«Gilets jaunes» dans le Var: Le péage de Bandol incendié, l'autoroute A50 fermée dans les deux sens
DEGRADATIONS•Le péage de Bandol a été dégradé par un incendie dans la nuit de lundi à mardi. 17 personnes ont été interpellées…20 Minutes avec AFP
A plusieurs reprises, les «gilets jaunes» s'en sont pris aux installations autoroutières ces derniers jours. Dans la nuit du lundi 17 au mardi 18 décembre, c’est la barrière de péage de Bandol, sur l’A50, qui a été incendiée. Le péage est géré par Vinci Autoroutes, une société déjà visée plusieurs fois en marge du mouvement des «gilets jaunes».
Selon les informations de 20 Minutes, 17 personnes ont été interpellées peu après et placées en garde à vue à l’hôtel de police de Toulon. Cette autoroute, qui relie Marseille à Toulon, a été fermée dans les deux sens à la suite de ce sinistre, avec une sortie obligatoire à La Cadière-d’Azur ou La Seyne-sur-Mer, a précisé une porte-parole de Vinci Autoroutes.
L’incendie, qui s’est déclaré vers 22h30, est le dernier en date sur le réseau autoroutier, touché par de nombreuses occupations et dégradations depuis le début du mouvement des « gilets jaunes ».
Déjà plusieurs dizaines de millions de dégâts selon Vinci
Depuis plusieurs semaines, des péages et installations autoroutières du sud de la France, de Perpignan à Orange en passant par La Ciotat, ont été dégradés. Dimanche, Vinci avait estimé à « plusieurs dizaines de millions d’euros » le montant des dégâts commis sur l’ensemble de son réseau lors et en marge des manifestations des « gilets jaunes » depuis un mois.
« Près de 250 sites ont ainsi été impactés quotidiennement par les actions des manifestants », ajoutait-il. Les mises à feu volontaires ont notamment détruit six bâtiments d’exploitation, dont la direction régionale de Narbonne, 33 véhicules d’intervention, 15 échangeurs et plateformes de péage, et dégradé les chaussées en de nombreux endroits.
A plusieurs reprises, les «gilets jaunes» s'en sont pris aux installations autoroutières ces derniers jours. Dans la nuit du lundi 17 au mardi 18 décembre, c’est la barrière de péage de Bandol, sur l’A50, qui a été incendiée. Le péage est géré par Vinci Autoroutes, une société déjà visée plusieurs fois en marge du mouvement des «gilets jaunes».
Selon les informations de 20 Minutes, 17 personnes ont été interpellées peu après et placées en garde à vue à l’hôtel de police de Toulon. Cette autoroute, qui relie Marseille à Toulon, a été fermée dans les deux sens à la suite de ce sinistre, avec une sortie obligatoire à La Cadière-d’Azur ou La Seyne-sur-Mer, a précisé une porte-parole de Vinci Autoroutes.
L’incendie, qui s’est déclaré vers 22h30, est le dernier en date sur le réseau autoroutier, touché par de nombreuses occupations et dégradations depuis le début du mouvement des « gilets jaunes ».
Déjà plusieurs dizaines de millions de dégâts selon Vinci
Depuis plusieurs semaines, des péages et installations autoroutières du sud de la France, de Perpignan à Orange en passant par La Ciotat, ont été dégradés. Dimanche, Vinci avait estimé à « plusieurs dizaines de millions d’euros » le montant des dégâts commis sur l’ensemble de son réseau lors et en marge des manifestations des « gilets jaunes » depuis un mois.
« Près de 250 sites ont ainsi été impactés quotidiennement par les actions des manifestants », ajoutait-il. Les mises à feu volontaires ont notamment détruit six bâtiments d’exploitation, dont la direction régionale de Narbonne, 33 véhicules d’intervention, 15 échangeurs et plateformes de péage, et dégradé les chaussées en de nombreux endroits.
A plusieurs reprises, les «gilets jaunes» s'en sont pris aux installations autoroutières ces derniers jours. Dans la nuit du lundi 17 au mardi 18 décembre, c’est la barrière de péage de Bandol, sur l’A50, qui a été incendiée. Le péage est géré par Vinci Autoroutes, une société déjà visée plusieurs fois en marge du mouvement des «gilets jaunes».
Selon les informations de 20 Minutes, 17 personnes ont été interpellées peu après et placées en garde à vue à l’hôtel de police de Toulon. Cette autoroute, qui relie Marseille à Toulon, a été fermée dans les deux sens à la suite de ce sinistre, avec une sortie obligatoire à La Cadière-d’Azur ou La Seyne-sur-Mer, a précisé une porte-parole de Vinci Autoroutes.
L’incendie, qui s’est déclaré vers 22h30, est le dernier en date sur le réseau autoroutier, touché par de nombreuses occupations et dégradations depuis le début du mouvement des « gilets jaunes ».
