ECONOMIEPlan d'économies: La France maintiendra finalement l'objectif de 21 milliards en 2015

Plan d'économies: La France maintiendra finalement l'objectif de 21 milliards en 2015

ECONOMIEAnnoncé comme impossible par Michel Sapin par une semaine, l'engagement va finalement être maintenu...
Thibaut Le Gal

Thibaut Le Gal

Le gouvernement va finalement annoncer le maintien de son objectif d’économies sur la dépense publique de 21 milliards d’euros en 2015, une semaine après avoir annoncé qu’il n’y parviendrait pas, a rapporté mardi soir le quotidien économique Les Echos.

«Machine arrière toute! Une semaine après l’annonce surprise d’une baisse de l’effort sur la dépense publique pour 2015, le gouvernement s’apprête, selon nos informations, à ressusciter son objectif de 21 milliards d’euros d’économies l’an prochain», écrivent Les Echos.

Bruxelles et Berlin irrités

«Un objectif qui devrait être réaffirmé sans doute dès ce mercredi par l’exécutif afin de rassurer Bruxelles et Berlin. Car ces derniers ont été passablement irrités par les déclarations de Michel Sapin mardi dernier», affirme le journal.

Le 2 septembre, Michel Sapin avait annoncé que cette première tranche des 50 milliards d’économies programmées sur trois ans, par rapport à la progression naturelle de la dépense, ne serait pas atteint mais que la France s’engageait malgré tout à parvenir aux 50 milliards visés d’ici 2017.

«On ne peut pas avoir les mêmes objectifs avec une inflation qui devient très faible», avait reconnu le ministre en réponse à une question sur le maintien d’un objectif de 21 milliards d’économies l’année prochaine. «L’année prochaine par exemple, là où sur une hypothèse d’inflation de 1,5 %, on faisait au-delà d’un milliard d’économies, par le seul gel de prestations, aujourd’hui ces économies sont remises en cause», avait-il notamment expliqué.

«Mais le signal a été mal perçu à Bruxelles et Berlin, alors même que la France cherche déjà à obtenir un feu vert pour ralentir le rythme de réduction du déficit public. Dit autrement, la France ne peut pas à la fois abandonner ses objectifs de déficit public et rogner ses objectifs d’économies», commentent les Echos.

L'objectif des 3 % repoussé à 2017

Le gouvernement devrait donc, selon le journal, réaffirmer ce mercredi son plan d’économies et dévoiler une nouvelle trajectoire du déficit qui laissera ce dernier proche de 4 % du produit intérieur brut en 2014 et 2015, et repoussera sans doute le retour à 3 % à 2017, au lieu de 2015.

Le ministère des Finances a envoyé mardi soir à la presse une invitation pour mercredi matin à «une conférence de presse sur la situation économique et les finances publiques» du ministre des Finances Michel Sapin, et du secrétaire d’Etat chargé du Budget Christian Eckert.

Les Echos.

Le gouvernement va finalement annoncer le maintien de son objectif d’économies sur la dépense publique de 21 milliards d’euros en 2015, une semaine après avoir annoncé qu’il n’y parviendrait pas, a rapporté mardi soir le quotidien économique ef="http://www.lesechos.fr/economie-france/budget-fiscalite/0203762234048-sous-pression-europeenne-la-france-remet-le-cap-sur-les-economies-en-2015-1040766.php" target="_blank">Les Echos.

«Machine arrière toute! Une semaine après l’annonce surprise d’une baisse de l’effort sur la dépense publique pour 2015, le gouvernement s’apprête, selon nos informations, à ressusciter son objectif de 21 milliards d’euros d’économies l’an prochain», écrivent Les Echos.

Bruxelles et Berlin irrités

«Un objectif qui devrait être réaffirmé sans doute dès ce mercredi par l’exécutif afin de rassurer Bruxelles et Berlin. Car ces derniers ont été passablement irrités par les déclarations de Michel Sapin mardi dernier», affirme le journal.

Le 2 septembre, Michel Sapin avait annoncé que cette première tranche des 50 milliards d’économies programmées sur trois ans, par rapport à la progression naturelle de la dépense, ne serait pas atteint mais que la France s’engageait malgré tout à parvenir aux 50 milliards visés d’ici 2017.

