POLITIQUEVIDEO. Touraine, NKM, Belkacem... Les personnalités balayées de l'Assemblée

VIDEO. Résultats législatives 2017: Touraine, NKM, Vallaud-Belkacem... Les personnalités balayées de l'Assemblée

POLITIQUELe second tour des élections législatives aura été fatal à ces députés qui ne retourneront pas à l'Assemblée nationale...
Coralie Lemke

C.L.

La vague de La République en marche les aura emportés loin de l’Assemblée nationale. Anciens ministres de gauche ou de droite, ils perdent leur siège de député à la suite des élections législatives et vont devoir se trouver de nouveaux plans de carrière.

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  • Marisol Touraine : l’ancienne ministre des Affaires sociales et de la Santé a chuté dans la 3ème circonscription d’Indre-et-Loire selon l’AFP. Elle était opposée à la candidate UDI Sophie Auconie. La République En Marche (LREM) n’avait pas investi de candidat face à elle. Au premier tour, Marisol Touraine était pourtant arrivée en tête, avec 28,54 % des voix, contre 20,02 % pour Sophie Auconie.
  • Najat Vallaud-Belkacem : Bruno Bonnell, entrepreneur de 58 ans, a su faire la différence dans la 6e circonscription du Rhône, à Villeurbanne, face à l’ancienne ministre de l’Education. A quelques jours du premier tour, Bruno Bonnell a fait l’objet d’une polémique liée à des pratiques fiscales controversées d’optimisation fiscale. Najat Vallaud-Belkacem, en plein débat d’entre deux tours, l’avait accusé d’avoir cherché « à échapper à l’impôt ».
  • Nathalie Kosciusko-Morizet : dans la 2e circonscription de Paris, Nathalie Kosciusko-Morizet, candidate Les Républicains-UDI, s’incline face à Gilles Le Gendre, candidat La République en marche. La fin de la campagne a été rude pour NKM. La candidate a été agressée par un homme, jeudi, lors d’un tractage sur un marché. A 44 ans, la cheffe de file de la droite au conseil de Paris - qui a démissionné de la fonction publique - a confié ne pas avoir de plan B pour la suite.
  • Myriam El-Khomri : dans la 18e circonscription de Paris, Pierre-Yves Bournazel des Républicains, s’est imposé face à l’ancienne ministre du Travail, à l’origine de la controversée loi Travail, qui porte son nom. Elle avait pourtant reçu le soutien, pour le second tour des élections législatives, d’Emmanuel Macron, son ex-collègue du gouvernement Valls, devenu président de la République.