Déjà plusieurs dizaines de millions de dégâts selon Vinci
Depuis plusieurs semaines, des péages et installations autoroutières du sud de la France, de Perpignan à Orange en passant par La Ciotat, ont été dégradés. Dimanche, Vinci avait estimé à « plusieurs dizaines de millions d’euros » le montant des dégâts commis sur l’ensemble de son réseau lors et en marge des manifestations des « gilets jaunes » depuis un mois.
« Près de 250 sites ont ainsi été impactés quotidiennement par les actions des manifestants », ajoutait-il. Les mises à feu volontaires ont notamment détruit six bâtiments d’exploitation, dont la direction régionale de Narbonne, 33 véhicules d’intervention, 15 échangeurs et plateformes de péage, et dégradé les chaussées en de nombreux endroits.
A plusieurs reprises, <a href="https://www.20minutes.fr/faits_divers/2397379-20181217-gilets-jaunes-plusieurs-incendies-volontaires-autoroutes-beziers-manosque" data-blank="false" data-follow="true" data-sponsored="undefined">les «gilets jaunes» s'en sont pris aux installations autoroutières ces derniers jours. Dans la nuit du lundi 17 au mardi 18 décembre, c’est la barrière de péage de Bandol, sur l’A50, qui a été incendiée. Le péage est géré par Vinci Autoroutes, une société déjà visée plusieurs fois en marge du mouvement des «gilets jaunes».
Selon les informations de 20 Minutes, 17 personnes ont été interpellées peu après et placées en garde à vue à l’hôtel de police de Toulon. Cette autoroute, qui relie Marseille à Toulon, a été fermée dans les deux sens à la suite de ce sinistre, avec une sortie obligatoire à La Cadière-d’Azur ou La Seyne-sur-Mer, a précisé une porte-parole de Vinci Autoroutes.
L’incendie, qui s’est déclaré vers 22h30, est le dernier en date sur le réseau autoroutier, touché par de nombreuses occupations et dégradations depuis le début du mouvement des « gilets jaunes ».
Déjà plusieurs dizaines de millions de dégâts selon Vinci
Depuis plusieurs semaines, des péages et installations autoroutières du sud de la France, de Perpignan à Orange en passant par La Ciotat, ont été dégradés. Dimanche, Vinci avait estimé à « plusieurs dizaines de millions d’euros » le montant des dégâts commis sur l’ensemble de son réseau lors et en marge des manifestations des « gilets jaunes » depuis un mois.
« Près de 250 sites ont ainsi été impactés quotidiennement par les actions des manifestants », ajoutait-il. Les mises à feu volontaires ont notamment détruit six bâtiments d’exploitation, dont la direction régionale de Narbonne, 33 véhicules d’intervention, 15 échangeurs et plateformes de péage, et dégradé les chaussées en de nombreux endroits.
A plusieurs reprises, les «gilets jaunes» s'en sont pris aux installations autoroutières ces derniers jours. Dans la nuit du lundi 17 au mardi 18 décembre, c’est la barrière de péage de Bandol, sur l’A50, qui a été incendiée. Le péage est géré par Vinci Autoroutes, une société déjà visée plusieurs fois en marge du mouvement des «gilets jaunes».
Selon les informations de 20 Minutes, 17 personnes ont été interpellées peu après et placées en garde à vue à l’hôtel de police de Toulon. Cette autoroute, qui relie Marseille à Toulon, a été fermée dans les deux sens à la suite de ce sinistre, avec une sortie obligatoire à La Cadière-d’Azur ou La Seyne-sur-Mer, a précisé une porte-parole de Vinci Autoroutes.
L’incendie, qui s’est déclaré vers 22h30, est le dernier en date sur le réseau autoroutier, touché par de nombreuses occupations et dégradations depuis le début du mouvement des « gilets jaunes ».
Déjà plusieurs dizaines de millions de dégâts selon Vinci
Depuis plusieurs semaines, des péages et installations autoroutières du sud de la France, de Perpignan à Orange en passant par La Ciotat, ont été dégradés. Dimanche, Vinci avait estimé à « plusieurs dizaines de millions d’euros » le montant des dégâts commis sur l’ensemble de son réseau lors et en marge des manifestations des « gilets jaunes » depuis un mois.
« Près de 250 sites ont ainsi été impactés quotidiennement par les actions des manifestants », ajoutait-il. Les mises à feu volontaires ont notamment détruit six bâtiments d’exploitation, dont la direction régionale de Narbonne, 33 véhicules d’intervention, 15 échangeurs et plateformes de péage, et dégradé les chaussées en de nombreux endroits.
A plusieurs reprises, les «gilets jaunes» s'en sont pris aux installations autoroutières ces derniers jours. Dans la nuit du lundi 17 au mardi 18 décembre, c’est la barrière de péage de Bandol, sur l’A50, qui a été incendiée. Le péage est géré par Vinci Autoroutes, une société déjà visée plusieurs fois en marge du mouvement des «gilets jaunes».
