Sortis des grandes propositions en matière d'urbanisme ou de transport, les candidats toulousains ont aussi fait preuve d'idées décalées durant cette campagne, parfois innovantes ou à contre-courant.

• Concierge, un métier d'avenir

A Toulouse, c'est un métier qui a presque disparu… contrairement à Paris. Pour le socialiste Pierre Cohen ou le mélenchoniste Jean-Christophe Sellin, le retour des concierges est bien à l'ordre du jour, histoire de restaurer du lien social et de la tranquillité.

• Fini la galère du stagiaire

De la troisième au master, trouvez un stage relève du parcours du combattant. Jean-Luc Moudenc (UMP-UDI-MoDem) veut créer une base de données où les collectivités et les entreprises pourraient proposer des stages.

• A l'International

Pour rayonner à l'international, Serge Laroze (FN) a sa petite idée : être candidat pour l'Expo universelle de 2025.

• Oncopôle, aller plus loin

L'Oncopôle c'est un lieu de soins pour les malades et de recherches pour les traitements. Le candidat d'EELV, Antoine Maurice, veut y implanter une maison de santé-recherche sur les causes du cancer.

• Lutter contre les violences

Pour aider les femmes à ne plus risquer d'être victimes, Ahmed Chouki (NPA/Issue des sans voix) envisage des cours de self-défense financés par la mairie.

• Freiner les énergétivores

Pour inciter à rénover, Jean-Pierre Plancade (ex-PRG) veut mettre en place un «bonus urbanisme» pour les réhabilitations efficaces. La centriste Christine de Veyrac imagine un service de prêt de matériel pour mesurer la consommation d'énergie. Elisabeth Belaubre (Rassemblement citoyen) veut instaurer de son côté un tarif progressif de l'eau.