Téléphonie: Les prix des mobiles ont chuté de 27% en 2013
ECONOMIE•Selon l'autorité de régulation des télécoms...Romain Scotto
C’est l’un des rares secteurs qui échappe depuis trois ans à l’inflation. Comme en 2012, les prix des services mobiles ont connu une baisse conséquente en 2013, selon l’Arcep, l’autorité des télécoms. Dans son étude annuelle, réalisée auprès des clients des quatre opérateurs de réseaux mobiles Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free Mobile et des deux plus importants opérateurs mobiles virtuels NRJ Mobile et Virgin Mobile, elle note une basse de 27,2 % des prix l’année dernière. Le recul était de 11,2 % en 2012.
L’Arcep a pris en compte la «dépense minimale», à savoir la facture minimale théorique en euros courants TTC d’un consommateur informé, libre et rationnel qui «optimise» sa dépense en fonction de sa consommation tout au long de la période. C’est celle utilisée par l’Insee pour calculer son indice des prix à la consommation.
L’ensemble des profils de consommation touchés
L’Autorité indique que la baisse touche «l’ensemble des profils de consommation en raison du développement d’offres d’abondance pour la voix et les SMS». La consommation des titulaires de contrats «post-payés», à savoir les forfaits en communications vocales, augmente donc pour la première fois depuis 2007 et atteint 3 heures et 15 minutes en 2013.
C’est l’un des rares secteurs qui échappe depuis trois ans à l’inflation. Comme en 2012, les prix des services mobiles ont connu une baisse conséquente en 2013, selon l’Arcep, l’autorité des télécoms. Dans son étude annuelle, réalisée auprès des clients des quatre opérateurs de réseaux mobiles Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free Mobile et des deux plus importants opérateurs mobiles virtuels NRJ Mobile et Virgin Mobile, elle note une basse de 27,2 % des prix l’année dernière. Le recul était de 11,2 % en 2012.
L’Arcep a pris en compte la «dépense minimale», à savoir la facture minimale théorique en euros courants TTC d’un consommateur informé, libre et rationnel qui «optimise» sa dépense en fonction de sa consommation tout au long de la période. C’est celle utilisée par l’Insee pour calculer son indice des prix à la consommation.
L’ensemble des profils de consommation touchés
L’Autorité indique que la baisse touche «l’ensemble des profils de consommation en raison du développement d’offres d’abondance pour la voix et les SMS». La consommation des titulaires de contrats «post-payés», à savoir les forfaits en communications vocales, augmente donc pour la première fois depuis 2007 et atteint 3 heures et 15 minutes en 2013.
C’est l’un des rares secteurs qui échappe depuis trois ans à l’inflation. Comme en 2012, les prix des services mobiles ont connu une baisse conséquente en 2013, selon l’Arcep, l’autorité des télécoms. Dans son étude annuelle, réalisée auprès des clients des quatre opérateurs de réseaux mobiles Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free Mobile et des deux plus importants opérateurs mobiles virtuels NRJ Mobile et Virgin Mobile, elle note une basse de 27,2 % des prix l’année dernière. Le recul était de 11,2 % en 2012.
L’Arcep a pris en compte la «dépense minimale», à savoir la facture minimale théorique en euros courants TTC d’un consommateur informé, libre et rationnel qui «optimise» sa dépense en fonction de sa consommation tout au long de la période. C’est celle utilisée par l’Insee pour calculer son indice des prix à la consommation.
L’ensemble des profils de consommation touchés
L’Autorité indique que la baisse touche «l’ensemble des profils de consommation en raison du développement d’offres d’abondance pour la voix et les SMS». La consommation des titulaires de contrats «post-payés», à savoir les forfaits en communications vocales, augmente donc pour la première fois depuis 2007 et atteint 3 heures et 15 minutes en 2013.
C’est l’un des rares secteurs qui échappe depuis trois ans à l’inflation. Comme en 2012, les prix des services mobiles ont connu une baisse conséquente en 2013, selon l’Arcep, l’autorité des télécoms. Dans son étude annuelle, réalisée auprès des clients des quatre opérateurs de réseaux mobiles Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free Mobile et des deux plus importants opérateurs mobiles virtuels NRJ Mobile et Virgin Mobile, elle note une basse de 27,2 % des prix l’année dernière. Le recul était de 11,2 % en 2012.
L’Arcep a pris en compte la «dépense minimale», à savoir la facture minimale théorique en euros courants TTC d’un consommateur informé, libre et rationnel qui «optimise» sa dépense en fonction de sa consommation tout au long de la période. C’est celle utilisée par l’Insee pour calculer son indice des prix à la consommation.
L’ensemble des profils de consommation touchés
L’Autorité indique que la baisse touche «l’ensemble des profils de consommation en raison du développement d’offres d’abondance pour la voix et les SMS». La consommation des titulaires de contrats «post-payés», à savoir les forfaits en communications vocales, augmente donc pour la première fois depuis 2007 et atteint 3 heures et 15 minutes en 2013.
C’est l’un des rares secteurs qui échappe depuis trois ans à l’inflation. Comme en 2012, les prix des services mobiles ont connu une baisse conséquente en 2013, selon l’Arcep, l’autorité des télécoms. Dans son étude annuelle, réalisée auprès des clients des quatre opérateurs de réseaux mobiles Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free Mobile et des deux plus importants opérateurs mobiles virtuels NRJ Mobile et Virgin Mobile, elle note une basse de 27,2 % des prix l’année dernière. Le recul était de 11,2 % en 2012.
L’Arcep a pris en compte la «dépense minimale», à savoir la facture minimale théorique en euros courants TTC d’un consommateur informé, libre et rationnel qui «optimise» sa dépense en fonction de sa consommation tout au long de la période. C’est celle utilisée par l’Insee pour calculer son indice des prix à la consommation.
L’ensemble des profils de consommation touchés
L’Autorité indique que la baisse touche «l’ensemble des profils de consommation en raison du développement d’offres d’abondance pour la voix et les SMS». La consommation des titulaires de contrats «post-payés», à savoir les forfaits en communications vocales, augmente donc pour la première fois depuis 2007 et atteint 3 heures et 15 minutes en 2013.