«On ne peut pas avoir les mêmes objectifs avec une inflation qui devient très faible», avait reconnu le ministre en réponse à une question sur le maintien d’un objectif de 21 milliards d’économies l’année prochaine. «L’année prochaine par exemple, là où sur une hypothèse d’inflation de 1,5 %, on faisait au-delà d’un milliard d’économies, par le seul gel de prestations, aujourd’hui ces économies sont remises en cause», avait-il notamment expliqué.

«Mais le signal a été mal perçu à Bruxelles et Berlin, alors même que la France cherche déjà à obtenir un feu vert pour ralentir le rythme de réduction du déficit public. Dit autrement, la France ne peut pas à la fois abandonner ses objectifs de déficit public et rogner ses objectifs d’économies», commentent les Echos.

L'objectif des 3 % repoussé à 2017

Le gouvernement devrait donc, selon le journal, réaffirmer ce mercredi son plan d’économies et dévoiler une nouvelle trajectoire du déficit qui laissera ce dernier proche de 4 % du produit intérieur brut en 2014 et 2015, et repoussera sans doute le retour à 3 % à 2017, au lieu de 2015.

Le ministère des Finances a envoyé mardi soir à la presse une invitation pour mercredi matin à «une conférence de presse sur la situation économique et les finances publiques» du ministre des Finances Michel Sapin, et du secrétaire d’Etat chargé du Budget Christian Eckert.


Le gouvernement va finalement annoncer le maintien de son objectif d’économies sur la dépense publique de 21 milliards d’euros en 2015, une semaine après avoir annoncé qu’il n’y parviendrait pas, a rapporté mardi soir le quotidien économique Les Echos.

«Machine arrière toute! Une semaine après l’annonce surprise d’une baisse de l’effort sur la dépense publique pour 2015, le gouvernement s’apprête, selon nos informations, à ressusciter son objectif de 21 milliards d’euros d’économies l’an prochain», écrivent Les Echos.

Bruxelles et Berlin irrités

«Un objectif qui devrait être réaffirmé sans doute dès ce mercredi par l’exécutif afin de rassurer Bruxelles et Berlin. Car ces derniers ont été passablement irrités par les déclarations de Michel Sapin mardi dernier», affirme le journal.

Le 2 septembre, Michel Sapin avait annoncé que cette première tranche des 50 milliards d’économies programmées sur trois ans, par rapport à la progression naturelle de la dépense, ne serait pas atteint mais que la France s’engageait malgré tout à parvenir aux 50 milliards visés d’ici 2017.

«On ne peut pas avoir les mêmes objectifs avec une inflation qui devient très faible», avait reconnu le ministre en réponse à une question sur le maintien d’un objectif de 21 milliards d’économies l’année prochaine. «L’année prochaine par exemple, là où sur une hypothèse d’inflation de 1,5 %, on faisait au-delà d’un milliard d’économies, par le seul gel de prestations, aujourd’hui ces économies sont remises en cause», avait-il notamment expliqué.

«Mais le signal a été mal perçu à Bruxelles et Berlin, alors même que la France cherche déjà à obtenir un feu vert pour ralentir le rythme de réduction du déficit public. Dit autrement, la France ne peut pas à la fois abandonner ses objectifs de déficit public et rogner ses objectifs d’économies», commentent les Echos.

L'objectif des 3 % repoussé à 2017

Le gouvernement devrait donc, selon le journal, réaffirmer ce mercredi son plan d’économies et dévoiler une nouvelle trajectoire du déficit qui laissera ce dernier proche de 4 % du produit intérieur brut en 2014 et 2015, et repoussera sans doute le retour à 3 % à 2017, au lieu de 2015.

Le ministère des Finances a envoyé mardi soir à la presse une invitation pour mercredi matin à «une conférence de presse sur la situation économique et les finances publiques» du ministre des Finances Michel Sapin, et du secrétaire d’Etat chargé du Budget Christian Eckert.


Le gouvernement va finalement annoncer le maintien de son objectif d’économies sur la dépense publique de 21 milliards d’euros en 2015, une semaine après avoir annoncé qu’il n’y parviendrait pas, a rapporté mardi soir le quotidien économique Les Echos.

«Machine arrière toute! Une semaine après l’annonce surprise d’une baisse de l’effort sur la dépense publique pour 2015, le gouvernement s’apprête, selon nos informations, à ressusciter son objectif de 21 milliards d’euros d’économies l’an prochain», écrivent Les Echos.

