SANTEOndes électromagnétiques: Un nouveau rapport recommande une réduction des expositions

Ondes électromagnétiques: Un nouveau rapport recommande une réduction des expositions

SANTEIl est présenté au «comité de suivi» du Grenelle des ondes installé vendredi au ministère de la Santé...
M. D. et C. C.

M. D. et C. C.

L'expertise se veut prudente. L'Agence française de sécurité sanitaire de l'environnement et du travail (Afsset) a fait le point, ce jeudi, sur l'impact des ondes électromagnétiques sur la santé, après des mois de controverses. Dans un rapport de près de 500 pages, elle procède à une mise à jour de l'état des connaissances sur les radiofréquences - les téléphones portables, les antennes-relais, le wifi et le wimax, et même les radars. Des centaines d'études ont été épluchées par le groupe de travail.

Pas de risque zéro

Selon le rapport, il n'y aurait «pas d'effets sanitaires à court terme, ni à long terme», liés à l'exposition aux radiofréquences. Mais, même s'il n'y a pas de «démonstration probante» de l'existence d'effets autres que thermiques, «on ne peut formellement montrer l'inexistence d'un risque». Un petit nombre d'experts ont constaté des effets notamment sur les fonctions cellulaires mais aucune étude n’a démontré que les ondes pouvaient provoquer une pathologie.
l'impact des ondes électromagnétiques sur la santé
L'expertise se veut prudente. L'Agence française de sécurité sanitaire de l'environnement et du travail (Afsset) a fait le point, ce jeudi, sur l'impact des ondes électromagnétiques sur la santé, après des mois de controverses. Dans un rapport de près de 500 pages, elle procède à une mise à jour de l'état des connaissances sur les radiofréquences - les téléphones portables, les antennes-relais, le wifi et le wimax, et même les radars. Des centaines d'études ont été épluchées par le groupe de travail.

Pas de risque zéro

Selon le rapport, il n'y aurait «pas d'effets sanitaires à court terme, ni à long terme», liés à l'exposition aux radiofréquences. Mais, même s'il n'y a pas de «démonstration probante» de l'existence d'effets autres que thermiques, «on ne peut formellement montrer l'inexistence d'un risque». Un petit nombre d'experts ont constaté des effets notamment sur les fonctions cellulaires mais aucune étude n’a démontré que les ondes pouvaient provoquer une pathologie.
les antennes-relais
L'expertise se veut prudente. L'Agence française de sécurité sanitaire de l'environnement et du travail (Afsset) a fait le point, ce jeudi, sur l'impact des ondes électromagnétiques sur la santé, après des mois de controverses. Dans un rapport de près de 500 pages, elle procède à une mise à jour de l'état des connaissances sur les radiofréquences - les téléphones portables, les antennes-relais, le wifi et le wimax, et même les radars. Des centaines d'études ont été épluchées par le groupe de travail.

Pas de risque zéro

Selon le rapport, il n'y aurait «pas d'effets sanitaires à court terme, ni à long terme», liés à l'exposition aux radiofréquences. Mais, même s'il n'y a pas de «démonstration probante» de l'existence d'effets autres que thermiques, «on ne peut formellement montrer l'inexistence d'un risque». Un petit nombre d'experts ont constaté des effets notamment sur les fonctions cellulaires mais aucune étude n’a démontré que les ondes pouvaient provoquer une pathologie.
wifi
L'expertise se veut prudente. L'Agence française de sécurité sanitaire de l'environnement et du travail (Afsset) a fait le point, ce jeudi, sur l'impact des ondes électromagnétiques sur la santé, après des mois de controverses. Dans un rapport de près de 500 pages, elle procède à une mise à jour de l'état des connaissances sur les radiofréquences - les téléphones portables, les antennes-relais, le wifi et le wimax, et même les radars. Des centaines d'études ont été épluchées par le groupe de travail.

Pas de risque zéro

Selon le rapport, il n'y aurait «pas d'effets sanitaires à court terme, ni à long terme», liés à l'exposition aux radiofréquences. Mais, même s'il n'y a pas de «démonstration probante» de l'existence d'effets autres que thermiques, «on ne peut formellement montrer l'inexistence d'un risque». Un petit nombre d'experts ont constaté des effets notamment sur les fonctions cellulaires mais aucune étude n’a démontré que les ondes pouvaient provoquer une pathologie.


