HAUT-VERNETLes conclusions des analyses autour de la mort d’Emile attendues en octobre

Mort d’Emile : Les conclusions des analyses ADN des ossements et des vêtements de l’enfant attendues mi-octobre

HAUT-VERNETDes expertises sont toujours en cours dans l’affaire de la mort du petit Emile, six mois après la découverte de ses ossements dans une forêt du Haut-Vernet, dans les Alpes-de-Haute-Provence, où il a disparu en juillet 2023
Des expertises sont toujours en cours dans l'affaire de la mort du petit Emile, plus de six mois après la découverte des ossements de l'enfant dans une forêt du Haut-Vernet, dans les Alpes-de-Haute-Provence
Des expertises sont toujours en cours dans l'affaire de la mort du petit Emile, plus de six mois après la découverte des ossements de l'enfant dans une forêt du Haut-Vernet, dans les Alpes-de-Haute-Provence - M. Allili / Sipa
Elise Martin

E.M.

Va-t-on bientôt en savoir davantage sur la mort du petit Emile, disparu en juillet 2023 au Haut-Vernet, dans les Alpes-de-Haute-Provence, et dont des ossements ont été retrouvés dans une forêt du hameau en mars dernier ? Les conclusions des analyses ADN de l’enfant sont attendues mi-octobre, selon TF1.

La chaîne, qui cite une source proche de l’enquête, indique que les expertises sur les os de l’enfant de 2 ans et demi sont terminées mais que celles sur les vêtements sont toujours en cours par le laboratoire d’hématologie médico-légale de Bordeaux, saisi en juin dernier par les juges d’instruction. D’après les informations de BFM, ce laboratoire privé est « habitué à travailler sur des dossiers difficiles et anciens ». Ce rapport permettra de déterminer s’il y a un autre ADN que celui d’Emile sur les ossements et s’ils ont été déplacés volontairement ou non après la mort du jeune garçon, a précisé une source proche du dossier à BFM.

Contactée par le média, l’avocate des grands-parents d’Emile, maître Isabelle Colombani, a indiqué que ses clients attendaient « beaucoup » de ces résultats. « La vérité scientifique va leur permettre d’arriver à une vérité judiciaire », a-t-elle confié.