Bruxelles et Berlin irrités

«Un objectif qui devrait être réaffirmé sans doute dès ce mercredi par l’exécutif afin de rassurer Bruxelles et Berlin. Car ces derniers ont été passablement irrités par les déclarations de Michel Sapin mardi dernier», affirme le journal.

Le 2 septembre, Michel Sapin avait annoncé que cette première tranche des 50 milliards d’économies programmées sur trois ans, par rapport à la progression naturelle de la dépense, ne serait pas atteint mais que la France s’engageait malgré tout à parvenir aux 50 milliards visés d’ici 2017.

«On ne peut pas avoir les mêmes objectifs avec une inflation qui devient très faible», avait reconnu le ministre en réponse à une question sur le maintien d’un objectif de 21 milliards d’économies l’année prochaine. «L’année prochaine par exemple, là où sur une hypothèse d’inflation de 1,5 %, on faisait au-delà d’un milliard d’économies, par le seul gel de prestations, aujourd’hui ces économies sont remises en cause», avait-il notamment expliqué.

«Mais le signal a été mal perçu à Bruxelles et Berlin, alors même que la France cherche déjà à obtenir un feu vert pour ralentir le rythme de réduction du déficit public. Dit autrement, la France ne peut pas à la fois abandonner ses objectifs de déficit public et rogner ses objectifs d’économies», commentent les Echos.

L'objectif des 3 % repoussé à 2017

Le gouvernement devrait donc, selon le journal, réaffirmer ce mercredi son plan d’économies et dévoiler une nouvelle trajectoire du déficit qui laissera ce dernier proche de 4 % du produit intérieur brut en 2014 et 2015, et repoussera sans doute le retour à 3 % à 2017, au lieu de 2015.

Le ministère des Finances a envoyé mardi soir à la presse une invitation pour mercredi matin à «une conférence de presse sur la situation économique et les finances publiques» du ministre des Finances Michel Sapin, et du secrétaire d’Etat chargé du Budget Christian Eckert.


Le 2 septembre, Michel Sapin avait annoncé que cette première tranche des 50 milliards d’économies programmées sur trois ans

Le gouvernement va finalement annoncer le maintien de son objectif d’économies sur la dépense publique de 21 milliards d’euros en 2015, une semaine après avoir annoncé qu’il n’y parviendrait pas, a rapporté mardi soir le quotidien économique Les Echos.

«Machine arrière toute! Une semaine après l’annonce surprise d’une baisse de l’effort sur la dépense publique pour 2015, le gouvernement s’apprête, selon nos informations, à ressusciter son objectif de 21 milliards d’euros d’économies l’an prochain», écrivent Les Echos.

Bruxelles et Berlin irrités

«Un objectif qui devrait être réaffirmé sans doute dès ce mercredi par l’exécutif afin de rassurer Bruxelles et Berlin. Car ces derniers ont été passablement irrités par les déclarations de Michel Sapin mardi dernier», affirme le journal.

Le 2 septembre, Michel Sapin avait annoncé que cette première tranche des 50 milliards d’économies programmées sur trois ans, par rapport à la progression naturelle de la dépense, ne serait pas atteint mais que la France s’engageait malgré tout à parvenir aux 50 milliards visés d’ici 2017.

«On ne peut pas avoir les mêmes objectifs avec une inflation qui devient très faible», avait reconnu le ministre en réponse à une question sur le maintien d’un objectif de 21 milliards d’économies l’année prochaine. «L’année prochaine par exemple, là où sur une hypothèse d’inflation de 1,5 %, on faisait au-delà d’un milliard d’économies, par le seul gel de prestations, aujourd’hui ces économies sont remises en cause», avait-il notamment expliqué.

«Mais le signal a été mal perçu à Bruxelles et Berlin, alors même que la France cherche déjà à obtenir un feu vert pour ralentir le rythme de réduction du déficit public. Dit autrement, la France ne peut pas à la fois abandonner ses objectifs de déficit public et rogner ses objectifs d’économies», commentent les Echos.

L'objectif des 3 % repoussé à 2017

Le gouvernement devrait donc, selon le journal, réaffirmer ce mercredi son plan d’économies et dévoiler une nouvelle trajectoire du déficit qui laissera ce dernier proche de 4 % du produit intérieur brut en 2014 et 2015, et repoussera sans doute le retour à 3 % à 2017, au lieu de 2015.

