont ont mobilisé pas moins de «quarante-cinq policiers» quotidiennement, pendant les dix semaines de sa cavale. Tous, ainsi que ceux du Raid (Recherche, assistance, intervention, dissuasion, l'unité d'élite de la police nationale) qui ont procédé à l'arrestation du fugitif vendredi à Melun, ont été reçus mercredi au ministère de l'Intérieur par Brice Hortefeux, qui les a remerciés pour leur «très bon travail».
Il y a eu «une grande mobilisation de l'ensemble de la direction centrale de la police judiciaire (DCPJ), et dans les heures qui ont suivi l'évasion, nous étions en contact avec Philippe Véroni», a souligné Christophe Allain, chef de la division interrégionale de police judiciaire de Dijon. Si ce dernier n'a fait aucune allusion à la presse, Brice Hortefeux, en revanche, ne l'a pas ménagée, dans son allocution en déclarant, «oui, elle a gêné l'enquête».