Selon les informations de 20 Minutes, 17 personnes ont été interpellées peu après et placées en garde à vue à l’hôtel de police de Toulon. Cette autoroute, qui relie Marseille à Toulon, a été fermée dans les deux sens à la suite de ce sinistre, avec une sortie obligatoire à La Cadière-d’Azur ou La Seyne-sur-Mer, a précisé une porte-parole de Vinci Autoroutes.
L’incendie, qui s’est déclaré vers 22h30, est le dernier en date sur le réseau autoroutier, touché par de nombreuses occupations et dégradations depuis le début du mouvement des « gilets jaunes ».
Déjà plusieurs dizaines de millions de dégâts selon Vinci
Depuis plusieurs semaines, des péages et installations autoroutières du sud de la France, de Perpignan à Orange en passant par La Ciotat, ont été dégradés. Dimanche, Vinci avait estimé à « plusieurs dizaines de millions d’euros » le montant des dégâts commis sur l’ensemble de son réseau lors et en marge des manifestations des « gilets jaunes » depuis un mois.
« Près de 250 sites ont ainsi été impactés quotidiennement par les actions des manifestants », ajoutait-il. Les mises à feu volontaires ont notamment détruit six bâtiments d’exploitation, dont la direction régionale de Narbonne, 33 véhicules d’intervention, 15 échangeurs et plateformes de péage, et dégradé les chaussées en de nombreux endroits.
A plusieurs reprises, les «gilets jaunes» s'en sont pris aux installations autoroutières ces derniers jours. Dans la nuit du lundi 17 au mardi 18 décembre, c’est la barrière de péage de Bandol, sur l’A50, qui a été incendiée. Le péage est géré par Vinci Autoroutes, une société déjà visée plusieurs fois en marge du mouvement des «gilets jaunes».
Selon les informations de 20 Minutes, 17 personnes ont été interpellées peu après et placées en garde à vue à l’hôtel de police de Toulon. Cette autoroute, qui relie Marseille à Toulon, a été fermée dans les deux sens à la suite de ce sinistre, avec une sortie obligatoire à La Cadière-d’Azur ou La Seyne-sur-Mer, a précisé une porte-parole de Vinci Autoroutes.
L’incendie, qui s’est déclaré vers 22h30, est le dernier en date sur le réseau autoroutier, touché par de nombreuses occupations et dégradations depuis le début du mouvement des « gilets jaunes ».
Déjà plusieurs dizaines de millions de dégâts selon Vinci
Depuis plusieurs semaines, des péages et installations autoroutières du sud de la France, de Perpignan à Orange en passant par La Ciotat, ont été dégradés. Dimanche, Vinci avait estimé à « plusieurs dizaines de millions d’euros » le montant des dégâts commis sur l’ensemble de son réseau lors et en marge des manifestations des « gilets jaunes » depuis un mois.
« Près de 250 sites ont ainsi été impactés quotidiennement par les actions des manifestants », ajoutait-il. Les mises à feu volontaires ont notamment détruit six bâtiments d’exploitation, dont la direction régionale de Narbonne, 33 véhicules d’intervention, 15 échangeurs et plateformes de péage, et dégradé les chaussées en de nombreux endroits.
A plusieurs reprises, les «gilets jaunes» s'en sont pris aux installations autoroutières ces derniers jours. Dans la nuit du lundi 17 au mardi 18 décembre, c’est la barrière de péage de Bandol, sur l’A50, qui a été incendiée. Le péage est géré par Vinci Autoroutes, une société déjà visée plusieurs fois en marge du mouvement des «gilets jaunes».
Selon les informations de 20 Minutes, 17 personnes ont été interpellées peu après et placées en garde à vue à l’hôtel de police de Toulon. Cette autoroute, qui relie Marseille à Toulon, a été fermée dans les deux sens à la suite de ce sinistre, avec une sortie obligatoire à La Cadière-d’Azur ou La Seyne-sur-Mer, a précisé une porte-parole de Vinci Autoroutes.
L’incendie, qui s’est déclaré vers 22h30, est le dernier en date sur le réseau autoroutier, touché par de nombreuses occupations et dégradations depuis le début du mouvement des « gilets jaunes ».
Déjà plusieurs dizaines de millions de dégâts selon Vinci
Depuis plusieurs semaines, des péages et installations autoroutières du sud de la France, de Perpignan à Orange en passant par La Ciotat, ont été dégradés. Dimanche, Vinci avait estimé à « plusieurs dizaines de millions d’euros » le montant des dégâts commis sur l’ensemble de son réseau lors et en marge des manifestations des « gilets jaunes » depuis un mois.
« Près de 250 sites ont ainsi été impactés quotidiennement par les actions des manifestants », ajoutait-il. Les mises à feu volontaires ont notamment détruit six bâtiments d’exploitation, dont la direction régionale de Narbonne, 33 véhicules d’intervention, 15 échangeurs et plateformes de péage, et dégradé les chaussées en de nombreux endroits.