Le ministère des Finances a envoyé mardi soir à la presse une invitation pour mercredi matin à «une conférence de presse sur la situation économique et les finances publiques» du ministre des Finances Michel Sapin, et du secrétaire d’Etat chargé du Budget Christian Eckert.


Le gouvernement va finalement annoncer le maintien de son objectif d’économies sur la dépense publique de 21 milliards d’euros en 2015, une semaine après avoir annoncé qu’il n’y parviendrait pas, a rapporté mardi soir le quotidien économique Les Echos.

«Machine arrière toute! Une semaine après l’annonce surprise d’une baisse de l’effort sur la dépense publique pour 2015, le gouvernement s’apprête, selon nos informations, à ressusciter son objectif de 21 milliards d’euros d’économies l’an prochain», écrivent Les Echos.

Bruxelles et Berlin irrités

«Un objectif qui devrait être réaffirmé sans doute dès ce mercredi par l’exécutif afin de rassurer Bruxelles et Berlin. Car ces derniers ont été passablement irrités par les déclarations de Michel Sapin mardi dernier», affirme le journal.

Le 2 septembre, Michel Sapin avait annoncé que cette première tranche des 50 milliards d’économies programmées sur trois ans, par rapport à la progression naturelle de la dépense, ne serait pas atteint mais que la France s’engageait malgré tout à parvenir aux 50 milliards visés d’ici 2017.

«On ne peut pas avoir les mêmes objectifs avec une inflation qui devient très faible», avait reconnu le ministre en réponse à une question sur le maintien d’un objectif de 21 milliards d’économies l’année prochaine. «L’année prochaine par exemple, là où sur une hypothèse d’inflation de 1,5 %, on faisait au-delà d’un milliard d’économies, par le seul gel de prestations, aujourd’hui ces économies sont remises en cause», avait-il notamment expliqué.

«Mais le signal a été mal perçu à Bruxelles et Berlin, alors même que la France cherche déjà à obtenir un feu vert pour ralentir le rythme de réduction du déficit public. Dit autrement, la France ne peut pas à la fois abandonner ses objectifs de déficit public et rogner ses objectifs d’économies», commentent les Echos.

L'objectif des 3 % repoussé à 2017

Le gouvernement devrait donc, selon le journal, réaffirmer ce mercredi son plan d’économies et dévoiler une nouvelle trajectoire du déficit qui laissera ce dernier proche de 4 % du produit intérieur brut en 2014 et 2015, et repoussera sans doute le retour à 3 % à 2017, au lieu de 2015.

Le ministère des Finances a envoyé mardi soir à la presse une invitation pour mercredi matin à «une conférence de presse sur la situation économique et les finances publiques» du ministre des Finances Michel Sapin, et du secrétaire d’Etat chargé du Budget Christian Eckert.


Le gouvernement va finalement annoncer le maintien de son objectif d’économies sur la dépense publique de 21 milliards d’euros en 2015, une semaine après avoir annoncé qu’il n’y parviendrait pas, a rapporté mardi soir le quotidien économique Les Echos.

«Machine arrière toute! Une semaine après l’annonce surprise d’une baisse de l’effort sur la dépense publique pour 2015, le gouvernement s’apprête, selon nos informations, à ressusciter son objectif de 21 milliards d’euros d’économies l’an prochain», écrivent Les Echos.

Bruxelles et Berlin irrités

«Un objectif qui devrait être réaffirmé sans doute dès ce mercredi par l’exécutif afin de rassurer Bruxelles et Berlin. Car ces derniers ont été passablement irrités par les déclarations de Michel Sapin mardi dernier», affirme le journal.

Le 2 septembre, Michel Sapin avait annoncé que cette première tranche des 50 milliards d’économies programmées sur trois ans, par rapport à la progression naturelle de la dépense, ne serait pas atteint mais que la France s’engageait malgré tout à parvenir aux 50 milliards visés d’ici 2017.

«On ne peut pas avoir les mêmes objectifs avec une inflation qui devient très faible», avait reconnu le ministre en réponse à une question sur le maintien d’un objectif de 21 milliards d’économies l’année prochaine. «L’année prochaine par exemple, là où sur une hypothèse d’inflation de 1,5 %, on faisait au-delà d’un milliard d’économies, par le seul gel de prestations, aujourd’hui ces économies sont remises en cause», avait-il notamment expliqué.

