«Vandalisme gratuit ou agression politique ? » Les responsables du Parti communiste français au Cannet (Alpes-Maritimes) sont sûrs qu’ils n’ont pas eu affaire à « un accident » mais « plutôt un acte volontaire » dans la nuit de lundi à mardi. Leur permanence dans cette commune voisine de Cannes a été vandalisée, déplorent-ils dans un communiqué.

La vitrine a éclaté après que des riverains ont « entendu deux coups violents » et « la police municipale est intervenue pour constater que le local avait été dégradé », précisent encore les référents du PCF. Ils ont déposé une plainte au commissariat de Cannes.