L'expertise se veut prudente. L'Agence française de sécurité sanitaire de l'environnement et du travail (Afsset) a fait le point, ce jeudi, sur l'impact des ondes électromagnétiques sur la santé, après des mois de controverses. Dans un rapport de près de 500 pages, elle procède à une mise à jour de l'état des connaissances sur les radiofréquences - les téléphones portables, les antennes-relais, le wifi et le wimax, et même les radars. Des centaines d'études ont été épluchées par le groupe de travail.

Pas de risque zéro

Selon le rapport, il n'y aurait «pas d'effets sanitaires à court terme, ni à long terme», liés à l'exposition aux radiofréquences. Mais, même s'il n'y a pas de «démonstration probante» de l'existence d'effets autres que thermiques, «on ne peut formellement montrer l'inexistence d'un risque». Un petit nombre d'experts ont constaté des effets notamment sur les fonctions cellulaires mais aucune étude n’a démontré que les ondes pouvaient provoquer une pathologie.


L'expertise se veut prudente. L'Agence française de sécurité sanitaire de l'environnement et du travail (Afsset) a fait le point, ce jeudi, sur l'impact des ondes électromagnétiques sur la santé, après des mois de controverses. Dans un rapport de près de 500 pages, elle procède à une mise à jour de l'état des connaissances sur les radiofréquences - les téléphones portables, les antennes-relais, le wifi et le wimax, et même les radars. Des centaines d'études ont été épluchées par le groupe de travail.

Pas de risque zéro

Selon le rapport, il n'y aurait «pas d'effets sanitaires à court terme, ni à long terme», liés à l'exposition aux radiofréquences. Mais, même s'il n'y a pas de «démonstration probante» de l'existence d'effets autres que thermiques, «on ne peut formellement montrer l'inexistence d'un risque». Un petit nombre d'experts ont constaté des effets notamment sur les fonctions cellulaires mais aucune étude n’a démontré que les ondes pouvaient provoquer une pathologie.
pas d'effets sanitaires à court terme, ni à long terme
L'expertise se veut prudente. L'Agence française de sécurité sanitaire de l'environnement et du travail (Afsset) a fait le point, ce jeudi, sur l'impact des ondes électromagnétiques sur la santé, après des mois de controverses. Dans un rapport de près de 500 pages, elle procède à une mise à jour de l'état des connaissances sur les radiofréquences - les téléphones portables, les antennes-relais, le wifi et le wimax, et même les radars. Des centaines d'études ont été épluchées par le groupe de travail.

Pas de risque zéro

Selon le rapport, il n'y aurait «pas d'effets sanitaires à court terme, ni à long terme», liés à l'exposition aux radiofréquences. Mais, même s'il n'y a pas de «démonstration probante» de l'existence d'effets autres que thermiques, «on ne peut formellement montrer l'inexistence d'un risque». Un petit nombre d'experts ont constaté des effets notamment sur les fonctions cellulaires mais aucune étude n’a démontré que les ondes pouvaient provoquer une pathologie.
Bref, dans le doute, l'Afsset recommande aux pouvoirs publics de réduire les expositions du public et de développer la recherche pour lever les incertitudes qui demeurent.
Satisfaction et vigilance

«Cet avis est en rupture par rapport aux avis précédents. Les experts estiment qu’il reste de nombreuses incertitudes donc il faut appliquer le principe de précaution», note Stéphen Kerkhove, de l’association Agir pour l’environnement, interrogé par 20minutes.fr. Il demande donc au gouvernement de baisser les seuils d’exposition aux ondes. Il souhaite également que la publicité pour les opérateurs mobiles à destinations des adolescents soit interdite.
Pour Daniel Oberhausen, physicien et représentant des associations pour l’environnement, insiste lui, sur la nécessité que «les industriels financent les laboratoires de recherche.»

Présentation

Le rapport de l’Afsset sera présenté au «comité de suivi» du «Grenelle des ondes» qui sera installé vendredi au ministère de la Santé, et devrait constituer une base pour ses travaux. Il s'agit d'essayer de répondre aux inquiétudes grandissantes dans la population sur l'impact des ondes, et aussi d'essayer de réduire la confrontation entre opérateurs de téléphonie mobile et écologistes, qui a donné lieu à plusieurs actions en justice.