«Mais le signal a été mal perçu à Bruxelles et Berlin, alors même que la France cherche déjà à obtenir un feu vert pour ralentir le rythme de réduction du déficit public. Dit autrement, la France ne peut pas à la fois abandonner ses objectifs de déficit public et rogner ses objectifs d’économies», commentent les Echos.

L'objectif des 3 % repoussé à 2017

Le gouvernement devrait donc, selon le journal, réaffirmer ce mercredi son plan d’économies et dévoiler une nouvelle trajectoire du déficit qui laissera ce dernier proche de 4 % du produit intérieur brut en 2014 et 2015, et repoussera sans doute le retour à 3 % à 2017, au lieu de 2015.

Le ministère des Finances a envoyé mardi soir à la presse une invitation pour mercredi matin à «une conférence de presse sur la situation économique et les finances publiques» du ministre des Finances Michel Sapin, et du secrétaire d’Etat chargé du Budget Christian Eckert.


Le gouvernement va finalement annoncer le maintien de son objectif d’économies sur la dépense publique de 21 milliards d’euros en 2015, une semaine après avoir annoncé qu’il n’y parviendrait pas, a rapporté mardi soir le quotidien économique Les Echos.

«Machine arrière toute! Une semaine après l’annonce surprise d’une baisse de l’effort sur la dépense publique pour 2015, le gouvernement s’apprête, selon nos informations, à ressusciter son objectif de 21 milliards d’euros d’économies l’an prochain», écrivent Les Echos.

Bruxelles et Berlin irrités

«Un objectif qui devrait être réaffirmé sans doute dès ce mercredi par l’exécutif afin de rassurer Bruxelles et Berlin. Car ces derniers ont été passablement irrités par les déclarations de Michel Sapin mardi dernier», affirme le journal.

Le 2 septembre, Michel Sapin avait annoncé que cette première tranche des 50 milliards d’économies programmées sur trois ans, par rapport à la progression naturelle de la dépense, ne serait pas atteint mais que la France s’engageait malgré tout à parvenir aux 50 milliards visés d’ici 2017.

«On ne peut pas avoir les mêmes objectifs avec une inflation qui devient très faible», avait reconnu le ministre en réponse à une question sur le maintien d’un objectif de 21 milliards d’économies l’année prochaine. «L’année prochaine par exemple, là où sur une hypothèse d’inflation de 1,5 %, on faisait au-delà d’un milliard d’économies, par le seul gel de prestations, aujourd’hui ces économies sont remises en cause», avait-il notamment expliqué.

«Mais le signal a été mal perçu à Bruxelles et Berlin, alors même que la France cherche déjà à obtenir un feu vert pour ralentir le rythme de réduction du déficit public. Dit autrement, la France ne peut pas à la fois abandonner ses objectifs de déficit public et rogner ses objectifs d’économies», commentent les Echos.

L'objectif des 3 % repoussé à 2017

Le gouvernement devrait donc, selon le journal, réaffirmer ce mercredi son plan d’économies et dévoiler une nouvelle trajectoire du déficit qui laissera ce dernier proche de 4 % du produit intérieur brut en 2014 et 2015, et repoussera sans doute le retour à 3 % à 2017, au lieu de 2015.

Le ministère des Finances a envoyé mardi soir à la presse une invitation pour mercredi matin à «une conférence de presse sur la situation économique et les finances publiques» du ministre des Finances Michel Sapin, et du secrétaire d’Etat chargé du Budget Christian Eckert.


Le gouvernement va finalement annoncer le maintien de son objectif d’économies sur la dépense publique de 21 milliards d’euros en 2015, une semaine après avoir annoncé qu’il n’y parviendrait pas, a rapporté mardi soir le quotidien économique Les Echos.

«Machine arrière toute! Une semaine après l’annonce surprise d’une baisse de l’effort sur la dépense publique pour 2015, le gouvernement s’apprête, selon nos informations, à ressusciter son objectif de 21 milliards d’euros d’économies l’an prochain», écrivent Les Echos.

Bruxelles et Berlin irrités

«Un objectif qui devrait être réaffirmé sans doute dès ce mercredi par l’exécutif afin de rassurer Bruxelles et Berlin. Car ces derniers ont été passablement irrités par les déclarations de Michel Sapin mardi dernier», affirme le journal.

