Présidentielle 2022 : Enquête pénale ouverte sur des SMS envoyés par le parti de Eric Zemmour, meeting d'Emmanuel Macron confirmé à Marseille

On se retrouve demain pour un nouveau live consacré à la présidentielle, à 11 petits jours du second tour. D'ici là, n'oubliez pas de vous hydrater !

C'est une fausse information qui circule sur le compte depuis Mélenchon depuis une décennie. On vous explique tout ici.

La confrontation entre Marine Le Pen et Emmanuel Macron lors du traditionnel débat d'entre-deux-tours, c'est le mercredi 20 avril. Mais au fait, pourquoi les candidats ont-ils leur mot à dire sur la réalisation de ce programme ? C'est la question à laquelle se propose de répondre le service « culture et médias » de 20 Minutes (dans notre jargon, ce service est surnommé « le rouge », en référence à l'habillage de cette rubrique sur notre site Internet. Pardon je digresse.)

Spoiler : non. Vous saurez tout en lisant cet article rédigé à partir de vos nombreux témoignages :

L'équipe de campagne du président-candidat a confirmé ce mardi l'organisation de son grand meeting d'entre-deux-tours. Comme le relatait 20 Minutes ce mardi matin, il aura lieu à Marseille. Le site choisi est le jardin du Pharo – jardin Emile Duclaux pour les puristes.

Une enquête préliminaire a été ouverte mardi à Paris après la plainte de deux associations sur un démarchage par SMS du parti d'Eric Zemmour ciblant des électeurs français de confession juive à la veille du premier tour de la présidentielle, a indiqué ce mardi une source proche du dossier.

Le parquet de Paris a confirmé l'ouverture de cette enquête pour des infractions relatives à des données à caractère personnel.

Exhumer des vieilles citations d’un candidat à la présidentielle et les balancer sur le web en les sortant de leur contexte pour tenter de déstabiliser son auteur. La ficelle est un peu grosse et pourtant elle est régulièrement utilisée par des sympathisants de tous bords politiques. Le point avec notre journaliste Delphine Bancaud.

D'un appel explicite à voter pour Emmanuel Macron au silence: les syndicats français ont adopté ces derniers jours des positions contrastées mais sans surprise face à l'éventualité de l'arrivée au pouvoir de Marine Le Pen.

La candidate RN à l'élection présidentielle Marine Le Pen a assumé mardi de marginaliser les journalistes de l'émission TV Quotidien, accusés de faire du « divertissement » et non de « l'information », en marge d'une conférence de presse sur les institutions et la vie démocratique.

Gérald Darmanin a prédit un avenir noir à certains Français en cas d’élection de la candidate RN à la tête du pays. « Madame Le Pen est l’ennemie des classes populaires » et son élection « les ruinerait », a déclaré le ministre de l’Intérieur sur Cnews. « Elle essaye de raconter que du miel alors qu’on sait bien qu’une fois qu’elle sera élue, il n’y aura que du sel », a-t-il assuré.

En « ouvrant la porte » ce lundi à un report de l'âge légal à 64 ans plutôt que 65 pour élargir sa base électorale, Emmanuel Macron ouvre une brèche dans le financement de son programme, dont la réforme des retraites était présentée comme la clé de voûte budgétaire.

Marine Le Pen a indiqué ce mardi qu'elle ne prendrait pas dans son gouvernement sa nièce Marion Maréchal, soutien d'Eric Zemmour, si elle est élue présidente le 24 avril. « Non, je ne prendrai pas Marion Maréchal dans mon gouvernement », a déclaré la candidate du RN lors d'une conférence de presse à Vernon (Eure), en réponse à une question d'un journaliste.

«On a du mal, on dépend de nos parents inspirez-vous de M. Mélenchon ! » En campagne à Mulhouse, qui a voté à 36% pour Jean-Luc Mélenchon, Emmanuel Macron a été interpelé sur les difficultés sociales et sa réforme des retraites et sa concession de la veille.

«Je souhaite que tous ceux qui ont clairement appelé à voter Emmanuel Macron (…) puissent participer à la conduite des affaires de notre pays pendant les cinq prochaines années », a plaidé le maire de Nice Christian Estrosi, ex-membre des Républicains.

Ce dernier appelle à « un gouvernement d’union républicaine » qui pourrait intégrer des représentants du Parti socialiste, du Parti communiste ou des écologistes, selon l’ancien ministre de l’Industrie.

Christian Estrosi a notamment cité le cas de François Rebsamen, le maire socialiste de Dijon, qui aurait « vocation à jouer un rôle » dans une telle équipe gouvernementale. De même, « ça ne me choquerait pas d’avoir un représentant de M. Jadot qui en matière de transition écologique apporterait sa contribution écologique », a-t-il ajouté.

Le parti centriste qui soutenait la candidate Valérie Pécresse a appelé à voter Emmanuel Macron au second tour. Une position adoptée à « l’unanimité » par ses membres qui souhaitent « un mandat très différent du premier plutôt que le risque de l’effondrement que porte le programme d’extrême droite ».