CRASHRecherches arrêtées après la disparition d’un avion au large de Fécamp

Seine-Maritime : Recherches arrêtées après la disparition d’un avion de tourisme au large de Fécamp

CRASHL’avion de tourisme avait disparu mardi en milieu d’après-midi
C'est un hélicoptère Caïman (comme celui-ci) mais de l'armée Belge qui a fait les recherches. (illustration)
C'est un hélicoptère Caïman (comme celui-ci) mais de l'armée Belge qui a fait les recherches. (illustration) - LUDOVIC MARIN / AFP
Rachel Garrat-Valcarcel

R. G.-V. avec AFP

Les recherches pour retrouver un avion de tourisme qui a disparu en mer mardi en milieu d’après-midi au large de Fécamp (Seine-Maritime) ont été arrêtées mercredi matin, a-t-on appris auprès de la préfecture de la Manche et de la mer du Nord. L’aéronef, avec une seule personne à bord, avait décollé de l’aérodrome de Saint-André-de-l’Eure (Eure) vers 14h30 et volait en direction de Saint-Valéry-en-Caux (Seine-Maritime) quand il a disparu.

Plusieurs témoins ainsi que le sémaphore de Fécamp ont prévenu le Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage (Cross) Gris-Nez qu’un petit aéronef venait de se crasher à environ deux kilomètres au nord-ouest de Fécamp. Des recherches pour le retrouver ont été conduites grâce à un hélicoptère Caïman de l’armée de l’Air belge stationné sur la base aérienne de Coxyde et équipé d’une caméra thermique de vision nocturne, selon la préfecture maritime.

Une enquête

« Après avoir survolé la zone à plusieurs reprises, et sans élément nouveau, le préfet maritime de la Manche et de mer du Nord a décidé d’interrompre les recherches vers 23h20 », selon un communiqué. Les recherches ont repris mercredi à 8h52 « avec l’engagement de l’hélicoptère Dauphin de la Marine nationale (…) qui a survolé la zone à plusieurs reprises sans trouver d’élément nouveau », a précisé la préfecture dans un nouveau communiqué. A 9h29, le préfet a décidé d’arrêter les opérations de recherches, selon la même source.

Une enquête est en cours par la gendarmerie maritime et la gendarmerie des transports aériens (GTA), indique aussi la préfecture.