Le 2 septembre, Michel Sapin avait annoncé que cette première tranche des 50 milliards d’économies programmées sur trois ans, par rapport à la progression naturelle de la dépense, ne serait pas atteint mais que la France s’engageait malgré tout à parvenir aux 50 milliards visés d’ici 2017.

«On ne peut pas avoir les mêmes objectifs avec une inflation qui devient très faible», avait reconnu le ministre en réponse à une question sur le maintien d’un objectif de 21 milliards d’économies l’année prochaine. «L’année prochaine par exemple, là où sur une hypothèse d’inflation de 1,5 %, on faisait au-delà d’un milliard d’économies, par le seul gel de prestations, aujourd’hui ces économies sont remises en cause», avait-il notamment expliqué.

«Mais le signal a été mal perçu à Bruxelles et Berlin, alors même que la France cherche déjà à obtenir un feu vert pour ralentir le rythme de réduction du déficit public. Dit autrement, la France ne peut pas à la fois abandonner ses objectifs de déficit public et rogner ses objectifs d’économies», commentent les Echos.

L'objectif des 3 % repoussé à 2017

Le gouvernement devrait donc, selon le journal, réaffirmer ce mercredi son plan d’économies et dévoiler une nouvelle trajectoire du déficit qui laissera ce dernier proche de 4 % du produit intérieur brut en 2014 et 2015, et repoussera sans doute le retour à 3 % à 2017, au lieu de 2015.

Le ministère des Finances a envoyé mardi soir à la presse une invitation pour mercredi matin à «une conférence de presse sur la situation économique et les finances publiques» du ministre des Finances Michel Sapin, et du secrétaire d’Etat chargé du Budget Christian Eckert.


Le gouvernement va finalement annoncer le maintien de son objectif d’économies sur la dépense publique de 21 milliards d’euros en 2015, une semaine après avoir annoncé qu’il n’y parviendrait pas, a rapporté mardi soir le quotidien économique Les Echos.

«Machine arrière toute! Une semaine après l’annonce surprise d’une baisse de l’effort sur la dépense publique pour 2015, le gouvernement s’apprête, selon nos informations, à ressusciter son objectif de 21 milliards d’euros d’économies l’an prochain», écrivent Les Echos.

Bruxelles et Berlin irrités

«Un objectif qui devrait être réaffirmé sans doute dès ce mercredi par l’exécutif afin de rassurer Bruxelles et Berlin. Car ces derniers ont été passablement irrités par les déclarations de Michel Sapin mardi dernier», affirme le journal.

Le 2 septembre, Michel Sapin avait annoncé que cette première tranche des 50 milliards d’économies programmées sur trois ans, par rapport à la progression naturelle de la dépense, ne serait pas atteint mais que la France s’engageait malgré tout à parvenir aux 50 milliards visés d’ici 2017.

«On ne peut pas avoir les mêmes objectifs avec une inflation qui devient très faible», avait reconnu le ministre en réponse à une question sur le maintien d’un objectif de 21 milliards d’économies l’année prochaine. «L’année prochaine par exemple, là où sur une hypothèse d’inflation de 1,5 %, on faisait au-delà d’un milliard d’économies, par le seul gel de prestations, aujourd’hui ces économies sont remises en cause», avait-il notamment expliqué.

«Mais le signal a été mal perçu à Bruxelles et Berlin, alors même que la France cherche déjà à obtenir un feu vert pour ralentir le rythme de réduction du déficit public. Dit autrement, la France ne peut pas à la fois abandonner ses objectifs de déficit public et rogner ses objectifs d’économies», commentent les Echos.

L'objectif des 3 % repoussé à 2017

Le gouvernement devrait donc, selon le journal, réaffirmer ce mercredi son plan d’économies et dévoiler une nouvelle trajectoire du déficit qui laissera ce dernier proche de 4 % du produit intérieur brut en 2014 et 2015, et repoussera sans doute le retour à 3 % à 2017, au lieu de 2015.

Le ministère des Finances a envoyé mardi soir à la presse une invitation pour mercredi matin à «une conférence de presse sur la situation économique et les finances publiques» du ministre des Finances Michel Sapin, et du secrétaire d’Etat chargé du Budget Christian Eckert.