Elle faisait du teasing depuis une semaine. Jeudi, Lorde a enfin mis en ligne son nouveau single, Green Light, quatre ans après son premier album. Révélée en 2013 à seulement 16 ans, la chanteuse néo-zélandaise revient ici avec un hymne dansant et un peu générique.

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Un collaborateur de Taylor Swift

Dans Green Light, elle attend le feu vert de la vie pour passer à autre chose après une rupture. Jeudi, elle a expliqué en interview sur Beats 1 le paradoxe entre sa tristesse exprimée dans les paroles et les chœurs insouciants du refrain, qui rappellent I Don’t Care, d’Icona Pop. « C’est un peu comme une fille bourrée qui danse en boîte et qui pleure sur son ex. Tout le monde pense qu’elle est en vrac mais c’est juste pour la soirée. Le lendemain, elle commence à se reconstruire. Pour moi, cette chanson, c’est ça ».

Dommage que Lorde perde au passage la signature electro-pop ciselée de son premier album, immédiatement reconnaissable. La faute à son nouveau collaborateur, le producteur/compositeur Jack Antonoff, qui avait déjà aidé Taylor Swift à moderniser sa country sur l’album 25. Difficile de résister aux sirènes du dancefloor, sans doute, surtout à 20 ans.